L'histoire d'Eighir et de ses compagnons (Terminé)

Il était temps d'y aller. Nous longeâmes la route, le plafond de la voûte étant au plus haut et les ennemis inexistants. Nous marchions sur des collines de caillasse, ou d'herbe grise cela depandais, s'arrêtant rarement. Chaque lueur nous apparaissait comme un portail, mais ce n'était jamais important. Une luciole noire ou bien un petit démon de feu innofensif qui erraient a travers la plaine. Mais nous pouvions apercevoir la voûte baisser au fur et a mesure du temps. Et, au bout de 4 ou 5 jours de marche, la voûte touchait le sol par endroit. Nous nous mîment sur la route. et deux heures plus tard, nous aperçument un chemin étroit, 2 mètres de large, qui s'enfonçait dans la roche, très bien taillé et sculpté par endroit. Nous sommes entrés.
Cette endroit était éclairé par des torches marchant a la magie par endroit, d'autres endroits étaient plus sombres. Le chemin se prolongeait sur un kilomètre, et nous pouvions voir différents chemin partirent sur les côtés. Ne sachant pas ou aller, nous continuâment tout droit, jusqu'a arriver a une salle circulaire avec des entrées de tous les côtés. Il y avait un panneau au centre de cette pièce : "Vous Êtes Perdus !". Un nain mort était allongé a côté. Artanis intervint :

- Que je suis bête ! Nous aurions du comprendre que s'était un labyrinthe !! Maintenant nous ne sortirons jamais d'ici !

- Mais si lui répondis-je assurée, nous avons suivis une ligne droite depuis le début. Alors retournons en arrière pour sortir.

Le sol se mit a trembler. Artanis cria :

- Le sol bouge, il faut sortir !

S'est alors que l'on aperçut un pan de mur qui pivota, refermant toutes les entrées visibles. Et en ouvrant autant d'autre, mais... différentes. Je déclarais d'une toute petite voix, faisant réfférence au panneau central :

- Nous sommes perdus ?

Le silence retomba.

"De toute façon, nous sommes complétement perdus depuis que nous sommes arrivé dans cette.. grotte. Alors qu'on se paume dans un labyrinthe, ça fera pas énormément de différence."

Cette fois-ci ma voix ressemblait à un grondement sourd qui se répercuta en écho sur les parois. Je me tus et observait les parois.

"Et bien, nous cherchons la sortie vers l'extérieur n'est-ce pas?"

Les deux autres acsquiescèrent en silence. Je me concentrai alors. Pour une raison incunne, quelque chose me poussait vers une certaines porte. Mais je repoussais ça, et me dirigeai vers une autre. Mon instinct avait été écouté. Espérons qu'il nous guide bien.

On marchait, les murs était suiantant d'eau, et les torches pourtant, brulaient toujours. En approvchant ma main, je sentis l'aura magique. Je soupirais. L'archimage invisible controlais même les éléments. Merveilleux.
Glistine avait l'air tendue, quant à Artanis, il ne partait plus beaucoup tout seul, et le manque d'isolement devait lui peser. Je le laissais un peu seul devant ou derrière, en activant mon pas ou le déssélérant. Pourtant je sentais que cela ne suffisat pas. Je soupirais, ne sachant que faire de plus, et Artanis avait l'air de plus en plus sombre, malgré les efforts de Glistine pour égailler l'atmosphère.

Stop !
Artanis avait arrêté toute la troupe sur ce ton péromptoire. Il se plaça à côté d'Eighir et frôla à son tour la paroi. Sans que les autres ne disent rien, l'assassin renifla et goûta le liquide. Il recula.
N'avancez plus. Il y a un piège.
Eighir soupira.
Il manquait plus que ça !
Artanis se mit à sonder le sol dans les cinq mètres devant eux, nerveusement. Il se retourna vzers ses compagnes.
Vous voyez ce petit caillou, là ?
Eighir et Glistine acquiescèrent. C'était un petit caillou comme les autres, apparement, posé au milieu de la route.
Si vous avez le malheur de le toucher, continua Artanis vous recevrez un réservoir d'acide sur vos têtes, ça vous tente ?
Eighir treassaillit. Glistine demanda :
C'est quoi de l'acide ?
[HRP] Bah oui t'as dit "un peu co-conne" alors... [/HRP]
Ca brule, expliqua Eighir.
Artanis dit que ça faisait fondre eà peu près tout ce que ça pouvait toucher, à l'état concentré.
Alors, continua Glistine, c'est dangereux ?
Oui, répondit Eighir, exaspérée.
Donc ça ne me tente pas...
Artanis prit la tête et continua d'inspecter partout, maintenant qu'il savait qu'il y avait des pièges. Les deux filles le suivirent et ils firent tous bien attention à passer à côté du petit caillou.

[HRP] Ahahahahahahaha........ lol oui je sais et alors ! [/HRP]

Ce fut moi qui aperçut le piège suivant. Je voletais tranquilement devant Artanis lorsque Je sentis un filin invisible. Je prévint :

- Stop !, J'ai toucher un fil, mon poid plume n'a pas déclencher le piège, mais le otre si. Je vais essayer de voir jusqu'ou il va.

Je longeais le fil, faisant bien attention a ne pas le toucher trop fort, Eighir s'apeura :

- Fait attention Glistine !

Je ne répondis pas. J'étais concentrée. Le fil rejoignait le mur d'en face Et remontait ensuite vers le haut. Je levais les yeux et aperçus le caillou. Ou devrais-je dire le roché. Effectivement, il n'était pas bien joli. Je leur dit de passer accroupis, mais Eighir sentit un autre fil au niveau des chevilles... Le roché bascula.

Oups...
Artanis poussa Eighir en avant d'un coup sec et passa lui-même de justesse. Le rocher souleva un nuage de poussière lorsqu'il toucha le sol. Tous toussèrent, et, une fois la poussière retombée, Eighir fit :
Eh ben... On l'a échappé belle...
Artanis renifla.
On est bloqués maintenant, on n'a plus qu'à prier pour que la sortie soit par là !
Eighir s'épousseta. Glistine partit en avant et Artanis resta aux côtés d'Eighir. Peu après, la voix normalement douce de Glistine résonna de manière grave dans les couloirs :
Ce foutu labyrinthe nous propose encore trois passages... Qu'est ce qu'on fait ?*
Artanis n'attendit pas l'avis d'Eighir :
Prend toujours le plus au nord. En conséquences, je pense que c'est à droite ici.
Glistine répondit :
J'y vais, mais... Aaaaaah !

Nous étions en arret complet devant ce qui se dressait devant nous... Un néant. Un trou au milieu du labyrhinte, comme créé par une affaisement de terrain. Le trou n'était pas très large mais suffisait à empêcher un humain normal de passer.

"Que... comment vous allez faire?"
"Je vais sauter dedans comme ça tout sera terminé pour moi...."

Mes compagnons se tournèrent vers moi, surpris de mon cynisme, j'étais assez désespérée à ce moment là, je voulai ssortir ou mourrir, je ne sais pas, mais pourvu que tout cela cesse. Puis je remarquai un détait etrange et... mon esprits'y fixais, plein d'espoir. Je m'agenouillai et palpais du bout des doigts la roche...

"Il y a un mécanisme. On devrait trouver quelque chose pour l'actionner. Je sens aussi... comme une rouleau, c'est un pont dépliant."

En effet, en face, les amarres du pont qui se déplirait. Je poussais un long soupir de soulagement. Nous cherchames le mécanisme. Mais sans résultat pour l'instant, nous avions du mal Glistine partit même sur la rive en face pour regarder mais rien.

"A tout les coups, c en dessous..." soupirai-je.

Et Glistine partit en voletant en dessous.

- Hum... non, il n'y a rien !

Je leur criais-je d'en dessous.

- Mais... Attendez, il y a quelques chose d'écrit ! Je vous le lis, il s'agit d'une plaque de fer lumineuse, elle est tout de même mangée par la rouille, surement magique cette luminositée... Alors... Il y est écrit que : "Quiconque désire passer le pont, après avoir trouvé la plaque, devra prononcer cette phrase magique qui aura pour effet de dérouler la planche. Cette phrase se trouve dessous. Seul quelqu'un d'assez puissant réussira a passer le pont.
Prononcez clairement "Aïglistirâ Somm Blelïnda Emraüs...." NON !!! S'est illisible ici ! Je n'arrive pas a le lire, s'est trop rongé. Il est dit après : "...Arkandös. Si vous prononcez cela clairement et que vous êtes un bon magicien, la planche se déroulera."

Bon, comment faire pour ouvrir cette plaque. Il faut lire la phrase, il n'y a pas d'autre choix. Artanis déclara :

- Je vais descendre, la paroi est abrupte, mais je réussirais a ne pas glisser.

Il amorça la descente. Tranquilement, il parvint a mi chemin mais déclara qu'il ne pouvait plus bougé. Que se passait-il ?

- Je glisse !!!

[i]Concentrant toute mon énergie, je lançais un petit sort de lévitation, arrêtant ainsi la course d'Artanis vers le vide.

J'étais penchée au-dessus du vide, le sang dans mon cerveau me provoquait des élancement du hauts du corps. Je hissais péniblement Artanis sur le rebord.

"Bien. Je suis plus légère que toi je pense, et moins encombrée d'un épais manteau."

Je me retournai. La solution qu ej'avais moi-même proposée ne me plaisait guère, certes, mais cela était necessaire. Je me cramponais, trouvait des prises pour mes mains et mes pieds sans regarder en bas... Surtout pas dans cet abîme... Je gémis à mi voix et me repris d'un coup. J'arrivais enfin à la plaque. Elle était luminescente, oui, mmais aussi très rouillée, j'étais d'accord. J'appréciais les motifs que la rouilles avait tracé puis me concentrais sur l'écriture.

"Je ne suis pas une sorcière. Peut-être que toi Artanis tu pourras la dire la phrase. Repète-là après moi"

Silence en haut, je pris cela pour un acquiescement. Je lus la formule... Artanis la répéta et...

...et le pont se déroula, enfermant Eighir en dessous.

Evidemment me dis je. J'essayais de soulever la pierre a main nue avant de me rendre compte a quel point mon geste était inutile.
Artanis paniquait, il criait le nom de la fine lame mais aucune réponse lui parvint. Il resta un bon moment dans une espèce de transe avant que je me rende compte qu'il élaborrait un sortilège. Lorsque celui ci se déclencha, un flot de lumière se déversa des mains d'Artanis, et la planche vibra. Probablement que Eighir, si elle était encore en vie en dessous, se prit de la poussière plein les yeux... mais la planche de pierre résista. Et Artanis fut déséspéré. Il se mit a pleuré comme je ne l'avais jamais vu pleuré, on aurait dit que tout son être pleurait. Je lui apportait le maigre réconfort dont j'étais capable, mes ailes brillants a la lueur des flammes magiques des quleques lampes torches présentes, puis il déclara qu'il avait besoin d'être seul. Il s'éloigna durant une demi heure, j'entendais des pleurs qui venaient de la salle d'a côté, puis revint, le visage dur comme la pierre. Il déclara d'un ton froid :

- C'est dommage, mais il faut poursuivre, ou nous connaitrons le même sort qu'elle.

Nous quitâmes la salle.

[HRP]Comment va tu faire...? [/HRP]

[HRP: J'ai toujours rêvé d'être coincée sous un pont. ]

Je perdis connaissance. Heureusement pour moi, ma prise sur le pont s'était pas directement sur le pont, mais en dessous. Le déroulement du pont avait mis en place les équerres le soutenant, et je m'affalais dessus.
Une sensation d'étouffement me réveilla. Je me retrouvai le nez plongé dans la poussière. Puis j'entendis quelques sanglots lointains et une voix froide et dure. Dans mon brouillard, je percevais qu'ils allaient partir... Mes compagnons... Je me réveillais.

"Hey!! Non me laissez pas!!! Je suis lààà!!!"

Je me mis en équilibre précaire sur la poutrelle, agitais ma main au desus de la surface de pierre du pont. Artanis et Glistine s'approchèrent. Je pus mettre mes deux mains sur le pont et se pendre dans le vide, tandis qu'Artanis attrapa un de mes poignets et me souleva. Je me retrouvais à nouveau sur la terre ferme.

[HRP]Lol, dsl, je voulais te mettre mal a l'aise [/HRP]

La première chose qu'aperçut Eighir en remontant fut les yeux rouges d'Artanis. Elle s'apprêta dire quelque chose, mais Artanis la prit de cour, d'un ton froid :

- Désolé, j'avais une poussière dans loeil, allons y.

Le fait qu'Artanis est pleuré pour rien sema le trouble dans l'esprit a Eighir.

- De toute évidence ce n'est pas une poussière... [i}me dit ele alors qu'Artanis était parti en éclaireur. J'acquieçais. Je ne pouvais rien faire d'autre, s'était vrai. Artanis avait été très triste pour elle.[/i] De la compassion ? Non, de l'amour ! S'est tellement beau dans un endroit pareil !!! J'étais tout excitée comme en témoignait la poussière magique tombant de mes ailes et ma vitesse de vol. Eighir me regardait, étonnée, elle me demanda :

- Sa va Glistine ?

- Oui oui, très bien... délarais-je confuse. Il faudrait que je m'excite un peu moin a l'avenir... pensais-je. Artanis revint, il avait deux lapins morts dans les mains. Il nous déclara qu'il savait ou faire du feu, et qu'il avait trouvé une casserole et de l'eau. Eighir et moi nous sommes regarder et nous avons éclater de rire tellement la situation était comique. Comment pouvait-il dans ce labyrinthe trouver de l'eau, des lapins, du bois et surtout ! Une bouilloire !!! Lorsque nous avions fint de rire, il nous guida vers le lieu en question.

[HRP}Dès que tu sors de l'internat Wazabeuh, t'as intérêt a nous poster un message digne de ce nom !!! lol[/HRP]

[HRP: je comprends mieux pourquoi il ne postait plus. Bon courage à lui ^^]

Nous le suivîmes. J(étais extrêmemnt suprise. Des lapins, du bois... Une sortie peut-être? Mais je ne pouvais y croire...
Et non ce n'était pas une sortie. C'était une grande salle gallerie, avecune foret articficiel et un soleil magique. J'étais à la fois désapointée et émerveilée. Du soleil même magique, c'était déjà énorme... C'était un mince réconfort mais qui détendit l'atmosphère.
Nous étions assis autour d'un feu de camp, le soleil articiciel déclinait pour laisser place à la lune, nous discutions, Glistine me faisait rire et Artanis paraissait observer la scène. Les lapins étaient délicieux, tout me paraissait délicieux, nous bûmes de l'eau de la gourde. Après autant d'aventures, de chemin, que un petit extérieur artificiel nous détendait énormément. Nous respirions enfin... Mais l'idée de continuer le périple, que nous étions enfermé sous tendaient toujours, et angoissait tous le monde.

[HRP] Râââh c'est pas possible il suffit que je m'abesnte une semaine et puis voilà ce que vous faites de mon favori... Il peut pas tomber amoureux, il est conditionné pour éviter ce genre de désagrément... Et puis les larmes ont été bannies, j'ai bien peur, tout comme la plupart des sentiments, de son esprit. Bon, pour le message digne de ce nom, ça va être aussi du HRP car je vais vous expliquer la situation : je ne peux pas poster à partir de l'internat, sauf très très très exceptionnellement. Donc je compte sur vous pour pas trop poster et pour pas faire n'importe quopi avec mon Arta adoré. Sinon l'internat c'est super :p ![/HRP]
C'est alors qu'Artanis posa la question qu'ils redoutainet tous :
Mais... D'où sort cet endroit ? Ca vous parait normal qu'au milieu d'une caverne particulièrement inhospitalière, on trouve un endroit aussi luxuriant ?
Tous se regardèrent. Un piège ? Possible. Une aire de repos pour gladiateurs fatigués ? Après tout, au point de bizarreries où ils en étaient...
Artanis se leva d'un coup, épée au poing.
Il faut partir ! cria t'il.
Pourquoi ? demanda Eighir.
Je suis sûr que nous ne somme pas en sécurité ici. Vraiment pas... C'est trop étrange pour être vrai. Comme... une utopie de ce que l'on aurait voulu trouver.
C'était vrai. Le sol se mit à trembler sur cette dernière phrase. Le trio courut à tout rompre. Le sol se souleva sous leurs pieds.
Qu'est ce qu'il se passe ? demanda Glistine.
Envole toi, haut ! lui ordonna Artanis.
La petite fée s'éxécuta sans mot dire, mais n'en pensant pas moins. Alors qu'elle se heurtait au plafond, elle vit ce qu'il se passait : une gueule géante était en train de se refermer sur ses deux compagnons (Comme dans Lanfeust , mais en encore plus grand !) Ils ne sortiraient jamais de ce piège à temps. Tout à coup, elle sentit une intrusion mentale et entendit une voix dans sa tête :
T'inquiète, c'est Artanis. Veille simplement à cacher d'éventeulles pensées secrètes. Je veux juste voir par tes yeux...
Glistine le laissa faire non sans réticence et elle vit qu'il réagit immédiatemment : il entoura la taille d'Eighir de son bras gauche et tendit son bras droit vers le ciel. Ce qu'il se passa, Glistine ne le vit pas.
En effet, Artanis avait remarqué que ici sa magie remarchait, et il comptait bien en profiter : il prit la toile magique et la distorsionna à grand effort. Tant et si bien qu'il arrêta, non pas la bête, mais le temps. Il était dans une bulle parallèle, avec Eighir. Dans un monde figé, il sortirent vite du piège car Artanis se fatiguait très vite, trop vite. Avant de s'évanouir hors du danger et de ce temps suspendu, il glissa à Eighir :
Ne crois rien. Ce n'est pas possible...

La denrière parole d'ratnais me détabilisa.. Puis plus rien. Je ne comprenais plus rien à ce qui se passait, cette magie, tout ça, me dépassait. Juste ma volonté farouche de me sortir de tout ça me permit se suirvivre Artanis sans perdre conscience. Nous étion sà nouveau dans le labyrinthe, impossible de savoir où. Je regardais Artanis et Glistine qui gisaient là, inconsients encore. Je pris le parti d'attendre. J'étais très choquée par ce qui s'était passé et je tremblais légerment. J'essayais de me maitriser mais rien de fit. Glistine finit par se réveiller. Elle voleta près de moi, je ne pouvais la suivre de syeux, elle paraissait très affolée et gigotit beaucoup beaucoup.

"Ohlala mais tu as vu ça??!!!! Mais... mais.... C'était énoooorme!!!!
- Oui j'ai vu, Glistine...."

Elle comprit surement que je n'étais pas très bien et s'assit sur mon genou que j'avais replié.

"C'était effrayant pas vrai?
- Plutot oui."

[HRP: T'inquiètes pas on fera gaffe ^^! On te l'abîmera pas ton Artanis, on y fera attention et tout ^^]

[HRP]Excuse moi pour les erreurs Wazabeuh, mais j'ai trop de mal a cerner ton personnage... il est super complexe et je n'en maitrise pas toute les subtilitées. A l'avenir essaie d'en faire des moins compliqués, même ci celui ci est très bien, dit toi bien aussi que ceux qui n'ont pas lu ton histoire en savent encore moins que moi...[/HRP]

L'ambiance était entre le tendu et le détendu. Elle était normale. De temps en temps sur nos gardes, de temps en temps rigolant ou discutant, sauf Artanis. Les journées passèrent comme cela. Mais justement, jour après jour (pas l'émission hein ? ok je sors ), l'eau de la gourde se raréfiait. Je ne pensait pas a moi car la rosée du matin me suffisait amplement, mais eux. Eux qui boivent je ne sais combien de goutte par jour... Les pièges. Ils étaient beaucoups plus rares et souvent moins dansgereux. Comme si on avait voulu nous mettre en confiance. Ma paranïa me reprend, sa y est ! Non. Il ne faut pas. Continuons a avancer, sortons de cet endroit et tout sera très bien. Ensuite nous trouverons un portail et on rentrera chez nous ! Artanis s'en ira, seul, alors qu'Eighir voudra surement rester un moment avec moi avant de repartir. Mes ailes frétillèrent. J'étais tellemtent heureuse de penser cela que de la poudre magique tomba sur le sol, devant les yeux émerveillés de la fine lame. Je voletais donc, d'avant en arrière, sur les côtés, faisant le tour d'Eighir et d'Artanis, heureuse en gros. Pour rien, probablement. Mais être heureux est ce qu'il y a de plus important. Je me mis donc en tête de l'inculquer a Artanis qui semblait l'avoir oublier.
Je commençais mon étrange mission en lui expliquant, mais il détruisait tous mes arguments. Je lui disais que le bonheur est une chose qui s'exprime naturellement, qui devrait s'exprimer souvent et que je ne comprenais pas pourquoi lui ne l'exprimais pas. Mais lui me disais simplement que dans le monde le bohneur était une chose futile et que l'intérêt en était dépassé. Par quoi ? Je ne le su jamais, il stoppa notre discution en partant explorer je ne sais quel zone de terrain. Je fis part de mes inquiétudes a Eighir, mais celle ci répondit simplement, sur un ton rêveur, comme si elle pensait a autre chose, qu'il avait probablement raison. S'est alors que je me suis demandé si ce n'était pas moi qui était dans le faux. Si le bonheur était réellement une bonne chose. Si il était intéressant de rire, de sourire, d'aimer. Est ce que sa m'apporte quelque chose en fin de compte ? La réponse vint d'elle même. Alors que j'essayais de faire rireEighir, Artanis me dit de me taire. Le bruit que je produisais avait attirer des créatures que les deux compagnons durent combattre. Complètement désolée, je fondis en larme et s'est la que je compris que le bonheur n'était qu'une utopie. Jamais le bonheur n'existerais, tout du moins tant que je serais avec eux. Mon tempéremment changea, les pièges étaient toujours la, mais l'habitude nous les faisaient désamorcer facilement. D'autant plus qu'Artanis et moi avions retrouver notre magie. Mais... innéxorablement, je devint terne. Jusqu'a la couleur de mes aile qui vira du transparent au gris, puis au noir. Je ne volais lus comme une folle, je restait en permanence sur l'épaule d'Eighir, m'éloignat de temps en temps pour trouver un peu de solitude. Vint un jour ou l'on aperçut une très grande salle, au bout d'un couloir, elle ressemblait étrangement a la salle que l'on avait rencontrer le premier jour dans le labyrinthe...

Je voyais mon amie la fée devenir toute triste et pâle, et j'étais devenue triste aussi pour elle. Je tachais de la consoler du mieux que je pouvais, de lui offrir du réconfort. On avait sûrement oublié à quel point elle était fragile.
Puis nous vimes cette salle... Un doute me vint. Et si... et si c'était la même salle? Nous nous élançames. La salle s'étendait face à nous, avec ses portes et ses accés, et son mur qui tourna à nouveau.

"J'espère que c'est une autre salle... Que ce n'est pas la salle de départ..."

Personne ne répondit. Je traçais une croix de mon épée au milieu de la pièce, et devant l'entrée disparue de notre gallerie. Je regrdai alors mes compagnons avec sérieux.

"Voilà. Même si nous revenons à nouveau ici, nous aurons un repère."

Nous devions choisir un autre chemin... Je décidais alors, nous primes un, je traçais une croix devant. Je fis la grimace: le fil de l'épée encore tranchant ne tarderait plus à s'émousser malheuresement. Il fallait sortir au plus vite: sa survie au bout de son poing commençait à décompter ses jours....

Artanis suivit le petit groupe d'un pas las. Il était de plus en plus fatigué. Son arrêt du temps qu'exigeait sa survie l'avait vidé de toutes ses forces. Bientôt, sa nourriture viendrait à manquer et cela le mettrait en danger grave de mort. Il dit aux autres de marcher un peu moins vite le temps qu'il réfléchisse. La magie. Elel vait marché tout à l'heure donc... Il leva le regard vers la toile bleue scintillante qui constituait la magie élémentaire de ce monde. Tout remarchait. Il appela ses deux compagnes.
Je vais essayer un sort, mais je ne vous assure pas qu'il marche. Il me faut du temps et de la concentration, donc protégez moi pendant que je prépare tout.
Il sortit un sachet de poudre fine de diamant et, non sans un pincement au coeur, traça un pentacle avec. Il écrivit avec cette même poudre des caractères dans une langue inconnue. Ceci fait, il appela ses deux amies silencieuses à l'intérieur du cercle.
Glistine, met toi sur mon épaule et toi, Eighir, prend moi la main.
Ils s'éxécutèrent. Artanis prit l'énergie magique concentrée dans le pentacle et pensa ce qui était nécessaire.
Ils disparurent.
Dans un vortex bleuté, Artanis, en transe, cherchant la sortie, Eighir et Glistine toujours reliées à lui. Il trouva et voulut aller plus loin, vers un portail. Mais là... Il s'évanouit. Le trio atterit lourdement le long d'une paroi rocheuse dont on ne voyait pas le bout. Le labyrinthe possédait une entrée... qui se trouvait à présent derrière eux.
[HRP] Si vous avez pas compris, Artanis a téléporté le groupe hors du labyrinthe, côté Lac... [/HRP]

[HRP: Oki, bonne idée. Comme ça de l'eau et peut-être des proies.]

L'atterrissage fut brutal et sec. Et ce ne fut pas l'herbe clairesemée qui amortit notre chute, de sorte que nuos nous affalames de tout notre long sur le sol, nez dans l'herbe et la poussière.
Je pris un moment avant de m'en remmettre. Deuxième choc magique en très peu de temps, mes sens étaient enébulition et mon aura tendue bouillonait de manière inquiètante. Je n'osai ouvrir les yeux. L'odeur de l'eau me parvint aux narines, ainsi qu ecelle de la rocaille autour de nous. J'ouvris le syeux.
J'étais couchée sur le ventre, la tête encore tournante. Je m'étrais. Glistine était déjà réveillée et m'observait depuis une souche d'arbre, son petit visage tout tristoune, et j'eut un pincement au coeur. Quant à Artanis, effondré dans l'herbe, on ne percevait qu'à peine le son de sa respiration. Il avait dû donner toute son énergie en deux opérations magiques à si court intervalle, il était certainement épuisé.
Je m'assis près de Glistine, la prit dans la paume de ma main et calinait ses cheveux d'un doigt distrait. Mon corps et mon aura était très perturbé. Nous avions dû contrecarrer les plans de l'archimage deux fois d'affilée, je pense que les prochaines épreuves seront encore plus terribles que celles-ci. Je ne parvenais pas à sentir l'aura de l'archimage (ou de l'entité) qui s'amusait à observer ce jeu au plateau géant. Cela m'inquiètait.
Je voulais sortir et là, le supporter devenenait de plus en plus dur. Je murmurais à la petite fée.

"Si on s'en sort, tu voudras voir mon pays? La terre du soleil... Tu pourras même assister à un de mes combats si l'envie t'en chante...."

Evoquer mon chez moi me faisait du bien, mais m'attristait aussi.

Artanis ouvrit les yeux. La douleur. Il ne pouvait plus bouger. Il n'avait plus de forces, plus rien. Même bouger ses paupières lui coutait un effort surhumain. Il gémit.
Artanis ! Tu vas bien ?
Eighir se précipita sur lui. Elle était tellement inquiète pour lui. Tout ce qu'il pût dire fut :
Poche intérieure supérieure droite... Les seringues...
Elle fouilla ladite poche et trouva près d'une dizaine de seringues vides, et une seringue pleine d'un liquide orange.
Artanis, qu'est ce que je dois faire ?
Piquer... Bras...
Elle souleva la manchede l'assassin, découvrant ainsi des lames effilées qui sortaient de sous sa peau, accrochées à ses os. Il y avait, au niveau de l'épaule, plusieurs traces de piqûres plus ou moins récentes. Eighir y planta l'aiguille et injecta le produit. Artanis reprit quelques couleurs mais ne se réveilla pas pour autant. Il était momentanément sauvé... Mais pour combien de temps, maintenant qu'il n'avait plus de seringues pleines...

Et je compris soudain son envie folle de sortir maintenant. J(étais triste, d'une certaine manière et inquiète.

"Alors... A chaque fois que tu t'absentais, c'était pour ça..."

Je me tus et, assise à nouveau sur la souche, je le laissais se reposer. Il devait vraiment être faible, et il s'était sacrifié pour nous deux, Glistine et moi.

"Artanis... Comment fabriquer ce liquide orange?"

Il ne répondit pas. Il était peut-êtr eencore inconscient, je l'ignorais. Je me rapprohais à croupetons.

"Dis moi la provenance de cette mixture, Artanis... Tu ne pourras pas survire sans..."

Pas de réponse et l'inuiètude qui montait. Encore perdre un compagnon. Là je fatiguais complétement de ce jeu bidon, de cet enfermement. J'insultais de toute la puissance de mon esprit l'archimage. Le fond de la grotte se brouilla alors, comme en réponse.

"AAAAH!!!"

Mon cri tira Glistine de sa torpeur momentanée.

"Quoi quoi?"
"Je pense avoir trouvé quelque chose! L'archimage est connecté à notre esprit. Il faut.. il faut être plus fort que lui..."

[HRP] Désolé Emmelinä si je te laisse pas parler mais je profite de mon week end tant que je peux pour faire mon rp... Ah au fait, l'histoire d'Artanis continue, sur manuscrit peut être, mais je l'étoffe quand même ^^ [/HRP]
Artanis finit par ouvrir les yeux. Pour de bon cette fois. Il se tourna sur lui même, courbatu, et croisa le regard d'Eighir.
Merci, fit il simplement.
Elle opina gravement de la tête.
Je ne savais pas, Artanis. Pourquoi tu ne nous a rien dit ?
Artanis baissa les yeux.
Je ne veux pas que les gens sachent qui je suis en réalité. Si tu as pu le voir car c'était exceptionnel, mais sache que tu aurais été de mon monde, tu aurais déjà été victime d'un "accident"...
Eighir fut surprise par la brutalité de son compagnon dans ce cas là. Elle ne dit rien et fut heureuse de ne pas faire partie du monde d'Artanis. Artanis s'assit près d'elle et vida sa poche de seringues.
Je n'en ai plus. Je suis condamné.
Tu ne peux pas en refaire ? Qu'est ce que c'est au juste ? demanda Eighir.
C'est... Quelqu'un qui me les donne pour que je vive. Mais parfois j'arrive à en faire moi même à partir de magie... Mais sur mon monde uniquement. Ici, j'ai essayé, mais...
Artanis n'en dit pas plus. Eighir espérait qu'il allait pleurer pour sa vie mais il n'en fut rien. Il resta juste là, assis, voûté, silencieux.

J'étais encore déstabilisée par la découverte de ce soudain pouvoir mental que j'avais appris sur l'archimage et encore plus par la révélation d'Artanis. Je ne sus comment réagir à tout ça, j'étais paumée, complétement. Puis je me remis, pris sur moi et remis mes esprits en ordre. Je lançai alors...

"Tu sais, l'histoire de l'accident, je comprends très bien. C'est ce qui se passe lorsqu'une pauvre erre s'attarde trop sur certains secrets de l'empereur... et... "

Et je ne savais plus quoi dire. Je venais de réaliser quelque chose.

"Et je pense que tu es un assassin. Je pense que ce liquide a un rôle étroitement lié à ta fonction, tout comme ce qui recouvre ton bras."

Artanis redressa la tête mais ne dit rien. Je sus avoir touché un point sensible, et Glistine nous observait sans même oser respirer.

Tout à coup Artanis se leva et s'énerva :
D'accord, tu veux savoir ce que je suis ? Oui je suis un assassin ! Oui, je suis un monstre ! Oui je ne suis rien de normal, et crois bien que ce n'est pas du tout par choix ! Je n'ai jamasi voulu être ce que je suis à présent. Maintenant... Le produit que je m'injecte n'est en rien nécessaire à mon rôle d'assassin, mais à ma survie pure et simple.
Il avait prononcé tout ça d'une traite, presque sans respirer. Tout à coup, son énervement retomba. Il tremblait.
Je veux sortir.
Ce fut tout ce qu'il dit avant d'ajouter, après un certain temps passé sous le regard de ses compagnes :
Ou mourir, mais c'est impossible, je crois.
Il se rassit, encore plus triste qu'avant.

J'étais rarement en colère. Mais là c'était le pompon? J'étais debout, et je fixais Artanis de la même manière dont je fixais mes proie avant leurs mise à mort. Mais ce fut d'une voix étrangement mesurée avec laquelle je lui parlais. Une voix froide et tranchante.

" Pour qui me prends-tu pour te juger. Pour qui te prends tu pour oser élever la voix sur moi. Ne crois-tu pas que je suis un monstre moi aussi à ma manière? Je tue Artanis, à moi aussi c'est mon travail, ma profession. Je tue ou je meurs. Je ne peux élever de jugement sur ta personne."

Je me détournais d elui et allai marcher un peu à l'écart, les poings et les machoires serrées.

"Maintenant nous sommes tous très énervés. Nous aussi nous voulons sortir. Si tu veux mourir Artanis, ce sera tout vu, demande le moi, je sais où enfoncer ma lame entre tes côtés pour atteindre ton petit coeur blessé et meurtri par la vie."

Je me retournais vers lui, mes yeux flamboyaient. De quel droit élevait-il la voix? Ses accés d'humeur, j'avais put les tolérer un temps mais c'était fini.

"Et maintenant nous devons régler son compte à ce crétin d'archimage qui s'amuse avec des vies et des âmes. Cette idée d'être prisonnière m'insupporte, je commence à devenir folle. Alors Artanis s'il te plaît, je ne veux plus de tensions entre nous ou de choses non dites. C'est toujours Glistine qui paie pour nous de l'atmosphère tendue... Ou de nos sautes d'humeurs respectives. "

Je retournais m'assoir en face de lui, Glistine assise sur mon épaule.

Artanis renonça. Les femmes... Il préférait abandonner maintenant que plutôt se voir emmerdé toute sa vie par une femme. Lui ne tuait pas pour vivre, mais il tuait par plaisir, pour imposer le respect ou pour être encore plsu riche qu'il ne l'était déjà.
Nous voulons tous sortir, et c'est pour cela que nous sommes sur les nerfs. Nous devonc trouver la sortie, mais là... Je ne peux plus utiliser mes pouvoirs. J'ai encore trop de choses à faire sur mon monde pour mourir maintenant.
Il se tut avant de continuer :
Bon on la cherche cette sortie ?