L'histoire d'Eighir et de ses compagnons (Terminé)

"Aïlle, ma tête... Il va me le... payer...."

Ma voix mourrut dans ma gorge tandis que j'observais le décor autour de moi. A la place de la foule en liesse et de mon empereur fort satisfait de mes prouesses, une vieille ruine poussièreuse emplie de tombes. Un endroit à mettre la chair de poule, un crypte. Comment ai-je pu me retrouver là?
Je me levais avec difficultés. Le choc avait été douloureux. Mon corps frissonnait encore d'ondes magique, certainement. Comment retourner chez soi?
Un grognement guttural derrière moi. Je roulais sur le sol, pris mon épée en main et me retournais, d'un seul mouvement. Deux morts vivants. Ils étaient affreux à voir. Les restes de leurs peaux étaient grisatres et dans la semi obscurité, les traits creusés formaient des ombres impressionantes sur eux. Je laissais de côté mon frisson de dégoût, et m'élançais.
Je fis un large mouvement latéral de ma lame qui siffla clairement. Les zombies reculèrent. Je profitais alors pour mener mon assaut: je bondis en avant, décapita le premier, pas de côté latéral et décapita le second.
Je n'aurais pas le temps de réfléchir à comment rentrer chez moi. Toute mon énergie devra être concentrée sur la survie...

Artanis eut la présence d'esprit de faire un roulé-boulé aussitôt qu'il sentit le sol sous ses pieds. La seconde d'après, un pan de plafond tombait sur l'endroit qu'il avait quitté. Une fois que la poussière fut retombée, l'assassin se massa ses tempes douloureuses et s'assit sur l'un des débris tombés. Il passa en infravision : aucune trace de vie autour de lui... Il passa en vision nocturne mais il n'y avait aucune source de lumière à amplifier. Il soupira et passa en vision dans le noir complet et retint son souffle : il était assis devant une gigantesque statue de près de six mètres de haut, représentant un guerrier digne et fort, torse nu et portant une lourde épée. Elle était intacte. Il se leva et se retourna. Le plafond écroulé lui barrait une issue, mais en ouvrait une deuxième qui montait à l'étage supérieur. Il la prit. Il se retrouva, une fois escaladés habilement les tonnes de gravats, dans une salle circulaire, qui sentait le renfermé, et au centre trônait un tombeau de granit gris et froid. Artanis souffla :
Une crypte... Enfin un pillage tranquille !
Il se dirigea vers le cercueil...

Les ténèbres qui m'entourraient étaient mille fois plus noires que n'importe quelle nuit du monde. Enfin, j'était dans mon élément.
Je décidais alors d'attendre deux minutes que ma vue s'habitue, très rapidemment grâce a l'habitude et je regardais autour de moi. La première chose que je vus fut un mur. Pas très intéressant, je décidais de me retourner. S'était un couloir. Il avait l'air de déboucher sur une petite pièce, une toute petite pièce. Une fois arrivé, je marche très lentement, comme si une fatalité me frappait a chaque instant, j'aperçus l'objet qui trônait au centre de la pièce. Il s'agissait d'une tombe. Une tombe ! Heureux comme pas possible, je sautillait partout autour en l'examinant sous chaque recoin. Puis j'aperçu un piège. Je marmonnais une parole et le piège sauta dans un petit déclic. Il s'agissait d'une petite fléchette qui venait de se planter dans le mur. Après cela, en vérifiant si il n'y avait pas d'autres pièges, je me décidais a ouvrir la tombe. Je trouvais a l'intérieur un cadavre momifié, qui ne tarda pas a se lever et a me rejoindre lorsque j'eu prononcé les paroles adéquates. Il y avait également quelques pièces d'or qui vinrent rejoindre ma bourse et des cendres spéciales qui pourrait me servir. je décidais d'en remplir ma tête de mort que je transportais toujours avec moi, mais je m'aperçu qu'elle n'était plus a mes côtés ! Tant pis, je décidais d'en trouver autre part.

Je me rendit assez vite compte que je me trouvais dans une crypte, des tombes partout en était la preuve évidente. Au comble du bonheur, je me fit une petite collection de servants squellette jusqu'a ce que mon énergie mentale faiblisse, j'avais 7 squellettes. a mes côtés. Le problème était que peut étaient armés et que un seul possédait des pouvoirs assez mineurs. En tout, mes squellettes possédaient une masse d'arme, deux coutelas et une épée courte. le squellette de mage semblaient posséder des pouvoirs limités, le sort boule de feu mineure en faisait tout de même partit. Mais le plus étonnant était de voir que seul deux de ces squellettes étaient des squellettes humains, tout les autres étant nains.
Mes squellettes n'étant pas particulièrement discrets, je n'entendit pas le bruit venir de derrière...

Je m'approchais furtivement de l'homme de taille moyenne devant moi. Il était entouré de squelettes, certainement un nécromancien. Sans m'inquièter d'eux, je pris par les cheveux et tira la tête de l'homme en arrière, le bloqua dans ses mouvement et pointa mon épée sur sa gorge. Ayant l'habitude de ce genre de position, je le bloquais exactement de manière à ce qu'il ne bouge pas, malgré ma petite taille.*

" Surtout n'ordonne aucun mouvement à tes sous-fifres ou ma lame te passera dans la gorge...Réponds à mes questions. Où sommes-nous? Quel est ton nom? Que fais-tu ici? "

Je lui tirai un peu plus la tête en arrière. Il devait déjà savoir que j'étais une jeune-femme d'après ma voix, et déjà réfléchir à un moyen de s'en sortir. J'entendais presque les rouages de son cerveau.

"Réponds-moi vite. Je n'hésiterai pas à te tuer..."

Encore sous le choc, je tentais néanmoins de répondre calmement

Les menaces ne changeront rien, je ne suis pas de ce genre d'homme que l'on peut menacer de mort.

Je pensais l'avoir décontenancé avec cette phrase, mais elle semblait ne pas être atteinte. Je poursuivit :

Tes questions ne sont de toute manière pas ennuyante car je ne peut répondre a aucune a part mon nom... Je me nomme Darksilmar. Je suis nécromancien de profession, mais je ne sais pas ou nous sommes et encore moins pourquoi je suis sous cette lame... Retire la et nous ferons route ensemble...

La perspective d'accompagner un necromancien semblait la repousser, mais j'était habituer a cela. Je lui demandais alors, pendant qu'elle réfléchissait, mettant toute ma ruse a l'oeuvre, si elle avait peur. Elle retira la lame de ma gorge instantanément, mue par quelque code de l'honneur qui lui disait d'accepter n'importe quel défi.
Je lui dit alors, l'apercevant pour la première fois :

Pourrais-je connaitre votre nom jeune femme ?

Artanis avait entendu des voix. Du combat, peut-être ? Quoi qu'il en soit, il se plaqua au mur par réflexe et avança prudemment en direction des voix, oubliant le tombeau. La scène qu'il découvrit en entrant dans une nouvelle salle occupée par les deux personnes n'avait rien à envier à d'autres scènes de menaces qu'il avait vu -ou fait-. Sa voix retentit dans la pénombre :
Bah vas-y, tue-le, et puis ensuite on se partage le butin, d'accord ?
Sa voix, presque un souffle de vent, glaciale et sans pitié dans la pénombre fit le plus bel effet sur les deux protagonistes : ils firent en coeur :
Qui est-ce ?
Artanis passa la question et continua de plus belle :
Si tu cherches à sortir je connais mille moyens de le torturer... Même lui, un nécromancien, devra céder.
Alors que ledit nécromancien commençait à sentir sa sueur perler sur son, front sous la pression de la lame sur sa gorge, de plus en plus pressante, Eighir hésita...

Le nécromancien représentait une menace moindre face à cet arrivant. Ses paroles étaient destinées à mettre le doute. Je m'occuperait de l'autre rusé plus tard. La lame pointée vers l'arrivant, je parlai d'une voix haute et nette.

"J'ignore qui tu es, l'inconnu, ni quels sont tes buts. Ne me parle pas des manières de tuer comme s'il s'agissait d'un catalogue des plus hauts crus de l'assassina. "

Je jetai un coup d'oeil glacial au nécromancien "bouge surnoisement et ma lame te trouvera" puis reportai son regard sur l'inconnu.

" Et bien, qu'attends-tu pour t'avancer? Moi, Eighir, je t'attends de pied ferme. Un être me parlant de tuer aussi facilement ne peut qu'être interessant - et dangereux-. Au moins autant que le nécromancien que voilà. Allons approche-toi. Jeveux vous avoir dans mon champs de vision (et d'épée...) pour discuter avec calme."

L'inconnu s'avança à pas silencieux et lent, pour se mettre à distance respectable. Cela me suffit pour l'instant. Je les fixais tour à tour de mes yeux argentés, la lame pointée au sol. Nulle peur n'étreignait mon coeur. Je voulais juste comprendre ce qu'il m'arrivait.

"Tout d'abord, mon prénom est Eighir. J'ignore comment mais je me suis retrouvée ici, dans cette crypte. Tu m'as parlé de faire la route, Darksilmar. Toi aussi tu cherches un moyen de sortir, n'est-ce pas? Vous devez être aussi perdu que moi. Savez vous où nous nous trouvons? Et toi l'inconnu, quel est ton nom?"

Enchanté, Eighir. Mon nom est Artanis... Je ne cherche qu'à sortir de ce sympathique endroit avec, accessoirement, les poches pleines. Mais peut-être pourrais-tu finir ta victime et parler d'autant plus tranquillement avec moi. Mais... je suis sûr que nous ferions mieux de garder cet homme car il doit savoir quelque chose : un mec qui réveille les squelettes de ce monde pour tuer les intrus ne peut être qu'une menace pour ceux qui tentent de sortir. Et, puisqu'il est une menace, il doit aussi être un envoyé du futur ex-seigneur du coin, donc il connait le chemin de la sortie... Logique, non ? Maintenant si, au moins, tu pointais ton arme vers lui plutôt que vers moi, je ne te suis pas hostile...

Je le fixai plus encore.

"Je ne pointe mon épée vers personne. Et lui je compte le garder en vie. Quant à ta logique, je ne la suis pas. Un type qui éveille les morts pour se garder des intrus est un type qui tient à sa peau. Je pense qu'il en est de même pour toi. Il est donc profitable de rester tous les trois en vie. En revanche, avec deux rusés comme vous, je pense pouvoir en apprendre un peu plus. Toi qui dit vouloir te remplir les poches, tu dois explorer suffisamment le coin pour savoir les bon scoinsnon? Tu dois avoir un certaine carte mentale en tête?

Je réfléchissais à topute vitesse. Je ne voulais laisser aucune prise sur mon psychisme à l'un comme à l'autre. Il me fallait garder la tête froide pour réfléchir vite et user de mes reflexes. Puisque ici nous devons survivre, j'ignore à qui je dois faire confiance...

Voyons... Je viens d'arriver ! Quant à tenir à ma peau... Bon bref, je tiens surtout à ne pas mourir ici.
Artanis s'assit et fit un geste à Eighir, l'invitant à s'assoir en face d'elle, à bonne distance.
Je n'ai pas confiance dans les nécromanciens de métier. Ils sont fourbes. Mais moi, je pense que tu peux me faire confiance, me connaissant.

L'homme avait raison, je le savais. Il s'agissait d'un nécromancie, accro à son art. Je m'assi face à Artanis, très droite. Darsilma, toujours droit et stoïque, lorgnait d'un regard gourmand les tombes qu'on pouvait entre-appercevoir. Je me tournai vers Artanis, et me permis un léger sourire.

"Je pense que je ne ferai presque jamais confiance à personne, ou presque. Disons que tes attentions me paraissent saines. "

Et je le pensais sincérement. La confiance était une notion presque inexistance. Un être humain pouvait devenir votre adversaire en si peu de temps.

Maintenant, Darksilma, explique-moi ce qui pourrait te pousser à faire route avec moi- nous maintenant."

[HRP]Tu commences à fatiguer, toi, tu écris de plus en plus mal... Bon au fait si tu es allée voir la fiche d'Artanis sur mon blog à deux balles tu as vu à quoi il ressemblait à peu près, sauf que il n'a pas d'armes apparentes, tous ses vêtements sont noirs et tu ne peux voir de son visage que ses yeux car ils brillent dans le noir. Voilà c'est à peu près tout ![/HRP]
Artanis rit intérieurement, carra ses épaules fines et regarda Eighir dans les yeux en attendant que Dark Silmar prenne la parole.

[HRP]en attendant que Dark Silmar prenne la parole. Oui ben sa va un ! moi je reste pas collé dessus pendant 2 heures d'affilé ! lol et j'ai battu mon record du message ecris le plus tard ! (ou plutôt le plus tot... lol)[/HRP]

Les laissant travailler sur mon sort, mes squellettes, m'avaient entourer pour me protéger en cas de besoin. Lorsque la discution pris fin et que j'eu le droit a la parole, je déclarais d'une voix calme et mesurée :

Je vois que je vous importune, alors je peut tout aussi bien partir... Après tout, je ne suis pas un solitaire mais mes squellettes me tiennent compagnie. Mais, si j'était vous, je ferais attention a ce type ma ptit dame, il a vraiment l'air de vouloir rester avec vous et je trouverais plutôt sa louche, d'autant plus qu'il cherche a m'exclure...

Artanis me coupa presque :

Ne l'écoute pas Eighir, ses paroles crachent du venin, allons ensemble et sortons de cet endroit...

Je reprit, utilisant un don que m'avait enseigner mon père pour accroitre son éloquence :

Trève de bavardage !

L'auditoire cessa toute discution et leurs sens s'orientairent instantanément vers moi

Très bien... Tout peut très bien se passer si nous restons ensembles, de plus, nous serons plus puissants je vous propose de partir maintenant pour trouver au plus vite une sortie. Personnelelement, cela fait près d'une demi journée que je suis arrivé et une journée que je n'ai pas manger, même si le noir permanant nous empêche de faire toute mesures précise du temps écoulé.... Mes squellettes sont peut être moches et parraissent agressif mais jamais, je dit bien jamais, ils ne lèveront la mains sur vous si vous ne levez pas la votre sur moi.
Merci de m'avoir écouter. Décidez maintenant.

Ils se regardèrent brièvement, une lueur de défi brillant dans les yeux des deux adversaires, puis artanis parla :

Très bien, nous t'acceptons, en tout cas, "je" t'accepte, mais gare au coup fourrés...

[i]S'est ainsi que l'on parti, tout trois, écumant la crypte, durant un bref moment, tous plus méfiants les uns que les autres et lorsque vnt le moment de dormir, artanis se proposa de prendre le premier quart. Mais Eighir n'avait pas l'air d'avoir envie de se faire trancher la tête durant son sommeil...

[HRP] Peut-être que nous on passe deux heures devant notre odrinateur, mais on n'écrit pas à des heures indues, nous ! ^^ [/HRP]
Voyons... Je n'oserais pas tuer votre gente compagnie... Toutefois je conseille à notre ami nécromancien de garder sa personne hors de mon chemin !
Eighir hésitait encore face aux paroles d'Artanis. Elle scruta ses deux compagnons tour à tour, puis décréta :
Ecoutez : Si nous ne nous faisons pas confiance, nous ne pourrons jamais avancer, c'est bien compris ?
Et à Artanis de répondre :
Mais j'ai confiance en toi, mais pas en ce saleté de bouffeur de morts. Eighir, tu devras à un moment ou à un autre faire confiance à l'un d'entre nous, tu ne pourras pas éternellement ne pas faire confiance à quiconque. Je ne peux te forcer mais fais bien tes choix...

C'est entendu, je m'exile, je trouverasi la sortie seul... je n'ai pas besoin de deux galopins dans mes pattes pour me ralentir, vous êtes pire que des gosses ! Vous voyez très bien que nous sommes dans de sales draps, mais vous restez sur vos aprioris me concernant, vous avz peur l'un de l'autre... Moi je me casses, nous ferions mieux de travailler en solo.. enfin, pour vous s'est moins sur, moi, mes squellettes peuvent monter la garde pendant que je dors, mais pour vous, ce sera plus complexe... je ne vous donne pas 3 jours de survie en faisant des moitiées de nuit. Maintenant vous voici face a un dilem, je vois très bien l'expression d'horreur d'Eighir en pensant a ce qui va se passer si je m'en vais... nous somes trois et ce n'est toujours pas assez, vous voulez en plus que l'on se sépare ?

Eighir renchérit :

Il a surement raison, tout seul nous aurons moins de chance que tout trois réunis, malgré tout, je ne peut faire confiance a quiquonque, s'est dans mon caractère ! Je suis bloquée. Je crois que s'est moi qui vais m'exilée...
Non s'est impossible, le doute s'empare de moi, ceci ne m'était jamais arriver...

Artanis la coupa :

Je pense que si je te met au défi de passer une nuit avec nous, tu vas refuser... la peur probablement...

Eighir, indignée et le doute s'étant emparé d'elle, balbutia :

Non, s'est impossible... je... non... qu'est ce que...

Durant son hésitation, Artanis s'était glissé derrière et venait de la piquer avec un petit dard dans le dos. Je n'avais rien dit, même si j'avais vu faire, ce n'est pas mon problème...

"Mais... c'est pas vrai.... "

Je me retournai si rapidement qu'Artanis n'eut le temps de réagir. Je lui choppais le poignet, le remontant près de son visage, en le tordant légèrement.

"Ne réessaie plus jamais ça..."

Puis je regardai le nécromancien, en surveillant du coin de l'oeil Artanis, toujours immobilisé. S'il bougeait, je n'aurais besoin de faire aucun mouvement pour lui casser le poignet.

"Passer une nuit avec vous... Et pourquoi pas. Je répète désespéremment que nous serions mieux à trois. Enfin. Je suis désolée, Darsilma, si tu as pris ombrage de notre discours."

Je marquais une pause. Je relachai l'homme à capiuche.

"Maintenant, nous devrions penser à notre survie, non?"

J'étais assez gênée de la tournure des évements, tournure que j'avais d'ailleurs moi-même donnée.

[HRP: J'ai édité mon ancien post. Et pas grave pour le post croisé ça arrive. Je préfère qu'on soit plusieurs pour un rp ^^.]

"Et bien... Pour l'instant, je suis en forme, je suis arrivée il n'y a pas longtemps. Alors si vous voulez dormir. Peut-être que vous avez déjà pas mal combattu ou quoi."

Je souris. J'étais sincère, je n'avais paspeur de dormir en leur présence, mais peut-être que eux avaient déjà progresser beaucoup et que la fatigue les avaient peut-être étreind. Je leur souris à demi, et posa mon épée sur le sol devant moi, bien à plat. Seulement on la regardait avec tellement de suspicion...

"Non je n'ai pas peur! Et puis zut, montez la garde si vous le voulez, moi je dodote."

[HRP]L'héroine qui pète un cêble mdr ^^[/HRP]

Artanis et moi même priment conscience du comique de la chose : une jeune femme, en train de ronfler alors que nous deux étions debout en train de la regarder... Pour la première fois, nous nous sommes sourit.
Je lui fit un geste de la tête, commanda a 3 de mes squellettes de rester la pour la surveiller, et nous allâmes marcher discrètement.

Lors de notre petite ballade, je lui exposait les point fort de mon métier, je lui expliquait les pourquoi et les comment, certains secrets concernant les squellette et l'art de les déterrer. Il ne me fut pas facile de le convaincre, car il était tout d'abord réticent et même mes explications les plus simple et véridique le laissait de marbre. S'est lorsqu'il a vu le lien que j'avait avec mes squellettes qu'il comprit pourquoi être nécromancien est intéressant. Je les chérissait. Je lui est donc ensuite expliquer ce qu'il voulait savoir, ce qui se passe souvent lorsque l'on meurt, pourquoi cela ne me faisait pas peur... après de fort nombreuses expliquations, il admit enfin être mon compagnon de route et commença son récit. Ainsi, nous fimes plus ample connaissance.

Lorsque l'on revint au camps, Eighir dormait toujours et nous fîmes de même, attendant une aube qui ne viendrait jamais.

[HRP]Il me semble qu'un message a disparu entre temps, non ?[/HRP]
Oh, tu sais je viens à peine d'arriver, alors je n'ai même pas eu le temps de combattre. Je peux aussi bien veiller sur toi que toi sur moi... Au fait, si on faisait un feu, ce serait mieux, non ?
Dark Silmar coupa d'un ton tranchant :
Pour attirer les ennemis ? Non merci ! Non mais tu as vu ça, Eighir, il cherche à nous faire repérer. C'est lui qui est à la solde de ce mystérieux ennemi, hein ? Avoue, Artanis ! C'est pour ça que tu voulais que je m'en aille : je représente une menace potentielle pour ton maitre ?
Et à Artanis de répondre d'un ton guoguenard :
Tu représente plus un danger pour l'intelligence planétaire que pour un prétendu ennemi dont nous ignorons l'existence et...
Eighir l'interrompit :
Mais arrêtez de vous enflammer pour un rien, mince, à la fin ! On va finir par attirer les...
C'es alors qu'un grognement sourd se fit entendre des profondeurs de la caverne. Tous sortirent leurs armes, et Artanis ne trouva rien d'autre à dire d'un ton sardonique que :
Ca y'est, avec vos jérémiades, vous venez de réveiller un horrible monstre... Il soupira. Non mais sans blague, on se croirait dans un livre : toujours un monstre pour couper court à toute conversation...

[HRP] Non, je ne crois pas.[/HRP]

Ces grognements était bien entendu les grognement d'une bande de mort vivant, nous ne manquerions pas d'en rencontrer dans cette crypte infernale... Mes squellettes se jetèrent dans la mêlée, Artanis fusa , en décapitant deux, Eighir, en pleine synchronisation avec Artanis, tranchait, découpait, tailladait. Mais moi, je restais assi, regardant la beautée du combat; Ces morts vivants étaient d'une nulitée effroyable. Très lents pour commencer, ne possédant pour seul arme que leurs dents et leurs ongles, il ne touchèrent personne qu'ils étaient déjà morts. artanis rengaina, faisant la même reflexion que moi, mais a voix haute :

Trop facile...

C'est alors qu'arriva la suite de la troupe. Les même grognement, mais cent fois plus nombreux. Artanis siffla :

Fuyons !

Je me retournais pour voir la cause du problème et j'aperçus une lueur, des torches. Je me remémorais ce qui s'était passé avec les paysans un court instant mais décida de fuir comme les autres alors que la puissance des grognements s'intensifaient. Nous courûment durant un quart d'heure, pas si vite car les zombis étaient vraiment très lents. Mais, il y a tout de même un problème : le chemin que nous empruntions depuis presque un quart d'heure menait une petite pièce avec une tombe au centre, quelques torches au mur pour éclairer la tombe et rien d'autre. C'était une impasse.

[HRP] Ouais on va faire comme dans SdA ! Sauf qu'on est que trois et qu'on est contre des morts vivants. [/HRP]
Le premier réflexe d'Artanis fut de s'approcher du sarcophage. Eighir l'arrêta alors qu'il se préparait à trouver un moyen de l'ouvrir :
Et d'un, ce n'est pas le moment. Et de deux, si il faut cette tombe est dangereuse !
Artanis ne put que répondre :
Et d'un, c'est toujours le moment de s'enrichir. Et de deux, si cette tombe est dangereuse, elle le sera toujours moins qu'un millier de morts vivants. Puis, s'adressant à Dark Silmar : Eh, le nécro, tu peux dire à tes sbires de m'aider à soulever cette dalle. Il tiqua. Mais... Si il faut ce tombeau est celui d'un grand guerrier, d'où un précieux allié aux mains de mon nouvel ami nécromancien !
Le concerné envoya ses squelettes et renchérit :
Artanis, on voit que l'animation des morts n'est pas ta tasse de thé : il me faudrait plusieurs heures pour réveiller quelqu'un de puissant, je mourrai avant...
La dalle fut vite soulevée, et Artanis soupira de déception alors que Eighir ouvrait de grands yeux, et pendant que Dark Silmar remarquait :
Ils s'approchent.
Artanis annonça :
Pas de trésor ici, juste un trou sans fond.
Eighir ne fut retenue de rire que par leur situation précaire, elle fit :
Mais, Artanis, c'est un passage secret, un moyen de sortir d'ici !
Dark Silmar s'approcha, et Artanis fit :
Bon... Je descend en premier, ensuite, à votre tour, et je propose à mister Dark de laisser ses squelettes retenir nos poursuivants et, surtout, refermer la tombe après notre passage, compris ?
Sur ce, Artanis descendit dans les profondeurs en s'appuyant aux parois de ses bras et ses jambes. Tout en descendant, il faisait des remarques :
Il s'agit d'un puit de quinze mètres de profondeur, préparez vous à être mouillés. [/i]Puis, une fois en bas : A votre tour, maintenant.
[i]Eighir descendit, puis Dark Silmar. La tombe se referma sur la pénombre et l'eau...

[HRP}J'adore ton dernier message ^^ beau RP je trouve, non je n'ai besoin de rien...[/HRP]

Il n'était pas question de laisser mes squellettes derrière, j'en laissait un pour nous couvrire, puis décendit avec les six autres. Une fois arrivé en bas, nous nous aperçumes que ce n'était pas de l'eau qui nous attendit, mais des égouts aux relents étouffants... La seconde chose que j'aperçus, fut un mouvement au bord de l'eau. Je criais :

Artanis, pousses toi !

Un serpent aquatique frappa le mur de son appendice avec une telle force que celui ci envoya des éclats tournoyer un peu partout. Eighir réagit aussitôt et commença a lacérer ce reptile de mille coups de lames, faisant du rodéo sur son corp. Mais le serpent ne se laissa pas faire, il plongea et disparu dans les profondeur des égouts de la caverne. Eighir remonta a toute vitesse sur le bord, une odeur nauséabonde s'élevant d'elle... Enfin tranquille, nous marchâmes donc, restant sur nos gardes tout de même. Un quart d'heure plus tard,a force de longer ce couloir, nous arrivâmes a une intersection. Les canneaux d'immondices se séparrèrent en quatre, et nous aperçumes quatre ponts qui enjambaient cette rivière boueuse. Un tremblement agita la urface, et le serpent repartit a la charge, il décapita un squellette et Eighir repartit sur son dos lacérant et piquant. Le serpent essaya de replonger, mais Eighir lui asséna un coup fatale qui du toucher l'un de ses centres nerveux.
Le calme retomba. Eighir, toujours plus belle, lança la dépouille du serpent sur le sol et se hissa. Elle déclara tout sourire :

Nous avons a manger maintenant !

Artanis, placide, remarqua :
Encore faut il que cette chose soit mangeable... Enfin, si tu veux essayer, Eighir, ne te gêne pas, moi j'ai ce qu'il me faut.
Sous le regard soupçonneux de ses congénères, Artanis n'en révéla pas plus. Ils découvriraient, plus tard... Eighir assura :
Nous n'avons pas le choix. C'est ça ou mourir. Si tu n'en veux pas, Artanis, eh ben... meurt, qu'est ce que tu veux que je te dises ?
Artanis ne répondit pas mais tripota nerveusement quelque chose dans sa poche. Dark Silmar lui demanda :
Qu'est ce que c'est ?
Artanis arrêta son mouvement :
Euh... Rien, rien. Ne vous inquiétez pas je me débrouillerai tout seul pour ma nourriture, vraiment. Le serpent ne me tente pas.
Il était vraiment très gêné et perdait ses moyens tout à coup. Eighir enfonça le clou :
Si tu as de la nourriture pour toi, tu sais, Artanis, tu peux la sortir. Que tu sois végétarien ne me gêne pas.
Artanis suait et dit simplement :
Non... Ce n'est pas ça, mangez, mangez, je verrais, plus tard...
Les deux autres mangèrent le serpent cru et Artanis prétendit devoir aller faire pipi pour s'éclipser un peu plus loin, où personne ne pût voir ce qu'il fit. Toutefois, peut être était il simplement aller pisser, comme il l'avait dit : les bruits d'eau de son côté appuyaient cette hypothèse.

[HRP] dit donc, ce forum dégénère ! ici on parle de pisse, dans un autre topic tu parles de viol, sur l'arène on parle de roubignolle... mais sa va pas la tête ??? looool
PS Eighir : monpersonnage s'est Darksilmar avec le R et non sans ^^[/HRP]

Bien entendu, Eighir tenait a éclaircir cette histoire. Je la laissait faire, le serpent m'allait très bien et était très nourissant, même si il aurait été un peu meilleur réchauffé. Elle partit donc, silencieuse comme un mort et une minute plus tard j'entendit un cri, suivi d'un autre, puis des rires. Ils ne se rendent pas compte de l'endroit ou l'on est pensais-je. Lorsqu'ils revinrent, je finnissais de manger. et rangeais la nourriture dans une petite boite que j'avais trouvé sur l'eau, dérivant. Mais j'avais bien pris soin de l'essuyer avec un torchon que j'avais trouver au bord de cette même eau... La vie devenait décadente.
Les deux compagnons revinrent, trempés de la tête au pied. Je leur demandais alors :

-Qu'avez vous fait ?
- Figure toi que l'on vient de tuer un rat des cavernes géant ! s'écria Eighir

Je ne comprit pas tout de suite.

-Et les rires ?
-Quoi les rires ?
-Ben, vous avez rigoler, je vous ai entendu.
-On ne rigolait pas, on criait !!! [i]répondit Artanis avec fougue.

Cette fois ci, j'était complètement a côté de la plaque. Mais Atanis m'expliqua que les murs reflétait les cris en rire, d'ailleurs, je ne perçu jamais si cette phrase était ironique ou pas...
Je leur demandais de m'attendre deux minutes, et j'allais dépecer le serpent en entier. Une fois le squellette en évidence, je prononçais les quelques mots et un squellette de plus pourrait nous suivre, sous le regard encore douteux d'Artanis. Du moins tant que l'on était dans les égouts, car dehors, le serpent était trop lent. Je pris le reste de la nourriture, ma baguette et le petit convois (7 squellettes dont un de serpent marin et les 3 humains) s'ébranla , au travers de ces égouts toujours aussi nauséabonds. Mes deux compagnons, sentaient d'ailleurs presque aussi bon que l'eau après leur bain...

Je regardai lme serpent s'élever, s'enrouler. Un ancien ennemi qui devient allié. J'étais légerment troublée. Puis nous continuâmes d'avancer: que faire d'autre.

Un crypte qui donne sur les égouts. Ca ne vous parait pas bizarre qu'il y ait des égouts non?

Je les regardais tous les deux, sans cesser de marcher.

Nous sommes surement dans une ville. Une ville naine, au vu des squellettes. Il y a donc un réseau de galleries. Nous sommes aux égouts. Peut-être pourrions-nous remonter en pleine ville.

Je soupirai car mes réfélctions furent interrompues. Trois rats géants donc l'un avec une vieille pioche coincées dans la queue.

"C'est original. Un chacun les gars?
Artanis et Darksilmar parurent acquiescer.

Je m'élançais pour frapper le rat à la pioche... qui se retourna pour utiliser l'outil comme un boulet. Je sautais avec agilité sur le côté, le titilla de mon épée, pour qu'il charge soudain.