La troisième guerre.

Ma vision était floue. La douleur était si intense que je n'Arrivais plus à me concentrer. Je respirai profondément.

- Hendrix.. De la morphine.. Dans mon sac..

Quelques larmes coula sur mes joues. Chaque respiration devenait plus difficile. Le caporal s'éxécuta et prit une dose de morphine dans le sac.

- Dans la cuisse! Allez!

La morphine commençait à faire effet. La douleur devenait plus suportable.

- Hey vieux.. Si.. Si j'y passe.. Hum.. J'ai une le.. lettre dans mon sac.. C'est *toussote* c'est pour ma fille.. Il faut la lui remmettre.

Mes paupières devenaient lourdes et je peinais à rester éveillé.

Cobb posa une main sur l'épaule du caporal Phaz. Il avait mal a la jambe mais le bandage allait tenir. Les balles sifflait de partout. La mitrailleuse de Clark crachait une plui mortelle en direction de l'ennemi. Les russes tombaient comme des mouches. Les hommes de Cobb avait eu beaucoup de chance. Aucun mort, que des blessés, mais ils avaient un doc de blesser, et ca, c'est toujours mauvais.
- Caporal, écoutez moi bien, vous devez utilisé votre couteau pour retirer la balle de son ventre, n'y aller pas trop vite, et pas trop profond. Aussitot que vous toucher la balle, effectuer une petite rotation du poignet et elle sortiras. Verser de l'eau de votre gourde ensuite et mettez un pensement. Vous en faite pas, vous en ètes parfaitement capable. Moi je vais m'occuper de ces foutu canon.
Roy se retourna et partit en courant jusqu'au premier AA. Un russes sortis de derrière le canon, juste devant Cobb. Roy lui assena un coup de cross dans le ventre. Quand ce dernier ce replia pour chercher son soufle, Cobb lui mit un autre coup sur la tampe. Un affreux craquement sonore se fit entendre et l'homme tomba raide mort sur le dos. Le coup, trop fort, lui avait démolie la tampe et briser plusieurs os a plusieurs endroits.
Cobb fit une grimace de douleur et d'écoeurement, puis prit une grenade de son gilet tactique. Il tira la goupille et mit la grenade dans le canon. Il se coucha ensuite sur le côté et une détonation se fit entendre. Le canon était brisé et maintenant innutilisable.
Plus qu'un seul. Deux russes se cachaient derrière le canon, a l'abris des tirs de Clark. Cobb épaula sa M4A1, mais au lieu d'utilisé les balles ordinaires, il mit une grenade dans le M203 attacher en dessous. Il visa puis appuya sur la détente. la grenade décrivis une petite parabole, puis alla explosé en plein entre les deux Russes. Les corps déchiqueté et plein de shrappnels volèrent d'un côté et de l'autre.
Cobb prit un sprint jusqu'au canon. En chemin il dégoupilla une autre grenade et, sans prendre le temps de s'arrêtter, enfila la grenade dans le canon et partit rejoindre Clark.
Les deux canons étaient détruit et il ne restait que 5 ou 6 Russes. Cobb se mit a leur crier de se rendre. Disant qu'il n'y avait plus aucune raison pour eux de résister. Ils sortirent tous de leur coin les mains en l'air et lachant leurs armes.
S'attendant a voir près d'une quarantaine d'homme le caporal Sowski avait fait signe au quatres derniers soldats avec lui de se rendre à l'enemi. Il attendait le détachement ennemis.
Il fut très surpris de ne voir que 8 hommes en tout. 8 hommes avait réduis a néant deux canons, une unités complète, et une espionne russes. Le tout en moins de 20 minutes.
Ca ne pouvait pas être des hommes.
Cobb regarda les 5 derniers Russes sortirent et se rendre. Un homme arborant les gallons de caporal prit un air surpris en le voyant sortire avec ses hommes.
Puis, avant même que quelqu'un n'ait eu le temps de parler, un hélicoptère arriva. Les hommes de Cobb et les blesser laisser derrières étaient à bord. Les corps de ses frères étaient aussi sur le plancher de l'hélicoptère. Un autre rester dans les airs. Transportant les prisonnier, il surveillais les alentours.
Quand le premier toucha au sol, un homme, les cheveux grisonnant et ayant les gallons d'un lieutenant Colonel descendit.
- Mon colonel! dit Cobb d'un air surpris sans prendre la peine de saluer l'officier.
- Bonjour Chef. Désolé du retard. Nous avons mit un moment a voir le double jeu de l'espionne. Quand nous nous sommes rendu conte de notre erreur, nous avons décollé sur le champ pour se faire pardonner.
- Merci mon colonel.
- De rien Sergent. Faite monté vos blesser, on a deux médecins avec nous.
- Oui mon colonel. Vous et vous, prenez Sith, il est la bas. Il est mal en point, faites attention. ajouta Cobb en pointant deux hommes dans l'élicoptèrent.
- Aller mon garçcon, on rentre. Quelqu'un vous attend à la base.
- Mon colonel?
- Ne comptez pas sur moi pour vous dire qui, vous le saurez quand vous serez au bercail.
Tout le monde monta à bords des hélicoptères et ils partirent tous pour la base. ls arrivèrent quelques 26 heures plus tard. Cobb épuiser, n'ayant toujours pas fermer l'oeil descendit en dernier de l'aéronef.
Annie regardait les hélicos prendre place au sol. Des hommes en descendirent, ils avaient l'air d'avoir traverser l'enfer. On avait peine a les reconnaitre. Annie ne reconnut seulement que Yune, Clark et Smith.
D'autres descendirent, certains portant des uniformes Russes. Des larmes commencèrent à rouler sur ses joux. Aucune trace de lui. Il y avait des sacs pour des corps. Espérons qu'il n'en fasse pas partit.
Il vit alors Annie qui pleurait. Il resta planté la à la regarder. La lumière du soleil provoquant une sorte de Halo lumineux autour du jeune homme.
Annie le vit enfin mettre un pied par terre. Il était comme entourer de lumière. Elle couru vers lui et lui sauta au coup. Elle l'embrassa puis remarqua...
Des larmes roulèrent sur les joux de Cobb quand sa petite femme l'embrassa. Il y avait si longtemps qu'il attendait se moment. Il la teint plusieurs minutes avant de s'avancer ver le Colonel. Les yeux maintenant sec mais encore rouges.
- Près pour le débriefing mon colonel. dit-il en le saluant.
- Mais vous ètes fou ou quoi. Rentrez chez vous. Tous, rentrez. Caporal Phaz, une chambre d'hotel vous attend. Le débriefing de la mission sera pour demain. Quand vous serez tous reposer. Et laver. ajouta-t-il en riant.
Cobb sourit et partit rejoindre Annie. Il la tira vers Hendrix Phaz qui aidait Smith.
- Ma chéris, je te présente la Caporal Hendrix Phaz, c'est le nouveau du groupe. Et tu connais déjà Smith. Caporal, c'est ma femme. Annie.[/i] Ajouta Cobb en sourianta Phaz, sachant que ce dernier comprendrais, que ce qu'il faisait en ce moment, était de l'inviter a rejoindre les Ghosts. La meilleur unité du monde.[i]

(C'était pas Emily ta copine Warmiles..? )

Couché sur le dos sur une civière. C'était incroyablement étrange de me retrouver à la place du monde qu'habituellement je soigne. Je saluai Cobb et sa femme au passage.

- Hendrix, je te dois la vie mon vieux.

Puis les deux médecins me transportèrent jusqu'à l'infirmerie. J'eus la surprise la plus magnifique au monde lorsque j'aperçu ma fille au travers du hublot de la salle d'opération. Elle souriait. Ce sourire qui appartenait à sa mère. C'était fou à quel point elle lui ressemblait. L'opération fut de courte durée, ils retirèrent la balle de mon estomac puis pansèrent le tout.

Je me suis réveillé le lendemain matin, dispo pour le débriefing. La réunion fut courte et nous fûmes invité à une remise de médaille. Nous fûmes tous médaillés de l'honneur et spécialement, Hendrix reçu le badge du courage que l'on remet très rarement. Il avait fait preuve de sang froid et d'un courage exemplaire durant la mission risquant même sa vie pour sauver celle d'un inconnu; la mienne. Nous avons honoré la mémoire de Blithe et Taylor. Triste cérémonie.

Mais pour terminer, nous en sortîmes tous victorieux et nous avons apporté grandement aux États-Unis d'Amérique.

Hendrix ne sachant pas trop quoi dire, il n'avait fait que ce que sa conscience lui avait dit et son devoir de soldat. Chaqu'un des hommes méritaient cette médaille autant que lui. S'avançant sur l'estrade de discours, la voix un peu légère et sacadée, il prit un grand souffle et commenca.

Hendrix : Eh bien... je sais pas trop quoi dire. Je suis content de m'en être tiré ainsi. Je voulais juste honorer la mémoire de tous les défunts, que ce soit de la FAE, des ghosts ou même des soldats russes qui au fond n'avait pas demandé à se mettre dans tel pétrain.
Une dernière chose, Sergent Cobb, je rejoins votre groupe avec plaisir. Un seul problème, convaincre ma femme de me rejoindre à la base !

Dans un rire général, le caporal décoré quittait l'estrade et allait regagner sa place assise.

La cérémonie d'hommage aux ghosts fut émouvante et ce meme si Hendrix n'avait pas connu ces hommes. Mais sa présence fut écourté par un appel privé.

Hendrix : Mon colonel je vous écoute.

Colonel : En vie ! Ahah ! Quel veinard. Mais trève de plaisanterie. On a besoin de vous ici Caporal.

Hendrix : Impossible mon colonel. Je démissionne ! M'envoyer avec un détachement de bleu dans un endroit aussi chaud, c'était du sucide pour ces pauvres gosses. Ils sont morts à présent. La prochaine fois, envoyé mes hommes mais bon, c'est trop tard... *clac*

Il reprit son téléphone et composa un autre numéro.

Hendrix : Allo ! Hem Allac ?

Allac : Ouais vieux ! Comment tu vas ?

Hendrix : Super ! Dis, j'ai un peut-être un post pour toi dans un groupe, un vrai ! Et, si tu pouvais venir avec Stef, j'aimerais lui faire la surprise.

Allac : Ahah ! Génial ! Je prends le premier vol ! A plus.
...

Cobb venait tout juste de se réveiller. Il était heureux. Ses blessures ne le faisaient presque plus souffrir, et il était avec ca femme. Annie dormais toujours à côter de lui. Ce qu'elle pouvait être belle. C'est long cheveux noir suivait les courbes de son corps comme une coulé d'ébène. C'est magnifique yeux bleus étaient fermé et attendait que les lueurs du soleil vienne doucement carsser son visage. Elle n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Cobb
Il se leva et enfila une toute nouvelle battle dress après s'être lavé. Il partit alors vers l'hotel ou logeais le caporal Hendrix Phaz. Le petit nouveau du groupe. Apparement sa femme allait arriver bientôt.
Il prit sa voiture et commença le trajet d'une demi heure le séparant de l'hotel. Le soleil n'était pas encore tout fait levé et couvrait l'horizon de tont orange.
Il arriva a l'hotel vers 6h30. Il descendit de sa voiture et alla voir le préposer.
- Bonjour Sergent. Comment pui-je vous aidé? s'enquit le préposé.
- Premièrementm c'est Sergent Première classe dit-il en mettant de l'emphase sur les dernier mots. Et deuxièmement, pourriez vous m'indiquer la chambre de monsieur Hendrix Phaz?
- Bien sur monsieur. Je suis désolé. Monsieur Phaz est dans la chambre 402. Dois-je le prévenir de votre arriver?
- Non. Je vous remercie.
Roy se dirigea vers les escaliers et commença l'ascension de quatre étage. Arriver en haut, il ouvrit la porte et prit a droite. Il passa 408, 406 puis 402.
Il toqua légèrement a la porte.
- Caporal! C'est le sergent Cobb. Vous-ètes là?
Puis il attendit.

Hendrix était affalé dans un fauteuil de cuir bordeaux. Un verre à la main, il décompressait comme il pouvait ces derniers jours. Il voulu allumer le poste de télévision plutôt ancien mais fonctionnel visiblement. Il se leva, mais au même moment, on frappa à la porte.

Cobb : Caporal! C'est le sergent Cobb. Vous-ètes là?

Hendrix : Oui ! J'arrive.

Trainant des pieds, il parcourut la distance jusqu'à la porte avec une lassitude sans pareil, las de vivre autant de stress, de voir autant de mort. Mais il aimait par dessus tout son travail. Et n'arreterait sous aucuns pretexte.
Il ouvrit la porte qui fit appraitre le Sergent

Hendrix : C'est à quel sujet ?

Le sergent recula d'étonement en voyant apparaitre le jeune caporal dans le cadre de la porte. Ce dernier ne portait pas de tenu de combat et Cobb ne l'avait jamais vus ainsi.
- J'aimerais discuté un peu avec vous. Je peut? dit -il en faisant signe de la main qu'il voulait entrer.
Le caporal Phaz le laissa entré et il continua.
- J'ai entendu dire que votre femme arrivais bientôt. Si jamais vous voulez une ''escorte'' pour aller la chercher. Je me ferai volontier un plaisir de vous amené a l'aéroport. M'enfin. Je voulais vous invité. Ma femme et moi organisons un petit barbecue ce week end. Et nous aimerions beaucoup que vous soyez présent. Quelques amis et les membres de l'escouade seront là. Étant donné que maintenant vous ètes un ami, et qui plus est, un membre de l'escouade, vous ètes le bienvenue.
Cobb s'installa dans un fauteil et se versa un vers de scotch a partir du mini bar de la chambre.
- Je vous rembourserai pour ce petit plus.
Il attendit alors la réponse du jeune homme.

Hendrix, tout en écoutant le sergent, le fit entrer dans l'appart, mettant ainsi la conversation plus à l'aise. Et c'est suite à la proposition de Cobb que le caporal réagit.

Hendrix : C'est avec grand plaisir que je me joindrais à ce barbec. Avec un temps pareil, que rever de mieux ?

Après un rire bref, il alla dans le frigo et sortit une canette de soda.

Hendrix : Oh, vous enfaites pas pour ça. Je le vous dois bien ! Et en ce qui concerne ma femme, oui elle arrive je ne sais pas encore quand exactement mais si vous y tenez, vous serez le bienvenue dans cette escorte comme vous dites.

Un nouveau rire de la part du caporal qui se sentait tout d'un coup resaisi. Il engagea alors la conversation sur une nouvelle direction.

Hendrix : J'ai à ce sujet une demande à vous faire. Voila, j'ai quitté mon groupe militaire d'europe et j'aimerais intégrer dans les ghosts un homme de mon ancien équipe. Un des meilleurs et qui a lui aussi démissioné il y a peu. Qu'en dites vous ?

Au même moment, la montre d'Hendrix sonna.

Hendrix : Vous m'escusez quelques instants, il faut que je passe un coup de fil. Servez-vous dans le frigo, il n'est pas à moi !
...
Allô hem Smith ? Alors mon gars, comment tu te sens ?

...

Roy était content que le caporal accepte de venir chez lui pour fêter un peu. Après les derniers évènements, on en avait tous besoin. Hendrix lui avait fait aussi une demande. Celle d'intégrer un autre homme de son ancienne unité. La place de phaz était assurer mais Cobb devait réfléchir a sa nouvelle proposition.
Il avait perdu beaucoup d'homme, et il devait les remplacer. Tache qu'aucun chef d'escouade ne veut exécuter, mais tache qu'il devait remplir. Sa donnait a réflexion. Il but une dernière gorgé de scotch quand le jeune caporal alla au téléphone.
Il se prit alors un bon Coca-coal et se rassit.
C'est une idé à travailler bien sur
- Caporal! Désoler de vous interrompre. Votre ami devras passer quelque test avant de pouvoir se joindre a nous. Mais il pourra tenter sa chance. Bien sur, puisque vous m'assurer qu'il est le meilleur, il sera surveiller de plus près que les autres. Sur ce je suis désolé, mais je vais aller voir Smith. J'ai entendu dire qu'il n'avait pas encore eu son congé de l'hosto et qu'il allait ce mettre en rogne. Aurevoir Caporal.
Cobb sortit de la chambre et retourna a sa voiture. Il fit alors route ver l'hopital ou était alitté Smith et ouvrit la radio. L'animateur des nouvelles dit alors.
C'est maintenant confirmé. Une troisième guerre mondial vient tout juste d'éclater. apparemant les opérations militaire sont déjà commencer pour certain p...
Roy éteignis la radio. Toujours la même chose. On se bat pour les protéger et sa les mets en rogne parceque pour ca on doit tuer. pensa ce dernier.
Il arriva a l'hopital environ 10 minutes plus tard. Le soleil était maintenant bien levé et Annie devait être debout. Il continua tout de même et alla directement a la standardiste.
- Bonjour madame. Je vient voir le caporal Smith.
- Hmmmm! Je suis désolé monsieur, mais on a pas de caporal Smith, seulement un soldat Smith.
- C'est qu'il vient tout juste d'être promus. Même lui ne le sais pas encore.
- Ah! Dans ce cas là. Il est a la chambre 201.
- Merci beaucoup mademoiselle.
Roy prit l'ascenseur et monta direct au deuxième étage. Quand la porte s'ouvrit on pouvait entendre des gens se disputé.
- Je vous dit que je suis bien et que je peut sortir. Aller vous enfin me laisser en paix et me laisser faire ce que je veut.[/b
- Mais Soldat, se sont mes ordres a moi. je ne peut vous laisser sortir avant que vous ayez obtennu votre congé.
- [b]Je me fou de ce foutu congé, je suis medecin de campagne. Je vous dit que je peut sortir.
Cobb s'approcha et appercu Smith se chamailler avec une infirmière.
- Je m'en occupe. dit-il. Smith j'ai quelque chose pour vous. L'infirmière sortit sur ce en lancant un regard noir a Roy. Moi et Annie faisons un barbecue ce week-end. Et devine quoi. Tu est invité. Ah! oui et aussi. Tient. C'est pour toi. ajouta Cobb en tendant des gallons de caporal a Smith.
Il attendit la réaction du jeune homme quand sa fille apparu.
- Tonton Roy cria-t-elle tout excité.
- Hey hey. Bonjour toi. répondit Cobb en la prenant dans ses bras. Elle lui dit alors un gros calin. Comment vas-tu petite?
- Je vais bien, mais papa, ils veulent pas le laisser sortir. C'est quand il vas sortir?
- AhAh!. La je te reconnais bien mon Smith. C'est tout coimme toi cette petite. J'espère que t'en est fière. Je suis venu règler ca ma grande. Je vient le sortir d'ici. Mais dit moi, qui ne veut pas le laisser sortir ton papa? dit Cobb a la petite avec une petite voix maline.
- Les méchant de l'hopital.
- Ah! Les vilains. Si tu est gentille. Tonton Roy vas leur parler quand il vas avoir fini avec ton papa. Est-tu contente?
- Oui!!!! Merci!!!! ajouta-t-elle en lui faisant une autre caresse. Roy la déposa par terre.
- Aller vas jouer, je doit parler avec ton papa quelque instants. La petite partit en courant. Mon dieu ce qu'elle ressemble a sa mère. Et mon dieu quelle a ton caractère mon vieux. Tu peut être fier de tas fille. Allors, ces gallons, tu les prends ou je les ramène.

J'étais assis sur mon lit, et après qeulques centaines de sonnerie pour apeller l'infirmière, elle se pointa.

- Bon vous allez me laisser sortir bordel!?! Je suis médecin et je sais ce que j'ai et ce que je dois faire compris!?!

Le téléphone sonna.

- Hendrix?? Ah! Ça fais du bien d'entendre une voix amicale vieux! Ouais j'vais bien j'm'en remets mais ces saletés d'cons de l'hosto veulent pas me laisser foutre le camp!!!

J'avais les nerfs seulement qu'à en parler! Je discutai un peu avec Phaz, une dizaine de minutes tout au plus. L'infirmière arriva à la porte puis me lança,

- Vous avez une visite.
-Justement non! J'en veux pas de foutu visite j'veux moi-même aller voir mon monde! Laisser moi sortir d'ici! Je vous dit que je suis bien et que je peut sortir. Aller vous enfin me laisser en paix et me laisser faire ce que je veut.
- Mais Soldat, ce sont mes ordres à moi. je ne peux vous laisser sortir avant que vous ayez obtenu votre congé.
- Je me fou de ce foutu congé, je suis medecin de campagne. Je vous dit que je peux sortir.

Cobb entra. Je discutai légèrement avec lui. Puis il me présenta les gallons de caporal. J'avais les yeux qui brillaient de milles feux.

- C'est un honneur monsieur. Mais s'il vous plait! Allez parler à ces enfoirés pour qu'ils me laissent sortir!

Il acquiessa puis sortit de la chambre. Ma petite Cindy entra et elle vint se coller sur moi.

- Quand est-ce qu'on s'en va papa?
- Bientôt ma princesse! Bientôt

Je lui donnai un baiser sur le front.

" ... Alors que nos craintes ne font que se confirmer, les forces ...*Fshhhh* La troisieme guerre mondial est donc déclaré opposant ainsi les ... *Fshhhh* Nous sommes en directe du manoir Kilov, où gissent des centaines de corps. Les armées russes ont oeuvré toutes la nuit pour...*Fshhh* Voyelle : o , voyelle : i...*Fshhhh*

Sur ce dernier geste, Hendrix étaignit la télévision. Tenant en main un sandwich aux oeufs. Il enfourna un énorme morceau dans sa bouche immense avant de reposer ce dernier sur l'assiète qui lui était réservée. Le téléphone sonna au même moment.

Hendrix : Oui ? Ah salut vieux ! ... Vous êtes à New York... ok ... Dans 30minutes à l'aeroport ici ? ... J'y serais !

Il raccrocha et reprit le combiné. Il composa le numéro du gsm de Cobb.

Hendrix : Allo sergent ! Oui on part pour l'aéroport. Je passe vous prendre à l'hosto. Ne bougez pas je suis là dans 5 minutes.

En chemin, il rencontra plusieurs voitures arborant des slogans anti-militarisme. Ils étaient tous contre ce conflit mais en même temps, il n'y avait pas d'autres issues possibles. Le tout était de savoir comment cela se passerait. Il alluma la radio anfin de détendre l'atmosphère.

".. nous interrompons pour un flash spécial. Une prise d'otage à lieu en ce moment à l'ambassade russe. Et pour le moment, le bilan est lourd. 10 civils abatus et 2 policiers également. Les bandits semblent être des manifestants agressifs. Ils veulent que les russes rentirent leur troupes et que ces derniers acceptent la situation. Pour le moment, l'arrivée des forces d'intervention ne devrait plus tardée. Mais il semblerait que les terroristes soient extrêmement bien organisés. Nous vous tenons au courant quand nous en serons plus."

La voiture d'Hendrix s'ârreta devant l'hopital. Il attendait le Sergent qui ne devrait plus tarder.

Après plusieurs apelles, le lieutenant-colonel Fitzpaterick avait réussi à rejoindre tous les Ghosts. Nous devions nous présenter au QG de toute urgence. Une nouvelle mission probablement. J'entrai dans la salle de briefing. Nous étions seulement trois d'arriver. Puis une vingtaine de minutes plus tard, l'escouade était rassemblée.

- Messieurs. Nous avons un problème. Nous venons de recevoir de nouvelles informations concernant la situation à l'ambassade russe. Il semblerait plutôt que des escouades de soldats russes aient transformé l'ambassade en base militaire. Nos informateurs nous racontes que les forces russes y seraient entrés après avoir prit en otage le secrétaire à la défense et son épouse. Nous avons cru d'abord à une manifestation agressive de civil. L'un des russe nous a contacté pour nous dire que si nous approchons de l'ambassade, il tue M. Mcdonnald. Il nous a aussi demandé de retirer nos forces armées déjà présente en russie. Si nous ne lui donnons pas ce qu'il veux, il les tues. Nous avons contacté par la suite les archives de la ville et nous avons reçu les plans de l'ambassade. Le lieutenant Macormick et l'escouade de la 131ième on encerclé l'ambassade. Il vous briefera sur place pour le plan d'entré. Bonne chance messieurs.

Il semblait que nous étions de nouveau apellé sur le terrain.

- Bon, il m'semble qu'on a des russes sur les bras les mecs...

Les soldats savaient quoi faire. Tous se dirigèrent à leur casier pour enfiler les tenus de combat urban. Nous prîmes tous nos armes et en rang, nous nous dirigeâmes vers le VAB 6x6 qui allait nous transporter jusqu'à l'ambassade.

Je saisi mon équipement, trousse de médoc et armes et j'entrai dans le véhicule de transport.

Un rapide course jusqu'au vanne de transport et Hendrix était en place. Il s'installa entre deux soldats et se fit signe d'attendre. Le vanne ne mit que 10 minutes à arriver sur place. Toutes sirènes allumées, on entendait toujours des détonations se faire. Le groupe sortit loin de la place chaude. Tout le monde savait ce qu'il avait à faire en débarquant. Mais le briefing devait avoir lieu sur la méthode à investir l'immeuble.

Responsable : Bonjour messieurs.. Pour le moment, nous ne savons pas exactement combien ils sont. Mais selon mes hommes, il devraient être une vingtaine, tout au plus. Mais ils sont bien armés. AK-74 pour la plupart et les autres possèdent soit des squellettes, soit des automatics bons marché.

Hendrix : Le pied quoi ! On se prend un de ces trucs, et on a peu de chance de s'en sortir... Boss on fait quoi ?

De là où était le groupe, on pouvait apercevoir une parcelle de rue face à l'ambassade. Déja la, 3 corps gisaient, inertes. Des policiers qui se sont fait surprendre par nos agresseurs.

[HRP]Sry, mes exams commencent donc j'ai vraiment pas beaucoup de temps pour moi. Je ferais un effort pour passer quand même [HRP]

Bon, nous étions arrivé sur les lieux de l'escarmouche. Les hommes étaients prêt, équipement en place, il ne manquait plus que les ordres et le plan d'action.

- M'ouais, on laissera pas ces enfoirés vivant sur notre territoire. Alors Cobb..?

HRP/ Desoler pour l'absence messieurs, c'est juste que je n'ai que très peu de temps pour moi même c'est dernier temps./HRP

Le sergent regarda la carte. Quatre point d'infiltration possibles. Le toit, la porte principal, la porte de derrière, l'entré de service, et un box de ventilation. Mais qu'un seul point d'extraction possible. La porte principale.

Roy réfléchis quelques instant. Un immeuble a quatre étages. Ce ne seras pas du gateau, et se seras long et pénible.

- Bon, écoutez messieux. On vas passer par le toit. Je préfère toujours descendre un escalier plutôt que de le monter. Plus facile de couvrir les angles. On fait deux équipes. La première avec moi, se sera, Styles, Taylor, Perritte et Smith. On est bleu. Rouge sera, Yune, Clark, Moore, Drake et Phaz. Caporal Phaz, vous ètes en charge de l'équipe rouge mon p'tit gars. On se colle au train les uns les autres, jusqu'à mon ordre contraire. L'hellico seras là dans dix minutes. Profiter bien de se repos. Après ca, ca sera pas pour les chochottes.

Cobb s'éloigna un peu du groupe et alla s'asseoir sur un banc. Il posa sa G36 entre ses jambes et réfléchis quelques instant, fixant le vide de ses yeux gris.