La troisième guerre.

J'aimerais que quelqu'un m'aide pour faire un joli petit RP a deux. Je suis pres a demarrer le RP qui se déroulerais dans notre monde d'aujourdhui.


Nom : Cobb

Prenom : Roy W.

Surnom: AWOL

Nationalité : Américain

Grade : Sergent Premiere Classe

Classe : Grenadier.

(Histoire) : Cobb a toujours voulu etre soldat. Il s'est enroler dans l'armé US a 18 ans. Il a rejoint les paratroopers de la 101ième. Il détient tout les record du champ de pratique et des compétitions des tireurs d'élites. Mais il préfère généralement se servir de son équipement de Grenadier.

Caractèristiques : Loyal, Obéissant, soldat dans l'arme, pratique et leader. Il est chef d'escouade (squad Leader)

Armes : M4A1/M203 (ACOG 4x et silencieux) Colt 1911, Baillonnette.

Equipement : 5grenade m60 a fragmentation, deux satchels, et l'équipement standar du paratroopers.

Voici l'équipe envoyé pour cette mission:
Marksman : Soldat deuxième classeYune, soldat Johnson, deuxieme classe Taylor, deuxième classeé Drake.
Grenadiers: Soldat Clark, Soldat Blithe, Sergent première classe Cobb
Médic: Caporal Smith
Machine gunner: Soldat Moore, Soldat Styles
Snipers: Caporal Sanchez, Caporal Peritte

Il faisait beau et chaud en ce dimanche 8 avril 2007. Dimanche de pâques. Roy aurait beaucoup aimer ne pas être obligé d’être sur la base. Sergent première classe a 18 ans et chef d’escouade (squad leader), Il aurait préférer aller en ville et tenter encore une fois de se trouver une jolie compagne. Mais les temps sont dur, Roy est dans l’armé et la guerre est proche, tout le monde le sais. Les dames ne veulent donc pas des soldats et encore moins des paras.
Le travail des paras consiste à être parachuter derrière les lignes ennemis, faire un maximum de dommage ou barrer la route a des renforts possibles, et tenter de revenir au bercail. Tout ça bien sur en essayent de ne pas se faire abattre. Mais les ordres étaient donnés, tout le monde à la base de toccoa sur le qui-vive au cas ou. Les bons soldats suive les ordres, et Roy est un excellent soldat.
Lors de la formation il a participer a un concours de tireur d’élites. Il a battus tout les records américains. Civil et militaire. Mais quand il est venu le temps de choisir son orientation, il a préférer devenir Grenadier. Membre des forces spéciale parachuter de la 101ième aéroporté, il a pu faire modifier son arme a sa guise. Il utilise maintenant une M4A1 équipé d’un lance grenade M203. Il a aussi installer une mire ACOG 4x, un pointeur laser et une lampe de poche. Il a aussi un silencieux qu’il traîne dans son sac. Avec ca, il est près a affronter n’importe quelle mission.
Vers la mis-journée environ. Le capitaine Persico vint trouver Roy.
- Cobb je doit vous parler.
- Oui mon capitaine, je vous écoute. Lui dit Roy en le saluant et en se plantant au garde à vous.
- Repos Sergent et suivez moi. Dit le capitaine en rendant son salut a Cobb et en l’invitant a le suivre.
- Oui mon capitaine. Répondit le sergent en suivant l’officier.
- Cobb on est dans la dèche jusqu’au cou. Plusieurs pays se sont allier contre nous. Tout les pays communiste ainsi que quelque puissance veulent notre peau. Ils nous ont déclarer la guerre ce matin dans le plus grand secret. Nous aurions besoin de vous et vos hommes pour une petite mission en terrain hostile. Vous devrez abattre un général ennemi. Laisser moi vous dire que c’est une mission facile, mais pas moins dangereuse pour autant.
- Nous sommes prêt à partir mon capitaine. Nous n’attendons que vos ordres.
- Bien, je n’en attendais pas moins de votre part. Rameuter vos hommes et sauté dans l’avion. Vous serez briefer à bord de l’appareil.
- Oui monsieur. Je part tout de suite. Cobb salua le capitaine Persico et partis chercher ses hommes.
Une fois tout le monde rassemblé avec l’équipement. Cobb et ses hommes prirent place dans le C130 Hercule mis à leur disposition. Roy alla s’installer entre le caporal Yune et le deuxième classe Johnson. Ils attendirent tous ainsi. Le moteur se mit en route et l'avion décolla. Un homme de bonne carrure et de taille asser grande vint se planter au centre de l'avion.
- Écoutez moi tous messieur, commenca-t-il en criant pour se faire entendre par dessus le bruit intense des moteurs, vous serez lachez au dessus de la russie. Vous ferez marche vers le nord pendant une heure. Vous arriverez a une croisé des chemins, là, vous rencontrez notre espions. Il vous en dira un peu plus long sur votre mission et vous donnera de judicieux conseil ainsi qu'une très bonne aide. Sergent premiere classe Cobb, Vous emmenerez de l'équipement suplémentaire pour lui. J'ai entendu dire qu'il était tireur d'élite alors on vous a donner une M24 avec silencieux, pour lui, ainsi qu'une tenu complete. Vous partagez le fardeau avec Taylor.
Ça y était. Les ordres étaient connu ainsi que l'objectif. Nous étions près pour une mission de plus au palmares des screamin eagles.
L'équipe était composer de 12 hommes, moi inclus. Yune, Johnson, Taylor et Drake, sont des marksman. Des hommes équipé d'armes standard et faisaint un travail standard. Clark, Blithe et moi étions les grenadiers. Smith était un medic, Moore et Styles des machine gunner, des spécialiste en arme lourde et en démolition, alors que les deux derniers, Sanchez et Peritte, étaient les tireurs d'élites de l'équipe.
Le vol à bord du hercul dura plus de 19 heures. Nous en avions profité pour nous reposer er et nous préparer. Le moment venu, la porte de queue de l'avion s'est ouverte et nous avons sauté. Une fois au sol, nous avons pris la direction du nord jusqu'à la croisé des chemin ou on attend maintenant l'arriver de l'espion.

Lorsque j'arrivai à la croisée des chemins, je vis le groupe de soldiers qui m'attendait.

Bonjour, je suis celui que vous attendez, dis-je en ajoutant le mot code. Suivez-moi à mon antre, je vais développer vos ordres.

Une fois arrivé, celui qui semblait être le chef me proposa des armes. M'y connaissant fort peu, je les acceptai de bon coeur.

Mais je te préviens, lui dis-je, étant espion, je me sers très peu d'armes à feu. Je préfère le couteau, la sarbacane, le fil étrangleur, etc. Arme discrète. A la limite, je peux même tuer à main nues. Bon, mainteant, votre mission: comme précisé par votre chef direct, vous devez tuer un général ennemi. Ce général, c'est moi qui vais vous y mener. Hélas, ce que je doute qu'on vous ai dit, c'est que cette mission tient du suicide. Seuls les plus forts en reviendront.

Je m'allumai une cigarette et laissai planer mes paroles.

-Voilà mon plan: dans deux jours, le général donne un grand bal dans sa demeure d'été. J'ai ici le plan du manoir, et des vêtements de chauffeur. Vous vous introduirez dans les voitures, grâce à certains de mes contacts. Avant d'arriver au manoir, vous devrez vous arranger pour tuer l'invité et le déshabiller. Etant donné que très peu sont connu du général personnellement, vous ne crainderez rien. N'oubliez pas vos armes. Une fois là, vous vous posterez à certain point stratégique que je vous indiquerai, et vous ferez un maximum de dégâts. Le général est facilement reconnaissable: il sera normalement le seul en uniforme. Hélas, il y énormément de garde, c'est pourquoi certain d'entre vous viendront avec moi pour les empêcher de nuire. N'hésitez surtout pas à tuer, il n'auront pas de pitié envers vous, n'en ayez pas envers eux. Ceux d'entre vous qui ressortirons vivants seront grassement payés, et les volontaires se verront attribuer une nouvelle mission. Des questions?

Le sergent premiere classe Cobb Écoutait l'espion lui faire sont briefing. Il venait de demander si il y avait des question. Le sous officier américain réfléchis un instant puis :
- Oui. Deux. Numéro 1, c'est quoi votre nom, et numéro deux, y-a-t-il une colline tout près qui donne une bonne vu sur tout le terrain du manoir?
Cobb espérait bien que l'espion comprendrais sont plan. Il voulait placé au moins un sniper sur une colline peut etre meme deux. Ils pourraient ainsi couvrir les hommes en tirant par les fenêtres et couvrir tout l'extérieur. Sinon, il pourras toujours se débrouiller autrement.

Je m'appelle Dgéms Bhont. Quant aux collines, je n'en ai vu qu'une. Mais j'aimerais autant que vous ne postiez pas trop de sniper au-dehors du manoir, car il est fort surveillé. Je vous propose ceci: laissez moi deux minutes avec un des snip's, je rentre, couvert par l'autre sur la colline, je descend quelque gardes, un des tireurs d'élite me rejoint et il couvre la salle de bal. Pendant ce temps, le médic rentre avec nous par derrière et se cache dans le bureau, en principe, il n'y aura personne. Mais dans le cas où il y aurait quelqu'un, l'un des Standards le suit et le couvre. Pas de fusillade, travail de discrétion seulement. Une fois que tout le monde sera à sa place, le sniper qui m'aura accompagné tirera le général. Panique général, les gardes se préipiteront dans la salle, et là, les marksmen tireront sur les autres hommes. Fin de discrétion: carnage, tuerie, hécatombe, descendez tout ce qui bouge. Pas d'autre question?

Ma cigarette s'éteignit. La fumée se dissipa lentement, et je regardai les hommes tour à tour, en essayant de deviner le(s)quel(s) ne rentrai(en)t pas chez lui (eux)...

Cobb réfléchissais au plan de l'espion qui disait s'appeler Bhont. C'était un bon plan bien sur, mais il présentait beaucoup de risques. Le plan demandais une approche frontale. Le tout exposerais l'unité a des risques élevé de blessures et de morts.
- Bien Bhont. Vous avez un bon plan. J'aimerais néanmoins modifier quelque point avec vous. Mon unité compte 12 hommes. Moins le tireurs nous sommes a 11. Je vais en prendre deux avec moi avant le début de l'opération pour éliminé les gardes qui patrouillent aux alentours. Mon tireurs auras ainsi une zone dégagé ou s'installer. Il seras dans un arbre mais vous devrez m'indiquer la distance de la colline. Il se pourrait que l'on doivent lui confié une arme différentes pour cela. Enfin, Nous entrerons comme vous le voulez. Mais deux hommes devrons resté derrière pour nous assurer une sortie. Il ne nous reste donc que 10 hommes, vous inclus, pour effectuer le reste du boulot. Et ne le prenez pas mal, mais si vous n'y voyez pas d'inconvéniants, je préfererais que Smith vous accompagnent. Nous sommes tous former premier soins, mais seul le médic possèdent l'équipement. Voici comment les hommes serait assignés. Smith serait avec vous. Moi je garde Clark et Sanchez. Perrite notre tireur isolé Moores et Blithe couvrirons notre fuite. Styles qui a la deuxième mitrailleuse pourrait se placer de facon a couvrir la cours en général. Quand dites vous?

Les cartes étaient jetés. Si le plan était accepté de tous, les hommes connaissaient leur travail. Ne restait plus qu'à l'effectué.

D'accord, ce me semble être un bon plan... Mais je maintiens un point: je veux un des snip's avec moi, pour descendre le général. Sinon, tout me semble parfait.

Le jour commençait à pointer son nez. Je leur prêtai des sacs de couchage et sortit dans l'aube naissante. Je tournai mon egard vers les écuries.

Ah oui, j'ai oublié de vous préciser: pour plus de discrétion, nous ne nous déplacerons pas en véhicule motorisé. Les chevaux sont derrière, nous leur passerons des bas de laine pour éviter que leurs sabots ne claquent sur le sol. J'y ai mûrement réfléchi, à moins que d'y aller à pied, c'est le seul moyen. Et si vous préférez y aller à pied, vous pouvez vous metttre en route dès maintenant.

un parachute descendit lentement du ciel pour se poser lourdement sur le sol.
un homme en sortit, il était lourdement armée.
il coura pour arriver a la hauteur du sergent et se mit aux gardes a vous et cria:

-aux ordres, Dorin tobias, sniper des forces spéciales d'élites, on m'a envoyé pour un lourd soutient et donnés des information, a vos ordres sergent...

il avait un peit sourire d'impatience aux levres qui montrait son envie de combattre aux cotées du sergent...

Un soldat venait tout juste de tombé du ciel et vint se planté devant le sergent première classe Cobb. Il le salua et se présenta.
- Bonjour soldat. dit le sergent en lui rendant son salut. Deux choses, numéro 1, repos, numéros deux, ne salué jamais sur le champ de bataille soldat. Si il y avait un tireur embusqué dans le coin je venait de me prendre une balle en pleine tromche. Bon, vous m'avez dit que vous aviez certaines informations, quelle sont elle?.
Cobb ne s'attendait pas du tout a voir un autre soldat débarquer, mais cela ne feras pas de tort.

Tobias souria a grande dents puis enleva sa main et annonca

-le général m'a demandé de vous informer d'arrivé de renforts énnemis.
votre espion n'a pas dus les voirs, ils viennent seulement d'avoir l'info.
heureusement ce ne sont que des unité d'homme aucun tanks ou autre vehicules, de la chaire fraiche.
j'attend seulement votre ordre et je fais un carnage sergent, héhé.

Hey Ho! Je suis que médecin me criais-je intérieurement. Je suis sensé entrer dans ce manoir pourri!?! En plus, je suis sensé mettre ma vie entre les mains de ce Bonth? Foutu, foutu merde!

Je ne fis qu'acquiescé aux ordres de Cobb, comme d’habitude.

Le sergent première classe Cobb regardait ces hommes tour a tour et la femme espionne. L'air était lourd, lourd de tension. Personne ne savait ce qui les attendais, un nouveau arrive sans prévenir, et en plus, on envoi des Ruskoffs patrouillé notre secteur. On est dans la mélasse.
- Bon, voila ce que l'on vas faire. Moi et Tobias, on vas s'occuper de la patrouille ennemi. Les autres, vous vous reposerez. Le temps qu'il fait noir nous seront pratiquement invisible. Tobias, mettez un silencieux sur vos armes, et ne mettez pas de lunette de vison nocturne. Vous serez trop facilement repérable. Allez tout le monde, exécution.
Roy sortis suivis du soldat Tobias. Les armes avaient toutes été équipé de silencieux et les deux jeunes hommes se dirigeais vers la route.
Cobb fit signe a Tobias de se mettre dans un arbre et d'attendre son signal pour ouvrir le feu. La patrouille ennemi arriva 10 minutes plus tard. Le sergent première classe était tapis dans un bosquet, ou on ne pouvait le voir. Lorsque toute la patrouille fut a vu et a porter de tir, Cobb réfléchis l'espèce d'une seconde. 15 hommes en patrouille, mitrailleuse lourde, faut faire vite, et sans bourdes.
Roy épaula alors sa M4 et tira un premier coups sur le russe fermant la marche, il s'éfondrra dans un léger bruit sourd. Toute la patrouille se retourna pour aller vois leur homme tombé. C'est la que les deux américains intervinrent. Ils tirèrent dans le tas.
Les russe tombaient un après l'autres. Ils n'ont jamais su ce qui leur était arriver.
- Tobias, commencer a cacher les corps, je vous envoi un homme pour vous aidé. Je doit aller parler a notre espionne de service.
Sur ce, le chef d'escouade s'en retourna au petit camp de base. Il se mouvait sans aucun bruit, se fondant dans la fôret, Cobb était devenu la fôret, il était invisible.

C’était pour ma part un bon plan; laissons monsieur le héro faire son boulot pendant que mes petites fesses se gardent bien au chaud et en sécurité au camp.

J’ai toujours voulu être dans l’armée mais pas dans cette unité d’élite! Peut-être que oui je suis l’élite des médecins mais les salauds ne m’ont donné qu’un entraînement de base. Je fais quoi si un Krustöv ou un je ne sais quoi se pointe devant moi?

J’en profitai pour sortir ma petite contrebande personnelle, du tabac ¨fort¨ comme certain l’appelle. Papier, et quelques minutes et voilà le cigare blanc était prêt. J’étais partis pour passer une bonne nuit avant ma mort assurée de demain.

Cobb entra dans la caverne sans un bruit personne ne le vit arriver. Il dit alors
- Blithe, aller sur la route Tobias vas avoir besoin de votre aide, Smith vas falloir que je vous aprle dans quelques instant, mais dabord, je doit parler a notre espionne. On a quelque mot a se dire.
Cobb pointa un doigt sur Bhont et lui fit signe d'aller au fond de la grotte, il devaient lui parler. Il devait lui dire des choses imporrtante que les hommes n'avait pas nécessairement à entendre.

Oui, sergent Cobb, je vous écoute...

Je me demandai franchement ce qu'il avait à me dire... Je m'inquiétai aussi, ce nouveau soldat ne m'inspirai pas confiance, et le fait qu'il y ait eu des renforts ne me rassurai pas plus que cela.

Cobb était maintenant au fond de la caverne. il était avec l'espionne et gardait un oeil sur ses hommes qui ne semblaient pas à l'aise.
- Écoutez ma jolie. Je ne sais pas comment ca marche dans votre pays, mais chez nous, nos espions sont au courant des mouvements de troupes ennemis. Comment ce fait -il que vous ne saviez pas qu'il y aurait des ruskoffs dans le coin. Et encore deux petites choses, numéro 1, avant que le pire ne se produisse, essayer dene pas flirter avec mes hommes s'il vous plai, je vous ai pas encore vu mais avant que quelque chose ne se produise... Mes hommes aussi en seront prévenus. Et deuxièmement, ne tenter pas d'usurper mon autorité, ici, c'est moi qui donne les ordres.
Cobb se retourna alors vers les hommes, il fit signe a smith de venir le rejoindre et lacha a haute voix par la même occasion:
- Si jamais un de vous autres messieurs tenté de faire joujou avec la jolie dame, je le flingue...
il attendit alors l'arriver de Smith.

Bon, très bien, c'était mon tour. Qu'allait me dire le sergent cette fois-ci..?

Je me levai puis me dirigeai vers lui

Je me plantai devant lui, le saluant.

- Sergent.

Je ne mets aucun sentiment dans mon travail.

"Vous vous en rendrez vite compte ptit sergent", pensais-je

Quant aux Russes, il n'était pas prévu qu'ils passent par ici, je savais qu'il y aurait des renforts, mais ils étaient censé venir par le Sud, et non par le Nor. Ils ont dû être changé d'itinéraire sans que mes contacts n'aient le temps de me prévenir.
Si vous pouviez cesser de vous énerver pour un rien, cela m'arrangerait. Vous êtes une unité d'élite, d'accord, et moi je suis espionne. Je ne suis pas d'élite, mais la discrétion est mon fort. J'ai suivi une formation de stratège et ai servi deux ans comme adjudant des forces d'élimination, la petite unité qui partait faire un tour en traître dans les autres pays pour faire un max. de tués. Les missions suicides, j'adore ça. Alors cesser de me courir sur le haricot, ou je porte plainte à mon chef pour discrémination machiste !

Je tournai les talons et partit à grand pas. Ma mission me dérangeait un peu. Surtout avec le médecin, qui était assez sympathique et était plus proche de mon caractère. Je m'assis à côté.

Dites moi, que pesnez vous de votre chef? Au fait, je ne pense pas que vous m'ayez été présenté. Une clope? dis-je en lui tendant mon paquet

Après la réplique de l'espionne Cobb resta de marbre. Ils étaient une unité d'élite oui, mais ils n'étaient invincible. Plus il y avait de patrouille, plus le danger était présent. Cobb ne voulait prendre aucune chance.
Smith se présenta devant lui etle salua. Roy lui rendit son salut et lui dit de s'asseoir.
- Écoutez doc. Vous me semblez tendu. Comme je l'ai dit plus tôt, vous n'irez pas avec l'espionne, vous serez avec moi. Mais dites moi ce qui se passe. Je n'aime pas quand mes hommes sont mal à l'aise ou qu'il me cachent quelque chose. le regard du sergent premiere classe devint plus tendre et compréhensif. Allez, qu'est-ce qui vous trame mon gars, dit le moi.
Cobb attendit la réponse de son médecin. Roy adorais ses hommes, jamais il ne voudrais se battre avec d'autre que ceux la. C'est pourquoi, quand quelque chose n'allait pas avec l'un d'eux, il voulait le savoir et il se démenait toujours pour les aidé. Il avait même déjà réglé un problème entre Sanchez et son ex-femme. Putain ce qu'il aimais ces p'tit gars.

- Et bien sergent, en fait je me sens très bien. Seulement c'est mon premier combat rapproché et je doute que mon entraînement m'est préparé à cela. Lorsque vous avez expliquer le plan je rentrai par là (il pointais sur la carte qui était déposée sur la table à côté de lui) avec l'espionne. J'étais plutôt stressé effectivement, mais rassuré vous, je ferai mon boulot comme il se doit. Je suis médecin vous savez et je veux que vous sachiez que je ferai tout pour sauver mes compagnons monsieur!

Il hocha la tête, salua le sergent puis tourna les talons.

Il alla se rasseoir à son sac de couchage et l'espionne vint le rejoindre plus tard.

Je laissai tomber un sourir sur mon visage. Je pris la cigarette puis l'alluma.

- Smith! Hum, Mike Smith. J'suis le toubib du peloton. Pour être franc, Roy est un bon soldat ça c'est sûr. J'pense que y'a juste peur parce que la mission est ''tough'' et il veut pas perdre ses hommes.. Il m'semble que demain j'suis avec vous pour entrer là d'dans.

J'étais un peu nerveux, je pris une bonne boufée puis lança sur un ton désolé.

- J'pense pas revenir chez nous un jour. J'ai pas été formé pour ça..

Roy fit un tour de la grotte des yeux puis il dit a haute voix:
- Smith, vous serez avec moi pour la mission. Le deuxième classe Blithe ira avec l'espionne. J'ai trop besoin de vous et de vos talents pour risquer de vous perdre ainsi. Messieurs, détendez vous. Dans deux jours, tout sera fini.
Ou le serais-ce vraiment. Cobb en doutait. C'était un très bon sergent et il connaissais les risque. Tous ne reviendrons pas. Il devait lui même choisir lesquels il enverraient au casse pipe, et lesquels rentrerons au bercail. Ce ne seras pas fastoche fastoche.

Le sergent Cobb avait raison, si je restais avec lui pour la mission, j'avais beaucoup plus de chance d'y survivre. Seulement un truc m'agassait et j'en fit pars au sergent.

- Monsieur, si je puis me permettre, j'approuve votre idée néamoins, si je suis posté avec Bonth, j'ai une meilleure chance de me rendre à un quelqu'onque blessé puisque son poste se situe à mi-chemin entre les couvreurs et votre groupe. C'est aujourd'hui que vous devriez me faire confiance et me laisser là.

Je savais très bien que c'était risqué mais si l'un de mes frères d'armes se faisait toucher, j'aurais un accès plus facile de là. Je proposai mon idée au sergent espérant qu'il l'accepte. À vrai dire je me foutais de me prendre une balle. L'important pour moi c'était d'être prêt si l'un d'eux se faisait touché car je savais très bien qu'ils avaient tous mit une certaine confiance en moi et mes capacités de médecin.

Cobb réfléchit au plan à la proposition de Smith. C'était une bonne idée. Mais si ils étaient prit en tenaille, le doc était foutu. Bon sang ce que le sergent pouvait détesté ce genre de situation. Si il pouvait, il irais seul, mais il en pouvait pas.
- Bon accordé doc. Mais si jamais je sens que ca ne vas pas, je veut que vous me colliez aux fesses.
Cobb avait un très fort mauvais présentiment sur cette misssion. Dabaord la patrouille, puis les hommes qui commencent a paniqué. Qu'est-ce qui clochais donc. Ce n'était pourtant pas leur première fois au combat.

Le soleil commençait à pointer son nez à l'horizon. Je savais que l'heure approchait et étrangement, je me calmais de plus en plus, comme si j'avais fais mon propre deuil déjà. Je ne sais pas pourquoi mais l'ambiance dans la grotte était tendue et je voyais la plupart des hommes seuls et en silence. C'était une étrange atmosphère et je n'aimais pas cela.

Je commençai donc à préparer mon M4A1, en fait, je le nettoyai comme on me l'avait appris. J'y installai par la suite la mire 4X que l'on m'avais donné. Ça allait probablement m'être utile, qui sais? Je vérifiai par la suite mon équipement de toubib, passement, alcool et tout le tralala. J'étais fin prêt.

Certes j'avais déjà été au combat mais ce qui me troublait, c'est que je n'ai jamais tué qui que ce soit encore. Je ne sais pas si un de ces Ruskovs se pointe devant moi, aurais-je le courage d'appuyer sur la détente? Je pris place par la suite aux côtés de l'espionne espérant qu'elle me dirait quelque chose qui m'encouragerait.

C'était une belle matiné d'avril. Les oiseaux chantaient, les arbres reprennaient de leur beauté et les nuages couvraient à peine le ciel d'un bleu éclatant. L'ambiance dans la grotte était quelque peu tendu. Les hommes se préparaient à leur manière. Rien ne pouvait troubler leur occupation... à part...

BAOUM !

Une détonnation sourde se fit entendre. Une série de tirs suivèrent. Le plus intriguant, c'est qu'à leur position, les hommes de la grotte ne virent rien. Non, hormis les bruits, rien ne bougeait. On aurait pu s'attendre à voir des feuillages se tordre, des bouts de pierre voler en éclat sous le choc d'une balle. Rien.

Ca n'est qu'à quelques centaines de mètres plus loin que tout se passait.

Caporal Hendrix : EMBUSCADE !! Mettez-vous à couvert !!

Dans une petite clairière, un détachement d'une trentaine d'hommes se déplaçaient au moment de l'attaque surprise. Les pauvres se retrouvaient à découvert face à un ennemi présent tout autour d'eux, mais invisible.

Soldat : TOUBIB ! VIIAAAAArrgh...

Hendrix : Avancez ! Avancez ! Collez-moi au cul et foncez vers les arbres.

Le Caporal voyait ses compagnons tomber l'un après l'autre au fur et à mesure qu'ils avançaient.

*Bon sang, mais ils sortent d'où ces enflures ! Une patrouille ?*

Une fois à l'abri des arbres, ce qui restait du détachement se retrouva nez à nez avec des hommes de la milice russes. Inutile de dire que ces derniers ayant l'avantage de l'effet de surprise dégommèrent tous les soldats debout. Le Sergent, légèrement à la traine, dévilla sa trajectoire et se mit à courir comme un force-né. Il courait inlassablement à une vitesse frénétique. L'adrénaline surement. C'est au bout de 5min, entendant toujours des rafales d'ak, qu'il apreçut une grotte.

*Parfait ! Je suis sauvé ! Un endroit pour m'abritter. J'y reste jusqu'à la tombée de la nuit et là, je m'arrange pour rejoindre la zone B*