La troisième guerre (suite)

7 juin 2007, 23h55.

Le sons des claxons, des moteurs de voitures et quelques autres bruits sourds règnait sur la grande et majestueuse ville de New-York. La ville ne semblait jamais dormir, toujours illuminée, achalandée par des milliers de gens. Un jeune homme, Thomas McGriffin marchait dans la rue et soudainement, il aperçut au loin une lumière aveuglante. Le sol se mit à trembler et un énorme bruit d'explosion vint réveiller la ville en entier. La dernière chose que ce jeune homme ait vu, c'est un énorme champignon dans le ciel. Il fut par la suite balayé par le cercle de flamme que libéra l'explosion.

Canal des nouvelles CTV: 01h16

- Bonjour ici James Douglas du canal CTV en direct de New York. Comme vous pouvez le voir derrière moi, les rumeurs se sont avérées véritables. Tout les états-unis vien d'être secouée par la plus grosse explosion jamais répertoriée. Il semblerait que ce soit une ogive nucléaire russe. On compte cent milles morts et le double de disparus dans les décombres. Le gouvernement américain ne laissera pas passer de tel actes et no....

Je fermai la télévision, interrompu par la sonnerie du téléphone. Je décrochai, impatient de savoir qui m'apellait. Une voix familière résonna au bout de l'appereil.

- Smith! C'est Cobb. On a tous rendez-vous au QG immédiatement, on a de quoi sur les bras et de quoi d'énorme mon gars!

Je racrochai. C'était bien vrai, la plus grande guerre que le monde n'ait connue était bel et bien déclarée. Je me levai du divan en hâte et j'allai dans ma chambre. Je ne pus vraiment compté en combien de temps j'étais sortis de chez moi mais ce fut rapide. Une vingtaine de minutes plus tard, j'oubliais de barrer mes portes en sortant en toute hâte pour rejoindre le Briefing. J'arrivai, ils étaient déjà tous là.

- Messieurs, la situation est grave. Non seulement, les russes nous ont lâché une bombe nucléaire mais ils ont commencer les assault contre leurs voisins. Les Allemands ont déjà capitaliser. Votre lieu de départ, l'Hongrie. Leur frontière est menacée et vous devez leur porter renforts. Un avion vous amenera à Vienne car les autres aéroports sont sous le contrôle des Russes. Vous serez briefé de nouveau sur place par le Lieutenant-Colonel Smolenski.

- Bon et bah.. les mecs, les ordres sont claires, on y va.

Tout était dit, nous devions porter renforts en Hongrie. Personne ne pouvait vraiment prédire ce qui allait se passer.

HRP/ Smith et Phaz sont mainteant Sergent et Cobb adjudant-Chef. /HRP

Cobb prenait un peu de bon temps avec ca femme dans la piscine quand un tremblement de terre se fit sentir. Étant très faible. Les deux amoureux continuèrent de relaxer. Puis, le téléphone sonna.
- Oui bonjour. Cobb à l'appareil.
- Rassemblé l'équipe Adjudant-chef. Rendez-vous au QG dans une heures.
- Oui mon général.

Roy embrassa sa femme et partis se changé. Il mit son battle dress et prit le combiné. Il appela les membres de l'équipe.

Depuis les derniers évènements, beaucoup de choses avait changé. Cobb avait été promu au grade d'adjudant-chef, et l'équipe avait été entièrement reconstituer. Les ghosts contait maintenant 15 membres, plus le leader, Cobb, et ses deux seconds, les sergents Mike Smith et Hendrix Phaz. Un total de 18 membres.

Tout le monde se rencontra au QG des ghosts et se firent briefer. Il décollaient dans une heures pour Vienne. Le C-130 hercules les attendaient.

Dans la salle d'armement Cobb prit la parole.
- Messieurs, nous serons en europe. Je vous conseil donc les armes de manufacture européenne telle que les Heckler Kosch. Prenait aussi des armes de calibre 5.56. C'est le standard. Ca vous seras plus facile de trouver des munitions.

Tout les hommes aquiéssèrent et ils continuèrent leur préparatif. Roy choisi une HK G36 de calibre 5.56 avec balles perforantes. Il y ajouta un silencieu ainsi qu'une lunette de visé ACOG 4X. Ils prit ensuite place dans l'avion avec les autres membres de l'équipe.

La salle de briefing était complète. Les 18 membres des ghosts étaient présent, à ceux-ci, venaient s'ajouter deux membres. Des spécialistes en demolition, d'après ce qu'on leur avait briefié. Les deux personnes en question venaient d'arriver alors que les ordres étaient tombés. Tout le monde étaient debout et préparait son packtage.

Hendrix lui était assis sur une table, automatic new generation sur ses genoux. Il effectuait son petit rituel avant chaque mission. La balle de l'assaut de l'ambassade le fesait encore un peu souffrir, mais on était loin de la douleur d'origine.

En passant devant les nouveaux, il lança un sourire amical, aucunes raisons pour que ces deux hommes soient mal accueillit par le sergent. Au contraire, plus vite ces hommes avaient confiance en leur officiers, plus vite, ils seront opérationnels. Hendrix rejoins Smith quelque instant après.

Hendrix : Alors vieux, comment va ta fille ? Je serais bien passé cette aprem chez toi, mais bon ici je t'ai en direct !

Après un rire bref, le sergent empoigna dans son casier une caisse en carton allongée. Sur les flancs étaient collés des étiquettes reprennant une dizaine de détails utiles : calibre, type,... Il ne voulait pas se défaire de son auto, même si les cartouches étaient pas du tout courant, il avait prévu le coup. Mordu de nouvelle technologie, il s'était acheté cette perle la semaine passé chez son nouveau fournisseur.

Il repassa chercher son packtage et interpella l'un des deux nouveau ayant fini sa discussion.

Hendrix : Salut a toi...Barnes ! Moi c'est le Sergent Phaz, mais appelé moi Phoenix. t'enfait pas pour l'accueil, ils pieutaient tous il y a quelques minutes. Préparez-vous, on y va.

_ Mais elle va pour le mieux l'ami!

J'étais toujours content de revoir Phaz; un gars sympathique quoi! Puis l'équipe se préparait, les hommes prennait leurs armes, munitions, grenades, vêtements, et finalement tout le monde était prêt. Cobb s'Arrêta devant les soldats puis les regarda uns à uns, semblant fier de ses ghosts.

- En route messieurs! L'hercule nous attend.

Cobb était assis dans l'avion, flanqué de ses deux sergents. Phaz était a droite et Smith a gauche. LEs Hercules avaient été désigner au départ pour le transport de marchandise. Pas de soldats. Et comme les marchandises se plaignent rarement, les ingénieurs n'ont jamais penser a insonoriser l'appareil. Le bruit faisait donc un boucan d'enfer. Il était difficile de parler. C'est pourquoi Cobb préféra passer le vol en silence.

Il regardait tout ses hommes un a un. En commençant par les deux nouveaux. Ils avaient l'air d'être de bons soldats. Voyons voir ce qu"ils valent au fronts. Malgré la tension engendré par ce conflt, et la pression que les ghost devaient enduré étant une unité d'élite mondial, tout le monde semblaient calme. Le vol se passa sans embuche, a l'exception de quelque poche d'air, et les vomissement d'un lieutenant qui devaient être affecté a une nouvelle base, qui n'avaient jamais aimer prendre l'avion.

Ils arrivèrent donc a la base aérienne de Vienne. Des humvees les attendaient déjà. Ils prirent donc tous place a bord des véhicules tout terrain et partirent pour le QG. Ils rencontrèrent enfin le lieutenant Smolenski. Un homme de taille et de corpulence moyenne. Il devait être dans la quarantaine. Il avaient les tampe grisonnante mais il conservait un certain charme.

Hendrix était en retrait, comme d'habitude quand il s'agit de parler à un supérieur. Il a toujours laissé faire le lieutnant, qui parlait sans aucuns doutes mieux et avec moins d'accou. Le sergent ne connaissant que trop peu la situation précise se contentait de regarder la discussion de lieutenant.

Hendrix : Hey Yune ! T'as pas envie de taper la carte ? C'est pas que ca à pas l'air interressant leur bazard, mais bon, passer autant de temps dans un avion pareil, ça saoule...

Yune : Trouve moi un table et des chaises et j'te sors mon précieux packet !

Hendrix : Smith et Barnes ? Une p'tite partie ? En attendant que les retrouvailles se finissent. Eh eh !

Hendrix, préferait de loin les briefing nets, précis et brefs ! Aucunes raisons de s'attarder à papoter pour ne rien dire. Il voulait emballer cette mission dite "de routine" pour récupérer fin de semaine la lunette dernier cri pour adapter à son G.M. 145V. Elle doit sortir fin de semaine, et pas question qu'elle soit out of stock.

La guerre faisait déjà rage dans le coin. À la base militaire de Bratislava, on pouvait observer des soldats Hongrois partir en toute hâte dans des véhicules de combats pendant que d'un autre côté, des soldats portant les insignes de la Croatie discutaient autours de quelques cartes. Selon nos informations, La russie et le Kazakhstan s'était unis et portaient des assault fréquents sur la frontière de l'Hongrie. Il semblait que déjà la Finlande était sous leur contrôle pendant que l'Ukraine faisait tout pour résister. Personne n'aurait pus croire qu'un jour la russie mettrait sur pied une aussi vaste armée. Les forces de la coalition étaient en train de se faire piétiner vers le sud puisque l'Iran, l'Irak et le Pakistan se serait rangés du côtés des communistes. C'était probablement la raison pour laquelle nous avions été dépêchés ici; l'Hongrie était au coeur de la bataille.

Notre partie de carte fut rapidement interrompue. Après que Cobb ait discuté avec les commandant des lieux, il revint nous voir.

- Messieurs, la situation est grave. Premièrement, l'Hongrie est presque entourés par l'ennemi; la Slovaquie, la roumanie et la Yougoslavie ont capitalisé à l'ennemi. Selon les informations que le Smolinski nous a refilé, des troupes musulmanes aurait déja prient d'assault Szeged, Debrecen et Nyiregyhaza et se dirigeraient en ce moment même vers Budapest; à leur tête, le colonel Murahad Baj'Li.

Cobb déroula une carte devant nous.


- Nous sommes présentement à Bratislava. Nous ferons route vers Budapest accompagné de deux bataillons de l'Hongrie et d'un régiment de char Croate Notre première tâche est d'aider à sécuriser la ville et s'assurer que l'évacuation à bien été complétée. Par la suite, lorsque les troupes ennemis auront atteint la ville, notre devoir est d'éliminer leur commandant ce qui devrait créé un certain déséquilibre dans leur rang. Et troisièment, nous devrons nous battre pour garder Budapest en attendant les renforts Canadiens et Américains.

Les ordres étaient claires. Je me levai, pris mon sac et mon arme et je suivis le reste des sodlats en direction des camions de transports de troupe. Je montai puis regardai la base militaire derrière moi avant d'y entrer. C'était bien vrai; ce sera la plus grande guerre que le monde ait connu.

Hendrix : Bon sang mais c'est pas vrai !!!!

Le sergent laissa un blanc avant de finir sa phrase, comme si il devait annoncer une nouvelle boulverante et qu'il ne trouvait pas les mots.

Hendrix : J'avais un full les gars ! Merde !

Drake : Fais pas le gamin phoenix ! Ramene tes fesses !

Hendrix se leva lourdement, ramassa son barda et embarqua dans le camion. Une disaine d'autres camions attendaient sur le coté également. Des sodlats hongrois chargaient munitions, matôs dans certains et d'autres soldats montaient dans d'autres. Toute une division d'infantrie Hongroise était sur le pied de guerre pour défendre la capitale. Le reste devait déja se trouver sur place.
Les ghosts prirent place dans leur camion atitré. J'avais en face de moi, le petit nouveau du groupe, Barnes, il n'avait pas encore peté un mot depuis que je l'avais vu. Enfin pas à moi en tout cas.

Hendix : Bon sang, si je pige bien, l'Hongrie et vraiment dans le merdier si on échoue ici. Elle doit déja se battre sur trois flancs, pas étonnant que les russes ont réussi à avancer aussi vite.

L'ambiance n'était spécialement tendu. Les ghosts les plus récent comme Fox ou Turk allaient agir en tant que groupe armé en territoire hostile, voir sucidaire, pour la premiere fois. Mais le stress n'était pas palpable dans l'air. Le groupe avait opté recement pour une hiérarchie plus compexe qu'à l'acoutumé. Cobb ayant été promu adjudant-chef, Smith et moi même au rang de Sergent, il fallait adapter le reste du groupe. Cobb dirgait donc tout le monde. Mais le reste avait été divisé en deux pour les répartir sous les ordres des deux sous-officiers.
Mon groupe avait été défini ainsi : Yune, Drake et LaVella comme Marksman ; Blithe comme grenadier, Turk pour toubib ; Moore et Gray comme Gunner et Fox comme sniper. Le reste était sous les ordres de Smith (Gil, Taylor, White, Clark, Styles, Peritte et Baker). Il fallait d'ailleur donné un nom au groupe, pour que par radio, on puisse sans équivoque reconnaitre de qui il s'agissait. Mais pour cela, j'attendais une idée de Smith. J'avais toujours été naze pour trouver un nom correct.

Au loin se dessinait peu à peu la ville. On venait d'aprendre que les tous les civils l'avaient quitté. Déjà à quelques kilomètres de notre rendez-vous, on pouvait distinguer de la fumée s'échappant de la ville. Quelques bombardement avaient déja du avoir lieu. Cette battaille allait être éprouvante pour les défenseur. Il fallait tenir la ville contre les vagues ennemis pendant une durée encore indéterminée.

*Et moi qui croyait que ca serait du tout cuit...Boulet va !*

Le sergent serra fort le cannon de son automatic hyper design, son sac entre
entre ses jambes lui permettait d'appuyer sa tête.

Taylor : On a les chocotes Phoenix ?

Hendrix : Ouais ! A fond ! Je pisse dans mon froque depuis tout à l'heure !!

Suite à cette phrase toute sérieuse et bien menée, il relança.

Hendrix : Patate ! Je viens de me rendre compte que mon coli suprise arrivait demain chez I.G., je serais pas là pour le réceptionner.