La troisième guerre.

S'était une très belle journé de printemps. Une journé d'avril particulièrement chaude. Heureusement, dans la grotte, l'air était plus frais. Le ciel était bleu, les oiseaux chantaient et malgré la tention, les hommes ne semblaient pas trop s'inquiéter.
Roy venait tout juste de finir de nettoyer son armes quand un combat se mit a éclater plus bas. Il regarda deux hommes. Leur fit signe. Ces deux derniers comprirent et allèrent voire ce qui se passais. Il revinrent deux minutes plus tard en disant qu'un détachement était tombé dans une embuscade. Rien de compromettant pour nous. Du moins pour l'instant pensea le sergent première classe. Ils attendirent tous puis les bruits cessairent après plusieurs dernières rafales. Un homme apparus a l'entré de la grotte. Il ne semblais pas blesser mai était armé. C'était un soldat. Tous le prirent en jou et le sergent de s'écrier.
- Halte. Nom grade et matricule. Ne fait aucun mouvements brusque on vous tient. Après avoir donné votre identité vous me dites ce que vous fouter ici et d'ou vous venez et peut être alors je deciderai de ne pas vous abbatre.
Le jeune sergent attendit la réponse de l'homme avec impatience. Après quelques instant de silence tendu, il enleva le cran de sureté de son sa M4A1 ce qui fit un clic sonore.

Le bruit d'une détonation me fit sursauté et aussitôt, je saisis mon M4A1 et je le pointai en direction de la sortie jusqu'au moment où un soldat des états-unis pénétra dans la grotte.

- Bon dieu Sergent! Il faut de suite aller aider le détachement! Ils ont surement besoin d'aide!

J'étais stressé et j'ai bondi sur mes deux pieds, et commença à prendre la direction de la sortie.

- Monsieur, il doit y avoir des blessés!

Au moment où j"arrivais pour sortir de la grotte, des balles firent éclatées de la roche tout près de ma tête. Je me jetai au sol rapidement.

- Putain de merde! Ils vous ont suivis!

Je pointai le premier Ruskovs qui apparu près de l'entrée mais mon doigt était figé sur la gachette. Par chance, le sergent le dégoma d'un tir précis à la tête.

Je restai étendu, attendant la suite des évènements

Hendrix à peine sorti d'une embrouille, rentra dans une autre. A croire qu'il aimait s'enfoncer profond dans la mélasse. Des russes à ses trousses des US devant lui. Marines ou GI's il n'en savait rien. Pour lui tous se ressemblaient. Mais une chose est sûre, si il ne parlait, il était mort.
Il respira un grand coup et répondit.

Hendrix : Caporal Phaz ! ...Hendrix Phaz. Matricule 37049612, c'est...c'est mit sur ma plaque !

Le soldat repris une grande boufée d'air avant de poursuivre. Son coeur batait plus que jamais. Ses paroles étaient assez hachurées, mais compréhensives.

Détachement des forces armées Européenne. Mon...mon groupe s'est fait prendre en tenaille par une patrouille russe. Nous étions en mission de reconnaissance. Nous avons été parachutés à 10km d'ici à l'ouest. Nous devions prendre en filature l'ambassadeur Coréen Xing-Wank qui arrive cette après midi au manoir pas loin d'ici.

Le jeune homme débitait tout son ordre de mission à une vitesse impressionantre. C'etait ca, ou il etait mort. Il était à bout de souffle après un monologue et une course pareil. C'est à peine si il eu la force de rétorqué à la remarque sur ses hommes.

Hendrix : C'est trop tard, soit ils sont mort, soit prisoniers. N'y allez pas sauf si vous tenez à vous faire descendre.

Au même moment, des balles siflèrent à l'entrée. Le Caporal s'y trouvait justement. Un soldat US courrait dans ce sens au même moment. Surpris par cette riposte, il se jetta sur le sol.

Smith a écrit:

Ils vous ont suivis !

Sur ces mots, ce qui devait être le sergent, dévia son pointeur de ma tête et fit feu sur le premier homme qui était sortit de la brousse. La balle vint siffler pas loin de mon oreille. Par réflexe, je fléchis quelque peu les jambes et arma mon automatique.

*Bon dieu ! Je veux pas me faire dégommer moi ! Je vais pas rester comme un pingouin à découvert !*

Perso, je restais calme. Les Russes avaient vraiment peu de chances d'échapper aux pièges que j'avais placés autour de l'antre. Ils se déplaçaient trop "en masse"...
BOUM ! Un de moins.

Vive les mines anti-personnel.

Les Européens avaient apparemment réussis à passer mes défenses, mais les Soviets s'y faisaient péter la gueule comme des mouches dans une toile d'araignée...

Pour votre ambassadeur, don't worry. Personne ne ressortira du manoir ce soir.... Sauf nous, ajoutais-je en voyant Cobb me regarder.

L'homme qui était entré se disait des forces spéciales européenes. Cobb prit un instant de réflexion quand un homme sortit des brousaille. les yeux du sergent regardèrent l'espace d'une milli seconde l'uniforme du soldat, un Russes. Il bougea a peine le fusil et tira. Le nouveau caporal du entendre la balle sifflé a quelque pouces de son oreille puisqu'il plia les genoux. Le Russkofs se prit la balle en pleine tête. Un tir parfait.
- Bien caporal. Je vous croit pour l'instant. Mais nou devons foutre le camp d'ici au plus vite. Il ne manquerons pas d'envoyer les renforts. On devra se parler plus tard. Je suis le Sergent Première Classe Roy Cobb des force spéciales parachuté de l'US army. Ici c'est moi qui mène. Les hommes devant vous, sauf la femme, sont mes hommes. La femme est une espionne. Je vous donnerai plus de détails une fois qu'on sera en sécurité. ALLEZ TOUT LE MONDE ON BOUGE. Armez et préparer, tenez vous bien. Sa vas chauffer. Bohnt, vous prenez la tête, c'est vous le guide. Smith et Blithe prenez les arrières.
Le jeune sergent américain étaignit le feu prit son barda et se planta sur l'entrer de la grotte. Il tenait son arme pointé a l'extérieur avec le soldat Sanchez. Il attendit que tout le monde soit prêt et que l'espionne prene les devants.
Ils devaient tous sortirent de là au plus vite. Les Russes allait envoyé des renforts très bientôt.

Le peloton s'engaga dans les hautes brousailles de la forêt. À peine étaient-ils sortient que déjà, des coups de feu résonnèrent contre les nombreux arbres.

J'entendis un cri par devant. C'était Sanchez et il venait de se prendre une balle dans l'estomac. Je pus apercevoir de ma position le sergent Cobb soulever Sanchez sur ses épaules et suivant Bohnt, les hommes se mirent à courir. Je suivais mes compagnons à la course sous le feu de l'ennemi qui me paraissait invisible. Bohnt nous mena tous à un ruisseau que l'on utilisa comme tranchée. Alors que les hommes s'occupaient à tirer vers les russes, j'allai rejoindre Sanchez qui criait sa douleur.

- Bordel de merde! Bordel de merde! J'vais mourir pas vrai Smith? J'vais mourir hein?
- Tait-toi putain et laisse moi faire mon boulot.

Je déchirai à l'aide de mon couteau l'uniforme de Sanchez pour pouvoir mieux voir la blessure. Je sorti ma gourde d'eau pour asperger l'orifice créé par la balle. Je sorti de mon sac mon ''zippo'' et fit chauffer la lame du couteau.

- Tien bon vieux! Tien bon! Ça va faire mal!

Heureusement, la balle n'avait pas pénétrée très profondément et du bout de la lame, je retirai la balle et au même moment, Sanchez hurla sa douleur. Je lui appliquai rapidement un bandages stérélisé et lui indiqua qu'il ne fallait pas qu'il bouge.

Je retournai voir par la suite le sergent Cobb.

- Monsieur, Sanchez est stable et l'hémoragie est arrêtée. Là! Il faut nous sortir de ce merdier si vous voulez qu'il s'en sorte!

Les balles sifflaient au dessus de nos têtes.

Sanchez était tombé en avant, il était blesser. Le jeune sergent le prit sur ses épaules et courru derrière l'espionne qui les conduisit tous dans un ruisseau. Les soldats se servirent du ruisseau comme tranché pour se protégé.
- Messieurs, c'est le temps de leurs montré qui nous sommes. Arroser moi ces troufions. Et vous caporal dit-il en regardant le soldat français arriver quelque minutes plu tôt. Tirer leur dessus et prouver moi que vous ètes un bon soldat, ou croyez moi, je ne laisserez pas la chance a un des ces salop vous descendre avant moi.
Sur ces mot, les armes de tous commencèrent a cracher le feu. Les balles sifflaient de toute part. ce n'était pas un beau combat a proprement parler. Ils ne savaient pas contre combien ils se battaient, comment ils étaient armé, et pire, ou ils étaient.
Puis, de feuilles bougèrent sur la droite, Cobb tira trois coups qui firent mouche, un homme cria et tomba. Pui il se tourna et vit des éclairs de coup de feu. Il tira encore trois balles. Il toucha ca cible, l'homme tomba dans un cri.
Smith vint voir le sergent.
- Monsieur, Sanchez est stable et l'hémoragie est arrêtée. Là! Il faut nous sortir de ce merdier si vous voulez qu'il s'en sorte!
Et bien le message était clair. Il fallait sortir. Les balles fusaient toujours de tout les sens. Il fallait profité du fait que les côté et le derrière étaient toujours libre et dégager pour intervenir. Les Russkofs avait fait une erreur. Ils n'avaient pas encercler l'ennemi.
- Mittrailleur, arroser moi les. Couvrez nous, les autres, on les encercles manoeuvre standard. Aller, on bouge bouge bouge. Le sergent première classe se leva et partit en courrant sur le flanc droit, Deux hommes le suivirent alors que les autres passaient par la gauche. L'enemi étaient maintenant prit en tenaille.
Les mitrailleuse des hommes de Cobb crachaient leur plui de la mort tandis que les autres tiraient les russe par les côté. Puis une balle siffla. Roy sentit une douleur lui traverser le bras. Il l'ignora et continua a tirer. Les russes tombaient un a un. Il n'en restait plus beaucoup, 3, peut être quatre au plus.
Ils tombèrent rapidement et les tirent finirent par arrêter.
Roy fit signe a ses hommes de retourné au ruisseau. Ce qu'ils firent tous.
- A part Sanchez y-à t-il des blesser? personne ne répondit.
Cobb avait le bras engourdie mais il ignora la douleur et alla voir Smith.
- Smithy, dit moi, est-ce qu'on peut le déplacer sans trop de danger. On doit bouger. Si on reste ici, on est mort. TOUS, mort.
La mission commencaient très mal. Un homme étaient touché. Trop mal en point pour continué, il fallait bouger et se tirer de ce merdier. il fallait surtout sortir Sanchez de là.

Temporairement sous les ordres du sergent Cobb, Hendrix se sentait pas très bien acceuillit. Il faut dire qu'il était arrivé sans crier garre en ammenant une patrouille avec lui.

*De toute façon, ils allaient leur tomber dessus. Au moins je les ai prevenus*

Le combat ne fesait que commencer. Nos premières balles venaient d'être tirées contre un adversaire pour le moment invisble.
Suite aux ordres du Sergent, Hendrix tira la tête et rétorqua tout bas.

Hendrix : J'suis pas français.. j'suis belge !

Les manoeuvres du Sergent permirent aux russes de se faire dégommer les uns après les autres. Hendrix contribua quelque peu au massacre avec une joie et un défoulement qu'il ne connaissait pas.

Hendrix : Crève ! Ca c'est pour Anderson ! Bande de lâches ! Montrez-vous !

Le silence revint quelques minutes après. Des corps jonchaient le sol et des centaines de douilles tapissaient la rivière qui désormais avait une tinte rougeâtre. Le Sergent s'informa de l'état de ses hommes avant de gromeler une phrase que le Caporal ne pouvait pas entendre. En se retournant, il tomba nez-à-nez avec l'espionne dans un coprs à corps très physique... étant donné qu'il lui marcha sur le pied...

Hendrix : Oh ! Sorry ! J'espère que je t'ai pas bousillé les orteilles.

Hendrix regarda la jeune femme avec un air géné et embarrassé. Il avait encore frappé fort pour son entrée.

Ce Belge commençait sérieusement à me courir sur le haricot. D'abord il amenait une patrouille de Russe à ma cache ; ensuite il amenait beaucoup (trop à mon goût) d'homme. Et maintenant il m'écrasait les panards... Je lui envoyait une giffle.

Et si tu cries, tu en as une deuxième. Maintenant, tu la fermes et tu te contentes de suivre le sergent Cobb sans jouer les héros. Ton héroïsme risque uniquement de nous faire prendre.

Bon, la giffle n'était pas nécessaire, mais au moins ca m'avait calmé... Je balançai un egrenade par dessus les haies. Ca aussi ca m'avait calmé.

On arrive.

Devant nous se dressait une grande colline. Derrière, la manoir.

Le sergent grogna dans sa barbe de trois jours. Son bras lui faisait mal. Ce n'était pas le temps de lacher. Il vu la colline désigner par l'espionne. Le manoir était supposément en arrière. il fallait faire vite. Dégager les environs et prendre positions. Mais Sanchez était en mauvais états. Il venait de perdre connaissance.
- Yune, Peritte, patrouiller moi le secteur. Les autres. Reposer vous quelque minutes. On repart dans 5. Caporal Hendrix, Vous et moi, on doit parler avant de repartir.
Roy fit signe au soldat étranger et il s'éloignèrent un peu des autres.
- Écouter moi bien mon petit. Ici, c'est moi le chef. Tous les hommes que vous voyez ici, on combattut plus d'une fois avec moi. On est plus lier que des frères ensemble. Je ne vous connait pas, mais un de mes hommes est blesser. Vous, allez prendre sa place. Vous ferez tout ce que je vous dirai de faire sans poser de questions, comme un soldat doit le faire. Si vous me prouvez que vous valez quelque choses, peut être que j'éviterai de vous atteindre d'une balle perdu. Je suis désolé, mais moi et les français. Un dernier conseil. Tenez vous a carreaux et suivez la hiérarchie. Tout devrais bien aller.
Cobb tourna le dos a l'étrangé et partit rejoindre ses hommes.
- Encore une choses, Bienvenu chez les Ghost... Quand une mission est trop dure pour les GI's, on la donne au marines, trop dure, au Delta Force, trop dure, aux seals, trop dure, au bérêts vert. Et si même ses malade ne peuvent l'accomplirent car s'est trop dure, c'est a nous de nous habiller et de partir. Bonne chance le jeune.

Au ton du Sergent, Hendrix était soucieux. Il allait sûrement se faire remonter les brettelles ou reçevoir un quelconque avertissement. Au lieu de ça, le Sergent l'obligea à rejoindre ses rangs. Il n'en avait pas vraiment le choix et le Hendrix, s'il ne voulait pas mourir, devait accepter. Cela ne l'enchantait pas des masses de devoir se retrouver sous les ordres d'un homme qu'il ne connaissait absolument pas. Mais les grades sont un systeme internationnal, il faut s'y tenir.

Hendrix : Qu'il en soit ainsi. Ne vous faites pas de bile pour moi, c'est pas moi qui vait vous poser des problèmes.

Sur ces mots, le sergent s'éloigna avant de se retourner à nouveau. Il acceuillit sa recrue de secour dans le groupe.

Hendrix : Un plaisir... Je pense que j'en aurais pour mon argent ! Et...hem au fait ! Je suis belge ! J'y tiens ! Ne me confondez pas avec ces boulets de français, pas capable de nous parachuter au bonne endroit... Rah !

Le soldat eut un frisson de dégout. Il était comme écoeuré par ces gens. Forcément, cela l'inconfortait que l'on ne le confonde avec l'un d'entre eux. Après son entretient, Hendrix verifia son bardaf. Se délaissant de tout ce qui était inutile. A présent, il se retrouvait sans son détachement et dans un groupe qui lui était inconnu. Les hommes du Sergent le regardait sans vraiment l'accuser ou le déshabiller du regard. Enfet, ils ne fesaient pas vraiment attention à lui.

*Bien, on verra comment cela va se passer.*

Le sergent était monté au sommet de la colline et se tenait debout sur une petite roche, fixant le manoir en contre-bas. Son bras droit dégoulinait de son et la douleur le travaillait. Il n'avait même pas encore prit le temps de regarder pourquoi son bras le faisait souffrir. Il pensait a Sanchez, et a ses hommes.
Ces braves jeunes gens qui allait peut être mourir dans quelques heures. Comment leur dire ce à quoi il pensais.
Le soleil couchant entourais Roy d'un halo de lumière de toute sorte de couleurs, passant de jaune a ambré dépendament de l'angle. Les hommes ne doivent pas savoir. Si ils l'apprennent, tout seras perdu. se dit-il a lui même. Puis, lui vint une idée. Il descendit la colline et alla rejoindre les hommes qui s'affairais a vérifier leurs bardas.
- Messieurs, écoutez moi tous. Vous aussi Caporal Hendrix Phaz. Dans quelques heures. Nous allons attaquer le manoir se trouvant juste de l'autre côter de la colline. Je ne vous le cacherai pas, certain ne reviendrons pas, mais n'es-ce pas pour ca que vous avez signé avec les Ghosts. Nous avons tous combattut ensemble plusieurs foix. Smithy est le moins adapté et est tracasser. Et je vous connais messieurs, vous l'ètes tous. Sachez que je le suis aussi. Je ne vous ai jamais rien demander. Et vous savez que je ne vous demanderez jamais rien. Mais aujourd'hui, je vous donne un choix. Celui de venir ou non. Pour ceux qui ne se sente pas près a affronter cette mission, qui sont nerveux ou qui on peur. Qui tienne absolument a revoir leur famille. Je vous propose de rester en arrière. Ce choix je vous l'offre. C'est a vous de le faire. Sachez que je n'en tiendrai rigueur a personne de rester derrière pour aujourd'hui. Je vous aime tous comme mes frère, et je ne veut pas vous forcer. Que ferez vous messieurs?
Tout les regards des soldats étaient plein de compassion. Tous savaient a quel point il était dur pour le Sergent Première Classe Roy W. Cobb de dire ce qu'il leur disait. Puis...
- Je vous suivrai pour botter le cul a satan en personne si vous me le demandiez sergent. Je suis avec vous. dit Yune en sortant des fourrés.
- Moi aussi. ajouta le caporal Perrite en suivant Yune.
Tout les soldats aquiéssèrent a tour de rôle. Seul les réponse de Smith et du Caporal Hendrix se faisait attendre.

- Bah.. J'suis mes frères moi!

J'avais toujours la chienne! Mais je ne pouvais certainement pas laisser mes compagnons seuls!

Tout le monde avait répondu. Le caporal sentit une boule dans le ventre. Il aurait aimé aussi une unité comme celle-ci. Au lieu de ca, il a toujours du se taper des bleus et pour effectuer des missions pour le moins épineuse. Chacun avait répondu présent sans broncher, sans hésiter, tous fiers de servire et combattre ensemble. Hendrix se sentait encore plus ridicule parmis tous ces frères d'armes. Lui, n'avait pas trop le choix, si il refusait, il se retrouvait seul. Ce qui était une idée des plus stupides. Mais surtout, il avait promis au sergent de remplacer Sanchez. Il ne pouvait pas les laisser tomber.

Hendrix : Bien sûr que je suis présent ! Je resterais pas ici alors que vous allez vous amusé !

Hendrix semblait prendre un ton plus zen et ce maldré qu'il stressait après le discours de son supérieur. Il avait l'art de tenter de détendre l'atmosphère dans les situations qui pour lui semblait pour le moins tendu ou stressé. Il fesait ce qu'il pouvait pour ne détourner un peu le danger. Sans pour autant vouloir le zapper sinon c'est la mort assuré.

Roy était fier de ses gars. Tous, même le petit nouveau, Hendrix Phaz, avait répondu qu'il viendrais. Bien sur, il n'en attendais pas moins de ses frères.
Espérons qu'ils s'en sortirons sans trop de mal pensa-t-il.
- Bien messieur je suis fier de vous. Vous tous. Nous attendrons la tombé de la nuit. En attendant, nous allons nous positioné sur le haut de la colline. Allez messieurs, au travail. Oh! Et Phaz, ne fait pas l'imbécile svp. Nous comptons sur vous. Si vous faite du bon travail, je verrai a vous faire intégrer mon unité. Mes supérieurs cherchaient justement a rendre cette unité, une unité international.
Cobb eu un petit sourire qu'il ne dissimula pas. Tout le monde le savait que tous ne reviendrais pas. Et tous le monde faisait leur boulot a la perfection, même s'il se disaient qu'il ne rentreront peut être pas.

La nuit tombait tranquillement et le ciel avait prit des teintes plus sombres. Puis le temps passait encore. J'étais accroupi aux côtés de l'espionne et nous n'Attendions plus que le signal de Cobb pour commencer l'action. Je ne pouvais vraiment le cacher mais j'avais la chienne! J'en tremblais même. Puis mon coeur explosa au moment ou nous entendîmes la voix du sergent au travers de nos ''headphones''

- On y va messieurs! Comme prévu.

L'espionne se leva puis entrepris sa marche vers le manoir. Nous devions passer par le jardin pour pénétré par la pièce arrière. Le général russe commençait son discours. Personne ne pu remarquer les silouhettes infiltrer le manoir. Puis après plusieurs minutes, nous étions tous en place, prêt à agir.

Le sergent première classe Cobb venait tout juste de donner l'ordre de prendre les positons. Ne restait plus que l'ordre de tir. Il était rester seul sur la colline et avait envoyé les autres près du manoir. Il espérait ainsi, pouvoir les protéger.
- Attendez mon signal messieurs avant de commencer a tirer. dit-il dans son micro.
Puis, il prit en jou un des gardes posté a l'entrer. La tête du malheureux apparaissait en plein centre de la visé du sergent. Il appuya doucement sur la détente, et la balle quitta le fusil. Il atteignit le garde droit dans la tête puis il s'effondra. C'est a ce moment que tout commenca. C'était le signal.

J'entend ais déjà les milliers de coups de feu résonner dans le manoir. C'était un carnage mais je ne pouvais savoir si c'était en notre faveur. Sur notre route menant à notre position, Bonht avait éliminer près de trois gardes. Je ne comprennais toujours pas ocmment on pouvait tuer sans remords... Tout semblait bien se passer jusqu'au moment ou j'entendis: Taylor a été touché! Bordel de merde! Position 4 en danger! Je répète! Taylor est touché et la position 4 est en danger!

Je tremblais. Encore plus qu'avant l'opération.

- Hey le médoc! Réveilles-toi! T'as un frère de touché va l'aider bon sang!

Le ton de l'espionne me surpris. Je me levai et sans vraiment réfléchir, M4A1 en main, je courru vers Johnson qui m'apellait. Je traversai le couloir, sous quelques tirs ennemis pour arriver finalement devant Taylor. Il avait été touchés au cou.

- Putain! Putain! Bandes de fumiers! C'est pas du jeux!

J'essayais de tout faire en même temps. Je ne voulait pas le laisser mourir ici mais je ne pouvais rien pour lui. Déjà, le sang s'était infiltrer dans ses poumons et il se noya rapidement.

- Cobb! Taylor est mort! Taylor est mort!

Cobb était toujours sur sa colline et venait d'abattre son huitième garde. C'était vraiment une position étonnante quand soudain.
- Taylor a été touché! Bordel de merde! Position 4 en danger! Je répète! Taylor est touché et la position 4 est en danger!

Il regarda son viseur et vit le doc arriver vers Taylor. Il était trop tard pour le pauvre bougre.
- Cobb! Taylor est mort! Taylor est mort!
- Bien recu doc. Continuer le combat et resté avec Johnson. Aidé le a garder la postion, je vous couvre messieurs.
Puis, il se remit a tirer et les hommes se remirent a tombé. C'était un carnage, un affreux combat. Le général devait être elinminé au plus vite avant que tout les hommes de Cobb soit mort.
- Messieurs, aussitôt le général abattut, on se retire. Cobb terminé.

Sergent Cobb a écrit:

- Messieurs, aussitôt le général abattut, on se retire. Cobb terminé.

Hendrix : Ouais ouais ! Mais il faudrait d'abord y arriver à ce fumier ! Mais dès que je l'ai dans ma ligne, il verra pas la balle arrivé !

Retrancher dans ce qui semblait être la cuisine, Hendrix était accompagné d'un machine gunner. Sur sa chemise, on lisait "Smith". Ce dernier tirait des rafales entières dans la pièce voisine.

* Ben forcément, moi aussi si j'ai les chargeurs pour je...*

Blam blam

*Un de moins, il vont nous prendre en revers si ca continue..*

Hendrix : Ok ! Smith ! Tu me couvres, je fonce vers la réserve. De là, il y a un point parfait pour se faire tous ces fils de chien.

En une enjambée, Hendrix se mit derrière Smith. Pret à sprinter sur ce qui serait sa nouvelle position.

Hendrix : Ok ! J'y vais ! Go go, arrose !

Le caporal venait de faire un démarrage parfait avec le timing. En pleine course, quand des balles vous frôlent, viennent s'écraser sur les murs, on sent le temps se figer. Vous n'avancez pas pourtant le mur en face de vous bouge bel et bien. Hendrix courrait le plus vite possible avant de se jeter dans la réserve. Choppant au passage une armoire de conserve. Il regarda dans les alentours et vit par l'autre porte le toubib accompagné de deux soldats dont il ne connaissait pas le nom.

Hendrix : Smith ! T'es pret ? Attends que j'en ai descendu 2-3. Leur position faibli !

Sortant son canon de fusil-mitrailleur par un défaut du mur, le soldat abbatit 2 russes à découvert pour lui.

Hendrix : Quand tu veux !

(HRP Smith c'est moi et c'est le toubib.. Donc je ne peux pas vraiment être avec toi.. Disons que t'étais avec Yune.. )

Les balles sifflaient au dessus de nos têtes puis je portai mon regard vers ma droite apercevant le Belge et Yune qui venaient nous porter secours.

Je les regardais tirer et puis après avoir regarder le corps de Taylor, la frustration montait en moi. Je me mis à genou puis je pointai ma mire en direction de la grande salle. Trois coups et j'avais tué mon premier homme. C'était un sentiment étrange mais je continuais tout de même à tirer sur ces fils de pute!

Puis sur notre gauche, un groupe de quatres russes se pointa, nous surprenant. Je me roulai au sol et rapidement je me cachai derrière le corps de Taylor. Je pus entendre de nombreux coups de feu.

- C'est bon Smith on les a descendu! me cria Hendrix

Sortant de ma cache, je pus apercevoir Johnson qui paniquait.

- Bordel Smith... Bordel! J'suis touché. J'pers mon sang! Putain! Fais quelque chose!
- Hendrix! Venez couvrir mes arrières on a un compagnon de touché.

Je sorti mon couteau puis je déchirai au niveau de épaule droite. Une coullée de sang sortie par la bouche de Johnson. Son poumon devait être perforé.

- Smith! Je ne pourrai couvrir plus longtemps ils sont trop nombreux à se pointer! Il faut dégagé!

- Bien! Yune vien m'aider! Il faut évacuer Johnson!

Il arriva aussitôt et m'aida à le soulever. Tout se passait si vite. C'était comme dans un film. Je ne pus distinguer la voix dans le micro mais j'eux facilement compris.

- Blithe s'est prit une grenade! Il est mort!

Les hommes se faisait avoir un a un. Cobb n'en revenais pas. Tout ca était sa faute. Il changea l apostion de son arme et prit le M203 qui était placer son son canon. Il visa une fenetre qui donnait sur la pièce ou quelques un de ses hommes se tenaient. Il tira en visant la porte d'ou venait les russes sa leur donnera du répis. 5 d'un coup.
Il regarda pui tenta de communiqué avec Smith a l'intérieur du manoir. Aucune réponse. Merde. Il se leva et coura. Il traversa un petit champ ou les deux camps échangeaient des tirs nourris. Mais quand il passa, tout le monde arrêta de tirer. Surement surpris par la témérité du sergent. Il sauta par la fenêtre en la brisant. Il atterris derrière Smith. Il prévint les soldats de l'arriver de renforts ennemis et ressortit en ourant paar la fenêtre.
Les hommes dehors durent de nouveau être surpris, car une fois de plus ils laissèrent passer. Quelle fou.

[HRP] Oups sorry [HRP]

Hendrix : Bon sang Smith ! Si on se bouge pas maintenant, on va se faire dépiecer.

Le caporal commcaient à peine à distinguer qui était qui que déjà ses éfforts se réduisaient à néant.

"Blithe est mort..."

* Bon sang, c'est le 2e et on en a un bien amoché ici !*

Le caporal était accroupi couvrant ainsi la retraite du trio. A quelques centimètres de lui, Taylor gisait. Sa ceinture interressa Hendrix. 3 grenades à fragmentations y étaient accrochés. Ils les prient sans perdre de temps, voulant ainsi ralentir la progression ennemie. Le Sergent débarqua sans crier gare, confirmant les craintes du caporal. Il fallait changer de position. Sinon c'était la mort assuré.

Hendrix : Toubib ! On bouge ! On fonce vers la position Clark et Moore. La salle de reception est plus facile pour une retraite anticipé ! Passez devant, je vous colle au cul !

Sur ces mots, Hendrix pointa son arme et tira trois coups sur un malheureux qui s'était un peu trop écarté de son abri.

Hendrix : Grenade !!!! J'espere que...

*Blam blam*
Hendrix sentit une douleur lui transperser la jambe et l'épaule droite. Au moment du lancée, il les avait un peu trop exposé. Les assaillants étaient des soldats surentrainées. Mais les russes savaient viser et ce au grand malheur du groupe. Le caporal s'éffondra dans un bruit sourd il s'en suivit une explosion mélée à des cris de douleur. Le toubib venait de passer et il était fort chargé. Il lui était impossible d'agir pour le moment.

Hendrix : Ah merde !!!! Connards de m... Blam blam... Crève !! Il faut que je bouge et vite.

Le trio de tête avançait rapidement vers une nouvelle position. Seul problème, ils avançaient trop vite. Si vite que le groupe fut séparé. Hendrix n'eut d'autre choix que de prendre un autre chemin. Les russes avaient investis la cuisine au moment ou le blessé sortait et Hendrix voulu rentrer. Se déplaçant difficillement, il se traina dans le couleur accoudé au mur. Il rentra dans la première porte qu'il vu, un bureau. Avec vue sur la cour d'entrée. De là, on voyait une dizaine de russes se précipiter à l'intérieur alors que d'autres fonçaient vers l'extérieur.
Hendrix s'assit, dos contre le bureau et face à la porte.

*Le premier qui passe sa tête, il la perd*

Nos derniers poursuivants furent finalement dégommé par les tirs de support de Clark et Moores. Nous avions réussi à sortir de ce merdier seulement, Hendriz manquait à l'appel.

- Cobb! Hendrix est resté à l'intérieur! Qu'est-ce qu'on fait?

J'attendais neveusement la réponse du Sergent.

Les pirent craintes du sergent venaient de se confirmé. 2 hommes morts, un gravement blessé, et un MIA. Il fallait aller chercher le caporal Phaz. Mais comment. Cobb connaissait certain sergent qui n'aurait jamais hésité a sacrifier la vie d'un soldat étranger, mais pas lui. Tout les hommes étaient important.
- Bien recu Doc. Je vais le chercher.
Roy resserra le garrot autour de son bras et entra dans le manoir. Il prit le premier corridor sur la droite, qui était le corridor de service. Deux russes apparurent à l'autre bout. Il se laissa glissa sur les genoux, visa rapidement et tira quatres balles. La première toucha le premier Russkofs a la tête, la seconde rata la cible et les deux dernières touchèrent le deuxième russe qui n'avait même pas eu le temps de réagir.
Le jeune homme se releva et continua sa course. Il tourna a gauche et vu la porte du bureau ou était le jeune belge. Il s'arrêtta sur le rebord de la porte et dit pour le caporal.
- Caporal, c'est moi, Sergent Cobb. Ne tirez pas. Je vient vous chercher.
Il entra dans la pièce et vit que le jeune caporal était plutôt mal en point.
- Bon dieu de merde, merci sergent.
- À plus tard les remerciement et les prièrent faut sortir de ce foutoir ou on est tous mort.
Le sergent passa un bras du caporal autour de ses épaules et aida le jeune homme a marcher. Il firent quelque tournant avant d'arriver dans la salle de balle. La salle était grande et une seul personne y était encore. Le général ennemi. La cible.
Cobb lacha Phaz et lui fit signe d'attendre. Il avanca vers le général l'arme pointé sur la cible.
- Vous savez pourquoi nous sommes la Général. N'est-ce pas?
- Oui sergent. Je m'attendais a ce que les états unis envoi un détachement. Mais les Ghost, ca c'est un honneur.
- Que voulez-vous général. Aux rangs les honneurs n'est-ce pas. Le général porta la main a l'intérieur de sa veste. Non mon Général. dit Cobb en épaulant bien son arme et en visnt la tête.
- Je ne veut seulement que fumé sergent. Le général sortit un cigar cubain de sa veste et l'alluma. En voulez-vous un sergent?
- Non merci mon général. Je ne fume pas.
- AH! J'avais oublier que vous les Américains vous ne fumiez plus. Trop mauvais pour la santé.
- En effet général. Mais pas autant qu'une balle de 5 56 entre les deux yeux.
- Ah! Enfin nous y sommes sergent. Enfin les menaces, les insultes, puis le coup de feu final et fatal. N'est-ce pas?
- Ce n'est pas oubligé de finir comme ca général.
- Et comment voudriez vous que cela se finissent sergent? Le général glissa a nouveau la main sous sa veste, il en tira cette fois un revolver. Le coup partit immédiatement et atteint le général a l'épaule. Il lacha son arme. Cobb s'approcha et envoya l'arme au loin.
- Vous savez ce qu'on dit dans mon unité mon général.
- Non sergent à vous de me le dire.
Le jeune Américains pris son colt 1911 a sa cuisse, en sortit le chargeur et prit une balle.
- La dernière est pour moi.
Il mit la balle dans le colt et donna l'arme au général.
- Pourquoi faite vous sa Sergent?
- Tuez n'a jamais été un plaisir pour moi mon général. Seulement une nécéssité. J'ai tué parceque la règle était tué ou être tué. Mais la règle a changé. Je vous laisse mon général, je doit sortir mes hommes d'ici.
Cobb baissa sa M4A1 et retourna vers le Caporal belge. Il le reprit et se dirigea vers la sortit de la pièce. Avant de disparaître il ajouta à l'intention du Général.
- Adieu Général. J'aurai été content de vous revoir.
- Adieu mon fils. Je suis fier de toi. Ne suis pas mon exemple.
Le sergent sortit de la pièce, et avant de tourné le coin du couloir une détonation se fit entendre.
Il sortit par la porte avant, les coups de feu avait cesser. Les derniers russes en vie étaient maintenant prisonniers. Les morts étaient allongé les uns aux côtés des autres.
Les trois mort de l'unité américaine étaient aligné à part. Taylor, Jonhson, et Blithe. Sanchez étaient blesser, Le belge aussi. Puis sans prévenir, un russe réussis a se saisir d'une arme et ouvrit le feu sur le sergent. la balle passa complètement en travers de l'épaule de se dernier. Au moment ou il s'éffondra, Perritte dégoma le russe avec une balle dans la tête. Les hommes saisirent toutes les armes qui restaient avant de s'en débarasser.
Le doc vint pour examiné les blessure du sergent mais celui-ci de rétorquer.
- Non Smithy, vas voir le caporal Phaz, son état est plus grave.
Sur ses mots, le sergent se releva et alla rejoindre ses hommes tombé au champs d'honneur. Sa M4 pendait dans sa main, son holster de cuisse était vide. Et des larmes commençèrent a coulé le long de ses jous.
Il essuya aussitôt ses larmes et se ressaisit.
- Styles, amène la radio. Je doit contacter le QG.
Le soldat Styles apporta la radio et tendit le combiné au sergent Cobb.
- Kilo 6-1 ici Ghost 1 me recevez vous? Over.
- Ghost 1 ici Kilo 6-1, on vous recois 5 sur 5 sergent. Donnez moi votre SITRAP. Over.
- Code 4, je répète Code 4, le général Williams est mort. Mission réussis. Je demande un medévac ASAP je répète, demande medévac ASAP, on a des blesser. Over.
- Bien reçu sergent, on vous envoi quelqu'un. Tenez le coup mon gars. Vous ètes tirer d'affaire. Over.
- Bien reçu 6-1, on attend sur place. Ghost 1, over and out.
- Messieurs, occupé vous tant bien que mal. Les hélicots ne seront pas ici avant un bon bout de temps. ajouta le sergent avant d'aller s'adosser sur un rocher. Il ferma les yeux et laissa le sommeil venir le rattraper. Il n'avait pas dormis depuis 63 heures consécutives.