Un nouveau départ vers Klendathu? (Finis)

Je vis le Tankers qui se dirigeait vers nous. Calmement je donna l’ordre.

Mordraid : Bon degomé moi ce tankers au lance rocket, resté en position les bestioles vont arriver, on doit tenir la position le plus longtemps possible, si ça deviens trop chaud on se dirige vers la grotte.

Un soldat tira sur le Tankers avec son lance rocket et fit exploser la grosse bébête. Par la suite, de nombres cris de parasite résonnaient autour de nous.

Mordraid : Ils arrivent préparez vous a vous battre.

Rapidemment, je corrigeais le colonel:

-Non colonel, feu de couverture jusqu'a l'aire d'attérissage, nous allons faire un bond.

Le colonel semblait se rapeller que j'avais émis cette possibilitée. Et reprenant vite ses esprits donna le contre-odre:

- A l'aire d'atterissage, feu de couverture jusque la !

Le colonel ouvrit le feu sur la première arachnide approchant, qui sortait d'une galerie a quatre mètre de la. Dans le feu de l'action, s'est lui qui donnait les ordres, je n'étais pas assez bon sur le champ de bataille et cette alternative nous avait mis d'accord. Je sentis mon fusil d'assaut crépiter, le recul me faisant lever le viseur, je jurais et me reculais alors que la deuxième ligne faisait feu.

Nous arrivâmes sur le site sans perte, lorsque je m'aperçus que le transporteur n'était pas la, une légère crise s'empara de moi... Mais ou est passé l'opérateur radio ? pensais-je. Je demandais a tout le monde et voyais le colonel en faire autant...
Nous étions dans une situation comique pour un spectateur, arrivé en entier a l'aire d'aterissage, sans radio, donc sans vaisseau de sauvetage, entourés d'arachnides a trois cent soixante degrés... Quel ne fut pas ma surprise de voir cinq rocher non loin s'écrouler brutalement pour laisser place a cinq magnifique tankers...
Bon, mais ou est cette radio ? Le colonel arriva et hurla pour couvrir le bruit des fusils d'assaut et des dizaines d'arachnides qui gémissaient:

- Le Soldat Pertono m'a dis que le Soldat Dupond, supposé aux communications était mort.[/i]

S'éait donc ça le grand cri...

Je ne fut pas étonné de voir Mewen se mettre a crier comme un fou lorsque les Tankers sortirent, je l'avais formé moi même et il était fou...
Je vis la première grenade sortir de son lance grenade. Mais la situation avait tout de même l'air déséspérée...

Mordraid continué a tirer, les tourelles automatique fonctionnait a merveille, mais les réserve de munition s’épuisé très vite. Il regardait le fou en qui n’allait plus avoir de pétard à faire petter. Il n’avait pas apprécié de ne pas avoir était prévenu de ce que cet homme faisait. Enfin, c’est la guerre, mais des personnes comme lui, son pour Mordraid des personnes incontrôlable et donc dangereux pour l’unité.
Mordraid se dirigea vers l’opérateur.

Mordraid : Dépêchez vous de ramener une navette, on en va pas tenir longtemps.

Les tourelles automatique s’arrêtèrent, les stock de munition étaient tous vide. Les arachnides se rapprochaient très vite.

Mordraid : Général on ne peu plus tenir cette position, on se repli sur les hauteurs, on aura une meilleur position pour survivre. Allé ON SE REPLI, GROUPE ALPHA TIRE DE COUVERTURE, GROUPE BETA REPLI.

Je n'avais pas leur endurance et trainais derrière eux, un soldat m'agrippa violemment par le bras et me fis monter plus vite, alors que la colline, qui ressemblait de près a une montagne, semblait ne jamais avoir eu de sommet.
Mais le drame arriva, je trébuchais et retombait lourdement dix mètres plus bas... A moitié assomé, j'entendis néanmoins les cris des arachnides derrière moi et les cris du colonel devant moi qui hurlait l'ordre d'aller me chercher et de tuer ces "saloperies de cafards géants". Une roquette... un bruit sourd, une explosion. Mon esprit s'éloigne de mon corp, je ne comprend plus rien à l'action, les fusils d'assaut crépitent, les parasites gémissent, je sens que l'on me soulève... encore des fusils d'asauts... encore des cris, certains humains,d'autre animal... une torche brûle devant mes yeux mi clos... Ouf c'est un parasite... je vois Mewen passer juste après, avec un lance flamme... je souris en l'entendant hurler... j'entend un cris, mon porteur s'écroule, je tombe, ma tête cogne... des cris arachnides... des hurlements... les oiseaux chantent, nous sommes en été, sur Terre. Il fait beau et l'air est marin... normal puisque je suis devant la mer. J'entend ma femme m'appeler depuis la petite maison que nous avions acheter sur la plage, tout le confort, une vrai villa. Elle m'apelle, il est l'heure de manger, je rentre lentement en traînant les pieds sur le sable chaud, mais lorsque j'arrivais au pas de la porte, je me rtournais et vis une météorite traverser l'atmosphère et s'écraser en pleine mer. L'onde de chc me fit perdre l'équilibre et la maison manqua de s'écrouler, ma femme criait a l'intérieur. J'avais envis de crier mais aucun son ne sortait de ma bouche, mes lèvres étaient soudée ! La panique s'empara de moi, d'autant plus qu'un raz de marée gigantesque arrivait sur moi ! Ma femme hurle a présent, ma maison s'écroule ! le ras de marée arrive et de mes yeux écarquillés je vois l'apocalypse, une vague aussi grande qu'un immeuble suivit d'une onde de choc destinée a annihiler l'humanitée. Je me retourne, ma maison est en ruine, ma femme a cessé de hurler... mais des décombre sort un parasite ! Je tente de nouveau de hurler et en arrachant mes lèvres j'y parvient, le sang coule le long de mes lèvres mais je hurle ma douleur et ma tristesse... la vague est la.

SPLASH !!!

Je me réveillais tout a coup, les lèvre en sang et dégoulinant d'eau que l'on m'avait renversé sur la tête, le souffle court. Le colonel me regardais, la pièce était sombre mais je m'y habituais vite. Mon entrainement de général repris vite le dessus (même si il me fallut tout de même une bonne minute pour me remettre du cauchemard) et je me levais, non sans sentir une bosse énorme sur le crâne et différentes lésions sur le corp. Les premiers mots qui me vinrent a l'esprit furent:

- Merci mon colonel, où sommes nous ? Rapport ? Effectif des pertes ?

- Nous sommes dans une grotte arachnide inhabitée apperemment. Les arachnides nous ont perdu de vue, mais elles ne tarderont pas a nous retrouver. Nus avons poster une sentinelle devant la grotte. La radio est perdue dans le désert, j'attendais votre ordre pour envoyer quelqu'un.

- Faites donc et poursuivez.

- Mewen, Myrden, allez me chercher la radio, revenez dans deux heure si vous ne la trouvez pas. Ils saluèrent puis partirent. L'état des pertes est important, sur l'escouade de bases nous ne sommes plus que huit. La deuxième escouade a disparu, plus de contact avec eux depuis que nous avons perdu la radio. Les stock de munitions sont épuisés pour la plupart, il nous reste de quoi alimenter Mewen et Myrden pour leur mission, la sentinelle au cas ou et quelques grenades ou roquettes. Le lance flamme quant a lui est vide, vous auriez du voir votre poulain, il était triste... Alors on lui a refiler des grenades pour son lance grenade.

- Bien, très bien... enfin... non, pas bien du tout mais votre travail est bon.
Je vous promet une surprise si on rentre indem... il me semble que vous aurez mériter une petite promotion... mon général !

Je regarda le general qui ne savait plus quoi faire.

Mordraid : Escusez moi de ne pas avoir le moindre sourir a vos paroles, mais ma premiere préocupation est de sortir tous le monde de ce trous.

Je pris mon dernier chargeur et le mi dans mon automatique. La grotte s'enfoncait dans les profondeur de cette maudite Klendathu. J'espere qu'il y a une autre sorti par la.

Mordraid : Bon, je veus deux volontaire pour venir avec moi explorer la grotte pour essayer de trouver une autre sorti. Les autres resté ici et defendez la position. Nous reviendrons dans une heure.

Soldats : Oui, Colonel.

Devant la froideur évidente du colonel presque général, je n'insistais pas, nous attendîmes donc le retour de Mewen et Myrden, dans le stress d'une attaque arachnide. Lorsque ceux ci revinrent, bien plus tôt que prévu (ils étaient partis depuis moins d'une heure) et nous annoncèrent une chose qui nous fit comprendre d'ou venaient les tremblements au plafond... Myrden pris la parole:

- Mon général, nous sommes revenus de mission un peu vite car j'avais le devoir de vous informer qu'une nouvelle race de parasites était apparu. Ou en tout cas une race que je ne connaissais pas... Il s'agit d'un vers des sables gigantesque, faisant plusieurs dizaines de tankers de longs...

- Donnez des détails soldat !

Mewen l'interrompit:

- La bêbête qui se trouve en face de nous explosera bien, ses dimensions sont... dantesque. Immaginez...

Je le coupais:

- Soldat Mewen ! vous savez ce qu'est un mètre ?

- Oui mon général !

- Alors servez vous de cette unitée !

- Oui mon général ! La créature devait faire dans les cinq cent mètres de long et dans les vingt a trente mètres de large.

- Bien... Soldats, nous avons en face de nous un monstre, une calamité de dame nature ! Et cette calamité va nous bouffer d'un coup de dent ! Alors on se bouge !!! On lève le camp, direction l'intérieur de la gotte, on'y sera pas en sécurité mais... ou sommes nous réellement en sécurité ?
Alors bougez vous !

[hrp]mdr... t'avais qu'a dire que t'en avais marre[/hrp]

Un éboulement survint et le ver avala tout le monde.

[hrp] Voila, au moins, malgré la petite entorse au règlement il n'y a plus de problème. ^^[/hrp]