Du sang coulera, et des larmes, ils verseront... (Finis)

J'aurais aimé piloter ce genre de vaisseau, gros, embarquant plusieurs milliers de personnes par moment, aux formes agressives... bon, ce n'étais rien comparer aux énormes croiseurs qui laissaient parfois leur ombre sur la moitié d'un pays, mais s'était déjà appréciable.Je pénétrais dans le monstre avec ma navette de débarquement, et le vaisseau sauta en hyperespace tout de suite après, j'étais le dernier transporteur de torupe a embarqué, la terre devait deja être loin maintenant... Lorsque je pénétrais dans ma cabine il y avais déjà quelques soldats, mais pas très bavards dans l'ensemble, je passais mon chemin et allais m'assoir sur ma couchette et me préparais pour ce voyage d'une semaine dans l'hyperespace. Tout a coup une fille surgit, je cru y voir le reflet d'une perle rare, mais je savais que tomber amoureux en mission serait voué a l'échec, d'une manière ou d'une autre. J'allais tout de même me présenter.

- Bonjour mademoiselle, je m'apelle Stamper, Phil Stamper, je suis anglais, vous êtes ?

Pour toute réponse, elle se recula dans dans sa couchette et prépara ses affaire pour le voyage. J'étais vraiment tomber dans le bon dortoir...

Demain, lors du briefing, ils comprendront qu'ils devront m'écouter un tant soi peu, je suis tout de même lieutenant et surtout leur pilote !
La nuit arriva bien vite, plus que six jours...

Mordraid arriva dans le dortoir d’un pat militaire, il se tenait à la porte, et regardait tous les jeunes dans leurs couchettes.

Mordraid : **En criant** GGAARRDDEE A VOUS

Tous les soldats se mire vite au garde à vous. Le Major commença à marcher entre les rangs

Mordraid : ** d’une voix autoritaire** Je suis le Colonel Mordraid et c’est a moi qu’on a confier la garde de vos petit culs. Donc, le combat approche et de nombreuse personne ici ne reviendrons pas chez leur maman et resterons les tripe à l’air en pâture au parasite. Donc pour préserver votre moral et votre énergie, je veus tous le monde, dans 5 minutes au parcours d’entraînement A3, pour faire bouger vos petit culs de pucelle.
Je me suis fais bien comprendre ??

Tous les soldats crièrent en même temps : COLONEL, OUI COLONEL.

Mordraid reparti dans le couloir et se dirigea vers la salle d’entraînement.

Mordraid se tenait devant les troupes, il était en uniforme d’officier et se tenez droit.

Mordraid : Dans 6 jours, vous allez dans parasite land.
Vous avez survécus a l’entraînement, mais vous n’étés pas encore de vrai soldats de la fédération, alors quand l’heure de votre baptême du feu arrivera, je veus que vous soyez en pleine forme et un moral d’acier. Donc je vous propose un petit parcoure de santé pour garder la forme juste avant de retourner dans vos dortoirs.
10 fois le parcours suffira pour se soir.
**cris** Au pat bande de macaque, je veus du nerf et de la rigueur.

Les soldats : OUI, COLONEL

Mordraid reste droit et regarde tous les soldats courir et faire leur parcour.

Len souffla bruyament, décidement, elle n'aimait pas obéir, pourtant la jeune femme savait très bien que cela était nécéssaire. Elle se mit à courir lançant parfois des regards à ses coéquipiers qui semblaient tout aussi agacés. Elle escalada le mur, aussi agile qu'un félin pour ensuite se balançer à une corde, et attérir enfin. Elle se massa la nuque, s'étira les bras puis continua sa course, nonchalament.[/i]

Mordraid reste droit et regarde tous les soldats courir et faire leur parcour.

Tous les soldats avaient fini le parcoure et se mire tous au garde a vous devant le colonel.

Mordraid : Bien, après ce petit effort, vous avez quartier libre.
Bonne soirée les enfants.

Les soldats : BONNE SOIREE COLONEL.

Mordraid : Rompez les rangs.

Tous les soldats sortirent de la salle d’entraînement en sueur et se dirigèrent tous vers les douches.
Le Colonel partis à l’armurie faire son inspection.

Le colonel Mordraid arriva à l’armurie suivit d’un lieutenant. L’armurier le salua.

Mordraid : Salutation soldat, je voudrais tout le paquetage d’une unité d’infanterie mobile.
Gilet pare-balles, fusil automatique, grenades.Armurier : A vos ordres mon colonel.
Lieutenant : Pourquoi vous demandez un équipement de soldat, colonel ? Vous ne voulez pas aller au massacre ?
Mordraid : Bien sur que si. Je dois être le seul haut gradé qui a les couille d’y aller et j’adore massacrer du parasite, être au combat. L’infanterie mobile à était ma vocation, donc je suis fais pour le combat. Et les soldats on beaucoup plus de respect pour un officier qui se battent de leurs coté, qu’un officier qui donne juste des ordre et reste dans son bureau pour faire jolie.
Lieutenant : Bien mon colonel.

L’armurier met tout l’équipement dans un contenaire.

Armurier : Voila mon colonel. Cela sera tout ?
Mordraid : Oui se sera tous. Envoyé le contenaire dans mes appartements.
Armurier : A vos ordres mon colonel.

Le colonel Mordraid parti vers ces appartements.

Mordraid : Vous me réveillerez tous le monde demain à 8 heures.
Lieutenant : A vos ordres mon colonel.
Mordraid : Vous pouvez disposer **salut martial**
Lieutenant : Bien mon colonel **salut martial**

[hrp: je met la vitesse superieur]

Trois jours... Plus que trois jours avant que le sang coule. Len était de plus en plus tendue, cela faisait trois nuits blanches, jamais elle n'avait réussi à trouver le sommeil depuis qu'elle avait embarqué. La jeune femme avait perdue l'idée de trouver son père dans ce vaisseau. Pourtant, elle ne perdait pas courage, même si son coeur se serrait à chaque fois que Len pensait à sa mère à l'hopital. C'était l'heure du déjeuner et elle était seul à une table comme à son habitude, perdue dans ses pensées, ne faisant pas attention aux autres soldats.

La jeune femme le dévisagea du regard, puis eu un sourire forcé. Elle se massa la nuque, fatiguée, puis dit:

-Cette famille sera bientot détruite... Ce n'est pas une promenade de santé, nous partons à la guerre. Un long silence suivit puis Len reprit calmement: Tu ne devrais pas te lier d'amitier avec les autres soldats, peut être finirons t'ils par mourir au front, et toi tu seras triste... La jeune femme se servit de l'eau puis bu à grande gorgée.

Le Colonel Mordraid entra dans les dortoirs accompagnés d’un lieutenant.

Lieutenant : GARGE A VOUS

Tous les soldats se mirent au garde a vous devant le colonel.

Mordraid : Bien, dans une demi heure on va s’arrimer à la station de combat Tiko Redonga, Votre dortoir est le C 57, je veus que vous déposiez tous votre paquetage dans les vestiaires A 30.
Une fois que vous aurez fais tous cela, je vous avez quartier libre, bourrez vous la gueule, tatouez vous, tirez un coup, enfin bref, amusez vous. Mais par contre je veus que vous soyez opérationnel pour demain. On viendra sortir vos petits culs du lit pour aller vous équiper et cette fois ci, pas pour un entraînement, mais pour aller massacrer du parasite.
Vous en serez plus demain au briefing.
Avez-vous bien compris.

Les soldats : Oui compris, Colonel.

Le colonel reparti vers ces appartements.

La lieutenant et Phil Stamper etait au commande du vaisseau depuis trois jours et leur arrivé sur place commençait a se sentir. ils etaient tous les deux epuisés quand un soldat ariva en courant dans la cabine pilotage:
Lieutenant Lieutenant, ils nous attaquent! des betes enormes et volantes, elles ont deja mise a mal une partit de notre systeme de bouclier.
-Calmez vous soldat et renseignez moi un peu mieux.
Ils ecouterent le soldat parler en haletant signe d'une course a travers tout le transporteur car en effet le scanner avait relever quelque anomalie de ce coté la.
Elle decida d'en faire par au Colonel.

Le colonel Mordraid arriva dans la cabine de pilotage après avoir était averti par les pilotes et le soldat se mit au garde a vous.

Mordraid : Pourquoi tant d’agitation Soldat. Vous avez vu des abus parasite arrivant des planètes en quarantaine ?

Le soldat : Oui mon colonel.

Mordraid : Avant de s’agiter comme vous le faite, renseignez vous. Les obus parasite son dangereux quand nous somme en orbite autour d’une planète puis elle se disloque petit à petit avant de disparaître. Nous arrivons sur la station de combat et nous somme bien long d’être en orbite sur une planète. Vous étés énervé et fatigué allait vous préparer pour accoster sur la station. Allez rompez Soldat.

Le soldat : A vos ordres Colonel.

Mordraid : lieutenant, vous avez suffisamment piloté, allé dans vos quartier et préparez vous a accoster sur la station, allé a vos dortoir et reposez vous, c’est demain que l’on part pour le combat alors je vous veus en pleine forme.Demain vous allez piloter un bombardier.

Mordraid regarde depuis la cabine de pilotage on voyait les obus parasite se disloquer puis disparaître.

Mordraid : Le vrai danger ça sera demain, les parasites voyage pas dans l’espace, ils envoient juste leurs embryons par des astéroïdes.

(HRP) Dans l'univers de starship troopers il n y a pas de parasite dans l espace, ils ont besoin d'oxygene ^^, le combat sera sur une des planetes apres sa partira en couille pour tous le monde ^^(HRP)

hrp: desolée je pensais qu'on etait plus proche que ça de la planete :0: :/hrp

Akari regarda le Colonel dans les yeux, des yeux dure et sombres mais on aurait ou s'y noyer. Elle effaça cette pensée en se disant que c'etait son superieur et qu'elle tombait amoureuse comme elle tombait d'une chaise autrement dit il ne fallait pas se laisser guider par ses pulsiosn sauf au combat. Elle le salua, Stamper aussi et il sortir de la piece.

Il traverserent tous deux les couloirs eclairer du transporteur. SI on etait sur la terre ferme on aurait pu se croire dans un hopital comme tout etait blanc et resplendissait de clareté. Mais tous savaient ce qu'il y avait a l'exterieur: le sang la mames les larmes et le desolation...
Les deux soldats discuterent un peu puis Stamper entra dans son dortoir et Akari aussi.
Elle pensa un peu a lui, un peu au Colonel puis s'endormit comme une souche.

[hrp] Désolé, je suis débordé en ce moment et je suis en core en cour !! lol[/hrp]

La station orbitale était grande et le dernière entrainement avant la réalitée s'effectuait, j-1 anvant le débarquemment. J'allais apprendre a bombarder (comme tout les pilotes de classe corvette et de chasseur pour avoir une spécialitée supplémentaire si l'exercice était concluant), chose que je n'avais jamais fait.
La station était pour cela munie d'une gravitée artificielle qui attirait les bombes. Mais il fallait quand même viser évidemment... Je décollais du hangar, bien conscient de la charge de plastique lourd que j'aurais du avoir sous le fuselage (remplacé pour l'entrainement par des bombes de peinture) et me mis a faire un petit tour pour me faire aux commande de ce nouvel appareil. Il était plus maniable que le transporteur, mais aussi plus fragile, comme tout les vaisseaux de classe chasseur (le transporteur etait un vaisseau de classe corvette qui faisait quatre ou cinq fois la taille de ce "misérable" chasseur une place...). J'aperçus enfin la zone de tir, et me préparait a larguer les bombes de peinture.

Clic.

Je sentis mon appareil remonter légèremment alors que les bombes se décrochaient, puis revint me poser au hangar. L'instructeur me remit un papier me déclarant que je n'étais pas apte a effecter des bombardements. Je saluais d'un air sombre et regardais les détails.

"A raté sa cible de 129,35 mètres."

En effet... Je faisais un piètre bombardier. Je piloterais donc le transporteur et n'aurais pas de spécialitée supplémentaire, ce boulot qui comportait plus de risque de par le fait que le vaisseau se pose sur la planète durant une période assez importante mais serait tout de même meilleur que de faire le soldat pur et dur. Je n'étais pas mécontent de ma situation.

En rentrant au hangar, je croisais Len avant d'aller me coucher, je rougis légèremment, inutilement... Cette nuit serait ma dernière avant la bataille. Le lendemain, la flotte sautera le dernier parsec qui nous sépare de la planète que l'on pouvait déjà apercevoir au loin, les obus parasite, passant entre nous, innofensifs...
Je m'endormis et eu un sommeil plus qu'agité, peuplé de Parasites ayant la tête de Len, qui me souriait.

Le lendemain arriva trop vite. Je me levais, allait me préparer et me mit au commande de mon transporteur pour être prêt et détendu lorsque je devrais sortir du vaisseau sous les obus parasite, lorsque je vis l'espace se distordre une dernière fois au travers du sas.
Moins d'une demi heure plus tard, l'espace redevint normal, étrangement calme alors que les obus passaient entre les vaisseaux, ma section m'avait rejoins entre temps et vérifiait les derniers préparatifs. Akari s'installa a mes côtés, je l'ançais les dés: onze. Akari lança les dés: huit.
Le hasard a voulu que ce soit moi qui pilote aujourd'hui.

Le transporteur sortit lentement du "Mastodonte" le plus gros croiseur de la flotte, qui nous a emmené de la station Tiko Redonga a la planète parasitée. Au même moment, l'alarme du Mastodonte retentit, signe d'une collision imminente. Nous longions les flanc lorsqu'Akari s'exclama:

Attention !

Qu'est ce que...

Mais j'eu tout juste le temps de comprendre que le croiseur gîtait dans notre direction. Je m'écartait le plus vite possible alors qu'un deuxième obus accéléra la gîte. Le grincement de la coque alors que l'obus parasite percutait le croiseur retentit dans toute la flotte. Mais enfin, je sortis de la passe, dépassé par trois chasseurs et bombardiers, mais pas par les autres transporteurs...
Je vis deux autres vaisseaux se désagreger ainsi dans l'espace, quasimment a peine sortis de l'hyperespace. Dire que certains auraient même pu réaparaitre dans l'espace normal sur un obus... brrrr je frissonnais. La flotte s'élança donc, des milliers de transporteurs, des milliers de chasseurs et bombardiers, et quelques transporteurs d'avant poste,des vaisseaux énormes qui transportaient une base complète et qui une fois posé sur la planète se déployait. Nous pénétrâmes dans l'atmosphère sans soucis autres et j'amorçais l'attérissage en fonction des calculs d'Akari. Tout avait l'air de se passer puor le mieux et je serais surement de retour au vaisseau d'ici peu.

Mais le sort devait en décider autrement. Une nuée de parasites volants fonça sur les transporteurs, notre course était encore trop rapide a cet altitude la, nous allions les percuter ou passer au travers. Le coup de chance ou de malchance... Le transporteur tout devant percuta un parasite, laissant un cadavre derrière lui et une trainée enflammée... le parasite a atteint son réservoir. Je faisais mentalement une prière pour l'équipage... le vaisseau explosa dans une gerbe de flammes, laissant une épave chuter en direction de la planète. Le vaisseau qui était juste devant moi en revanche, ésquiva toute la nuée et pu probablement attérir tranquile. Mais nous n'eument pas cette chance.
Le parasite volant, nous percuta alors que je ne l'avais même pas vu. Je regardais rapidement ou nous avions été toucher et Akari me cria dans les oreilles que nous devions faire attention aux parasite restant, qu'on verrait les avaries plus tard et je me dépêchait de l'écouter et d'esquiver le parasite suivant. Une fois notre vitesse ralentie, je regardais dans toute les caméras embarquées pour savoir quel avarie nous avions subis. Apparemment les voyants ne remarquaient rien ou les capteurs étaient endommagés. J'éspérait que la première solution serait la bonne. Mais très rapidemment je m'aperçus que s'était la seconde qui était validée. En effet, une légère fumée blanche sortait du vaisseau, s'était les vivre, la farine nutritive qui partait en fumée. Donc le compartiment passagé a été touché.
Je regardais la caméra intérieur et eut un hoquet de surprise. La dépressurisation était en faite une brèche énorme a l'arrière de la coque. La moitié des vingts passagers n'étaient plus a bord, emportés par la dépressurisation. Peut être auront-ils eu la chance d'actionner leur parachute... mais j'en doutais vu la puissance du choc et la taille de la brèche...

Soudain, j'eu un autre haut de coeur et Akari recommença a me hurler des recommendations et des ordres. Je comprennait sa peur, nous venions d'agrandir la brèche, de perdre deux passagers supplémentaire, l'un deux percuta la dérive qui le scia littéralement en deux mais l'endommagea férocement. Pour faire simple, nous n'en avions plus. mais le sol n'étais plus très loin. Bon d'accord l'air d'attérissage était très loin au nord mais nous allions bientôt attérir. Ou nous crasher.
Le sol de la cabine trembla et les aérofreins s'actionnèrent, je ne pouvais que nous diriger avec cela désormais. Le sol se raprocha rapidement, Akari s'était calmée. Les passagers avaient repris leur calme, l'avion se stabilisa brutalement et j'atteris a la verticale, comme prévu.




Je réalisais tout de même une chose qui m'arracha une larme. J'allais être obliger de poser le pied sur cette planète maudite.

[hrp]Bonne lecture, désolé d'avoir été un peu long ^^[/hrp]

Le Colonel Mordraid était dans le centre des opérations dans la station Tiko Redonga et recevait un message de détresse de différent vaisseau en difficulté.
L’unité du Colonel n’était pas encore parti et devait être dans la troisième vague d’attaque et écouté les rapport d’urgence en directe.

Stamper : Nous somme en difficulté, on a perdu les trois quarts de notre cargaison, nous devons nous poser en catastrophe…

Mordraid : Et merde, bon je pars maintenant avec mon unité pour klendathu, pour une mission de sauvetage. Repéré leur position, c’est un ordre.

Soldat : Oui mon colonel.

Mordraid parti mettre son équipement et parti dans les vestiaires ou tous les soldats se préparaient. Tous les Soldats se mirent au garde a vous a son arrivé, les nouveau arrivant étaient a sa gauche et des vétérans a sa droite. Tous les nouveau se demandaient pourquoi un Colonel était en tenue de combat.

Mordraid : Je m’adresse surtout a vous les bleus, j ai une règle d or et une seul, tous le monde se bat personne se barre, le premier qui se dégonfle, je le descend personnellement.
Es que c’est compris ?

Les nouveaux Soldat (HRP) vous en gros ^^ (HRP) : OUI COMPRIS COLONEL.

Mordrais : Bien venu chez les frans tireurs.

Soldat vétérans : LES FRANS TIREURS DE MORDRAID

Tous les soldats vétérans : WOOUUHHAAAAAA

Mordraid : Bon, écoutez moi, on devait faire partir de la troisième vague d’attaque pour nettoyer les planète au alentour de Klendathu, mais les plans ont changé, on part en mission de sauvetage sur Klendathu elle-même, de nombreux combat on déjà commençais.
Alors je vous veus tous dans 5 minutes devant les barges de débarquement pour un départ immédiat.
Bon courage.

Mordraid parti en direction des barges suivi par certain soldat déjà prêt. 5minute plus tard, tous les soldats montèrent dans les barges, plein de soldats couraient vers les barges pour débarquer. Tous les soldats étaient assis et harnaché dans le siège pour rentrer dans l’atmosphère. Mordraid etait encore debout et parlait au soldat pour leur mettre la pêche.

Mordraid : Bon rappelez vous, c’est une mission de sauvetage, donc vous devrez arroser tous le secteur et anéantir tous se qui a plus de deux pattes, c’est compris.

Les soldats : OUI COLONEL.

Mordraid s’assoit sur le siège central. Les barge, commençait à se décrocher du croiseur et traverser l’atmosphère. La barge tremblait, certain bleue avait sur leur visage l’angoisse, la peur… et d’autre plus affirmé, crier de joies.

Mordraid : Rappelez vous tous se qu’on vous a appris, si vous avez envi de vivre battez vous.