A l'aventure compagnons... (Complet)

Il est 12h39 a l'horloge de Karmin lorsque j'ouvre les yeux. Ce qui venait de se passer n'avait pas de nom pour moi, d'abord la bataille, ensuite le repli dans les caves... Ah ! Ca y est, je crois que j'y suis... Le mage, le flash, la boule luminescente. Apperemment d'autres personnes étaient tombées autour de moi, je n'y fit pas trop attention tellement j'étais concentré par ce qui se passait autour de moi. Un objet étrange que je ne saurais nommer bougeait bizarrement en laissant s'échapper une petite fumée. Un homme était dedans, mais il avait malheureusement l'air mort. Je réalisais soudainement, en voyant l'architecture étrange autour de moi, des routes d'une matière inconnue, d'inquiétant bruits lointain... la boule était un portail vers un autre monde. Et cet autre monde était... froid. Je grellotais.
Puis je me demandais, entendant quelques personnes chuchoter autour de moi leur étonnement, si ce monde était ou non en guerre contre les forces infernales. Car guerre il devait y avoir vu que cet homme était mort dans l'étrange chose fumante.
Je sentis un air chaud dans ma nuque, Grinoï venait de se réveiller. Il me déclara par télépathie:

Ce monde a l'air étrange, l'odeur que j'hume est dérangeante...

Je respirais profondémment, puis me rendis compte que le vent apportait la fumée de la chose fumante, je m'éloignais un peu, attirant le regard de certains d'entre les survivants, puis regardais une affiche placardée sur un grand poteau de fer. Etrangement, le dialecte était semblable a la langue humaine, le mage avait du séléctionner un monde ou nous aurions une chance de survivre. L'écriteau annonçait:


S'ensuit un tampon venant probablement du seigneur local. Je regardais la petite quinzaine que nous étions puis proposait:

Et si nous nous intégrions le temps de la quête ? Allons a ce carnaval et cherchons tous ensemble a en savoir le plus possible sur leur mode de vie. Qu'en pensez vous ?

Un centaure ayant un arc cour en bandoullière et deux cimetaires accrochés dans le dos s'aprocha et regarda l'affiche.

"Un carnaval... On aura plus de chance de passer inapercu si certaines des races que nous représentons on disparu de ce monde..."

Puis il regarda son corps chevalin

"Surtout pour moi !"

Il sourit et retourna vers la carcasse métalique et l'homme emprisoné à l'interieur.

"Ca n'a pas l'air magique... bien que je n'y connaissse pas grand chose. En tous cas maintenant c'est complètemant détruit ! Et c'est pas ce gars là qui vas nous apprendre à nous en servir... malheureusement pour lui."

Puis il se retourna et regarda les autres survivants. Il avait l'air aussi déboussolé que lui ! Ce qui le rassura un peu.

Un homme se releva lentement, il avait mal à la tête et froid. Froid ? Pourtant la dernière chose qu'il se rappelait dans le donjon c'était la chaleur. Autour de lui il y avait d'autres personnes, il les reconnaissait presque tous car il avait combattu ensemble dans les derniers instants de la bataille. Le paysage dans lequel il était le déconcerté, ils étaient sur une route, enfin se qui lui semblait être une route car elle était noir et il y avait de curieux dessin blanc dessus. Cette "route" était éclairé par des poteaux avec une lumière au bout, il y avait aussi q'autre poteaux mais au lieu d'avoir des lumières ils étaient relié par des cordes.
La chose qui le choqua le plus fus l'ensemble de métal qui fumait devant lui. Il y avait quelqu'un de mort dedans.

Reprenant ces esprits l'homme s'agenouilla et pria pour sa femme et ses enfants. Quand il eus finit il s'avança vers le centaure et l'archère.
"Ou on est ? Furent ces premières paroles.
"Aucune idée, mais à première vu il y a un carnaval non loin d'ici." Répondit le centaure
"Je m'appelle Repton" N'attendant pas de réponse il s'avança vers la chose fumante.
Une odeur qu'il n'avait sentit s'en dégageait, Repton s'approcha de l'homme mort. Il avait de curieux habits noir et une ceinture rouge autour du cou qui lui tombe sur le ventre. Repton allait repartir quand il entendit un bruit strident affolait il regarda dans tous les sens pour savoir d 'où venait le bruit. Il le sut en voyant un petit objet rectangulaire par terre qui clignotait et bougeait tout seul. Désemparait il dégaina son épée et l'abattit sur l'objet démoniaque. en se tournant vers le reste du groupe il vit qu'ils était aussi étonnait et effrayé que lui.

Hélior se releva doucement, les yeux fermés.
Fichtre ! Que s'est il passé ? Mais... Mais ça pue !
Il ouvrit les yeux, pour découvrir un monde qu'il ne connaissait pas du tout. Ses pieds étaient posés sur une surface noire percée ça et là de lignes blanches. Devant lui, se dressait fiérement une sorte de caisse en fer avec des roues, et une surface lisse à l'avant, éclaboussée de sang, de toute évidence. Il ouvrit grand les yeux.
Hein ?
Il fit une rapide tour d'horizon du regard. Avec lui, se trouvaient une petite quinzaine de personnes, toutes plus perdues que lui. Certaines observaient avec attention une affiche appliquée sur un mur proche. Hélior les rejoignit et tapota l'épaule d'une jeune humaine aux cheveux châtains.
Euh... Excusez moi ? On est où ici ? Vous auriez pas vu des plantes d'absinthe ?*
Aprés tout, le fait qu'il se soit perdu en route n'allait pas l'empêcher de se concentrer sur l'infusion à l'absinthe de sa maman !

La chose qui la réveilla fut une odeur atroce, faite de fumée et d’odeurs inconnues.
La dernière chose dont elle se souvenait était d’avoir donner un ordre aux elfes qui étaient sous sa tutelle... Quel ordre ? Son esprit était des plus brumeux ? Étais-ce cela que de boire, cette sensation ? Elle avait déjà entendu parler de ce type de phénomènes, sans les avoirs essayés, mais... elle n’avait pas bu...
Puis tout lui revint en bloque et elle se releva d’un coup, ouvrant les yeux et remarquant au passage le sol froid sur lequel elle était allongée. Où avait-elle atterrit ? Un lieu qu’elle n’avait jamais visiter, assurément !
Elle vit autour d’elle des personnes aussi désemparée qu’elle. Elle fit un effort pour se relever, elle semblait avoir des courbatures en des muscles dont elle n’avait jamais soupçonné l’existence...
Elle se releva donc, chancelante, s’agrippant au mur, puis, prenant sur elle-même, elle se redressa et s’approcha d’un groupe qui s’était déjà formé, face à un mur fait d’une pierre étrange.
Ses yeux couleur de nuit étincelèrent alors qu’elle analysait ce qui l’entourait. Un frisson l’envahit, elle n’avait aucun repère !
Elle observa l’affiche qu’ils regardaient tous, elle fut étonnée de comprendre ce qui y était marqué. Enfin, comprendre, tout était relatif, elle ne parvenait pas à comprendre la signification de près de la moitié des mots...

- Carnaval, certes... Mais, sera-t-il aussi étrange que l'est ce monde... ? murmura-t-elle plus pour elle-même que pour les autres.

Voici a peu près cinq minutes que nous étions arrivés et nos esprits revenaient lentement, encore sous le choc de ce monde renversant. A chaque nouveautée, nous étions extrèmement tendus, le morceau de ferraille fumant, l'objet qui émettait un bruit tonitruant qu'un certain Repton avait détruit, les murs fait d'une matière inconnue, tout comme le sol... Je décidais de réagir pour que tout le monde garde son calme. En effet, je venais d'être pris d'un moment de panique en pensant a ce qui se passerait si on comprenait que nous n'étions pas de ce monde... Et, bien que cela ne me ressemble pas particulièrement, je pris l'initiative:

- Ecoutez moi s'il vous plait, je suis encore jeune aux yeux de la plupart d'entre vous, mais je pense pouvoir affirmer que si on essaie de paraitre normal pour ce monde, nous nous en tirerons mieux que si on s'affole a chaque nouvelle découverte que nous faisons...
Je vous propose donc de marcher jusqu'a ce que l'on rencontre quelqu'un qui pourra nous informer, en espérant qu'il ne s'agisse pas d'un garde...

Apparemment, tout le monde avait l'air d'accord, mais un dans le groupe me demanda:

- Et si la chose qui nous parait inoffensive est en fait une arme ? Comment ferons nous ?

Une autre voix lui répondit:

- Je suppose que quelques un d'entre nous mourront et que les autres tenteront de se battre pour sauver leur vie !

La réponse était évidente... Je déclarais:

- Bon et bien, allons y alors, direction le carnaval, si nous le trouvons...

Nous avançames de deux mètres lorsqu'un adolescent de mon âge (en admettant que ce monde soit peuplé d'humains), avec un ballon aux formes étranges apparut a l'angle de la rue. L'air éberlué, il nous regarda (notemment le centaure) et quelqu'un tenta de l'interpellé.

- Hep jeune homme !

Le jeune en question tiqua mais répondit:

- Qui... Qui êtes vous ?

Prenant de nouveau l'initiative, je répondis:

- Nous sommes de paisibles voyageurs et cherchont ou se trouve le "carnaval".

Le garçon sourit, l'air soulagé, il répliqua:

- Le carnaval est en centre ville, mais je dois avoué que je suis surpris par vos déguisements...

Essayant de soutirer un maximum d'informations, je poussais le bouchon un peu plus loin:

- Dites moi jeune homme, nous devons jouer un rôle pour ce carnaval, celui de personnes venant d'un autre monde, pourriez vous nous dire a quoi sert cette route et ces deux surélévation de chaque côté ?

Le jeune se prêtant au jeu, il déclara:

- Mais bien sur voyons, le chaussée sert a faire passer les voiture et les trottoirs sont réservés aux piétons.

N'ayant rien compris a son charabia, je rigolais et répondis:

- Hihi... Merci bien, nous allons y aller, au revoir.

- Au revoir et bon carnaval !

Le jeune s'en alla en faisant rebondir son ballon et nous nous concertâmes...

- Quelqu'un a comprit ce qu'il voulait dire ?

Quelques un hochèrent la tête négativement, mais un soldat a l'armure ébrêchée tenta de donner une solution.

- Lorsqu'il a parlé de piétons, c'est a dire nous, il a montré les deux "trottoirs", ce qui signifie que le centre de ce qu'il nomme "la chaussée" est réservé a ce qu'il nomme les "voitures". Je pense que l'on devrait rester sur les trottoirs.

Le centaure pris la parole.

- Mettons nous sur ces trottoirs et restons y sauf si nous avons besoin de traverser la route (ou chaussée). Restons en file indienne ou deux par deux.

Plusieurs personnes répondirent, tout le monde avait l'air d'accord. Deux minutes plus tard, alors que nous étions disposés sur les "trottoirs", un objet démoniaque se lança sur la chaussée en venant d'un croisement de route. Avant que qui que ce soit ai pu entreprendre une quelconque action, un Elfe à l'air simplet déclara qu'il ne s'agissait peut être que d'un moyen de locomotion. Presque aussi étonnée de l'entendre dire ça que de voir le véhicule arriver, je baissais mon arme et le véhicule, probablement une "voiture" passa entre nous et continua sa route tranquilement...
Je marmonnais a cet Elfe sur un ton las:

- Tu as un nom ? Qu'est ce qu'on va faire maintenant ?

Il me répondit en souriant, de ce sourire charmeur qui me fait tant craquer:

- Je me nomme Hélior, et je ne sais pas ce qu'on va faire, mais il faut que je trouve des feuilles d'absynhte... Vos ne sauriez pas s'il y en a dans ce monde par hazard ?

Je rigolais, puis, reprenant mon sérieux lui répondit:

Non, je ne sais pas, désolée...

Soudainement, je me surpris a penser que, malgré son côté détaché du monde, ce jeune elfe avait tout un charme... Je rougis et me détournait, en pensant qu'il faudrait peut être bouger de cette ruelle maintenant.

Ils partirent tranquillement vers le "carnaval". Repton n'était pas bien, ce monde, ces objets, ces gens! Tout autour de lui il n'y avait qu'interrogation, surprise et encore il savait bien que se n'était que le début. Ne voulant pas montrer son malaise aux autres il pris son talisman pria et partir dans le groupe des premières personnes. Ils marchèrent un moment sur le "trottoir" en faisant bien attention de ne pas aller sur la chaussée, les objets démoniaques qui y roulaient semblait très dangereux.
Rapidement ils entendirent un bruit de fond lourd et "sombre" (Boum boum boum .....) puis petit à petit la mélodie vint. Celle-ci était faite par des instrument que Repton n'avait jamais entendu pourtant cette musiques n'était pas si désagréable.
Ils marchèrent encore un moment quand ils virent les premières personnes, pour Repton elles étaient toutes déguisées. Malgré le contexte ils attiraient tous le regard (surtout le centaure). Le guerrier se sentait observé et scruté même si ce n'était pas le cas.
Finalement il arrivèrent au carnaval proprement dit. Il se déroulait sur la place de la ville, il y avait plusieurs stands où la plupart du temps Repton ne savait pas ce qu'il y avait dessus. A l'autre bout de la place il y avait une scène où des troubadours chantaient, autour de la scène des personnes dansaent d'une drôle de manière. Malgré la distance ils entendaient tous très bien la musique. Sûrement un puissant sortilège se dit le soldat mais pourquoi déployer autant de moyens pour un jour de fête ? Tout cela le dépassé.

Les nouveaux venus restèrent la ébahit par tout cela, les passant les dévisageaient toujours mais ils ne s'en rendaient plus compte. Tout à coups Repton fut abordé par un couple. C'était sûrement des nobles car la dame était habillait en princesse et l'homme en prince.
"Excusez moi de vous déranger mais nous trouvons que votre déguisement est superbe"
Repton fut pris de panique pendant un moment quand il s'aperçus qu'il avait dévié du groupe et que personne de pourrait l'aidé. Pendant se temps les deux nobles le regardaient patiemment.
"Euh ... Mer ... Merci. Mes ségnieurs." Dit-il en faisant une révérence. LEs noble éclatèrent de rire, puis le prince repris:
"Est-ce que on peut vous prendre en photo ?"
D'instinct il répondit oui. A se moment la princesse pris un petit objet gris le pointa vers Repton et soudain un flash blanc l'aveugla. Surpris il dégaina à moitié mais quand il vit que les nobles regardaient la petit boite en souriant il se dit que ce n'était pas une arme.
"Venez voir comment vous êtes" Lui dit la princesse. Prudemment il s'avança vers eux et regarda la boite. Se qu'il vit lui donna le vertige. Il était dans la boite !
"Vous allez bien? Demanda le prince. vous êtes tout blanc"
"Oui oui euh ...... Je doit partir"

Il rejoint rapidement le groupe. Quand Alize le vit elle demanda:
"Repton sava ?" Il n'eut pas le temps de répondre car un enfant passa entre eux et percuta le centaure. L'homme ceval ne boucha presque pas mais l'enfant tomba par terre et le regardant avec de grand yeux.

Le pauvre enfant s'était blessé, il saignait au genoux. N'écoutant que mon âme de guérisseuse et appliquant a la lettre la maxime du temple: "Jamais tu n'abandonneras un camarade sur le champ de bataille a ses blessures mortelles", je sortis mes outils pour le soigner.
Bon, bien sur, ce n'étais pas vraiment un camarade, et ce n'était pas vraiment un champ de bataille... Mais dans le doute...

Pour une blessure aussi légère, n'importe quel guérisseur aurait pu règler cela d'un simple mot, mais je dus sortir le Kenyar, petit objet magique qui émettait une petite lueur bleue entre lui et la blessure et réparait celle ci en pompant les forces vitales du guérisseur. Pour une entaille aussi minime, je ne sentirais probablement rien.

J'approchais l'objet contre la jambe de l'enfant qui pleurait sans m'apercevoir que ses parents approchaient en courant. Je fermais les yeux et la blessure se referma lentement. Les parents m'aperçurent, mais, avant qu'ils ne prononcent un seul mot, ils aperçurent l'action du Kenyar et se regardèrent. Ils saisirent leur enfant et s'approchèrent de moi en me murmurant:

- Comment avez vous fais cela...?

Comprenant que j'avais fait une gaffe, je rougie et demandais:

- Quoi donc Monsieur ?

Grillée, il me regarda avec un sourire étrange puis répondis:

- Venez, je vais vous trouver un endroit ou on pourra discuter, je ne vous connais pas, mais je peux jurer que vous n'êtes pas du coin. Et je ne crois pas qu'il existe d'aussi beaux déguisements pour un si simple carnaval... Suivez moi, nous allons chez moi, j'habite deux rues plus loin. On pourra discuter tranquilement. J'adore tout ce qui touche au paranormal...

Le centaure n'avait pas vus venir le garçon et n'avait même pas sentit le choc. QUand il tourna la tête, il vit Alize en train de soigner le genou de l'enfant. Puis les parents de ce dernier demandèrent au groupe de les suivre. Au bout de une ou deux minutes de marche, le groupe arriva devant l'entré d'un bâtiment gigantesque. Il faisait au moins douze mètre de heut et trente de long. C'était un réctangle gris où des fenêtres étaient diposées régulièrement. Le père sortit une clef et ouvra la porte métalique. Au bout d'un moment il arrivèrent devant une plaque métalique de la taille d'une porte. L'homme qui les guidait appuya sur un bouton et la plaque coulissa révélant une petite piece carré. Une fois une moitié du groupe rentré à l'intérieur, la piece étant trop petite pour tous les aceuillir la plaque en métal se referma.

Etait-ce un piège ?

L'homme appuya sur un bouton et la salle se mit à trembler puis à monter, sans doute un sort de lévitation très puisant. Au bout d'un moment, le mouvemant se stopa et un petit tintement se fit entendre. La seconde d'après, la barrière de métal s'ouvrit de nouveau. Une fois tout le monde sortit, l'ascenceur redéscendit et quelques secondes plus tard, tout le groupe était de nouveau réunis. Puis l'homme conduit tout le monde dans un labyrinthe de couloir et s'arrèta devant une porte en bois qu'il ouvrit. Une fois ceci fait, il dit au groupe :

"Après vous."

Nous entrâmes dans un petit couloir, qui menait vers trois ou quatre
petite pièces différentes et meublées très spécifiquemment. Mais en
continuant tout droit nous attendait une pièce spacieuse, même si elle
était tout de même trop petite pour les quinze que nous étions.
Il nous invita a nous assoir d'un geste, je m'exécutais. Hélior s'assit a mes côtés et l'homme s'affola un peu:

Attention messieurs avec vos épées ! C'est un canapé en cuir !

Trop tard, le canapé noir était lacéré sur dix centimètres. L'homme a qui revenait la faute se confondit en excuse et essaya de racommoder le cuir en raprochant les deux coupures, mais son geste, en plus d'être inutile, était comique. Je souris, me saisis a nouveau du Kenyar que j'avais déjà utilisé pour l'enfant et recousu les fibres du cuir une à une. Mais cette fois ci, je fus très fatiguée, mon objet n'étais pas sensé agir sur tout les produits qu'il y avait par dessus le cuir...
L'homme sourit mystérieusement, voulut s'assoir quelque part mais s'aperçut qu'il n'y avait plus de place. Il resta donc debout et alla se pacer dans un coin. Il commença:

- Bien... Je vais vous poser diverses question et ensuite vous poserez les votre si cela vous convient.

Nous acquiescâmes, il poursuivit:

- Très bien, tout d'abord, je m'apelle Mickaël et... Il hésita. Je suis humain. Maintenant, pouvez vous m'expliquer qui vous êtes ?

Un garde d'une tribu barbare nordique, aux vêtements de fourrure et a la barbe bien fournie prit la parole:

- Je suis Harold, du Contingent des Hommes du Nord, habitant des montagnes de l'Ours Bleu, chef en second de la tribu "Amôn" après la mort de deux de ses chefs face au chaos, puis chef de cette tribu après la mort du troisième... dernier survivant à mon arrivé à la cité de Karmin et probablement le dernier survivant de la totalité des tribus du Nord...

Il avait dit cette dernière phrase la voix chevrotante, ce qui était rare pour un barbare. Mickaël était retourné. Il demanda tout de même d'une voix faible:

-Et vous monsieur ?

La jeune naine grogna, se leva et répondit:

-La demoiselle en question, parce que nous parlons d'une jeune femme, vient des mines de Largon, une petite exploitation minière au sein des plaines du Tart'il, je n'étais qu'une petite forgeronne sans autre ambition que de devenir un jour vendeuse dans une joaillerie humaine de Karmin. Lors de l'invasion chaotique, je me suis retrouvé dans un champ de bataille ou ma pioche fut remarquée comme étant aussi prompt a casser de la pierre que du gobelin. Je fus donc promue capitaine en second de la garde naine de Kermin. Garde Naine dont il ne reste aujourd'hui plus aucun de ces braves soldats et probablement plus aucun de ma race non plus...

Son visage s'assombrit et elle se rassit. L'homme, encore plus décontenancé, mais aussi boulversé par ce qu'il entendait, demanda d'un ton qui frisait la panique:

- Mais alors... vous... vous... vous... Je tentais une suite:

-...n'êtes pas d'ici ? Il souffla:

- Oui.

- En effet, nous venons d'un monde qui se nomme Jiskul et qui n'a rien à voir avec celui ci, nous avons utilisé le portail qu'un archimage avait créé lors de la destruction de notre monde par le chaos pour nous enfuir.

Il prit une minute pour se calmer, ferma les yeux et lorsqu'il les rouvrit réalisa la nouvelle:

- Je viens de trouver la réponse a l'une des plus grande questions de l'humanité, je viens d'avoir la preuve que nous ne sommes pas seul dans cet univers. Qu'il s'agisse de monde parrallèles ou bien de voyage a travers l'espace, vous êtes la preuve scientifique que nous ne sommes pas seul !

Mal à l'aise, le garde qui avait troué le canapé demanda:

- Et vous n'allez pas nous livrer aux gardes...? Parce que je crains que si cette chose s'était produite dans notre monde, les étrangers en question auraient surement été la source d'expériences diverses...

L'homme hésita, puis répondit:

- Ici, ce sera pareil je pense, je ne vous livrerais pas à la police, ne vous en faites pas. Mais... maintenant que j'y penses, vous avez des tas de trucs a savoir sur une vie terrienne. Posez vos questions, je vous écoutes et tenterait de vous répondre du mieux possible.

La naine commença:

- Quels sont ces véhicules bruyant que nous voyons régulièrement passer par la fenêtre ? Est ce qu'il s'agit... de vature ?

-VOITURE, oui, il s'agit d'un moyen de locomotion éléctrique qui... Il s'interrompit. Vous ne savez pas ce qu'est l'éléctricitée n'est ce pas ?

Nous secouâmes la tête de concert. L'homme passa la main sur son front et déclara:

-Bon... bon... bon... Il est 17h30, Catherine rentrera dans quatre heures, le temps de rentrer de Paris, il fera nuit, je n'ai aucun endroit ou vous loger sans éveiller l'attention, je ne sais pas quelle sera la réaction de Catherine, je ne sais pas si c'est légal, je ne suis même pas sur qu'il y ai un texte qui légalise ou illégalise ce qui se passe actuellement, je suis sur qu'Arnaud va encore venir dormir ici, je ne sais pas a quelle heure il va arrivé, je ne sais pas quelle va être sa réaction non plus... ET ! Je dois vous expliquer... entre autre... ce qu'est l'éléctricité...

Il nous regarda tour a tour, son regard s'arrêtant sur le centaure, il pris un regard rêveur, oublia tout ses soucis et demanda a tout le monde:

- Parlez moi de votre monde, je vous parlerais du miens.

Il soupira.

Aredhel, qui, s'était assise sur un fauteil, se leva. Gracieuse, droite, noble, digne représentatrice de sa race.

- Je me présente, on me nomme Aredhel. J'appartiens à la race des elfes.

Elle ramena en arrière ses longs cheveux, prouvant son appartenance à une autre race par ses longues oreilles, dépourvues de lobe.

- Les elfes ?! Ils existent?! Euh... ... ... ... ... ... dites, vous vivez réelement si vieux? Vous avez vraiment les capacités qu'on vous donne? vous...

Aredhel lui adressa un sourire, révélant une rangée de dents parfaitement blanche.

- Oui, les elfes existent, du moins.. sur notre monde. J'ignore ce qu'il vous à été conté à notre sujet... (Elle marqua un temps d'hésitation.) Je... suis âgée de 115 ans.

Ainsi des légendes à leur sujet semblaient circuler dans ce monde... Peut-être y en avait-il réelement? Qu'ils se cachaient? Auquel cas... Non, elle ne voulait pas laisser son coeur s'emplire d'un vain espoir. Elle était bloquée en ce monde si étrange, avec d'autres personnes de son monde... Tout ce qui comptait pour le moment, était d'en apprendre plus sur ce monde et... de survivre.
Elle remarqua que l'homme était avide de connaissances. Elle lança un regard au autres, puis prit la parole. Elle partit du principe que l'homme ne savait strictement rien de son monde, et narra, quitte à raconter des choses déjà présentes sur celui-ci. Sa voix s'était faite grave, apaisante, ses yeux rêveurs, lointains, alors qu'elle repensait à son monde qui, déjà, lui manquait.

- Nous venons d'un monde dominé par la magie…

Ainsi la jeune elfe débuta sa narration. Elle raconta de façon succincte, l’histoire de leur monde, car une vie ne suffisait pas pour tout raconter, et comprendre. Elle décrivit certaines races, s’attarda sur certains points que l’homme, Michaël, ainsi qu’il semblait s’appeler – quel nom étrange - ne parvenait pas à comprendre. Étrangement, il sembla connaître une grande partie des races qui peuplaient Jiskul, mais, dit-il, ce n’étaient que des légendes, des mythes, et que jamais personne n’en avait vu… jusqu’à présent…
Aredhel lui conta également, avec amour, semé d’orgueil, comment les hautes forêts des elfes se dressaient fièrement à la conquête des cieux, comment les nains, sous la montagne, des joyaux, des armes, et armures de renommée, comment les centaures, sages et farouches guerriers vivaient en horde dans leurs forêts, comment les dragons, cette race fière et majestueuse, qu’elle semblait priser tout particulièrement, volait dans le ciel, plus libre qu’aucune autre race.
Elle avait accompagnée son récit d’images qu’elles avaient invoquée, dans un miroir de l’appartement de l’homme, qui pouvait ainsi voir son monde au travers des souvenirs de l’elfe.
Aredhel, qui s’était enflammée dans sa narration, s’arrêta, concluant :

- Notre monde est malheuresement en proie à de bien sombres présages. Avant d’apparaître en ce lieu, nous étions en guerre contre les forces du chaos. (Elle marqua un temps de silence.). J’ignore pourquoi, mais il m’est bien plus difficile de faire usage de la magie en ce monde…

Sur ces paroles, elle s’assit, regardant l’assemblée, presque timidement, gênée d'avoir monopoliser l'attention, s’attendant à ce que quelqu’un d’autre se mette à raconter son histoire...

[HRP] Tout d'abord j'aimerais dire que c'est le RP qui me passionne le plus. Bravo pour l'histoire Ëmmelinä ! [HRP]

Repton était assis sur un tabouré en metal, il avait mis son casque sur ses genoux et posait son épée contre le mur.
Il écouté tranquillement la narration de l'elfe en se rappelant sa famille et leur monde. Tous cela lui faisait du mal l'idée même de ne plus revoir les grand plaines de Vremtal lui dégirait le coeur. Il fut tiré de ces pensées pas la femme de Mickaël elle portait un plateau avec plusieurs verre et se qui semblé être des gateaux.Elle pris la parole avant que quelqu'un d'aure ne prénne la parole.

"Je m'appelle Sarah je suis la femme de Mickaël. Je n'ai pas tout compris se que vous avez dit mais je pense que vous devez avoir fain et soif. J'ai ici de l'eau et gateaux."
Elle tendit le plateau vers l'elfe qui pris un verre d'eau, ensuite elle passa vers chaque personne pour qu'il puisse manger et se désaltérer.

Repton pris un verre avec dessus des petit personnage bleu décinés, il pris aussi un gateau. Celui-ci était constitué de 2 biscuits et entre il y a avait une sorte de pate marron. Il goutta prudemment pour s'apersevoir que c'était très bon.Tout à coup il entendit un rire cristalin à côté de lui, cétait l'enfant qui avait percuté le centaure.

"Pourquoi tu mange bisarement monsieur ?
"Et bien .... Je n'ai jamais mangé de ces gateaux .

Le gamin le regarda avec des grands yeux qui firent rappeler à Repton son propre enfant.

"T'as jamais mangé de BN ??!! Il réfléchis un moment puis ajouta. Attend je vais temontrer comment on les mange."

Il alla cherché un "B.N" puis revint près de Repton.

"Regade ce'st comme ça "

Il tourna les deux biscuits pour les décoller, quand se fut fait il lécha la pate marron.
A son tour le soldat fit de même, enfant rigola encore, puis il parit vers une autre pièce de la maison.

En le voyant courir il repenas a son fils qui devrait avoir le même age puis soudain une terrible idées lui vint.
Attendit qu 'un autre récit fut fini puis il pris la parole.
Sa voix était grave et solenneel.

"Et si .... Et si le chaos pouvait venir dans se monde ? Je ne suis pas magicien mais si nous on a pus venir eux aussi il le pourrons. "

Cette question simple mais froide jeta le doute sur tout le monde, personne ne voulez revivre un second Karmin.

Se fut Mickaël qui pris la parole en premier.

"Je ne sais pas s'il pourrons venir mais je crois que le moment est mal choisi pour en parler. Pour l'instant nous devons vous trouver un endroit ou dormir"

Soudain un bruit strident retentit, toute les personnes qui n'était pas de se monde portir la main sur leur arme.

"Oula du calme ce n'est que la sonnette ne vous inquiétez pas."

Il partit dans le couloir dit quelque mots et revint dans la grande pièce.

" Bon ce n'ai qu'Arnaud, il va arriver."

L'elfe pris la parole:

"Je ne connait pas ce monde mais il doit il y avoir des Auberge ou des tavernes."

"Oui il y a un hôtel mais ça coute chère"

La naine pris la parole.

"Mais nous avons de l'argent !

"Je ne crois pas qu'il puisse étre utilisable ici." Répondit
Mickaël

"Oh mais je crois que ceci pourra étre sufisant même dans se monde." La nainne sortit de sa bourse une gemme de la taille du pouce.

Mickaël allait répondre quand la porte s'ouvrit brutalement.

" Salut à toi mon chère cousi .............."

[hrp]Pour moi Catherine est la fille de Mickaël [HRP]

Alize se leva par politesse en voyant rentrer le nouvel arrivant. Tout comme Mickaël, celui-ci était habillé étrangement, avec une chose étrange nouée autour de son cou. Il portait une chemise blanche et un pantalon élégant qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Ce dernier commença a parler à son cousin alors qu'il accrochait sa veste au porte manteau:

- Si tu savais ce qui m'est arrivé aujourd'hui Mickaël, tu n'en reviendrais pas, il y a un enculé au bureau qui m'a...

Il s'arrêta subitement en apercevant le centaure. Mais il reprit d'une voix moins assurée:

- Ah... tu as des invités n'est ce pas ? Bien, ce n'est pas grave, je ne vais pas t'ennuyer... hein ?

Mais Mickaël l'interrompit:

- Non tu ne vas pas m'ennuyer, mais tu vas tout de même rester là. Je ne veux pas que tu ailles raconter a tout le monde ce qui se passe ici.

- Entendu, d'où... euh... d'où viennent-ils ?

Il aperçut le barbare nordique.

- Russie ? Scandinavie peut être ?

Le barbare répondit sèchement:

- Je viens des montagnes de l'Ours Bleu. Et toi, d'où viens tu ?

Sans réfléchir, Arnaud répondit:

- Du bureau. Enfin... je viens... euh... d'un département non loin d'ici, le 92.

Et Harold de répliquer:

- Je ne connais pas cette contrée. Mais je sais que tu es effrayé, pourquoi as tu peur ?

Arnaud s'apprêtait à sortir une réponse bien sentie, mais Mickaël le prit de court:

- Excusez moi de vous interrompre, mais je crois que la situation est assez extraordinaire. Pour tout vous dire, je ne m'en remet pas. Je vous propose de passer à table, où nous pourrons continuer a discuter. Nous n'avons pas grand chose à manger, mais ce sera toujours mieux que rien du tout je pense. Veuillez me suivre et je vous prierais de faire attention à l'endroit où vous mettez vos armes.

Nous nous dirigeâmes avec un maximum d'attention vers la cuisine où nous déposâmes nos armes, puis nous passâmes à table. Je m'assit à peu près au milieu de la table à côté d'Hélior. Involontairement, je rougis, j'aurais peut être du penser à autre chose qu'à draguer... Mais Arnaud s'assit de l'autre côté et il m'adressa la parole:

- Ainsi, vous êtes une elfe ?

- Non, du tout, je suis humaine. Comme vous en somme.

Il eut l'air déçu mais me demanda tout de même:

- Et vous avez un fiancé ?

Personne d'autre n'avais entendu, mais je n'étais pas disposée a lui donner satisfaction. je lui répondis donc:

- Je suis désolé, mais je trouve cette remarque déplacée, est-il coutume dans votre monde d'incommoder les visiteurs ?

Ma réplique avait apparemment fait son effet, il se tut et détourna le regard, j'en étais débarassé. Mickaël prit la parole, et posa une question que je n'entendis pas. Il apporta ensuite divers plats à l'odeur alléchante. Un plat contenant une éspèce de semoule jaune reposait devant moi. Un autre plat contenant... ah ! Je connaissais bien ce plat, des petit morceau blanc... c'était du Rilem, j'en aurais mis ma main a coupé. j'osais demander:[/]

- Excusez moi Sarah, est-ce du Rilem ?

- Nous appellons ce met du riz. Mais il est possible que cela goûte pareil.

[i]Pour m'en assurer, je m'en servis et attendis. J'aperçut Arnaud qui commençait a manger avec appétit, mais je ne le regardais même pas. Je m'apprêtais à rendre grâce a ma Déesse et Grinoï, mon dragonnet allait en faire autant. Lorsque tout le monde fut servit, j'incantais ma prière et une légère auréole bleu m'entoura, bien moins importante que lorsque j'étais sur Jiskul. Mais tout de même chonséquente, signe que ma prière avait été reçue. Heureuse que ma déesse ne m'ait pas oubliée dans ce monde, j'entamais mon plat avec appétit, c'était bien du Rilem. Autour de moi, je vis plusieurs auréoles, signe que les Dieux de mes camarades d'infortune ne les avaient pas oubliés non plus. Arnaud et Mickaël étaient éberlués. Peut être n'avaient-ils pas de Dieux dans leur monde ? Je me décidais à leur demander:

- Excusez moi Arnaud, vous n'avez aucun Dieux dans votre monde ?

Le simplet, heureux de pouvoir servir, me répondit:

- Hélas, nous n'en avons aucun qui ne nous vienne en aide.

- Oui mais vous avez surement tout de même, insistais-je.

Il parut déconcerté.

- Euh... oui, nous en avons, mais personne n'est d'accord sur qui a raison, quel est le vrai Dieu. Il y a deux religions monothéiste majeures: l'Islam et le Catholiscisme. Et il y a également une religion polythéiste qui est très répandu qui se nomme: Bouddhisme. Mais la majorité des gens sont athés et ne croient en aucun Dieu.

Ce fut a mon tour d'être surprise, si ces gens ne croyaient en aucun Dieu, qu'avaient ils comme but dans la vie ?

- Mais pourquoi vivez vous ?

- Nous vivons pour que l'humanitée, les peuples de notre planète toute entière, survive et que la science nous tire de cette planète qui devient de plus en plus petite.

- La planète de votre monde est trop petite ? Comment serais-ce possible ? Une planète, c'est immense !

Il rigola comme si j'étais naïve, ce qui eu le don de m'irriter...

- Et bien cette planète est peut être petite mais elle est presque pleine. Il me montra du doigt une carte placardée au mur. Tu vois, c'est ça notre monde, cinq continents, nous sommes sur celui du milieu, a l'extrémité gauche, juste au dessus de la péninsule Ibérique.

Fixant la carte, j'éssayais de m'en souvenir avec précision mais il y avait trop de détails et cela me lassa vite. Je poursuivis la soirée en discutant avec à peu près tout le monde, apprenant plein de choses étranges et échangeant maint et maint souvenirs heureux ou tragiques du temps ou nous habitions sur Jiskul. Etrangement, leur horloge était identique à la notre, si ce n'est que les minutes avaient l'air de s'écouler plus lentement. Au bout d'un certain temps, je déclarais vouloir dormir. Mickaël me déclara qu'il n'y avait malheureusement pas assez de lits pour tout le monde et qu'il nous proposait en revanche de nous installer sur une séries de draps moelleux dont il avait tapisser une pièce. Ignorant totalement ce que me réservait le lendemain, je m'endormis...

Mon sommeil fut parcourus de rêves étranges, des visions contenant de grands et vieux édifices de forme pyramidale bâtis dans le désert se dressaient devant mes yeux clots. J'aperçut ensuite l'entrée de cette pyramide jaune et un effet de zoom me fit rentrer dedans. Je me réveillais en sursaut, dégageais la main que j'avais sur la poitrine et me dirigeais dans la pénombre de la pièce. En dehors des ronflements, je n'entendis pas grand chose, le centaure était dans la pièce d'à côté et dormait, chose rare chez eux, mais c'était la preuve que le voyage avait été épuisant. J'arrivais non loin d'une fenêtre dont il me fallut comprendre le mécanisme avant de pouvoir l'ouvrir et sortait sur un petit balcon. L'air était frai, voir froid, mais cela me faisait du bien, cela vivifiait. Je revoyais cette immense bâtisse pyramidale, construite dans le désert et me demandais vraiment a quoi elle correspondait. Et surtout ce que cette vision signifiait. Je restait à méditer sur cette cela pendant un petit moment, en proie à une intense réflexion. Puis je décidais d'en parler le lendemain au reste de la troupe.

[hrp]Je répare la petite erreure qui vient de se produire, j'adapte le début de ton texte hyvrax, pour qu'il colle à la fin du mien et je met le post de D.C.A à la suite.[/hrp]

[Ëmmelinä]
Le soleil se levait sur ce que les habitant de ce lieu, de cette planète, appelaient Terre. Je m'éveillais doucement, enlevant à nouveau la main que j'avais sur la poitrine sans regarder à qui elle appartenait. Puis rejoins l'endroit dans lequel nous avions diner hier soir. Etrangement je commençais a me familiariser avec le mobilier et tout ce qui composait une habitation de ces Terriens. Hier soir nous avions appris de nombreuses choses. Bon, nos conaissances étaient partagées, mais nous les mettrons en commun dès que nous serons partis.
Nos balbutiements était sans aucun doute comique pour les humains de cette planète... voir un centaure tenter en vain de faire fonctionner un grille pain, voir deux humanoïdes de petite taille habillés étrangement discutant de la façon dont il fallait appuyer sur les boutons d'un four micro-onde... J'avais compris comment ce dernier marchait hier, l'explication d'Arnaud avait été succinte mais suffisante. Je m'approchais du nain et de la naine et leur expliquait. Ils me répondirent:

- Vous savez mam'selle Alize, nous nous y connaissons en machine, mais nous n'avons pas saisi le côté théorique de ce qu'était l'éléctricitée. Serais-ce l'équivalent de notre magie dans ce monde ? Une chose que l'on ne voit pas, étant capable d'allumer des feux dans des boules de verre, capable de faire cuire les aliments dans une boite, et capable de faire fonctionner ces... voitures. Je trouve tout cela très fort.

- Je suis d'accord messire nain. Mais malheureusement, nous n'avons pas le temps de nous attarder sur les détails de ce monde. Je crois que le magicien qui nous a sauvé la vie nous a mis des rêves dans la tête, nous avons tous une partie de ce rêve dans la tête.

Les yeux du nains s'agrandirent.

- Voila pourquoi je voyais sans cesse se dérouler devant mes yeux clos une longue route de... euh... bitume ? oui, c'est cela, une route de bitume. Matériaux intéressant par ailleurs mais... oui... j'ai une partie de la route dans la tête, je vois les panneaux d'entrée de village. Des panneaux blanc et rouge... Avec un nom dessus ! Nous devront traverser tout ces village pour arriver... euh... je ne sais pas ou on doit arriver par contre...

- Nous verrons cela au calme messire nain, il nous faudra essayer de tirer tout cela au clair. Nous allons devoir partir maintenant.

Je décidais de prendre la parole au nom du groupe:

-Mes chers amis... naufragés d'un monde que vous ne conaissez pas, je suggère que l'on parte de cette délicieuse habitation, car une quête nous attend probablement et nous aurons besoin de calme et de repos pour nous mettre en route.

L'assemblée avait l'air d'accord. Mickaël hocha la tête et nous déclara:

- Je voudrais vous faire un dernier présent avant que vous ne vous en alliez. Suivez moi.

Il sortit de l'appartement et nous le suivîmes.

[/Ëmmelinä]

[Hyvrax]

Le petit groupe descendit de la "maison", quand il furent dans la rue Mickaël les fit attendre quelques minutes.
Il alla vers un petit renforcement dans le mur où était marqué "Caisse d'épargne". Il fit quelque manipulation incompressible pour des personnes qui n'ont jamais vus un distributeur de billet puis revint vers les être légendaires.

-Voila. Il avait dans la main de nombreux papier de différente couleur avec des chiffres dessus. C'est de l'argent, beaucoup d'argent. Il vous servira pour payer l'hôtel.
-Merci a toi Mickaël. Dit Alize. Merci pour tout.
-De rien. Ce n'est tous les jour que l'on rencontre des elfes, centaure etc ... Vous devrez avoir assez pour payer l'hôtel une ou deux nuits mes amis, pas plus désolé. Tenez. Et il tendit l'argent à Alize. Elle tendit distribua une partit des papiers a Repton, au centaure, et d'autre compagnon.

Repton regarda Mickaël attentivement, il avait une famille et une demeure. Tous ce que le soldat avait perdu. Il s'avança vers "l'homme moderne" lui pris l'avant bras et dit:

-Je te remercie du font du cœur Mi-kaël, prend bien soin de toi et de ta famille.
Mickaël ne sachant quoi dire hocha juste la tête.
-Allons y les amis. Dit quelqu'un dans le groupe. Et ils partirent vers l'"hôtel".
Avant de partir la naine donna quelque chose à Mickaël puis rejoint le groupe.

Il y avait de nombreuse personnes encore déguisées, le petit groupe passa inaperçus jusqu'a l'hôtel.
Celui-ci était un grand bâtiment, dessus était écrit en lettres magiques "Hôtel Martin. L'interieur était spacieux avec plusieurs fauteuil rouge, derrière un comptoir une personne habillée en noir rêvassait. Quand il les vit il eu un mouvement de reculs puis dit:
-Que ... Que puis-je faire pour vous.
Ce fut Repton qui parla.
-Salut à toi. Mais amis et moi avons fait long voyage, nous voudrions dormir dans votre hôtel.
-Oui oui ... Vous êtes combien ? Combien de chambre ? Demi pension ou pension complète ?
Repton ne compris pas la moitié.
-Nous somme 15 et nous voudrions êtres le plus possible ensemble.
-Ok ok je vous donne 4 chambre de 4 en demi pension. Ca vous fera 120 euros.
Il réfléchit un moment puis chercha dans les papiers que Mickaël leur avait donné. Il n'avait jamais appris a lire ou a écrire il se tourna désespérait vers le reste du groupe. Une personne vint l'aider en prenant plusieurs papiers puis les donna à l'homme derrière le comptoir.
-Merci, vous avez les ch..... Il s'arrêta net en voyant le centaure. Euh ... Vous êtes quoi ?
-Oh .... Ce n'est qu'un déguisement.
-Ah ok. Vous avez les chambres 204, 205, 206 et 207. Marc vas vous y conduire.

Une autre personne sortit de nul part leur demanda de le suivre. Il les conduits à leur chambre. Puis les quitta.
La chambres de Repton n'était ni trop grande ni trop petite. La seul chose que le soldat reconnut fut le lit. Une chose qu'il n'avait plus vu depuis longtemps.
[/Hyvrax]

[Ëmmelinä]
La journée se passa dans une des chambres d'hotel, les camarades d'infortune se regardant mutuellement, puis Aredhel, l'elfe de cent quinze ans pris la parole:

- J'ai fais un rêve cette nuit...

J'étais peu surprise. Nous nous contâmes mutuellement nos rêves et certains comprirent que leurs rêves s'entrecroisaient. Beaucoup voyaient des routes défiler devant leurs yeux, ces routes menaient a chaque fois devant un panneau blanc entouré de rouge. Le nain qui avait appris leur signification prit la parole:

- J'ai appris auprès d'Arnaud, le cousin de Mickaël, que ces panneaux marquaient les entrées des villages. N'ayant pas besoin de se protéger, il n'utilisent pas de murailles, mais de petits indicateurs comme ces panneaux. Je pense que nous devons traverser tout ces villages afin d'atteindre l'objectif de notre quête... mais... quelqu'un sait de quoi il s'agit au juste ?

Une jeune humaine comme moi prit la parole:

-J'ai la fin du rêve. Je crois... Je suis dans des couloirs étrange, un labyrinthe pourrait-on croire. Je tourne, je tourne, encore et encore. Puis je rentre dans une pièce avec d'étrange dessins sur les murs et une arme en or déposée sur un socle au centre de la pièce. Une voix étrange me murmure cette phrase: "Le temps et l'espace ne sont que des illusions..." Je ne sais pas vraiment ce que cela signifie, mais je suppose que ça doit être la fin de la quête.

Tiquant, je déclarais:

- Mais c'est la suite logique de mon rêve...

Je leur contais mon rêve et une fois cela fait, Harold, le nordique me répondit:

-Nous voyons tous une partie de ce rêve, mettons les dans l'ordre et puis mettons nous en route dès demain.

En disant cela, je regardais par la fenêtre afin de constater que le soleil se couchait et que l'heure de dormir avait sonnée. Nous mangeâmes et...
[/Ëmmelinâ]

[Hyvrax]
...très vite tout le monde se coucha.

[i]Le vent, la chaleur, le feu, Repton était de nouveau a Karmi. Elle était en feu, lui se battait comme il pouvait contre des hordes de peaux vertes. Ces compagnon était la aussi, se battant avec l'énergie du désespoir. Soudain des démon arrivèrent, Repton esquiva le première attaque mais pas la seconde. Il fut empalé par l'immense épée du monstre. Pendant qu'il mourait le démon approcha sa tête de Repton et dit:
-Ce n'est pas finit !
[/Hyvrax]

[Ëmmelinä]
Repton nous fit par de son rêve le lendemain matin. Il était étrange qu'il ait fait ce genre de rêves, ils n'avaient aucun rapport avec ceux que le mage avait probablement insérer dans nos conscience. Peut être qu'un démon avait réussit à passer outre cette enchantement et avait insérer son propre rêve dans la conscience de Repton... Auxquel cas, il nous manquait une partie du plan. Je soupirais.
[/Ëmmelinä]

[D.C.A]
Le centaure, qui avait dormit dans la même chambre que Repton, était debout. Ce qui était normal car, comme les chevaux, les centaures dormait debout. Il regarda dehors et annonça à tout le monde :

"Il est sept heures trente... je crois que ces l'heure du petit déjeuner en bas.
Si vous descendez, pensez à m'ammener quelque chose. Je pense pas qu'il soit judicieux que je descende !!!"

Puis le centaure regarda de nouveau dehors, observant ce monde de plus en plus étrange.
[/D.C.A]

[hrp]Bon, j'ai corriger a peu près tout ce qui étais possible au niveau des incohérences, j'en profiterais juste pour faire une petite remarque vicieuse a D.C.A (si si j'ose ^^), mais vu que tu écris moins que nous, fais au moins attention a tes fautes, j'en ai corriger au moins sept ou huit dans ton petit paragraphe . Bon, puis sinon, ben... excusez moi pour ce contre temps. Reprenons ![/hrp]

La disparition d'Helior surprit tout le monde et m'attrista en première, mais un soldat légèrement blessé, mais pansé, reconcentra tout le monde:

- Si tel est le choix de cet Elfe, il faut le respecter, cela fera juste une petite partie de la carte en moins, mais nous nous débrouillerons pour retrouver notre chemin. Nous devons partir sur les traces de ce plan, j'ai la première partie, traçons notre route à travers les étranges chemins qui s'offrent à nous. Je connais le chemin pour aller jusqu'à Paris, cette ville gigantesque nous attend. Nous avons de quoi payer, nous aurons donc de quoi manger, nous aurons ainsi donc de quoi poursuivre notre quête.

Sa déclaration provoqua quelques hochement de tête et des murmures dans la petite troupe. J'allais chercher le centaure dans la chambre, lui déclarant que nous devions partir. Avec un hochement de tête, il me suivit. Ca ne va pas être facile de passer inaperçu avec lui pensais-je. Une fois arrivé en bas, toute la troupe était au complet. Nous nous engageâmes alors sur ces routes de bitumes en direction de Paris.

Après deux heures de marche, le soldat, un homme de grande taille qui portait le nom de Zernol nous indiqua un changement de direction. Nous étions alors à l'orée d'une verte forêt avec de nombreux chemins qui la traversaient et des bancs un peu partout. Mickaël nous avait mis en garde contre les voitures et nous avait dit que pour traverser les routes de bitume il fallait absolument passer sur une série de lignes blanche. Dès que nous en aperçume une, nous traversâmes, la forêt se dressait devant nous, avec ses arbres à l'allure macabre sous le soleil couchant de Novembre...
Ah, Novembre ! Au moins, les mois portaient le même nom que sur Jiskul. Et celui ci portait déjà bien son nom dans notre contrée. C'était le début de l'hiver... et ça se sentait ! Pour éviter le froid, un chaman nain du nom de Goldrik nous avait entouré d'une aura de chaleur qu'il ne pouvait invoquer que difficilement. Sans compter qu'il était obligé de prendre une pause régulièrement et bien sur, de dormir. Donc nous avions froid. Mais nous n'avions pas encore passer la nuit et la peur se faisait sentir. Allions nous mourir de froid ? Nous n'en avions pas l'intention, bien sur. C'est pour cela que Repton, au moment de monter le camp, eut une idée... euh... intéressante:

- Et si nous faisions un feu ?

Complètement abassourdie de ne pas y avoir penser avant, je répondis:

- C'est une idée...

Ce dernier esquissa un sourire et ajouta:

- Alors allons chercher du bois, nous sommes encore dans la forêt.

Promptement, quatre soldats partirent dans le froid en dehors de l'aura, pour chercher du bois. Durant ce temps, j'appellais ma déesse pour m'aider à franchir les épreuves du temps.

Après ma prière, j'allais voir Repton pour le remercier d'avoir eu cette idée mais ce dernier était déjà en conversation. J'attendais donc qu'il ai terminé pour l'interpeller. Lorsqu'il se retourna, je lui adressais la parole:

- Dites, c'est une bonne idée que vous avez eu là. C'était pourtant si simple de penser à cela. Je rigolais. Apparemment, ce chaman nain est le seul mage que nous ayons et c'est également le seul pouvant nous procurer du feu. Il faudrait le garder en bonne santée. Je souriais, puis remarquais, en dehors de son torse d'homme musclé, ce qui avait le don de me faire fondre, un magnifique médaillon en forme de fleur. Je lui fit les yeux doux et lui demandait:

- Excusez moi si c'est indiscret, mais... je suis intriguée par ce magnifique médaillon. A t-il des propritétés quelconques ?

Tandis qu'Alize et Repton discutait ensemble, le centaure s'exlipsa discrètement du campement après avoir tout de même prévenus Zernol qu'il allait revenir dans quelques minutes.

Comm tous les centaures des plaines et d'ailleurs, Forin était en empathie avec la nature et sentait donc la douleur de se petit bois, souillé par les villes environantes. Le centaure s'arrèta pour méditer quelques minutes et une petite discution avec un rossignol, Forin revint au campement, abattu et presque déprimé.

Le rappelle de son médaillon attrista grandement Repton. A ce pendentif était attaché ses souvenirs de sa femme et de ses enfants. Le soldat raconta son histoire à Alizé. Comment il avait eu ce médaillon.

Sur une colline verte du royaume de Karmi, un couple regarde le couché de soleil. On est en été, il ne fait ni chaud ni froid, juste une petite brise leur rappelle qu'ils sont là.
-Repton, tu crois que c'est vrai se qu'on raconte à l'ouest ? Que les orcs montent une armée.
Le futur soldat regarde sa femme avec amour.
-Qui sait, cela fait des centaines d'année que les orcs montent des armées, et autant de temps qu'on les repousse, le roi sera quoi faire et les repoussera.
-Mais s'ils arrivent jusque qu'ici ? La voie de Lucy était pleine d'inquiétude.
A se moment Repton se leva pris un bâton et pris la pose d'un grand guerrier brandissant son épée.
-S'ils viennent jusque là je les repousser pour te protéger et protéger le p'tit gas.
Et il fit tournoyer son bâton dans tous les sens mimant un combat épique, sous le rire cristallin de sa femme.
Un peu plus tard quand il furent rentré, Lucy se tourna vers lui et lui tendit un petit objet.
-Tien je le tien de ma mère, qui le tenait de sa mère, depuis de nombreuse génération. On dit qu’il a était béni par les elfes et qu’il détient un grand pouvoir.
Se qu’elle tenait dans la main était un pendentif représentant une rose finement sculptée dans un bois que Repton ne connaissait pas. Un petit dragon s’enrouler autour de la tige.
Le paysan regarda l’objet puis sa femme. Finalement il tendit le cou pour qu’elle puisse lui passer le pendentif. Quand se fut fait il l’embrassa et ils allèrent se coucher.

Ensuite il raconta comment sa famille se fit tuer par les démons et il finit son histoire par son rentré dans l'armé. Au fur et a mesure qu’il parlait d'autres personnes arrivèrent pour entendre son histoire. Quand il eut finit, tard dans la nuit tout le monde alla se coucher en silence, le coeur gros de souvenir de leur monde perdu. Quand le soldat se coucha il repensa aux paroles de sa femme « On dit qu’il a était béni par les elfes et qu’il détient un grand pouvoir. » Et si s’était ça qu’il l’avait sauvait au cours de toutes ces batailles, il n’ pensa pas longtemps et sombra dans un sommeil profond.
Le feu crépité et produisait une chaleur douce et bienveillante. Rapidement la petite troupe s'endormit sans que personne ne pense faire un tour de garde.

De nouveau la colline, mais cette fois si elle n’ai plus verte, cela fait depuis plusieurs jours que l’herbe a été remplacé par le sang et la cendre. Dessus se tien Repton en armure et armé d’une épée qu’il agite dans tous les sens non pas pour mimer mais pour protéger sa femme des démons qui arrivent de toutes parts. Animé par la force du désespoir il tape, esquive, pare et encaisse. Mais cette énergie n’est pas assez grande pour empêcher l’inévitable, un petit diable passe sa défense et frappe sa femme avec son petit hachoir. Le coup tue Lucy, elle tombe lentement avec un dernier regard pour son mari. Fou de rage et de tristesse Repton hurle et venge son aimé en décapitant le démon. Ensuite il fonce au plus profond de la mêlée en attendant la mort. Mais elle ne vient pas, tous ces coups portent et tuent. Bientôt il est seul au milieu des cadavres. Il lâche son épée et tombe a genou près de sa femme. Il pleure longtemps, puis il entend une voie, elle est profonde et semble venir de partout.
-Tu ne dois pas dépérir Repton, il te reste encore beaucoup de chose à faire.
Il se tourne, cherche la source cette voie mais il ne voie rien, de colère il crie :
-Qui es-tu ! Que me veux-tu !
-Je ne veux que ton bien.
-Tu n’as pas répondus à ma première question ! Je veux……
Le Soldat se tait, devant lui un dragon vient d’arriver, la créature des légendes et des contes. Avec grasse le grand reptile se pose devant lui, sa silhouette est effilée, ces écailles sont en argent et son regard d’un bleu profond.
-Je me nomme Safran, je suis ton protecteur. C’est grâce a moi que tu as survécut jusque là, je t’ai protégé pour que tu puisse accomplir ton destin. Il faudra que tu apprennes à maîtriser mon pouvoir et le tien si tu veux arriver à fin.
Repton avaient des centaines de question mais Safran coupa cours.
-Mais maintenant il faut que tu te réveilles si tu ne veux pas finir prématurément ton histoire.
A se moment le dragon hurla et le soldat ouvrit les yeux.

Le soldat se réveilla en sursaut, il été en sueur, son coeur battait la chamade et sa poitrine lui faisait mal. En la regardant il vit que son pendentif était devenu rouge. La peau de Repton avait été brûlée à l’endroit au avait reposé le pendentif.
Il regarda autour de lui, le feu était depuis longtemps devenu braise et les étoiles brillées. Tout à coup un mouvement attira son regard, il avait déjà vu se genre de mouvement. Habitait par des réflexes de soldat, se leva pris son épée et hurla :
-Alerte, le camp est attaqué !
A ces mots tout le monde se réveilla et des petites forment sortir de la forêt, des diablotins.
Rapidement un combat acharné commença, chaqu’un luttant pour sa survit. Les diablotins ne sont pas de grand combattant mais ils sont nombreux. Repton en tua plusieurs à grands coups d’épée, Alizé faisait mouche à chaque foie avec son arc, le barbare déchaîna sa force et le centaure montra à quel point sa race était puissante. Rapidement les assaillants furent vite anéantis, avec peu de blessure mais maintenant une terrible certitude. Ce fut Repton qui parla en premier.
-Maintenant on sait que les démons ont passé le portail ou en ont créé un autre.

Le centaure n'avait été que légèrement égratiné au torse par un coup de griffe pendant la bataille. Il attendait que Repton eut finit de parler puis il dit, pour lui-même mais, involontairement, audible par tous :

"C'était donc ça..."

Puis il ramassa ses affaires et dit au autres :

"On s'ra plus en sécurité dans les villes et les autres villages. Ces démons ne tiennent, tout comme nous, à déclencher un conflit dans ce monde où ils sont instables.
Le centaur dégaina un de ses cimeterre et trassaa au sol deux lignes parrallèles
Notre monde c'est cette ligne et celui-ci cette autre ligne. Ces lignes ne sont pas fixe et droite, elles se raprochent, s'éloignent, se mèlent, s'atirent, se repoussent, s'affrontent et bien d'autres choses encore. An tout cas, ce qui est sur c'est que plus ces lignes sont proches plus les démons sont fort, plus elles sont loin plus ils sont faibles..
Ils ne savent pas, tout comme nous, qu'elles est la puissance militaire de ce monde et ne tenteront pas de l'envahir, car ils y sont plus faible et ne tiennent pas à révéler ler présance à des dvesaire à la puissance inconnues. Par contre, si comme je le pense, et eux aussi, se monde est un ensemble de plans, ils attendront que les démons de ce mondes envahissent celui-si afin de pouvoir prouver leur valeur à ces autres démàons, en les anihillant tous ! Ca que j'espère, c'est que:
-soit les démons de ce monde ont déjà été battus
-soit ils souhaitent pas, ou ne peuvent pas, l'envahir.
Sur ce, partons."

Tout en parlant, il avait rengéné sont arme et se dirigeait maintenant vers la sortie de la forêt.

Le cour du centaure m'avait été utile car j'ignorais tout des plans parallèles, mais je me demandais où il avait pu acquérir cette conaissance habituellement réservée aux archimages. Maintenant qu'ils étaient réveillés, je me demandais quelle route on allait prendre et surtout, qui avait la partie de la carte qui les aiderait... Depuis peu, je m'étais lié d'amitié avec une elfe du nom de Marnes, dernière représentante de sa race avec Hélior, elle était toutefois moins... marginale que ce dernier et ce fut elle qui les mena pour la suite.
La route repris donc, lorsque le chaman nain eut une idée intéressante. Pourquoi ne pas emprunter l'une de ces "voitures", elle avaient l'air d'avancer bien plus vite qu'eux ou même que le centaure. Si ce monde n'était pas trop vaste, ils pourraient peut être réussir à accomplir leur quête avant de mourir de vieillesse...
Mais comment prendre ces voitures, en avaient-ils le droit ? Ou étais-ce du vol ? Mickaël ne leur avait rien dit à ce propos. Par ailleurs la faim se faisait sentir et les vivres que Mickaël leur avait distribués étaient presque épuisés. Sans compter que le chaman n'arrivait plus à assurer une onde de chaleur assez importante pour la troupe. Bref, la situation devenait critique, sans compter que les Démons étaient présent.
Comme si tout ça ne suffisait pas, le sol trembla soudain et s'effondra sous les jambes du groupe, une chaleure intense les envahit et ma vision se brouilla, comme pour tout les autre appris-je plus tard. Les couleurs réaparrurent, je reconaissais cet endroit, c'était à deux kilomètres de Karmin ! Le ciel était noir et une haute tour se levait à la place de la magnifique cité verte. Les forêts avaient été rasées et l'oxygène semblait provenir d'une dizaine de plante recrachant de la fumée mauve... J'étais attérée, j'avais la nausée, mais mes compagnons venaient de rouvrir les yeux et apercevaient quelque chose d'autrement plus préocupant que le retour sur Jiskul: une bande de troll géants se dirigeant vers le petit groupe. Je tentais d'armer mon arc mais celui ci était resté dans l'autre plan. Les trolls avancèrent et commencèrent à taper. Ils écrasèrent d'un coup de masse six personnes dont Repton. J'hurlais. Lorsqu'il releva lourdement sa masse, Repton était encore debout, il était passé à travers la masse. Ainsi que les cinq autre... Ne comprenant rien, je n'eus pas le loisir de me pencher sur le problème, le sol s'effondra à nouveau sous nos pied, chaleur, vision brouillée, atterissage dans le froid du plan alternatif. Ainsi les plans pouvait se superposer... Merci à Lanarm pour ses informations, au moins je n'étais pas surprise.
Je déclarais, à la limite de l'énervement:

- Rhaaaa... finissons cette quête ou notre monde ressemblera à jamais à ça !

Ils acquiescèrent et nous nous remîmes en route, sans toutefois plus d'idées pour acquérir un véhicule. Il faudrait probablement aborder un humain pour se procurer des informations. Je soupirais, j'en avais déjà marre de cette galère.

Le centaure avait été quelque peu surpris par ce changement brutal mais il savait très bien qu'ils auraient pu tous mourir si les mondes ne s'étaient pas éligner avant que les trolls ne les atteignent. Ne voulant pas traumatiser davantage ses compagnons il décida de ne rien dire. Le problème des voitures était le plus urgent, mais Lan aait son idée là-dessus. Tandis que le groupe marchait, le centaure se mis à roucouler, immitant admirablement bien le cri des pigeons. Certains de ses oiseux arrivèrent bien vite et une discussion s'engagea bien vite entre eux et le centaure. Les autres membres du groupe étaient, pour la pluart, perplexe. Ne comprenent rien aux roucoulements du centaure et de ses nouveaux amis, sons qui étaient, à la longue, très irritant, le barbare et d'autres membres du groupe s'énervèrent bien vite et manifestèrent leur mécontentement. Mais la discussion n'en finissait et d'autres pigeons arrivaient sans cesse.

Finalemnt la conversation pris fin. Tout le monde regarda le centaure avec de grand yeux, pendant que celui ci disait aurevoir, exédé le barbar lui hurla presque dessus.
-Mais qu'est que tu fous ? Tu nous as presque rendut fou avec des conneries.
L'intéréssé lui répondit calmememt.
-Je sait ou il y a des voitures. A un ou deux kilomètres d'ici vers le nord.
-Parfait allons y. Leur dit Alizè.

Pendant qu'ils marchaient Repton essayait de prendre contacte avec son médaillon. Le tenant de la main droite il pensa le plus possible au dragon qu'il avait vut. Mais rien ne vint, finalemnt il se dit qu'il faudrait mieux qu'il demande a un schaman ou un mage du groupe. Quand il aurrait plus de temps. Il marché depuis quelque minute quand il entendire le tonèrre, pourtant il n'y avait pas de nuage. Le bruit continua quelque seconde puis il s'arrêta et fut suivit du bruit d'une branche qui tombe.
Quand ils virent la source se ce vacarme les elfe, le centaure et autre personne près de la nature eurent un choc. Une dixène de personne en uniforme jaune et orange coupé des branche d'arbre. Mais pas avec une hache, avec une sorte d'engin bizard qui pouvait coupé une branche sans effort. A côté d'eux se trouvait des véhicules qu'ils cherchaient, il y en avait des grand et des petit.
Au début ces "soldat ne les virent pas, ne sachant quoi faire les compagnons le firent rien. Soudain une personne les vit, il avertit ses collègues et il s'avancèrent vers les nouveaux venut.

Les hommes s’approchèrent avec méfiance du petit groupe. Repton s’avança et leur parla.
-Salutation messieurs. Mes amis et moi somme perdu, et nous voudrions rejoindre la grande Parie. Pourriez vous nous y emmener avec vos … voiture ?
Ces le plus grand des hommes en uniforme qui pris la parole.
-Vous êtes bien beau toi et tes amis. On n’a pas que ça a faire, on doit dégager se chemin. Partez d’ici ! On n’a pas besoin de fou comme vous ici.
La plupart des compagnons de Repton baissèrent les épaules, mais le barbare mis la main sur le pommeau de son épée et s’avança vers les « soldat ».
- Fou ! Fou ! Jamais personne ne ma traité de fou. Vien te batt …..
Il n’eu pas le temps de finir ça phrase que Repton s’avança vers lui et lui parla à l’oreille.
-Calme toi. Ils ne peuvent pas savoir. Partons, nous trouverons un autre moyen.
Devant eux la plupart des hommes en uniforme souriaient. Mais pas leur chef. Il allait dire quelque chose quand soudain le sol changea, les arbres commencèrent petit à petit à disparaître et sol devins plus vert et le ciel pris une teinte rougeâtre. Devant eux au loin une immense citadelle s’élancer à l’assaut du ciel. Les compagnon de Repton et lui-même savait déjà au ils étaient, mais les hommes du monde moderne était totalement perdus. L’un d’eux, le plus jeune, commença crier en se tenant la tête, d’autre se laissèrent tombé. Leur regard était porté sur le ciel rouge et la citadelle.
Leur chef se tourna vers Repton et lui hurla au visage.
-Qu’est ce que c’est que se bordel ! Tu vas nous ramener vite fais où on était avant que je ne t’explose !
- Calme toi l’ami. Nous somme dans mon monde et je ne peux pas te ramener.
- Ton monde ?! Tu ne peux pas nous ramener ?! C’est quoi se bordel !
- Les deux dimensions se sont encore rapprochées.
Alizé dit cela plus pour elle-même que pour répondre.
-Les deux dimensions ?! Je ….
Sa voie mourut quand il vit quelque chose au loin, lentement il pointa le doigt tout en disant.
-Qu … Qu’est ce que c’est ?!
Ce tournant Repton pu voir un démon. Les années qu’il avait passait à se battre lui avait appris à reconnaître ces créatures et à savoir quand il fallait fuir.
-Courrez ! C’est un démon majeur. Courrez pour sauver vos vies !
Dans un même mouvement tout le monde commença à courir comme ils n’avaient jamais courut. Mais il était trop tard, les puissantes ailes de la créature lui permirent de les rattraper en peut de temps. Piquant sur un homme du monde modern, elle le faucha grâce à son immense épée.
Maintenant le démon était au centre de la petite troupe, son arme dégoulinant du sang chaud de sa victime. Haut de cinq mètres, sa terrible présence insuffla aux hommes et femme présents une terreur sans non. De son regard noir et malsain il inspecta le coeur de chaque une de ces proies.
-Fuyez … courrez et ne vous retournez pas.
C’est le barbare qui parlait, sa voie était calme et sereine mais dans il y avait dans ces y eux une rage sans nom. Invoquant les dieux anciens il chargea le démon avec la force des bersekers de son clan. Surpris de tant de courage la créature maléfique ne pu que parer la première attaque.
La rage berserk était connu dans tous les royaumes comme était la plus impressionnante forme de combat. Le barbare parait et esquivait avec une agilité surhumaine pendant quelques instants ces amis crurent qu’il allait prendre le dessus, mais rapidement la puissance du démon se montra plus forte. Avec un hurlement terrifiant il lança une attaque qui passa la défense du barbare. Pendant quelque instant l’homme fut suspendu dans le vide, l’épée démoniaque au travers le corps. Criant de rage et de désespoir ces anciens compagnons se jetèrent sur son bourreau. Mais il était trop tard, le sol trembla et le paysage changea, petit à petit la forêt réapparut. Tout le monde était revenu, même le cadavre du barbare et de l’homme du monde modern. Quand les alentour se stabilisèrent chaqu’un se laissa tomber, certains repensant aux quelque minutes qu’ils avait vécu dans un autre monde, d’autre pleurait ou délirait.

-Qu’est ce qui c’est passé ? Demanda le chef des hommes en uniforme.
Se fut Repton qui lui répondu en premier.
-Nos deux dimensions on fusionnait en cet endroit et en cet instant.
-C’est vous qui avait fait ça ?
-Non. Il réfléchit un moment puis ajouta. Mais on semble attirer se genre de phénomènes.
-Qu’allait vous faire ?
-On doit rejoindre Paris.
-Je m’appelle Marck et vous ?
-Repton.
Marck regarda le ciel, ces yeux étaient remplis de larmes mais aucune ne roula sur ces joues mal rasées.
-Bien, Repton. Je vais vous aidez à aller à Paris. Je pense que plus vite vous aurez atteint votre objectif plus vite ces cauchemars arrêterons. Il ce tourna vers ces hommes et leur dit. Pierre, Mathieu vous allez venir avec nous, les autres rentrez chez vous, mais pas un mot à propos de cette histoire. Nous verrons demain quoi faire.
Le plus jeune demanda entre deux sanglots.
-Qu’est-ce qu’on fait de Jack ?
C’est Repton qui parla.
-On va l’enterrer avec notre ami.
Marck se leva tout en disant.
-Bien allons-y.