Skarggicide (complet).

Libria était dans un état critique, assaillie de part et d'autres par les Skarg, les trouppes d'Odrix avaient été appellées en renfort. Des affiches avaient recouvert les murs de la caserne, nous annoncant leur arrivée. Ils devaient arriver en très grand nombre, tous les guerriers, les dresseurs, et les flyhunters fesaient le ménage et de la place pour loger chacun un arrivant d'Odrix dans sa chambre. Il y avait peu de femmes dans l'armée, les conditions étaient dures, mais jamais je ne laisserais ma cité être envahie par des milliers de Skarg. La perte de ma mère me tourmentais encore aujourd'hui, chacunes de mes nuits étaient hantées par ces atroces cauchemards, sans cesse je la revoyais, prise au piège parmis eux. Et chaque matin, ma haine envers eux ne fesait que s'intensifier. Je me battais sur le dos d'Hector pour sauver ma ville, ma patrie, celle qui m'as vue grandir, mais aussi pour venger ma mère. Jamais ma haine ne sera apaisée ni mon deuil fait tant que des Skarg seront encore en vie sur mes terres, sur nos terres, la terre de mes frères.

J'avais rangé la petite pièce qui me servait de domicile depuis que j'était entrée dans l'armée, rajouté un lit de camps et fait de la place pour le soldat qui allait partager des semaines, des mois, voire des années avec moi dans cette lutte sanglante. Je m'était habituées aux alertes et annonces régulières qui retentissaient dans les haut - parleurs pour nous prévenir des attaques et nous demander d'être sur le pied de guerre dans les 5 minutes qui suivaient. Rapidité, dévouement et courage étaient les qualités essentielles pour défendre la ville. Au rapport de 20 h, l'annonce fut un peu différente.

"- Il est 20h, c'est votre capitaine qui vous parle. Comme vous en avez été informés, les trouppes d'Odrix arriveront ce soir à 23h45 présices au port 2. Soyez prets à venir les acceuilir en temps et en heures. Les répartitions ce feront à 00h dans la salle de déjeuner. "

Plus rien. Enfin. Ils arrivaient, peut être avec eux nous pourrions sauver la ville des attaques ...
Je l'espèrais, j'était fatiguée, fatiguée de cette guerre.
Je restais la à réfléchir, sur moi, ma mère, cette guerre interminable, pendant des heures, j'en avait oublié l'heure du repas, et regarda l'heure sur le reveil. 23h 17. Je me donnais un coup de brosse et descendis en direction du Port 2 pour acceuilir les arrivants d'Odrix.

Le port N°2 de Libria s'étendait sous mes yeux, depuis le batiment de commandement j'avais une vue parfaite sur les différents quais ou les hommes de

libria attendaient l'arrivée de ceux d'Odrix, je sortis du poste pour aller rejoindre mes hommes en pensant a ma femme et ma mère qui attendaient patiemment mon retour et surtout l'arrivée de notre enfant.
Puis mes réfléctions se portèrent ensuite vers les dinosaures, ils paissaient tranquillement dans l'enclos au bord Sud-Est de la ville, je me demandais quel

allait être leur réaction face aux nouveaux venus, ils étaient aussi soudés entre eux que mes hommes mais auraient certainement plus de mal a accepter des

nouveaux membres parmis eux, mais bon, je faisais assé confiance a mes hommes pour leur expliquer sagement de ne pas faire de bourdes.
J'arrivais enfin sur le quai N°4 ou mes hommes devaient attendre, je repérais trés vite Riger mon second qui inspectait les hommes afin de s'assurer qu'ils

soient présentable et meme parfait.
Je m'approchais d'eux et en me voyant ils se mirent au garde a vous, je passais devant eux en les regardant avec un sourire de fierté.

-Bien, tout m'a l'air parfait, Repos. Les membres de l'unitée se mirent au repos avec soulagement.
Les quartiers sont-ils en ordre Riger ?
-Nous avons tout préparé pour recevoir le double de nos effectifs chef, ce n'est malheureusement pas le cas dans les escouades...
-C'est normal, j'ai confiance en vous et je sais que la respect des autres compte parmis nous. C'est notre différence avec les autres.
-Merci chef.
-Bien, les troupes d'Odrix ne devraient plus tarder maintenant, une partie de leurs flyhunter sont déja à la volière avec les notres, ils disent que la

flotte est juste derrière eux.

A ce moment là, un sourd vrombissement de corne se fit entendre dans la nuit moite de Libria, en me tournant vers le large je pus apercevoir des lueur se détacher dans la nuit.
Une autre sonnerie se fit entendre, venant cette foi ci de la ville. Tout était prèt, il ne restait plus qu'a débarquer, a se répartir, puis a dormir jusqu'au lendemain ou l'on ferait un grand rassemblement.
Les bateaux se raprochèrent et les barges des dresseurs commencèrent a longer notre quai sans un bruit.
Des exclamation commencèrent a fuser de toute part pour saluer l'arrivée des renforts, mes hommes lancèrent de longues ovations devant les lourdes portes qui

s'abaissèrent pour laisser entrevoir des tricératops et autres dinausaures avec a leurs cotés leurs dresseurs.

-ESCADRON N°3 PAR ICIIIIIII!!!! hurlais-je, les renforts ayant étés assignés a notre unités commencerèrent a s'approcher de nous et stoppèrent devant nous.
Tout le monde est là ?
Un homme se mit en avant:
-Oui, nous somme assignés a l'escadron N°3 de Libria.
-Puisque c'est celui que j'ai apellé...Votre nom ?
-Armand, monsieur. On m'a assigné le comandement des renforts jusqu'a vous.
-Parfait, je vais vous envoyer aux enclos pour que vous puissiez y déposer vos dinos, ensuite nous vous attendrons dans nos quartiers.
Ryger, Annah. Conduisez les renforts a l'enclos, veillez a ce que leur montures soient prisent en charge avec soin puis ramenez les hommes chez nous.
-OK chef!

Je fis signe au reste de mes hommes de me suivre et laissais Ryger et Annah s'occuper des nouveaux arrivants.
Je sentais que la soirée allait être arrosée dans nos quartiers, Riana n'aimait pas que je boive et ma mère non plus...

La traversée se passa bien, les activitées a bord étaient simple et respiraient la tranquilitée. Regarder des oiseaux passer dans le ciel, cette nouvelle race de volatile possédant une carapace de plumes... étrange... mais parfois mon regard se tournait vers les profondeurs sous marine et je voyais des monstres marins de la taille du bateau passer par dessous. Je frissonais, bien que je sache qu'ils ne nous feraient rien tant qu'il n'y avait pas l'odeur du sang.
Je rejoins mon escouade dans la barge que tirait le trimaran géant, celle ci étant reliée par une échelle horizontale a laquelle on devait s'arnacher. je m'acrochais donc et amorçais la courte distance qui séparais les deux embarcations. Mais une vague me submérgea au centre et je lachais prise, le cable qui me retenait n'était pas court pour ne pas gêner la libertée de mouvement et comme je n'avais pas le pied marin, je tombais.
L'eau était translucide, bien que profonde et je pus voir de près les créature gigantesque. J'étais tétanisé et ce que j'attendais se produisit soudainement. Je pris la corde avec mes dents et commençais a la scier, mon esprit ne savait plus ce qui se passait, je lui demandais d'arrêter, mais il ne voulait rien entendre... Contre mon gré, il chassa tout l'air de mes poumons et je devins blême très rapidemment mais je fut tiré assez tôt de l'eau. Un gout étrange me restait dans la bouche... ce n'était pas du sel, ce n'était pas une algue... qu'étais-ce... le temps que la crise finisse de passer je me rendis compte de ce que c'était...

Du sang, le sang que j'avais perdu en rongeant la corde ! La folie qui me pris était tout a fait lucide cette fois ci... les dinosaures sous marins avaient obligatoirement sentis cette odeur qu'ils appréciaient tant. Le sang. Prévenir ! Vite ! Trop tard.
Je vis la barge sur laquelle j'avais été récupéré trembler. Se soulever, ce qui fit trébucher un diplodocus et hurler tout les dinosaures, et finalement se rabaisser, a l'arrière de la barge se tenait un magnifique Liopleurodon* de 22 mètres de longs. Sa machoire apparut a l'arrière de la barge, engloutissant des litres d'eau. Lorsqu'il retomba, la barge était sur le point de couler, mais aucun dégât n'avait été constaté. Tout le monde écopa et tenta de calmer les dinosaures énervés. Tandis que je tentais de me calmer moi même.
Une fois le calme revenu a bord, j'entendis le capitaine dire qu'il ne comprenais pas. Qu'il n'avait jamais vu un dinosaure marin l'attaquer durant une traversée... je m'éclipsais, faisant bien attention a cacher cette vilaine plaie que j'avais sur la lèvre. La dernière nuit de traversée tomba et nous aperçument la ville au loin. Le phare nous indiquant la route. Deux heures plus tard, nous arrivions sous un tonerre d'aplaudissements et d'ovation, chaque escouade mieux rangée que l'autre... Malheureusement, nous étions presque aussi nombreux que ceux qui nous acceuillaient. J'aperçus le troisième escadron de dresseurs droit devant nous, nous avons alors débarquer avec ma petite troupe, nous apportions en renfort un diplodocus, deux brachiosaure, une dizaine de tricératops et autres dinausaures apparentés.
L'arrivée fut plus solenelle et les ovations avaient cessé. Au premier abord, le "chef" d'escouade ne me plut pas trop, mais je n'eus pas l'occasion de m'en occuper, je fut conduis aux enclos ou je pus voir que nos dinosaures seraient traités avec soin. J'abandonnais Manon aux mains des soigneurs et rejoingais la caserne, guidé par une charmante demoiselle dont j'avais réussi a obtenir le nom. Annah.
Une fois arriver a la caserne, je m'aperçut qu'un gigantesque buffet avait été levé, étonné, je m'approchais et posait la question la plus ridicule du monde:

- Puis-je ?

Le préposé au buffet me répondit en riant que c'était autorisé en effet de se servir. Rouge de honte, je m'écartais en me promettant de ne plus le recroiser... Je pris plusieurs tranche de raptor, une nourriture apprécier principalement par la gente masculine et me servit de leur bière de malt locale.
Je toussais tellement celle ci arrachait la gorge. Mais ce n'est qu'une bière ! pensais-je. Malgré cela, le gout restait tout a fait agréable et l'envie d'en reprendre ce fit sentir, après quelques assiettes de raptor et trois ou cinq choppes de ce délicieux breuvage, je sentis le sommeil arriver. Il faut dire que j'avais l'alcool commateux... L'alcool coulait a flot ce soir, je voyais des gens danser et d'autre s'écrouler... Mais alors que je m'étais installé sur un confortable fauteuil et que mes yeux s'ouvrait et se fermaient alternativement, j'aperçus Annah au bar... j'ssayais d'aller la voir pour discuter mais aucun moyen. J'étais clouer au fauteuil... je fermais les yeux et sentis une présence a mes côtés.

*

La soirée avait été délicieuse, tous, nous étions heureux d'avoir vu arriver les renforts d' Odrix. J'avais passé la soirée à me delecter des mets du buffet en discutant avec d'autres dresseurs de choses etd 'autres. Pendant une brève période nous aviosn tous oubliés la guerre, enfin, il semblait ....
Armand, un des dresseurs d'Odrix s'endormait sur sa chaise à l'autre bout de la salle, je m'avancait vers lui.

- Tu peux aller te coucher si tu veux, il est déja tard, demain on ce lève tôt, l'entrainnement est programmé à 08h15. lui dis - je.

Il ce réveilla en sursaut, et me dit qu'il allait rester encore un peu. Il semblait tellement solitaire ....
Il ce leva et m'accompagna au bar, je le présentait à l'équipe, et nous primes un verre ensemble. Cette fois, c'était moi qui comemncait à être eténuée. Je ne semblait dailleur pas être la seule, beaucoup baillaient, les paupières mi - closes.
Le capitaine ce décida enfin à annoncer la fin du buffet.

" - Mesdames, Messieurs, il est à présent l'heure de retourner dans vos chambres. Vos responsables ont les listes des collocations. Demain, je veux voir tout le monde prêt sur son terrain à 08h15. Montrez l'exemple à nos amis d'Odrix. Bonne soirée"

Le capitaine Grant nous avait donné la liste des chambre et ordonné d'aller ce coucher. Armand me suivi le long des couloirs jusqu'a la chambre.
J'ouvris la porte et alluma la lumière.

- C'est un peu rudimentaire, mais ..... heu ... si tu as besoin de quelque chose ?

Il me marmonna que c'était très bien. Armand installa ces affaires, et je me mis au lit rapidement. J'étais fatiguée, et il était plus d'une heure du matin. Je m'endormis aussitôt.

Le reveil sonna à 07h00. J'ouvris les yeux et vit qu'Armand était déja descendu. Je m'habilla et descendit à mon tour prendre mon petit deujeuner. Vu le vacarme qui provenait de la salle de déjeuner, je compris que tout le monde avait du descendre en avance étant donné que nous avions doublé les effectifs ....

6h30, Comme tout les matins Riana et moi étions réveillés en avance pour pouvoir profiter d'une petite demie heure ensemble, collés l'un à l'autre, nous parlions de l'enfant qui selon elle bougeait beaucoup dans son ventre, en y plaçan ma main je pu en éffet sentir que notre petit était déja réveillé lui aussi.
Une série de coup frappés à la porte retentirent, je me dréssais moitié nu dans mon lit et enfilait un pantalon et une chemise avant de faire un dernier baiser à Riana et de lui souhaiter une bonne fin de nuit...
Je déscendit rapidement les escalier jusqu'a la porte puis l'ouvris, je vis un messagé dans l'entrebaillement de la porte, il me salua et je m'éffacais pour le laisser entrer.

-Oui
-Capitaine, L'entrainement de ce matin est annulé, vous devez rassembler vos hommes ainsi que vos renforts pour 8h30 devant la porte Nord, vous y rejoindrez la 1ere escadre de dresseurs, le reste vous sera communiqué sur place.
-Bien, ca ma l'air clair, savez vous ce qui ce passe ?
-Ben..J'ai cru comprend que l'avant poste de la rivière était sous la menace d'une attaque a part ca...
-Merci quand meme.

Je tendis Quelques pièces de bronze au jeune homme puis referma la porte derrière lui.
J'allais ensuite prendre mon peti déjeuné comme à mon abitude mais avec une certaine apréhension; je ne voulais pas abandonner ma femme si près de l'acouchement, ma mere serait la mais javais peur de les laisser seulles.
Bref, je rangeais mes affaires puis montais dans la chambre a coucher afin de prendre des affaires de rechange, j'en profitait ainsi pour faire mes adieux a ma femme en lui disant de tout expliquer a ma mere.
Je sortit enfin de chez moi les larmes aux yeux, trés vite je me rassaisis, maintenant place au travail et apperement j'en avai plein !
Je me rendis droit a la caserne et ensuite vers le batiment de mes hommes, la journée était pour le moment fraiche a seulement 7h05 mais elle prométait d'ètre chaude et humide comme bien trop souvent.malheureusement.
J'ouvris d'un coup la porte de la grande salle et les quelques soldats assé réveillé pour me voir et me reconnaitre se mirent au garde a vous, ce qui eu pour effet de faire ce lever les autres.

-Bien !
Je voi que certain on du mal de bon matin, on peut pas boire et se lever tot, c'est pas compatible...
Nous avons un chagement de plan, pas d'entrainement aujourd'hui !
A la place je veu vous voir tous prèts a partir devant la porte nord a 8h30.
Les anciens ! Je compte sur vous pour aider les nouveaux arrivants a trouver leur chemin.
Ryger ?
-Oui chef !!
-Métez un semblant d'ordre dans tout ca et ca sera parfait, occupez vous aussi de me faire amener Cerrax la bas.
-Sans problèmes chef !
-Quand a moi, je vous rejoind la bas a l'heure, je par au centre de commandement tenter d'avoir les détails de l'opération.
Ha !! Oui, j'oubliais, BONJOURS ET BON APETIT !!
-MERCI CHEF !!!me répondirent en coeurs les hommes et femmes rassemblés dans la salle

Je sortit de la piece confiant et me dirigais maintenant vers le batiment d'Etat major afin d'obtenir des renseignements et aussi pour m'assurer que tout avait été fait afin de nous faciliter la tache

Six heure trente... j'ouvrais les yeux. Un énorme mal de tête un visage... black-out total. Ou suis-je ?
Je me souvins: l'arrivée, la caserne, la fille... Annah ? Je me levais et m'aperçus étrangement que j'étais encore habillé, mais en sueur, la nuit est chaude dans la jungle. Je regardais sur le côté et aperçus la jeune femme sur son lit. Le rouge me monta au pommettes en voyant son corp nu. Je me détournais, récupérais deux ou trois affaires et descendis, non sans jeter un dernier coup d'oeil a la jeune femme.
La salle du petit déjeuner était bondée -les effectifs avaient quasiment doublé- j'aperçut un gradé non loin. Je me décidais a aller apprendre le programme de la journée. Je m'adressais donc a lui dans ces termes:

-Bonjour monsieur.
-Repos Soldat, comment allez vous ?
-Je vais bien, merci monsieur. J'aurais voulu me tenir au courant de l'organisation de la journée.
-Et bien il y aura entraînement. Les dresseurs iront a l'aire d'entrainement, et simuleront une bataille avec des balles a blancs et des charges fictives posées dans le sol pour imiter les impactes de rocket. Vous aurez vos armes ainsi que des bouts de bois pour remplacer vos armes blanches.
-Merci monsieur.

Enfin fixé, je saluais et allais prendre mon petit déjeuner. Malheureusement, quelques minutes plus tard, le capitaine arrivat et annonça que l'entraînement serait annulé et que l'on devra se rendre a la porte nord d'ici deux heures. Finissant de prendre mon petit déjeuner tranquilement, j'allais ensuite a l'enclos de Manon pour vérifier qu'elle soit bien nourrie et bien traitée. Satisfait, je rentrais lui faire quelques caresses. Lorsque je ressortis, ce fut pour tomber nez a nez avec une conaissance...

J'étais en retard, comme à mon habitude, on m'avait prévenuée du départ trop tard, je devais aller m'occuper d'Hector et le préparer. j'arrivais devant l'enclos, courant à moitié, et je failli bousculer quelqu'un.
Je relevais la tête tout en marmonant :

- Désolée .. .suis préssée ...
- Tu veux que je t'aides ? Me demanda une voix familière.

Je levais les yeux pour tomber nez à nez avec Amand. Les joues légèrement rossisantes, je répondis :

- Heu ... je ... oui pourquoi pas. dis - je en souriant.

Armand et moi rentrèrent dans l'enclos, Hector était encore à demi endormis, j'installais la selle à l'aide d'Armand - il était beaucoup plus fort que moi et n'avait pas mes difficultés pour hisser le harnachement - et je mis le filet d'Hector. J'installais ensuite les lance roquettes et les chargeais. J'était distraite depuis l'arrivée des renforts .... Perdue dans mes pensées. Tout ce busculais dans ma tête, ma mère, la tristesse et la haine, l'espoir, la peur, la fatigue, et ce nouveau ... Armand. Il était étrange, nous n'avions pratiquement pas encore parlé, mais il était simpatique, j'aimais bien sa compagnie.
Tout ce mélangeait, mon cerveau allait exploser de douleur si toutes ces guerres ne cessaient pas ....
Des larmes coulaient à présent sur mes joues. Je revins à la réalité lorsqu' Armand me tira de ma rêverie en me demandant ce qui n'allais pas. Cessant toute retenue, je m'éffondrais en pleurs dans ces bras, toutes mes peurs et ma traistesse s'en allait d'un coup, je lui racontais, ma mère, les Skargs, puis l'armée, les conditions ....
J'étais ridicule, et la mission allait débuter dans un quart d'heure ....

Cionn était toujours dans les arbres, fusil à pompe à la main, sereine et concentrée, quand un sifflement interrompit sa concentration, elle leva doucement les yeux, en direction du bruit et aperçut, un homme à la masse musculaire importante. Il semblait avoir l'experience de la jungle. La jeune femme ne trouva pas les mots tout de suite, le contact avec les autres n'était pas son habitude.

-Qu'est ce que vous faites?! Finit elle par chuchoter, un peu furieuse qu'on veuille la sauver.

Enrigan regarda la jeune femme et sorti deux quelque mot.

Enrigan : Il faut les retarder au maximum.

Il prit son arc et encocha une flèche.

Enrigan : Même si on en tus peu, mais sa en fera déjà des Skarg en moins pour l’attaque de l’avant poste qui se trouve a quelque lieu d’ici. Moi je vais a leur rencontre, si tu veus vas à l’avant poste.

Il eu a peine fini sa phrase qu’il parti en courant vers la pleine.

J'étais ridicule d'avoir agit ainsi avec Armand. Je m'en voulait, pour qui devait il me prendre à présent, mais il avait été très gentil, il avait ....
Nous étions partis rejoindre le capitaine avec un peu de distance, chacun suivi de son dinosaure.
Le chef nous avait indiqué les ordres, rejoindre l'avant poste de Libria et le défendre d'une attaque imminente de Skargs. Nous étions alors partis en directions de l'avant poste, une demie - journée de marche à peu près. Les Dresseurs ouvraient le cortège de soldats, suivi de quelques équipes de soldats fort armés. Hector et moi étiosn en tête, suivi par Armand et les autres.
Encore et encore .... ces images me venaient en tête, ma mère, les Skargs, la mort .... Armand s'ajoutait à mes tourments, qui étaient, malheureusement, de plus en plus présents. J'avais des périodes d'abscences fréquentes, les larmes qui montaient aux yeux, le doute, et l'incertitude par raport à ce compagnon de chambre, qui pouvait être très présent, et changer d'avis en peu de temps et m'ignorer. Il était étrange.

- HO HE ! Annah ! T'écoutes ce qu'on te dit des fois ? Me geula Grant en me sortant de ma rèverie.

Les autres étaient arrêtés à 10 mètres dérrière moi.

- Heu je ... excusez moi. bredouillais - je.

Je fis demi tour, honteuse, et repris ma place. Grant nous donna de nouvelles instructions très importantes concernant la situation de l'avant post et des Skargs.

Cionn n'en crut pas ses yeux, était ce un acte de courage ou de pure folie? elle n'eut pas le temps d'y réfléchir. Il fallait aller à l'avant poste, les prévenir d'une attaque imminente. La jeune femme regarda une dernière fois l'individu se diriger vers l'armée de monstre. Elle en eu un pincement au coeur, cette impression de l'abandonner était insupportable, Cionn se sentit profondément lache. Elle courut le plus vite possible vers l'avant poste, jamais elle n'avait atteint cette vitesse, c'était comme -ci le vent la pousser. La jeune femme vit les première tours de l'avant poste apparaître, elle hurla de toute ses forces:

-LES SHARGS APPROCHENT, ILS SONT DANS LA PRAIRIE A QUELQUES KILOMETRES!!

Depuis le début du voyage je suivais Annah, lorsque l'on stoppa, Grant nous expliqua que l'avant post était a dix minutes de marche vers l'Est. Il fallait envoyer des éclaireurs pour ne pas tomber en embuscade. Une petite escouade de soldats de Libria partit, des cris retentirent quinze minute plus tard, des bruits de fusil d'assaut, puis plus rien. Nous attendîmes encore dix minutes au cas ou quelque chose bougerait mais rien ne se passa.
C'est alors que nous avons décidé de tout de même aller au combat qu'un des éclaireurs revint en sang. Il tenta de s'exprimer, son cas n'était pas mortel mais était assez grave. Il lui manquait tout de même un bras après tout...

Il n'y a aucun danger, vous pouvez avancer, il n'y a que quelques Eoraptor...

Il étaient tombés dans une ambuscade d'Eoraptor... ils faisaient partie des dinosaures les plus bête et les moins imposant... Enfin, il n'y avait aucun danger, la troupe se remit en marche, et les cadavres des soldats morts furent vite retrouvés... les Eoraptors également.
Ceux ci s'étaient cachés derrière les arbres, ouliant que leur queue dépassait, ils furent abbatus en quelques balles. Cinq minute plus tard, l'avant poste était en vue.
Situé au centre d'une clairière immense, sur une colline, l'avant poste était parfait. Il comportait de hautes muraille, évitant a dinausaures de petite et moyenne taille d'y entrer, de nombreuses meurtrières étaient présente pour les archers ou les snipers. Ces derniers étaient terriblement efficace, mais terriblement rare... Les portes mesuraient trente mètres de haut, renforcé d'une dizaine de poutrelles en fer, elle repoussaient aisémment les charges de tricératops et autre dinausaures. Enfin des tours gigantesque possédaient un toi plat ou était entreposées d'immenses balistes et trébuchets. L'intérieur quant-a lui était aménagé de façon a ce que les enclos soient loin et en face des portes. Pour sortir et charger rapidemment en cas d'attaque. La caserne était a côté des enclos, la taverne en face de la caserne et une trentaine d'habitation de mauvaise construction s'étalaient autour de la mine de charbon. Cet avant poste avait la particularitée d'être situé sur une parcelle vraiment intéressante stratégiquemment. Voila pourquoi les Skargs le voulaient. Nous entrâmes tous et nos dinosaures furent amenés a l'enclos. Je repartis quant-a moi boire une bière a la taverne.
Mais le repos dura peu, car un bruit de fond se fit entendre, comme un tambour qui battrait a coups réguliers. Un battement de coeur, mais étrange...
Le bruit s'amplifia légèrement et, depuis le haut des murailles, les senitnelles purent voir quelques arbres bouger, quelques minutes plus tard, des cris de Skargs se firent entendre dans les bois, un hurlement de t-rex déchira l'atmosphère, puis a nouveau quelques hurlements et plus rien. Mais la tranquilitée ne dura pas, une voix venue des bois hurla:

{/i]-LES SHARGS APPROCHENT, ILS SONT DANS LA PRAIRIE A QUELQUES KILOMETRES!!{i]

La personne entra et souffla, elle se présenta aux deux plus haut gradés présent, un général et un collonel, puis fit son raport. Le branle bas de combat fut déclaré, tout le monde en selle ! Le soleil se couchait derrière les arbres alors que j'enfilais ma tenue légère de combat et que j'atrapais mes deux pistolets et mon couteau. Je fus en selle dans les derniers, ayant bien pris le temps de savourer ma bière. Deux heures plus tard, alors que la nuit était tombé et que la jungle rougeoyait de l'intérieur, dut probablement aux centaines de torches de l'armée Skarg, Un homme sortit de la jungle poursuivit par deux Skargs. Ceux ci s'apercevant de leur erreur furent tout de même abbatus. L'homme rentra et erra quelques instants dans la ville après avoir annoncé que l'armée n'était qu'a quelques minute.
Je regardais autour de moi, Annah toujours a mes côté, n'osant pas me rendre le sourire que je lui adressais, de l'autre côté, un soldat que je ne conaissais pas sur un tricératops bien plus lourd et blindé que le mien. Il ne me souria pas plus qu'Annah. Ravalant mon sourire et retournant a ma neutralitée habituelle, je me concentrais. Nous avions appris quelque chose d'intéressant a l'entraînement, il faudrait le mettre en application rapidemment.
Ca y est, les premier dinosaures sortirent des arbres. Les snipers n'ayant reçut aucun ordre commencèrent a tirer. Abattant dinosaure après dinosaure, Skarg après Skarg. Ils abbattaient un boulot formidable... Des dizaine de fèches partirent également, touchant souvent leur cible. Quelques roquettes décollèrent aussi et le feu préparré a l'avance avec du charbon de bois et quelques goutte de liquide inflammable pris. Des cris s'élevèrent de la jungle mais celle ci finit par se taire. Le lendemain matin, le feu s'était éteint, nous avions eut la permission de nous retirer pour dormir.
Mais a l'aube, les snipers abattirent a nouveau un Skarg... ils revenaient.

Du haut des murailles de l'avant poste je disposais d'une parfaite vue sur la vallé environnente, l'armés des Skargs sagnait pour le moment dans la plaine loin des tirs de nos snipers.
Ces abrutis de lézards nous montraient encore une foi leur plus gros défaut: Ils aimaient se battre et donc ne prenaient pas vraiment de précausions du moment qu'une bonne bataille viendrait faisant couler du sang.
Je pouvais quand meme me rassurer en les voyant, meme si leur obre nous dépassait largement nous étions dérièrre des murrailes et nous disposions de cavalerie lourde en plus grand nombre qu'eux, en revanche, je distingeais parmis les petits reptiles de longues échelles en trés grand nombres.

-Ca va pas etre une parite de plaisir pour les hommes sur les murailles par contre je sent que mes hommes vont pouvoir s'en donner a coeur joie...

Je prononcais ces paroles a voie haute et la général a coté de moi stopa sa discution avec les autre gradés pour se retourner et me parler.

-Vous avez l'air d'y croire Grant ! Mais vos hommes ne vont pas sortir d'ici avant un bon moment, nous allons avoir besoin de mondes sur les mur et en résèrve au cas ou, je ne peut vous laisser faire les zouaves au coeur des Skargs alors que nos murs seront envahis.
-Mais..Général, mes hommes feront bien plus de dégats sur leurs dino que sur des murs...
-Je ne veut pas savoir ! Vos vos hommes feront ce que JE veut et pas autre choses, mais je suis quand meme généreux avec vous, vous serez dans la resèrves et donc vous viendrez si jamais ya des problèmes ou que le combat devien franchement long.
-D'accord mon général. Puisje me retirer pour leur annoncer leurs ordres ?
-Faites.


Je jetais un dernier coup d'oeuil aux Skargs puis decendit des murailles pour rejoindre mes hommes et leur annoncer cette sale nouvelle.
Arrivé dans la caserne je fit apeller tout le monde dans notre coin réservé puis me mit à leur expliquer.

Bon, mauvaise nouvelle les gars,s'en suivit moult regard inquièts de gens assiègés dons le fort va tomber pour etre franc on est dans la merde pour cette bataille, le général a une conception trés étrange de la guerre et a décidé de nous cloitrer ici pour la bataille.
Donc on risque si on a de la chance de pas se battre, si on a pas de chance on va se battre et en plus se sera a pieds et si on a vraiment pas de chance, l'avant poste va tomber.
Aucun n'osait parler, tous étaient trop aterrés par cette désèpérante nouvelle
Mais je ne compte pas m'arréter la, bien que nous soyons de résèrve je ne veu pas voir une goute d'alcool et je tien a vous voir prèts a vous battre a tout moment, préparez vos affaires et rapprochez vous de l'enclos, c'est la bas que nous attendrons de voir comment se passe ce bordel, les Skargs sont vraiment nombeux et je pense que le général n'aura pas fait qu'une seule connerie.
Ryger, fait en sorte que tout le monde reste sur le pied de guerre et fait moi préparer Cerrax j'ai le sentiment que nous allons quand meme nous battre...
-Bien chef !


Je resortais de la et partit en direction des murs pour obsrever le déroulement de la bataille qui au bruit que faisaient les Skarg n'allai pas tarder du tout, avec de la chance j'arriverais a faire sirtir mes hommes de la au moment ou les portes tomberaient, le général ne serait pas content, sauf si nous lui sauvions sont bled...
J'arrivais au moment ou des cornes de brumes se firent entendre et ou l'armée Skarg se mit en marche, je put aprecevoir dans la nuée un groupe de stégosaures haller un immense tronc d'arbres brut qui sans nul doute servirait pour la porte....
Les cliquetis des armes que l'ont férifiait une dernière foi se fit entendre puis enfin, un trébuchet ouvrir la batailles en écrasant quelques Skargs.
La grande bataille commencait...

Ce fut la première fois depuis ses 5 ans qu’Enrigan se trouvait entourait d’humain.
Il était déboussolé, il perdait ses repères dans cette forteresse de béton.
Son bras saigné et le sang coulé tout ton long de son bras jusqu'à que les goûte tombe de ses doigts sur la terre battue.

Soldat : Et toi, viens par ici, viens te soigner a l’infirmerie, tu ne pourra pas faire grande chose contre les Skarg dans cette état.

Enrigan se dirigea vers le soldat et entra dans l’infirmerie. Une infirmière voulut le soigner mais il la regarda méchamment puis prit du bandage et un spray désinfectant. Avant de mettre le bandage il cousu les griffure de son bras.
Il sorti alors de l’infirmerie et regarda les soldats courir et se mettre a leur poste.

Caporal : Et toi prend un fusil et viens sur les murs.

Enrigan le regarda d’un air interrogateur.

Enrigan : C’est quoi un « Fusil » ??

Le caporal continua son chemin en montant sur les rempart et en gueulant des ordres au soldat. Puis il vit la jeune femme qu’il avait secourue.

Cionn se préparait à la bataille, examinant son fusil, aiguisant ses griffes et s'attachant les longs cheveux noirs. Son regard affichait une franche détermination, étrangement son coeur battait lentement, à rythme régulier, elle prit le temps qu'il faut pour se détendre et scruter l'horizon du haut d'une passerelle. Une légère brise soufflait sur les arbres. On entendait. Enfin les premiers rugissement, des centaines de silhouettes monstrueuses se dessinaient, c'était l'heure de se battre. Tandis que les soldats s'activaient autour d'elle, celle-ci dégaina son fusil a pompe, le bruit familier du chargeur fit sourire Cionn, qui adressa un regard à son sauveur en le voyant en vie, puis explosa la tête d'un Sharg. * Que le sang coule*.

Si problème il y avait, si problème il y avait ....

- Leur poste va être complètement détruit par ces Skargs, qu'est ce qu'il leur faut pour qu'on interviennes ? Une météorite ? Dis - je énervée de rester à l'intérieur à attendre sagement.

Au momment même ou je prononcait ces paroles, un bruit sourd nous parvient de l'éxtérieur et un soldat à qui il manquait une bonne partie de la tête, murmura :

- Skargs ...... je.. brlurp ... dehors .... vite ....

Il tombat subitement sur le dos, les yeux ouverts de terreur de de souffrance. Je regarda Armand et lui dit :

- On a des Dinosaures à monter ! Viens on va éclater la geule à ces Skargs !

Armand me sourit et me suivit dehors précipitemment, le spectacle était affreux, des dizaines de corps de soldats jonchaient le sol, le sang ruisselait de partout autours de nous, des Dinosaures s'enfuiaient en tout sens et les Skargs étaient encore noimbreux à être debouts, armes en mains.
Armand et moi rime vite la direction de l'enclos évitant des attaques de Skargs, qu'Armand réduit en poussières au passage, et nous grimpions sur nos Dinosaures. Hector fonça droit sur un groupe de Skargs, une trentaine, et en embrochat quelques uns au passage avec force.

La bataille pouvait alors commencer ....

Nous avions chargé d'une dizaine de mètre uniquemment, trop peu pour que celle ci soit effective... Lors de la course pour aller aux enclos, les dresseurs étaient nombreux a être tombés, mais il en restait tout de même beaucoup qui se mirent en selle. Le mur était tombé a cause d'une roquette et la brèche nous avait permis de charger deux par deux. Alors les rangs sortirent, Annah et moi chargeâme en seconde position, mais nous furent vite arrêter par une dizaine de raptors... que les roquettes d'Annah éparpillèrent au quatre coin du champ de bataille. Notre charge avait fait de la place pour les suivants qui purent charger plus loin, ce qui fit de la place pour ceux d'après etc...
C'est une stratégie que nous avions mis au point au camp d'entrainement et elle avait l'air de porter ses fruit.
Un bras de skarg me retomba sur l'épaule, je le chassais et agrippais mes commandes de mitrailleuse lourde, esquivant une flèche skarg au passage. Tirant les joysticks vers moi, les deux mitrailleuses lourde pointère en face, j'appuyais sur la détente. Dans un vrombissement, elles se mirent a vomir des balles de haut calibre au milieu des Skargs. J'avançais tout en tirant, appuyé par Annah et Hector qui envoyait quelques roquettes pour dégager la place.

Le plan marchait, la suite de la stratégie voulait que l'on se replie deux par deux dans l'espace dégagé par la première charge pour recharger une nouvelle fois. Nous nous repliâmes donc et rechargeâmes. Manon était trop rapide et se fit rapidement entourer, je tentais de reculer mais rien a faire. Je fit un tour sur moi même en appuyant sur les gachettes, ah... ça va mieux. J'esquivais un javelot et remarquais que si je n'étais plus entouré immédiatement, j'étais seul tout de même. Sans compter qu'une marre rouge s'écoulait aux pieds de manon. Signe qu'elle avait reçu de nombreuses blessures. Rageant, je mis les mitrailleuses sur tir automatique et laissait manon gérer, je sortis mes deux pistolets et, le regard haineux me mit a tirer sur les ennemis dangereux immédiat. Un chef skarg, un t-rex, auquel je tirais dans les yeux, ce qui eu pour effet de le faire s'écrouler sur un raptor et une jeep avec mitrailleuse lourde qui ravageait les dresseurs depuis tout a l'heure.
La haine quitta mes yeux lorsque je vis ma sauveuse, ou plutôt les deux roquettes qui me permirent de me frayer un chemin vers elle. Hector avait également l'air salement atteint. Je frissonnais en voyant que les signes vitaux de Manon faiblissaient... La bataille était loin d'être finis, mais un périmètre de défense avait été établi autour des enclos et nous pûment nous y rendre rapidemment. Une fois la bas, Annah se précipita vers moi et me demanda l'air affolé:

- Ca va ?! Tu ne perds pas trop de sang ?

Surpris, je lui répondis:

- Euh, je ne suis pas touché, je ne comprend pas...

Elle pointa son doigt vers ma poitrine, j'avais un trou de la taille d'un poing dedans. Je m'aggripais a elle, comprenant soudain que si je ne sentais rien, c'était parce que la douce étincelle de la vie me quittais. L'obscuritée me surpris et je n'entendis plus que des pleurs avant de m'éteindre totalement pour rejoindre le Grand Inconnu.

[hrp]Vais reffaire un perso.[/hrp]

Je trouvais un moyen de me sortir de sous le corps du général, ce gros balourd m'avais l'air plus que mort.Je me rétabli le plus vite possible sur ce qui restait du point le plus haut des remparts, la roquette avait fait d'énormes dégats et nombre des hommes nous accompagnant a l'origine étaient maintenant mort ou sur le point de.Je ramassais mon fusils et pris les escaliers encombrés de cadavres et de gravats, de la je pouvais voir la porte encore défendue ainsi qu'un trou béant dans la muraille, étrangement les skargs ne s'y dévèrssaient pas.
Je compris pourquoi lorsque je vis deux tricératops rentrer dans la ville par ce trou, je pu y reconnaitre Annah et Armand sur le meme dino, celui
d'Armand naviguant en roue libre, ils avaient l'air tous bien amochés...Je foncais donc en direction de l'enclos ou je les avaient vus partir, d'autres tricératops rentraient et pour la pluparts en un bien meilleur état que
les 2 précédents, je rameutais aussi sur mon passage tout les guerrier que je pouvais trouver pour qu'ils me suivent afin de se fortifier prés de
l'enclos d'ou nous pourrions charger un bon coup.
J'arrivais soudain devant l'enclos et vis avec soulagement que les combats n'avaient pas eu lieu ici, de nombreux soldats tenaient l'endroit et des
blessés chonchaient le sol plein de sang.
Je courut le plus vite possible dans l'enclos aprés avoir donné l'ordre aux hommes m'ayant suivis de fortifier nos défenses, je rentrai dans l'encols
lui-meme et apercu enfin ce qui restait de mes hommes.
Presque au complet...
Rassuré j'apercu Annah qui couchait le corps d'Armand par terre....
J'allai en direction de Riger pour avoir quelques nouvelles.

-Ryger!
-Chef ! Enfin vous voila...
-Faites moi un rapport de la situation.
-Nous avons tentés une sortie et écrasé pas mal de skargs, mais il a quand meme fallu que l'on rentre, nous n'étions meme pasla moitié de nos effectifs
dehors et donc on vien de revenir chercher les autres, maintenant on est bien plus nombreux et l'on devrai pouvoir tenir la charge, Cerrax est prèt.
-Bien c'est parfait, j'ai donné des consignes pour garder l'enclo et la porte nous appartient encore, nous allons tous nous mettre en selle et foncer
vers la porte, ils vont nous ouvrir et donc ou va pouvoir faire une charge trés puissante et surtout surprise pour les skargs. OK ?
-Oui chef
-TOUT LE MONDE VALIDE MONTE POUR LA CHAAAAARGE !!!!!!!!!!!!
ON SE REGROUPE ET ON FONCE DROIT VERS LA PORTE EN PASSANT PAR L AVENUE PRINCIPALE
-OUI CHEF !!!!!


Avec de grands cris, nous réussimes a nous regrouper sur la grande place donnant sur la grande avenue qui alliat nous permètre de foncer en rangs
serrés et a fond sur la porte, Cerrax était énèrvé et je sentais bien que la bataille l'attirait, je rafermi donc ma prise sur les renes et ma lance.
Une foi que tout fut prèt, je lavais ma lance bien haut et hurla:"CHAAAAAAAAAAAAAAAAAARGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEZ"
Je lancai ensuite Cerrax dans l'avenue suivis par les autres drésseurs, je lassait un rang de tricératops se mettre devant moi puisque une charge directe
d'un brachiosaure était quand meme moin puissante que les cornes des tricés.
Nous arrivions a une centaine de mètre de la porte l'orsque les gardes commencèrent a l'ouvrir, nous laissant entrevoir les bélier et ses porteurs
abattus a une trentaines de metre avant la porte: la porte n'avai donc pas étée touchée.
Dailleur un espace libre devant la porte allai nous permètre de nous former et pointe afin de rentrer encore plus violement dans les skargs.
Nous passions la porte facilement et donc commencames la véritable charge droit sur la grande bannière Skarg flotant dans l'air derrière un grand nombre
de rangs de fantassins avec boucliers skargs.

Le choc fut terrible,les boucliers des skargs explosaient face aux cornes de tricératops puis les os se faisaient broyer par leurs masse énorme.
Espérant que les autres allaient suivre, je fit tailler a Cerrax un chemin droit sur la grande bannière Skarg, il avancait le plus vite possible en sa
direction tout en donnant de grand coups de sa gueulle protégée par l'acier tandis que je ne sentais plus mon bras gauche a force de donner des coups de
lance.
Je vis Ryger sur ma droite menant un groupe de cinq dresseurs dont Annah dans la meme direction que moi, en regardant derriere je vi que deux autres dresseurs étaient dans mon sillon dont l'un montait un diplodocus armé d'une mitrailleuse lourde et tirant dans le tat devant moi pour m'aider a ouvrir la voie.

Rassuré, je continuais donc mon expédition, je me trouvais maintenant a 50 mètres de la bannière et pouvais voir le chef skarg en personne,il n'était qu'un petit homme lezard mais grace a sa maléfique intélligence devait sans nul doute pouvoir aisément commander, ce qui en revanche me fit palir ce fut les quatre T-rex l'entourant ainsi que le stégosaure faisant bouger sa queue dans notre direction d'un air menacant, sur le dos du stégosaure se trouvai la grande banière...mon but allai etre dur, buter les T-rex pour approcher le chef, le tuer puis buter le stégosaure pour prendre la bannière, normalement ca devrai metre l'armée skarg en déroute a défaut de l'écraser complètement.
Ryger et son groupe arrivent avant moi d'une vingtaine de mètre, une double roquette d'Annah tirée de main de maitre réduisit en boullie le crane d'un T-rex ce qui ne nous en laissait plus que trois...
Andrin, le tricératops de Ryger en envoya littéralement voler un second qui retombat quelques metres plus loin avec trois trous sur le flanc et resta inèrte.
Cette première passe nous avais permis d'arriver près des deux autres T-rex qui s'étaient postés juste devant le chef, je chargais...Le T-rex de droite tenta de sauter au cou de Cerrax mais ce fut sans compter la rapiditée de mon frère d'arme, le T-rex se pris la machoire renforcée de Cerrax dans les cotes en recula devant la violence du choc pour ce mettre hors de distance de son long cou, la suite s'enchaina trop vite pour que je comprenne parfaitement, un grand choc me fis pèrdre l'équilibre et je fis une chute brutale jusqu'au sol, heureusement je tombais sur un cadavre de T-rex, ce qui me sauvat la vie...
Je me relevais le plus vite possible et sortis mon épée et mon flingue, à terreje n'était plus grand chose, un bref regard autour de moi pour faire un topo, je pu voir Cerra entrain de s'acharner sur le cadavre du T-rex ayant tenté de lui arracher le coup et put aussi voir Annah et un hommes que je ne connaissais pas tentant de soccuper du dernier T-rex, je vis aussi de l'autre coté Ryger maintenant seul face a face avec le stégosaure hargneux, Ryger fit charger Andrin mais le stégosaure esquivat avec une aisance inhabituelle, c'est alors que le pire arrivat, le stégo fit un rapide demi tour et je vis avec une impréssion de ralentit sa queue transpèrcer Ryger de part en part platant Andrin au passage, Ryger tourna sa tete vers moi puis regardat la défense lui sortant de la poitrine, alors, avec un dernier élant de force il leva son arme et parvins a tirer dans l'oeuil du stégo, puis enfin, homme et bètes s'éfondrèrent sur place la banière tombant a terre la hampe brisée.
Je voulais hurler, mais l'arrivée impromptue du chef skarg me fis stoper toute tristesse, se petit couard tentait de se sauver en se faufilant a travers ses troupes éparpillées par notre charge, tout mon désèspoir se cristalisat en haine envers ce personnage maudit a cause duquel Ryger était mort ainsi que bien d'autres soldats d'exéption, j'eu une pensée pour Annah qui avait l'air de beaucoup tenir a cet Armand puis a ma femme, ma mere et mon enfant qui a cette heure-ci devait etre né.
Père, ce mot résonnat a mon esprit comme une grande cloche d'airain, j'allais mourir sans voir mon enfant a cause de lui.

RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je hurlais ma haine a son encore tout en le chargant l'épée en avant, avec une agilitée stupéfiante le skarg ésquivat mon attaque et rispostat immédiatement parrant ma défense sans difficultés puisque j'était encore déséquilibré par ma charge ratée, son coup fut porté avec un poignard jusque la dissimulé en m'entailla le flanc droit.
La morsure de l'acier dans ma chair me fit gémir de douleur, malgré cela je me redressait et fit face au chef des Skargs, celui-ci me regardait avec ses yeux malsaints en fente, tourna tautour de moi meùe afin de trouver une faille dans ma défense, finalement se salopard avait du courage, il me chargat soudainement surprenant ma défense déja affaiblie et sa lame entrat dans ma cuisse pour y rester, c'est avec une chance innouis que je parvins a rispoter, et sans sa lame le skarg ne pu que tenter de parer avec son bras écailleu, pas de chance pour lui, j'avai lancé mes dernières forces dans cette attaque et son bras ne suffit pas, la lames le coupa net et resta finalement fichée dans son crane a demi tranché.


Je lassais mon épée dans son crane et hurlais lorsque je tirais sur le poignard pour l'enlever, ma vision était trouble et je me sentais pris de vertiges, j'allai tomber dans les pommes, non, pas maintenant, les chef skarg mort, la bannière détruite et l'armés skarg désorientée..mon enfant...
Je n'allai pas mourir, je la savais,mes blessures n'étaiet pas assé profondes, mais jallais surement subir un sort bien pire, aprés la bataille personne ne me retrouverai et les charognards auraient raison de moi...
ma fille...trouble...ma femme...mere...

La bataille gagnée, j'avai au moin ca en tete...

Je faisais encore quelques pas sans meme voir dans quelle direction, les bruit de la bataille s'éstompaient a mes oreilles, je m'éfondrais je ne sais ou.