Du sang coulera, et des larmes, ils verseront... (Finis)

Mordraid était dans son bureau, et mettait son gilet et chargé son arme, quand au moment ou Akari entra dans la pièce.
Elle le salua et il lui rendit le salut.

Mordraid : Bon, allé vous et les autres pilotes à l’armurie. Prenez tous un automatique et un gilet, je veus que tous les soldats présent se battent. Vous n’avez pas d’unité, donc resté a mes coté ou allé avec un gradé de l’infanterie.

Mordraid sorti de son bureau et se dirigea vers les remparts arme en main. Puis donna des directives aux soldats selon où il passait.

Mordraid : Vous allez sur les tourelles, tué moi tous ce qui bouge… fait attention à vos têtes… utilisez des rockets anti char contre les Tankers…Utilisez les lance flammes quand ils sont devant nos rempart…

Au loin les hordes de parasite se rapprochaient, les soldats étaient enfin prêt au combat et attendez juste les ordres du colonel. Les soldats étaient silencieux, juste les cris répugnant des parasites se faisaient entendre et la nuit faisait que de commencer.

Mordraid : Soldat, A mon ordre, je veus que vous dégagiez les flammes de l’enfers sur ces vermines. Buttez moi tous ce qui a plus de deux pattes, je veus voir leur sang tapisser les murs. Si vous avez envi de voir le jour battez vous…

Mordraid regarda Akari dans les yeux et lui dit.

Mordraid : Les ordres sont de rester vivant et de flinguer tous se qui n’est pas humain. Compris ?

Akari : Oui mon colonel.

Mordraid : Si ça se passe mal, on se replis vers les barges pour évacuer, alors je donne l’ordre à vous et a tous les pilotes de rester vivant ainssi qu'à tous mes hommes. Maintenant préparez vous à tirer.

Les hordes d’arachnides se rapprochaient rapidement et étaient presque a portait de tire.

Akari verifia qu'elle avait un deuxieme chargeur et elle etait pres a faire feu sur tout ce qui bougeait et n'etait pas humain...

La vague de parasite était enfin a portée de tire.

Mordraid : Feu a volonté et dégomez moi ce tankers.

Les fusil mitrailleur faisaient un mur de feu et ralenti les arachnide qui étaient en première ligne, mais la vague s’approchait toujours. Les parasites volants foncés droits sur les murs.

Mordraid : couchez vous si vous tenez à vos têtes.

Certain soldat eurent le temps de se coucher et d’autre leurs têtes voligèrent ou ils fut empalé par le dard et lâché un peu plus loin. Mordraid tirez sur les parasites volants. Les soldat au tourelle fauché des parasites volant en plein vole et elle allait s’écrasé dans le camps, les soldat qui n’étaient pas sur les rempart les achevaient.

Comme tous les soldats, j'affrontais la première vague d'assaut, mais en prenant bien garde a ne pas me faire tuer... comme tout le monde, mais particulièrement parce que je pouvais sauver des vies en tant que pilote lorsque le moment serait venu de fuir.
Les volants passèrent donc au dessus de ma tête, certaines têtes, elles, retombèrent a mes pieds... j'en descendis un, enfn, je crois, tellement de tirs, tellement de feu, étaient déversé que s'était difficile de savoir qui tuait qui...
Le colonel etait a côté de la radio, descendant les volants qui approchaient trop près et protégeant le supposé a la communication qui demandait un appui aérien, autant en chasseur qu'en bombardiers.
Du bas des remparts, je vis le colonel se retourner, faire feu et le volant étriper le soldat a la radio.

Merde...

{i]Je décidais d'aller voir le collonel, pour lui donner un coup de main, ayant servi un peu dans les services de communication et sachant me servir d'une radio de transporteur, je saurais me débrouiller. Le colonel m'aperçus et je hurlais, pour couvrir le bruit alentour:[/i]

- Mon colonel, lieutenant Stamper au raport, vous avez besoin de quelqu'un ici ?

- Oui mon ptit, t'arrives a point on dirait. Tu sais faire fonctionner ce truc ?

- Colonel ! Oui mon colonel !

-Alors au boulot, je veux des avions qui me nettoient cette zone dans moins de quinze minutes !

-Colonel ! Entendu mon colonel !

Alors que le colonel se remit a me couvrir, je mis en marche la radio, enlevait le dard planté dans une des oreillettes du casque et accéssoirement dans la tête de l'ancien soldat, puis grace a l'autre oreillette pu contacter la flotte:

-Ici Base alpha, me recevez vous Station Tiko Redonga ?

- Nous vous recevons parfaitement, quelle est votre situation nous avons été coupés.

- La situation n'est pas rose ici, il nous faut un appui aérien au plus vite, bombardiers et chasseurs a cause d'une marée de volants. Nous ne tiendrons pas vingt minutes, faites vite !

- Entendu, je passe le message. Station Tiko Redonga terminé.

[i]Je racrochais et repris mon fusil dassaut. Les volant n'étaient pas moins nombreux et les hommes sur les murailles commençaient a faiblir. De plus, la marée d'arachnide avait atteint le bas des murailles et tout les pièges mis au sol avaient été utilisés, faisant des milliers de mort chez les arachnides et même quelques tankers. Les grenades volaient par dessus les remparts, les fusils d'assauts crépitaient même si aucune tourelle n'était opérationelle et le sang giclait, rouge, orange, vert... un véritable tableau de maître... Les flammes des tankers ou des lances flammes aportaient la touche de lumière supplémentaire pour un chaos bien réussi.
Le colonel, après avoir abattu quelques volants supplémentaire, me demanda:

-Alors ? On les a quand ces renforts ?

- Mon colonel il ne m'ont rien dit mon colonel, ils ont juste bien reçut le messages, il faut attendre mon colonel.

Il grogna et pressa la gachette pour toute réponse.
Peu après, un front fut dégarnis, tout les hommes morts... et les arachnides purent passer, les tankers n'arrivaient malgré tout pas a forcer le nouvel alliage ultra résistant mais de petite bosse apparurent sous l'épaisseurs métalique...
Le colonel donna des ordres, deux ou trois grenades et un ballon de foot furent lancés par dessus les murailles, les fusils d'assaut détruisirent la menace arachnide a l'intérieur de la base et le front fut regarni. Ouf...
Mais quelques minutes plus tard, un vrombrissement se fit entendre, non pas celui des volants, mais celui des chasseurs et des bombardiers.

Les hommes furent revigorés et tirèrent de plus belle. Mais la conscience des parasites avait compris et d'un seul coup, il n' y eu plus un seul parasite volant dans la base. Juste les arachnides. Intrigué, je demandais au colonel au côté duquel je me battais depuis l'épisode de la radio, ce que tout cela signifiait. il me répondis calmement, mais avec une nuance de lassitude mêlée a de la haine dans la voix:

- Ces saloperies vont faire peter notre appui aérien...

- Merde...

Bon, en éspérant que les chasseurs arrivent avant les bombardiers... Ce qui arriva. Les volant se firent abattre un par un par la puissance de feux destructrice des deux mitrailleuse gatheling posées sous le fuselage des appareils. Mais certains arrivèrent a esquiver les tirs et s'écrasèrent sur un apareil, cachant la vision au pilote qui s'écrasa sur le sol, tuant ainsi de nombreuses arachnides. Les chasseurs restant refirent un passage et en refirent encore un, tuant de nombreux volant et perdant peu d'apareil, deux en tout, l'autre ayant explosé en plein vol a cause d'un réacteur bouché. Les quelques centaines de parasites volant restant feraient l'affaire d'une ou deux vagues d'assaut supplémentaire et le champ serait libre au bombardiers. Mais le haut commandement avait fait une erreur et les bombardiers arrivèrent trop tôt. Les volant,se prirent deux bombardiers au premier passage, l'un explosant en plein vol, l'autre percutant un chasseur par manque de visibilitée. Mais les autres lachèrent leur bombes au centre et rasèrent une petite partie de la vague parasite.

La bataille continua ainsi dans le ciel tandis qu'au sol on se désolait. En effet, le chasseurs qui percuta le bombardier s'était écrasé sur les remparts nord de la base, tuant de nombreux starship troopers et surtout ouvrant une brèche aux arachnides, indemnes de ce côté la... Le colonel hurla:

- Tous aux navettes de sauvetage !

Je courus donc et pris le controle de la première qui se trouvait devant moi. Heureux de me retrouver a un endroit duquel je pourrais être utile, j'attendis que ma navette soit pleine et m'envolais. Je remarquais que le copilote qui s'était installé a côté de moi n'était pas Akari, mais un certain soldat Jenkins qui n'avais que le rang d'apprentis pilote et en jetant un bref coup d'oeil dans la soute arrière je remarquais qu'il n'y avait personne de mon ancienne unitée.

Le décollage fut simple, les volant restant étaient éparpillés un peu partout sans but précis, en déroute. Aucun risque, je mis les gazs et décollait de cette planète maudite, direction la station.

Mais le sort en décida autrement. Mon copilote hurla, un volant démembré s'affichant sur l'écran arrière du vaisseau. Je tentais de le rassuré, celui ci était mort et tombait. Une question me travrsa toutefois l'esprit: Comment était-il mort ? La réponse vint simplement lorsque le voyant rouge de carburant s'alluma. Je regardais sur l'un des écran latéraux et vis la trace de griffure ainsi que le carburant qui s'échappait du trou. Soudain, j'aperçus une minuscule étincelle a la surface de la coque. Le carburant pris feu, je regardais Jenkins, ce fut la drnière chose que je vis, la boule de feu nous enveloppa.

Je tirais sur tous ce qu’il bougeait, les arachnides se rapprochaient dangereusement. Les soldats survivant se dirigeaient vers les navettes, il était mon devoir de monter en dernier.
Akari était à mes coté et elle se battait du mieux qu’elle pouvait.
Les navettes pleines commençaient à décoller.

Mordraid : Dépêchez vous de monter si vous tenez a vos burnes. Allez, Allez…

D’un seul coup je vis une boule de feu dans le ciel, c’étais une navette, elle avait du être touché par une de ces saloperies volante. Mais je devais me concentrer sur les parasites qui chassaient mes hommes.
La dernière navette était presque pleine.

Mordraid : Lieutenant allé a votre poste.

Akari : Oui mon colonel.

Je montais dans la navette en m’assurant qu’il n’y avait plus aucun soldat dehors. Mais cela fut trop beau, je vis a ce moment la un soldat qui courait vers notre navette, mais il était poursuivi par deux parasites. Je demanda a trois soldats de venir m’aidé.
Je sorti de la navette en tirant sur les parasites, le premier fut rapidement tuer, mais le second avait eu le temps e rattraper le soldat et lui sectionna la jambe, je vida mon chargeur dessus pour massacrer le parasite. Le soldat criait de douleur à cause de sa jambe coupée. J’allais le rejoindre, les autres soldats me couvraient pendant que je le prenais sur mes épaules.
J’étais a dix mettre de l’entré de la navette, mais a ce moment un parasite volant fonça sur moi, et une douleur bref traversa tous mon corps je n’entendais plus rien et j’avais des trouble de la vision, je tomba a terre, je releva la tête et je vis le soldat se faire embarquer par le dard de ce parasite en hurlant. J’essayais de me relever en m’aidant de mes mains. Mais je vis a ce moment la que le dard du parasite avait sectionné mon bras inférieur droit ,juste en dessous du coude en même temps d’avoir empalé ce pauvre soldat.
Deux soldat vinrent me m’aider a marcher, j’étais déboussolé, on monta dans la navette et je cria.

Mordraid : Il faut secourir Stamper.

Puis je m’évanouis. La navette commença a quitter l’atmosphère de la planète et se dirigea vers la station.