Aventure de Torga et Ärladëmia (Terminé)

(Pour rien au monde il ne changera ses épées : elles sont représentatrices de son ordre et, en plus, jumelles indissociables)
Ils se déplaçaient en longeant les murs et avec une discrétion dictée par la terreur. Evitant les patrouilles de peaux vertes du mieux qu'ils le pouvaient, il ne rencontrèrent aucun problème, mais ils n'avancèrent pas beaucoup et se perdirent trois fois dans les rues tortueuses. Heureusement que Arladëmia était là avec son sens de l'orientation. L'elfe le guida jusqu'à une batisse abandonnée alors que la nuit tombait. Crevant de faim car ils n'avaient rien mangé depuis le matin, ils préparèrent la viande du serpent qui restait. La maison était en réalité une bibliothèque : une grande bibliothèque poussiéreuse comme savent faire les nains. Apparement, les orques n'aimaient pas les livres, et beaucoup d'ouvrages étaient dans un piteux état. Arladëmia découvrit par hasard dans un tas un livre qui était naguère une importante vieille relique elfe, offerte aux nains lors d'un temps de paix. Du livre autrefois puissament magique, il ne subsistait maintenant que des lambeaux de pages brûlés. L'elfe en eut les larmes aux yeux, mais récupéra quadn même les tristes restes pour les redonner à sa patrie. Torga, quant à lui, ne savait presaue pas lire. Il pouvait lire les phrases simples, telles que "Le chat mange la souris", mais encore, avec difficulté ! Donc il ignora les bouquins et s'occupa du repas. Il aurait voulu réconforter Arladëmia inconsolable devant son trésor, mais il n'osait pas, comprenant qu'il s'agissait là de quelque chose qui le dépassait : les livres... pfff : quelle importance ? Ils mangèrent en silence les bouts de monstres puis se couchèrent, dos à dos selon le désir d'Arladëmia d'être trnaquille pour cette nuit.

La haine et le déséspoire s'emparèrent d'Arladëmia durant cette nuit la. Au début c'était une étrange impression de bien être puis elle s'endormit et commença a rêver de battailles historique alors que le livre feuilletait ce qui lui restait de pages dans un vent de magie. Les battailles continuaient et Arladëmia voyait des elfes tomber, sous la puissance obscure de sombres dongeons. Elle se mit a transpirer, puis elle ouvrit les yeux. C'était comme ci elle se trouvait au milieu d'un champ de battaille, des corps gisaient devant ses yeux écarquillés, des centaines d'elfes et de gobelins, qui, après une grande lutte s'étaient retrouvés morts, gisant a ses pieds. Elle avança, ses pieds effleurants Torga, qui reprsentait un cadavre elfe, puis toujours dans son hypnotisation, sortit du bâtiment, en terrain découvert. Dans son rêve, elle aperçut des monstres, des monstres qui évoluaient tels des survivants de l'apocalypse qui eut lieu ici, elle les apparenta a des orcs, prit peur, mais, en se regardant, comprit qu'elle pourrait les battre. Ses habits étaient ceux d'une princesse, armée d'un katana a son côté, d'un arc dans le dos, elle n'utilisa aucune de ces deux armes. Elle parla dans une langue qu'elle ne connaissait pas, commença a briller d'une lueur éclatante, les dizaines d'ennemis qui couraient vers elle furent stoppés, puis aveuglés et enfin paniqués lorsque de la fumée dorée s'échappa des corps de deux de leurs frères d'arme, les faisant exploser sous la pression ! Les ennemis restants furent déroutés et s'enfuirent en explosant de la même façon un peu plus loin. Le livre se referma et Arladëmia s'écroula, des dizaines d'orcs et gobelins morts a ses côtés. Elle entendit des bruits de pas, puis sombra dans l'inconscience, épuisée par cette magie qui s'était insinuée en elle.

Torga prit Arladëmia dans ses bras et la ramena dans la bibliothèque, en abandonnant le livre dans la rue. Il la coucha au pied d'une étagère et alla renforcer la porte par laquelle elle était sortie dehors. Il ne doutait pas que les peaux vertes allaient rappliquer et tenter d'entrer par cette porte, mais il savait aussi que le danger viendrait uniquement de là car les orques ne sont pas malins au points d'imaginer qu'il peut exister plusieurs issues... Il plaça donc deux étagères en travers de la porte de chêne, puis il alla palper le front de son amie assommée par le pouvoir magique du livre. Elle était brûlante de fièvre et exhalait la magie. En essayant de se contrôler (surtout ses tremblements) il enleva les vêtements trempés de sueur de l'elfe et les étendit sur une corde qu'il avait trouvée plus loin, afin qu'ils sèchent. Il ramassa une toile et la déposa sur Arladëmia avec une bise sur la joue.
"Bonne nuit" lui souffla t'il, et il se mit à explorer la bibliothèque de fond en comble pour trouver un livre traitant des remèdes contre la fièvre.

(je croyais qu'il ne savait pas lire ^^ lol)
Arladëmia dormait d'un sommeil sans rêve lorsqu'elle se réveilla. L'atmosphère de la pièce était poussiéreuse et elle n'aperçut pas Torga. Cela l'inquiéta mais au moins, elle était dans la bibliothèque. Elle se leva donc, mais se sentit faible et retomba. Elle reesseya puis finit par réussir. Elle mit quelque temp a métriser ses vertiges et remettre de l'ordre dans sa tête puis fit les cent pas. Petit un, elle rammasse un livre aux pouvoir magique, petit deux, elle rêve de battailles comme si elle y était, petit trois, elle tue des ennemis dans ce rêve et a des vertiges et de la fièvre au réveil. Torga apparut, un livre a la main. Il la regarda bizaremment puis déclara d'une voix hagarde :
"Tiens, voila un livre pour atténuer ta... fièvre." Il dit ce dernier mot dans un murmure, tellement il était étonné de la voir debout. L'elfe lut la couverture : "Recettes de cuisine naine". Elle ne pu retenir son fou rire, devant un Torga qui avait la tête facilement aussi embrumée que celle d'Arladëmia.
Ils s'éxpliquèrent ce qui s'était passé durant ce moment la, Arladëmia lui ennonça son rêve, et Torga la façon dont elle avait jouer la somnambule et tuer une dizaine d'orc. Elle lui demanda ou était passé le livre et lorsqu'il lui annonça qu'il l'avait laissé dehors, elle en fut attristée mais comprit.
Ils explorèrent, ou plutôt "elle explora" la bibliothèque, dénicha quelques livres très importants qu'elle garda sur elle, surtout des romans sur l'amitiée nain-elfe, et sur la magie dont elle raffolait. Une journée plus tard, ils repartirent en direction du préposé palais. Arladëmia déclara : "Demain, nous y serons." et Torga acquieça.
Ils passèrent la porte principale et barricadée, les cadavres n'ayant pas été enlevés depuis la veille, il s'aventurèrent dehors et longèrent les murs jusqu'a une autre maison ou ils déjeunèrent. Pour une fois, tout était calme et ils en profitèrent.

(Il sait lire un minimum, mais enfin...)
Torga était plutôt bien guéri à présent grâce aux bons soins de son amie. Celle-ci, par contre, sa fièvre passée outre, avait de temps en temps des petites crises d'hallucinations dûes au livre. Ses couchemars fiévreux l'empêchaient de se concentrer sur le moment présent. Ils marchèrent tout de même jusqu'à la tombée de la nuit. La seule patrouille de gobelins qu'ils avaient rencontré devait manquer à l'appel dans la base des peaux vertes... Le combat avait peu duré, les lames de Torga allant bien trop vite à leur goût et l'elfe entre deux flèches, lâchant un sort bizarre, aléatoire et voire même dangereux. Ni l'un ni l'autre des deux compagnons ne comprenaient cette soudiane montée de pouvoir, mis à part le livre. Ils dormirent tranquillement sous le couvert d'un toit délabré, entre deux effondrements. Encore une fois, Torga prit Arladëmia dans ses bras, mais l'elfe n'était pas "là" psychologiquement. Elle était dans ses mirages, et Torga ne savait pas quoi faire pour l'en sortir.

Et il avait raison... Arladëmia état perdu dans des champs de battailles gigantesque, avec de nombreux combattants. Ils se levèrent et marchèrent mais Arladëmia replongea en marchant dans son someil. Et quasiment tout le temps, quelqu'un la guidait en lui prenant le bras dans ce monde imaginaire qu'elle foulait, c'était un elfe au visage bourru et défiguré. Souvent elle aurait voulu désserrer cette etreinte pour pleurer sur un corp elfe tombé au combat. Malgré tout, dans ses rêve, elle put accéder au savoir. Elle reconnu quelques une des plus grandes stratégies de battaille rangée et en assimila de nouvelles. Ces rêves, elle n'en voulait pas. Mais elle aprenait et cela l'aidait a surmonter son découragement. Lorsqu'elle passa devant quelques archers qui ne la virent même pas, elle put apprécier un nouveau lancer de flèche qu'elle ne connaissait pas. L'elfe tirait de façon si étonnante qu'elle en resta coi quelques instants, obligeant Torga, ou l'elfe défiguré a s'arrêter au milieu de nul part. Effectivement, l'elfe passait la corde de l'arc derrière sa tête, elle n'avait jamais vu d'arc aussi long, tira puissament sur la corde puis décocha. La flèche attérit près d'un kilomètre plus loin, en tuant un orc au passage. Ebahi, elle refit les geste et Torga se demandait vraiment ce qu'elle pouvait voir.
Tout a coup, elle aperçu un Troll, mais très très loin ! Entouré d'une quinzaines de fantassins orcs et d'archers orcs, une trentaine en tout. Elle pris peur pour l'armée elfe qui luttait ici mais... ceux ci ne semblaient pas les apercevoir. Elle comprit d'un coup. Ces créatures la n'était pas fictives, elles étaient réelles. Elle essaya de prévenir Torga au travers de gestes, celui ci lui tenant toujours la main et le bras, de peur de la perdre, elle pointa donc la main endirection du Troll pour que Torga l'aperoive, mais... celui ci n'aperçut que le mur qu'elle désignait a dix mètres de lui. Evidemment il ne comprit pas, le Troll était trop loin. Cepandant, il se raprochait, en faisant de nombreux détours -surtout sur une plaine en plein combat c'était étonnant- , c'était comme si ils empruntaient des petites rues. Elle entraina donc son protecteur dans le sens inverse de ces créatures, mais l'elfe au visage défiguré ne comprit pas, elle ne pouvait pas lui parler bien evidemment puisqu'elle dormait en marchant.
Terrorisée, elle courut, brisant la prise avec son compagnon et s'enfuit dans une maison abbandonnée, qu'elle prenait pour deux arbres gigantesques. La, il la retrouva et elle sortit de son songe pour s'endormir a nouveau dans les bras d'un Torga attristé.

Une fois de plus, Torga la porta dans ses bras jusqu'à leur refuge. Il soupira en se demandant qu'est ce qu'il allait faire à présent... en compagnie d'une elfe qu'il aimait mais qui n'était pas dans son état normal la plupart du temps... Dehors, il entendit une patrouille d'orques en armes, et soupira de nouveau en repensant à sa situation désastreuse. Il se coucha près de l'elfe une nouvelle fois et la serra fermement pour ne plus qu'elle bouge. Il voulait dormir, quand même ! La nuit passa, peuplée de tremblements d'Arladëmia, elle tenta même de frapper Torga, qui tint bon malgré sa joue enflammée par une baffe. Elle haletait, elle suait, elle tremblait, elle remuait en tous sens, si bien que, malgré les efforts de Torga, il ne pût guère dormir que quelques heures. Il se leva avec le soleil et se rendit compte que tout compte fait, Arladëmia semblait être mieux : la fièvre était tombée, mais elle semblait fatiguée et était encore parfois prise de crises d'ahllucinations, mais elle était beaucoup plus souvent dans la réalité. Le plus gênant à présent était ses vêtements trempés, car elle les avait gardés toute la nuit (Torga n'avait pas osé les lui enlever et la serrer dans ses bras dans cette tenue...) et de ce fait à présent le froid lui avait donné un petit rhume très embêtant pour la discrétion !

Durant la journée, les crises d'hallucinations se calmèrent, la fièvre tomba et l'elfe redevint un peu plus joyeyse. Cepandant, elle restait inquiète et avait peur de replonger. Il continuèrent donc a se diriger vers le préposé palais qui se trouvais a une demi-journée de marche. Les bâtiments avaient l'air en meilleur état par ici, a moins que ce ne soit le quartier qui soit plus chic... Mais au bout d'une heure de marche, ils s'aperçurent très vite que certains bâtiments étaient toujours debout et en très bon état alors que d'autre étaient totalement détruts... Ils eurent peur lorsqu'ils remarquèrent les empreintes de créatures sur les ruines de ce qui fut autrefois une maison naine en plein essor. Ces empreites étaient énormes, elles avaient vaguement la forme de celle d'un dinausaure mais en restant plus profondémment ancrée dans le sol, comme poignardée, et fumant légèremment, ils frissonèrent. Torga alla sentir et déclara que s'était des vapeurs de soufre. Etonnant dans une zone qui n'avait pas l'air, jusque la, d'une zone volcanique...
Ils continuèrent a marcher, dans un lieu maintenant fumant. Au bout d'une demi heure, il y avait un léger brouillard de vapeurs de souffre. Il évoluèrent en trouvant toujours plus de maison réduite a l'état de cendre. Au bout d'un moment, un grondement kugubre se fit entendre. C'est également a ce moment la qu'ils aperçurent le palais, avec ses deux portes battantes.

Suite dans le palais : https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?t=54

Précédent morceau du RP dans les quartiers d'habitations : https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?p=830#830

Torga et Arladëmia arrivérent ereintés dans le palais, en fin d'après midi, visiblement abandonné, du moins la partie dans laquelle ils entrèrent. Ils s'avancèrent sans un bruit dans ce qui leur semblait êtrre une vieille écurie poussiéreuse. Les ossements qui jonchaient le sol prouvaient que les derniers chevaux qui avaient occupé la place étaient "partis" depuis longtemps... Rien ne laissait voir ce qui aurait pu les emporter. Le couple dressa un campement dans un box et fit cuire les derniers morceaux de serpent à la va-vite. Ils mangèrent sans trop savoir quoi échanger comme propos, après tout, cela faisait suffisament longtemps qu'ils voyageaient ensemble pour ne rien avoir à se dire. Ils laissèrent du feu quelques braises avant de s'endormir dans le foin sec, l'un à côté de l'autre.

Au réveil, ils se dirigèrent vers une grande bâtisse qui semblait être une armurerie : De grand claymore et autres épées, haches, arcs ou encore masses d'arme jonchaient le sol et deux orcs se dressaient au milieu de la pièce. Ces orcs étaient différents, ils ne portaient pas la même armure et n'avaient pas la faille au coup que possédaient les autres... de plus, n'avait plus que deux flèches qu'elle ne savait comment utiliser. Avant qu'il ne s'aperçoivent de leurs présence, elle décocha une flèche qui pénétra l'armure de l'un des deux orcs, s'enfonçant profondémment dans sa poitrine. Il tomba raide mort. La seconde flèche loupa sa cible qui était maintenant alertée de leur présence et en colère d'avoir perdu son binôme. Il chargea Arladëmia mais Torga s'interposa, parant son attaque avec agilitée. Il essaya de contre attaquer mais il eut l'impression que l'orc connaissait la botte car il la para avec facilitée. Le combat dura 5 minutes, sous les yeux appeurés d'Arladëmia et s'arrêta enfin, l'épée de Torga ressortant de l'autre côté de l'orc. En sueur, ils décidèrent de fouiller la salle et s'aperçurent que, a part quelques armes, il n'y avait rien. Arladëmia ramassa de nouvelles flèches de bonne facture, avec un bout en fer. Ce qui lui facilitera la tâche pour passer les armures de ces orcs la. Après avoir fouiller la salle, ils érrèrent jusqu'a la nuit dans les couloirs déserts du palais, ne sachant pas ce qui avait fait fuir tout le monde...

Ils montèrent un escalier monumental jusqu'à un second étage gigantesque. Le grand couloir de cinq mètres de large et de cinq mètres de hauteur était vide, si bien que les deux compagnons en eurent peur. Ils entrèrent dans la première salle venue, qui s'avéra être une chambre luxueuse, malgré le temps qui avait opéré dessus. Torga sourit.
"Enfin un vrai lit... soupira t'il
-Et deux places, avec ça", renchérit Arladëmia avec un clin d'oeil.
Ils époussetèrent les couvertures et nettoyèrent un tant soit peu la chambre, puis ils se préparèrent un bon feu dans la cheminée et mangèrent des provisions naines immunisées, apparement, au affres du temps, qu'ils avaient trouvé dans une commode.

La nuit vint et ils s'aperçurent qu'ils n'avaient plus de provision... a part un morceau de serpent qui datait un peu. Il mangèrent donc ce dernier morceau de viande et allèrent se coucher en attandant le lendemain. Il passèrent une délicieuse nuit.
Le lendemein matin, le ventre creux, ils errerent dans tout le palais, effectivement vide et sans problème. Il découvrirent les cuisines a la mi-journée.
"Oh ! Les cuisines du palais !" s'exclama Torga. Ils fouillèrent les alentours et s'aperçurent qu'il n'y avait personne, comme depuis qu'ils étaient entrés dans ce palais. Excepté dans l'armurerie. La cuisine était remplie de victuailles salées et autres mets bien conservés. Ils se relayèrent jusqu'a la chambre pendant deux jours et celle ci fut bientôt remplie de viande, poisson oeufs poulets... bref de nourriture, laissant juste le lit et une allée étroite pour aller du lit a la porte et une autre de la porte a la petite salle de bain. Ils avaient ramené également un chaufaux pour cuire leurs aliments. Il passèrent deux jours et deux nuits sans problème et décidèrent de boucler la porte de l'intérieur. La porte ainsi fermée, ils étaient tranquille. Il réfléchirent un peu et arrivèrent a la conclusion suivante : il ne bougeraient que lorsqu'ils auraient épuisés leurs vivres. Il préféraient vivre la que mourir dehors. Ne bougeant pas, ils profitèrent des trois mois suivant pour vivre de façon serreine et posée, évacuant le stress au début puis vivant comme des pachas les jours suivant, même si les mets étaient répétitifs. Trois mois plus tard donc, il purent transporter les derniers vivres dans un sac a dos construit précautionneusement avec des poutrelles inutiles du lit, coupées en fines lamelles et les draps en trop. Ils se levèrent pour repartir lorsque Torga déclara :
"-Sa y est, s'en es fii de notre tranquillitée... Nous retournons dans ce monde de fou. Il nous faudra être fort pour retrouver un qualitée de vie comme celle-ci.
-Ne t'inquiète pas Torga, nous y arriverons, nous trouverons un chemin pour rentrer chez nous."
Il franchirent la porte lorsque Arladëmia s'exclama :
"-Dit Torga ! Tu ne trouves pas que j'ai grossi ?
Il rigola puis se reprit. Il examina le ventre d'Arladëmia pendant cinq bonne minutes mais celle ci en eu marre et demanda :
"-Qu'est ce qui a a la fin ? j'ai pris un ou deux kilo et ce n'est pas si grave...
-Mais Arladëmia, tu n'as rien pris du tout, tu es enceinte. Et au moins trois mois a te voir."

Torga s'attendait à tout sauf à ça... Il devint blême, puis se reprit en toussotant un peu.
"Ecoute, ma chérie, je... en tant que militaire, et fanatique qui plus est, je ne suis pas censé... comment dire ? Euh... Faire ce genre de choses. Toutefois... Je penses que cette nouvelle va accélerer notre installation ensemble... Mais pour l'instant il nous faut sortir d'ici avec ce petiot."

(tu ne t'es pas foulé lol ^^)
"Oui tu as raison, allons y."
Ils partirent de ce pas a travers le palais qu'ils avaient déjà visité puis sortirent a l'air libre. La croute rocheuse était toujours aussi noire.. Arladëmia frissona, ils avancèrent. Lorsqu'ils revinrent dans les quartiers d'habitations, la première ruelle était calme, mais il y avait toujours ce contraste entre bâtiment propres et bâtiment carbonisés, rasés. Torga réfléchit puis se dit qu'un jour ou l'autre ils finirraient par tomber sur la chose qui faisait sa. Tout a coup, ils entendirent des voix, ils coururent se cacher dans l'ombre d'un bâtiment, les voix étaient ceux de patrouilleurs orcs, le premier commença :
"-Ehhhh, vous avez entendu le chef, nnous devons trouver un gros serpent et le tuer sest pas compliquer !
-Tu ne connais pas ce serpent répondit le second, qui semblait être le vétéran du groupe, ce serpent, est gigantesque ! En plus, il a des ailes, il vole et crache des flammes bleues !!!
-Gorback, tu racontes vraiment n'importe quoi, tu dois être atteint de sénilité répondit un troisième avec décadance...*des rires*
-Non, vous verrez."
Torga, après avoir entendu cela, commença a comprendre que "la chose" qu'ils pourraient bientôt croiser était en fait un dragon... pris de peur, il se retourna et pris Arladëmia dans ses bras : "il faut vraiment que nous filions d'ici, allez viens ! on passe par la", en disant cela, il montra du doigt, un bâtiment qui dépassait de loin les autres, excepté le palais et qui avait le toit applati.

suite dans les quartiers d'habitation : https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?t=46&postdays=0&postorder=asc&start=0

Suite du Palais : https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?t=54
Ils déboulèrent dans une large ruelle qui devait être autrefois une artère marchande principale. Courant à toutes jambes, leurs pas se confondirent avec ceux de leurs poursuivants, si bien que lorsque Torga se tourna, la troupe de gobelins sanguinaires étaient presque à portée de bras. Arladëmia, fatiguée par la course couplée à sa grossesse, n'avait rien entendu venir. De plus, elle trébucha sur un pavé inégal et s'affala de tout son long. Torga devait y être pour quelque chose car il l'avait poussé pour la prévenir du danger... Torga stoppa aussitôt et se tourna dans toute sa splendeur, ses épées en mains. Son regard s'embrasa et il se jeta sur les ennemis. Ces derniers fuirent la queue entre les jambes alors qu'il en avait tranché seulement trois. Bizarre, car les gobelins, bien que couards, ne se repliaient pas lorsqu"ils étaient aussi nombreux contre aussi peu et avec si peu de pertes. Torga inspira profondément et calma ses élans violents. Il se tourna pour relever Arladëmia, qui s'était déjà relevée, et comprit très vite pourquoi elle restait coite et immobile au milieu de l'allée : un dragon de cuivre était là, apparu dans la rue comme par magie. C'était lui qui avait fait fuir la troupe gobeline.
"Oh, oh, petits bipèdes, siffla t'il, je crois que je vous suis venu en aide. Mais... par mon nom, vous partez, non ?"
Le dragon s'esclaffa et répéta plusieurs fois :
"Vous partez, non; c'est comme vous parthénon... ohohoh ! Trop fort comme blague !"
Arladëmia lui jeta un regard de travers alors que Torga prenait un air décontenancé. Comme ils ne réagissaient pas plus que ça, il reprit :
"Je m'appele Chboidlakronembour. Ohohoh, j'bois d'la Kronembourg, ohohoh ! Wouahaha, comme je vous bourre avec mes bonnes blagues, c'est pas lourd !"
Il continuait de pleurer de rire de ses propres blagues. Le couple ne réagissait toujours pas...
"Oh ! Vous pourriez au moins rire de mes blagues, non ?
-Euh... Oui, oui, fit Arladëmia d'un ton timide.
-Ô grand dragon de cuivre, commença Torga, mais il fut interrompu par le rire gras du dragon.
-T'est trop fort, petit. C'est un langage archaïque qui me scie !
-Bon... je crois qu'on va partir, hein ?
-Mais non, je vais vous accompagner, où voulez-vous aller ?
-Au huitième enfer", lança froidement Arladëmia. Le huitième enfer était l'enfer le plus froid et le plus dangereux connu par les dragons, d'autant plus qu'il était extremement difficile d'en sortir. Le froid tuait les dragons non-blancs en moins d'une heure, là-bas... Le dragon ne comprit par l'ironie de l'elfe.
"Là_bas je ne puis aller, mais si vous le souhaitez je peux vous y envoyer...
-Non, merci, fit un Torga agacé.
-Bon, alors vous voulez aller où ?
-Le plus loin possible de ce crétin, souffla Torga à son amie, heureusement le dragon n'entendit rien, aussi le barbare reprit pour le dragon : Monde d'Anroc, Royaume elfe, ça vous va ?"
Le dragon cuivre réfléchit un instant.
"Je peux faire ça..."

(hey s'est pas prévu sa ! lol mais j'ai trouver comment faire... pas mal les blagues mdr !)

Le dragon reprit son sérieux et leur dit d'une voix glaciale, digne du 8ème enfer : "Suivez moi".
Ils le suivirent en silence alors que celui ci se dirigeait vers le bâtiment a l'air sombre.
Au bout d'une heure de marche silencieuse, Torga chuchota a Arladëmia
:
"-Sa ira ? Tu vas bien ?
*touchée par la tendresse de Torga, elle répondit*
-Oui je peut marcher encore jusqu'au soir.
-Très bien, suivons le, il nous distance.
Il repartirent après cette très brève pause, le dragon se retournant de temps en temps pour voir ou ils étaient. Le long de la route, Torga osa le dialogue avec le dragon :
"-Pourquoi faites vous cela ?
-Tout simplement parce que je ne peut quitter ce lieu sans un humain dans mes griffes...
-Dans ce cas pourquoi sommes nous libres de bouger ?
-Eh bien parce que si je vous contraint a quitter ce monde de force, je serrais pulvériser et mes particules seront dispersées entre les deux mondes parrallèles.
*Torga et Arladëmia en choeur*
-Nous sommes dans un monde parrallèle ?
-Bien sur... Vous êtes dans la grotte de Karto Sturra *sa voix résonna comme si un Dieu avait parler avec sa gueule* Et seul moi pourrais vous indiquer le chemin de la sortie. *Il reprit sa voix normale* Tout les autres sont morts, tués par les orcs. Moi même je suis le dernier dragon de la grotte alors que autrefois il y en avait plusieurs dizaines... C'est un mage expérimentée qui nous a enfermer, comme vous.
*Torga, seul*
-Mais... *il ne trouva rien a dire*
-Laissez ne dites rien, sa ne sert a rien; a fait tellement longtemp que je suis seul ici que j'ai eu l'habitude du silence"
Un silence tomba, puis le dragon reprit :
"Nous allons établir un camp la pour la nuit."

(Qu'est ce qui était prévu ? Moi, j'avais pas prévu qu'Arladëmia tombe enceinte... Et puis t'aurais quand même pu le faire parler en vers et puis avec des blagues, c'est le chic des dragons de cuivre, ça !)
Ils dormirent du mieux plutôt bien, bien que les ronflements agrémentés de rires gras. Le lendemain matin, Torga se réveilla en premier, et sortit Arladëmia de sa transe elfique. Comme le dragon dormait toujours, ils allèrent chasser dans les alentours. Ils trouvèrent des lapins nains et en rapportèrent cinq au camp. Le dragon dormait toujours. Torga et Arladëmia soupirèrent en coeur et firent cuire la viande. Ce fut sans doute le fumet qui réveilla le monstre cuivré. Toujours est il que dès que la viande grésilla, celui-ci ouvrit un oeil, frappa de sa lourde queue par terre, et s'étira tous les membres avant de daigner lancer un regard à ses camarades. Il ne dit, rien, mais son regard traduisait son mépris pour une viande si petite et cuite aussi futilement. Il s'envola sans un regard en arrière. Quand il revint, trois heures étaient passées. Arladëmia tapota du pied à son atterissage et lui fit remarquer :
"Si môssieur le dragon de cuivre daignait se dépêcher, peut être serait il plus vite débarrassé de nous et de retour à sa terre.
-Holà, jeune oreilles-pointues, le temps n'a pas cours dans cette avenue. A Karto Sturra, rien ne compte que la haute loi.
-La haute loi ? demanda Torga, qu'est ce que c'est ?
-Il s'agit du seul jugement des Dieux, ce n'est pas par hasard que vous êtes céans ensemble, vous deux."
Torga s'empourpra, de même que Arladëmia. Le dragon reprit en rigolant :
"Vous êtes drôles, petits mortels, vous rougissez quand tout se scelle... ou quand tour saucisse !"
Il partit dans un grand éclat de rire alors que le couple lui jetait des regards noirs...

(oui ben je suis désolé mais on a pas la même idéologie du dragon !!! lol ok maitenant il parlmera en vers et en blague... mais je n'ai pas saisi la dernière... ^^)

Le dragon finit de rigoler et voyant que les deux compagons ne comprenaient toujours pas, il cracha un jet de flamme au dessus de leur tête et se retourna pour partir en maugréant que "après tout elle était bien mablague" et que "de toute manière ces petit hommes n'ont pas d'humour"...
"Bon ben... suivons le." annonça Torga.
Il avançèrent pendant tout le reste de la journée, jusqu'a l'arrivé d'un orc en face du groupe. Il essaya de s'en aller mais le dragon le trouva a son gout.
Dégoiutés, ils installèrent le campement. Et lorsqu'ils se sentirent seuls, le dragon vint renifler a leur côtés. Torga déclara :
"Bon écoute monsieur le dragon, il est tempsque l'on dorme alors si vous pouviez allez établir votre campement un peu plus loin, se serait avec plaisir. *En disant cela, ilferma la tente devant la gueule du dragon.* Le dragon déclara :
"Ah... s'il veulent rester avec les mites..., et oui, si ils veulent des mithes au thé... etpetites en plus... et une seule... un peu d'intimité quoi... je les comprend je m'en vais, je reviens demain a l'aube."
Torga et Arladëmia s'endormirent sérrés l'un contre l'autre, dans la tente de fortune qu'ils avait fabriqués dans le palais.

(C'est normal que tu n'aies pas compris elle était totalement pourrave... Tu sais "se scelle" devient "saucisse"... Quant à l'idéologie du dragon, je m'appuie sur le "Manuel des Monstres", version 3.5 de DD)
Torga ne savait pas s'il avait dit ça pour être seul avec son amie ou pour ne pas avoir à supporter les ronflements du dragon, masi en tout vas il avait eu les deux. Il n'avait pas voulu être méchant non plus et il éspéait que le monstre ne l'avait pas mal pris. Il se coucha donc prés de l'elfe et lui tâta le ventre. Arladëmia sourit :
"Il bouge, lui murmura t'elle.
-Je sens la vie..." répondit il tout simplement.
Ils dormirent, n'un contre l'autre, dans le plus grand calme et la plus grande intimité., mais le lendemain ce fut le dragon qui les réveilla. Pas par un ronflement, non, mais par une jolie prise qu'il jeta à leurs pieds. C'était une éspèce de cerf, mais avec des bois plus longs et plus tordus, sans doute aussi torturés que les arbres de la forêt souterraine. Il mangèrent tous ensemble, discutant tranquillement de leurs histoires personnelles. Ainsi ils apprirent que le dragon ne vivait pas loin du monde d'Anroc, sur le même monde qu'Arladëmia. Leur conversation fut agrémentée de blagues du dragon, parfois légèrement bien mais le plus souvent pourries... (Un voleur sauve un mage de la noyade. Reconnaissant, le mage lui dit :
- Tu as droit à trois voeux. Mais attention, je ne peux que transformer un objet en un autre.
- Bon, ben... Peux-tu transformer ma vieille épée en super épée d'argent flamboyante ?
- Je le peux.
Et l'épée pourrie se transforme en super épée d'argent flamboyante.
- Et maintenant, peux-tu transformer cette modeste bourse de piécettes de fer en un coffre d'or ?
- Je le peux.
Et la bourse se transforme en un coffre d'or.
- Et enfin, peux-tu faire de moi l'occupant du trône ?
- Je le peux.
Et le voleur chope la diarrhée...)

(mdr lol)
Plus pour faire plaisir au dragon que pour se faire plaisir a eux même, les deux humanoïdes sourièrent et rigolèrent un peu mais le dragon dut s'en apercevoir car il fit la moue durant une bonne heure.
Ils se remirent en marche et il ne firent aucune rencontre malheureuse sinon celle d'un collonie de rat dévrant un cadavre orc, d'après les restes...
Cependant, a la fin de la journée, Arladëmia retomba dans sa trance qu'elle avait perdu depuis plus de trois mois... Torga la trouva fiévreuse et biuen entendu, lui pris la main pour l'accompagner dans ses sombres rêves. Comme d'habitude, Torga se transforma en elfe d'un age avancé, avec, elle ne l'avait pas remarquer auparavant, une ballafre au dessus de l'oeil gauche. Le champ de bataille était très différent cette fois ci, le ciel était noir, des feux de camp étaient allumés. Des deux côtés, la bataille opposait cette fois ci des humains en grand nombre face a une horde de gobelins. Entre les deux armées, le no man's land était une plaine, avec un petit bosquet. Comme d'habitude, la stratégie d'attaque était différente. Cette fois ci, la horde s'avança rapidement, en terrain découvert, des cris s'élevèrent du champ de la plaine, bien avant que l'armée orc arrive a portée des archers humains, d'ailleur inexistants. En fait, les archers humain, nordiques a vrai dire, existaient effectivement. Ils étaient cachés dans le bosquet et pillonaient les rangs orcs avec de nombreuses flèches. Ceux ci ne s'attendant pas a voir les nordiques ici et furent donc décontenancés, laissant tout juste le temps pour les nordiques de lancer l'assaut. La bataille fit rage mais Arladëmia n'y prêta plus attention. Elle désirait pour la première fois tirer au clair cette histoire de trance.
Elle se dirige donc vers le premier général et esssaya de lui parler. Voyant que celui ci ne répondait pas, elle voulut le taper de rage mais sa main passa au travers. Encore plus rageuse, elle essaya de toucher tout les autres puis se résigna. Au bout d'un moment de silence ou elle était assise en train de pleurer sur l'herbe, ou sur la pierre, suivant si on prenait le monde réel ou irréel. Le dragon suivait Torga et essayait de le soutenir avec ses calembours... Lequel des deux avait l'expérience la plus difficile ? Elle eu d'un seul coup un élan de lucidité, aperçut Torga, puis replongea aussitôt. Elle ne comprit pas pourquoi elle avait réussi a apercevoir Torga, mais l'expression de son visage avait du le rendre triste, ou au moins anxieux. Elle s'adressa a lui dans son monde et, aussi étonnant que cela parraisse, il lui répondit. Mais ce n'était pas Torga, il n'avait pas le même timbre de voix et de toute manière, il se présenta sous le nom de : Helmat.
Arladëmia engagea la conversation :
"-Qui êtes vous ?
-Je m'apelle Helmat et je suis le gardien de ce monde.
-Quel monde ? Depuis le début, je suis avec vous et nous avons traversé un nombre impressionnant de mondes différent.
-Je suis le gardien de ce monde, le monde de mon auteur.
-Mais pourquoi fait-je donc ces rêves la spécialement ? Je n'ai pas envie de rêver de bataille ! Qui était l'auteur ?
-Urblast Arlicanr. Il était un grand stratège et un puissant mage. Il avait su combiner les spécialitées de magie et de général. Il dirigeait donc des armées et participait au combat en lançant des sorts produisant de grand dégâts de zone. Il pouvait incendier une forêt entière en un sort. Bon. Je pense que, désormais, je peut te révéler les secrets.
Je suis l'image d'Urblast. Celui ci s'est fait tuer au cour d'une bataille, *sourire désabbusé* bêtement en plus... une flèche perdu alors qu'il finissait de composer son sort qui aurait du détruire l'armée adverse. Lorsqu'il le lança, l'orc décocha... La flèche pris feu en volant et lui ariva dans la poitrine . Il s'enflamma et disparu.
Peu avant cette bataille, sentant quelque chose arriver, il eut l'idée d'enfermer tout ses secrets dans ce livre. Mais il n'était pas mauvais et ne pensait pas que tu aurais ces problèmes de trance. Logiquemment, en pronnonçant la bonne formule, tu peut y entrer et en sortir quand tu veut. Quand a la fièvre, s'est un effet secondaire de tout ce que tu apprends. Lorsque tu as appris la magie et que tu l'a utiliser pour la première fois, tu es restée longtemps dans le coma si je ne m'abbuse ? non ? *elle acquieça* Bon. le livre était gardé dans un donjon par trois grands dragons comme celui qui vous accompagne *Arladëmia était choquée mais ne le montra pas.* Ceux ci étaient sensés poser dix énigmes au personnes qui voudraient s'emparrer du livre. Mais personne ne réussi et ils repartirent tous bredouille. Une fois, un riche seigneur souhaita s'emparrer du livre et essaya donc de répondre aux dix énigmes. Il réussit les neuf premières mais buta sur la dernière. Plus énervé que tout les autres, il s'en alla en criant vengeance. Trois jours plus tard, il revint avec une armée de 10000 hommes. Les trois dragons décimèrent les deux tiers de cette armée au premier assaut mais le tier restant riposta a coup d'arcs et d'arbalètes et tua les trois dragons, leurs carcasses fumantes s'écrasant sur le reste de l'armée. Le seigneur vint donc trouver le livre sur l'autel derrière et appris tout ce qu'il contenait, je n'était alors pas encore "activé", sinon je l'en aurait empêcher. Il rangea le livre dans sa bibliothèque, ayant déjà tout appris, il n'en avait plus besoin. Cepandant, les dieux avaient remarqué ce personnage étrange qui s'accaparait les connaissances du mage le plus puissant qui n'ait jamais exister. Et bien décidés a calmer ses ardeurs qui devenaient de plus en plus sombres, ils prirent forme et le décimèrent. Il est dit que les dieux tous ensemble luttèrent eux jours pour l'achever. Cepandant, il restait le livre et ils décidèrent de creer un monde souterrain qui serait relier par de nombreux téléporteurs aux différentes îles de la surface pour le cacher. Il ne s'agit donc pas de mondes parrallèeles mais d'îles que les différents royaumes n'avaient pas entre-découvert. Passons. Ce monde souterrain s'appelle Karto Sturra comme vous l'a dit votre ami dragon et le seul moyen d'en sortir est le dernier téléporteur, qui se trouve a l'endroit ou vous emmène votre dragon de compagnie *sourire franc*"
Totalement tétanisée, Arladëmia ne dit pas un mot.
L'image d'Urblast lui dit une dernière chose :
"Arcalostër en ninïol"
Arladëmia disparut et se retrouva dans les bras de Torga, ce dernier pleurant.
(Et si on avançait dans le scénario...? :p )

(Un scénario ? Quel scénario ? Et puis d'abord j'ai pas d'idées...)
Le dragon les mena jusqu'à une gigantesque caverne dans les souterrains. Il s'y engouffra sans hésiter, suivi des deux jeunes gens, qui échangèrent un regard hésitant avant d'entrer. Il régnait dans la salle un silence inquiétant, mais qui rimait avec une sérénité incroyable.
"Le silence d'une église en ruine." murmura Torga à l'oreille d'une Arladëmia silencieuse. Ils s'avancèrent main dans la main dans les profonds tunnels qui se rapetissaient, si bien que le dragon dut très vite avancer à quatre pattes, tout en longueur. L'air devint au bout de quelques heures, lourd, puis très lourd. Il faisait chaud et humide. Torga était torse nu, aussi il ne commença à souffrir de la chaleur que lorsque Arladëmia enleva sa tunique pour se retrouver en bikini court... Bras dessus, bras dessous, et tunique d'elfe sur l'épaule, ils continuèrent le chemin sans un regard du dragon déterminé. Ils passèrent à travers des couloirs sombres ou encore illuminés de cristaux à mille facettes scintillantes. Le dragon, sans doute par envie de briser l'oppressant silence, lança encore quelques blagues qui résonnèrent dans le noir... Il stoppa ses bêtises sans doute en comrpenant grâce à l'écho à quel point ces gags étaient pourraves. Il grommela un petit truc et prit à droite à un embranchement. Il dit alors :
"C'est ici que je suis allé maintes fois pour réussir à sortir de ce trou... C'est là que j'ai trouvé le seul portail vers d'autres plans."
Le couple fut soudain fasciné par ses paroles, aussi le dragon continua :
"Le portail est protégé parfois par des démons que j'ai bien du mal à détruire... comme s'ils étaient là au dessein de ne laisser passer personne par le protail."
Il grogna.
"De toutes manières, en tant que dragon, je ne puis passer par un portail aussi petit. Je dois m'enfermer dans une sphère que vous devez emporter avec vous pour que je puisse reparaitre sur un autre monde."

Suite dans les souterrains : https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?t=37

Suite des quartiers d'habitation : https://rpfantasy.forumsrpg.com/viewtopic.forum?t=46&start=15
(pas mal le coup de la sphère... mais tu es allé voir sur le lieu "le portail" de ce forum ? ^^ surprise :p)

Ce qu'avait dit le dragon était intéressant, ce portail, si il existait, serait peut être utile pour rentrer chez soi.
Mais le dragon leur dit ensuite : "Mais nous n'y sommes pas encore, ce souterrain n'est qu'un raccourci pour y acceder. Le portail se trouve dans un grand bâtiment a une journée de marche environ, un peu plus peut être... enfin en tout cas nous y seront demain. Ce bâtiment est une armurerie géante, j'ai visiter plusieurs fois ce lieu et fut étonner d'y apercevoir des armures pour dragon... Elever et dresser un dragon relève de la folie. D'un autre côté, en cotoyer un n'est pas très sain non plus... pas très "saint"... pas très saint..." *il pouffa, Arladëmia et Torga se regardèrent mais n'échangèrent aucun mot.*
Le dragon termina : "Allons y, si nous voulons y être demain, la lumière commence a baisser, signe que les veilleurs vont se coucher." Arladëmia n'avait jamais entendu parler des veilleurs mais n'essaya pas de comprendre, elle devait connaître les secrets de la magie qu'elle venait d'acquérir.
(un peu crever ce soir, j'en ferais un peu plus la prochaine fois ^^)

(Allez, c'est reparti.)
Alors qu'ils repartaient, Torga demanda au dragon d'une voix quelque peu forte :
"Qu'est ce que les veilleurs ?"
Arladëmia et le dragon se retournèrent vers lui d'un coup, furibonds.
"Chut ! souffla l'elfe
-Ce n'est pas une mauvaise question (Au chiottes les vers, c'était une TRES mauvaise idée), fit le dragon à voix basse. Les manuscrits que j'ai trouvé sur ce monde, en fouillant dans divers endroits, relatent l'existence de créatures très puissantes nommées veilleurs. Leurs seuls buts sont d'éradiquer toute menace à l'encontre du monde de Karto Sturra -en d'autres termes les fuyards comme nous-, et de préserver l'isolement de celui-ci. Aucun texte ne décrit leur apparence mais il apparait clair que leurs pouvoirs sont plus grands que ceux des plus vieux dragons."
Arladëmia frémit. Torga réfléchit. La somme des démons et des veilleurs était des combats musclés, trés -trop ?- difficiles. Il en sortit une idée qu'il garda bien au chaud dans un coin de son esprit.
Torga prit la main d'Arladëmia pour qu'elle le guide dans le noir qui devenait absolu et dans lequel seuls les yeux de l'elfe pouvaient percer. C'est là qu'il s'aperçut que elle autant que lui avait froid : le contact glacial de leurs mains provenait sans doute du fait que la caverne ne devait pas être à plus de 10°, et que Arladëmia portait des vêtements légers alors que Torga, bien qu'entrainé à survivre à des conditions difficiles, n'en restait pas moins torse nu.
Après une petite heure de marche, l'insolite petit groupe entendit des cris. Il y en avait deux types : des hurlements gutturaux appartenant sans doute à des créatures, ressemblant au bruit d'un vent puissant dans un canyon, et des cris d'horreur, inhumains, qui n'avaient rien à envier des cris que poussent les gens qui souffrent d'une mort lente et sadique. Le dragon douta alors de la véracité du fait que les veilleurs dormaient, mais aussi de la véracité du fait que les veilleurs accomplissaient un travail propre, simple et inodore lorsqu'ils faisaient des victimes...

(bon... courage ! sa fait longtemps...)

Ils avançèrent donc prudemment et discrètement lorsqu'ils entendirent des pas et des gargouillements sombres...ils longèrent le couloir jusqu'a rencontrer une intersection, d'ou un monstre diforme sortit !
Ils reculèrent, pris de panique et Arladëmia lacha un cris. Les hurlements guturaux se turent et des pas lourds avançèrent dans leur direction.la petite créature qui leur avait sembler si vorace lorsqu'ils la rencontrère, s'abaissa et disparu dans l'ombre d'ou elle venait. Ce devait être un démon. Un diablotin faible comme il y en a tant d'autre. Mais les pas qui se rapprochèrent et n'avaient rien d'aimable dans le son lourd, lent et tremblant qu'ils provoquaient.
Les murs vibrèrent et de la poussière leur tomba dessus. Le dragon déclara :
"Il faut se cacher ! Ces veilleurs pêuvent changer de forme ! Ils peuvent donc passer par ce petit couloir ! Passons sous ce mur !"
Ils tournèrent a l'intersection et se collèrent dans un recoin sous le mur, ce recoin était probablement provoqué par un effondrement quelquonque, d'ailleur, des débris étaient étalés plus loin dans le couloir.
Ils virent la créature arriver. Ou en tout cas, ils virent ses pieds. Des pied comme jamais ils n'en avaient vu ! Ce monstre était équipé de sandales en or incrusté de joyaux et sinon, il était nu jusqu'a un éspèce de pagne et ils ne virent pas au dessus. Ils étaient bien cachés mais cela n'empêcha pas le dragon de paniquer, il chuchota :
"Il va nous voir, il change de forme a volonté ! il va se faire encore plus petit et va nous tuer !"
Arladëmia et Torga en coeur, en chuchotant : "Tais toi !"
Le dragon se leva et regarda le veilleur dans les yeux, a deux pas de lui :
"Ecoute moi bien veilleur, cela fait fort longtemps que je suis enfermé ici, alors tu me laissera passer de gré ou de force. Je suis seul. Mais j'ai le secret qui me permet de passer seul. Alors hors de mon chemin ou je te reduit en tas de cendre." On sentait très bien la tension dans la voix du dragon. Lorsque celle ci s'évanouie, le veilleur prononça un mot : "zkierdos.
Le dragon hurla, puis s'enflamma comme une torche. Il prononça tout de même un dernier mot : "Fuyez !!!!" Et il retomba en cendre.
Le veilleur rigola et partit.

(Génial cette idée de taper d'un coup de poing sur le clavier pour obtenir un mot magique lol )
Si la fuite ne dépendait que de Torga, il serait parti aussi sec, se faisant remarquer de suite Heureusement pour lui, Arladëmia, plus maligne, le retint contre elle et le calma le temps que le monstre se retourne. Toutefois, le couple attendit que ses pas se furent éteints dans les ténèbres pour se glisser hors de leur cachette. Ils avaient tous deux le coeur au bord des lèvres, qu'ils gardaient serrées en se mordant la langue pour ne pas pleurer. Après quelques minutes de recueillements devant un tas de cendres qui tenta naguère d'être marrant, Torga prit la main de l'elfe dans la sienne pour qu'elle le guide à la sortie. Mais quelle sortie ?
"Attend, commença Torga, tout bas, alors qu'ils reflechissaient à la question. Le dragon nous a parlé d'une armurerie, c'est bien cela ?
-Euh... Oui.
-Or une armurerie contient des armes, non ?
-Je ne voit pas où tu veux en venir ? Tu veux voler des armes pour tuer ces... ces choses immondes et surpuissantes ?
-Non (Ah j't'ai cassé ! Hum, reprenons notre serieux voyons... ) Mais les veilleurs doivent surveiller ces armements qui constituent une menace potentielle pour eux...
-Menace potentielle.. c'est vite dit, non ?
-Ce n'est pas le problème, mais, en outre, les veilleurs veillent sur la sortie, n'est ce pas ?
-Ils veillent, oui, c'est le cas de le dire puisque ce sont des veilleurs.
-Donc où est la sortie ?"
Arladëmia écarquilla les yeux, puis dit dans un souffle :
"Il faut suivre la piste de ce géant et nous pourront trouver la sortie sans mal !
-Parfaitement."
Torga sourit. Ils se mirent en route. Les heures passèrent, écrasées sous leurs pieds meurtris de marcher autant. Alors que la fatigue et la faim se faisaient ressentir, une voix douce les interpella.
"Vite, par ici !"
Arladëmia se sentit tirée sur le côté, dans une cavité sombre qui s'enfonçait encore dans la roche froide. Devant elle se dressait un elfe de haute stature, élégant malgré ses haillons. Ses yeux noirs encadraient un nez aquilin au dessus d'une bouche fine. Son jeune visage était encadré par une chevelure noire comme la nuit qui luisait sous l'effet d'un lointaine lumière dans le tunnel.
"Suivez-moi."
Le couple s'éxécuta et ils se retrouvèrent vite auprès d'un feu camouflé de dehors par les murs. Ils s'assirent et Arladëmia prit la parole en tenant fermement la main d'un Torga tendu, main libre au fourreau, prêt à attaquer.
"Qui êtes-vous ?
-Je... n'ai plus de nom. Cela fait longtemps que j'erre dans ces souterrains, que je me cache des veilleurs, et...
-Que savez-vous sur eux ? coupa Torga
-Rien, pas assez, en tout cas... Ils sont très puissants, trop puissants...
-Vous savez comment les tuer ? demanda Torga de but en blanc.
-Vous souhaitez le savoir ?
-Non, c'est pour ça qu'on te l'a demandé, fit Arladëmia d'une voix acérée, car son congénère commençait vraiment à l'enerver, elle ne savait pas pourquoi...
-Ca va, ne vous énervez pas... Je ne sais pas comment les tuer, je ne sais rien. Voulez vous partager ma maigre pitance ? (Il sortit trois rats crus à l'air pas très frais.)
-Je veux bien, firent les deux compagnons de concert.
-Voici..."
L'inconnu leur tendit à chacun un petit corps de viande froide.
"N'hésitez pas à faire cuire votre viande au feu..."
C'est ce que le couple fit sans même attendre son invitation. Torga prit une première bouchée. Les fanatiques de son éspèce étaient, voyez-vous, des gens surentrainés, à l'endurance incroyable et accomplis à l'encontre de tous les dangers, ou presque. Aussi Torga sentit du premier coup le goût âcre du poison dans sa bouche, et aussitôt son corps fit le nécessaire pour contrer l'assaut de la substance sur les nerfs. Il arracha des mains d'Arladëmia sa part et l'envoya dans la tête de leur hôte. L'air éberlué d'Arladëmia et celui, féroce, de Torga, se changèrent très vite en peur panique : leur convive changeait de forme...
"Ils peuvent changer de forme, hein ?", fit Torga.
Le veilleur ne déonça nullement le plafond de la caverne, mais d'un geste de l'auriculaire éleva la voûte à sa taille.
"Oh, oh...", fit Arladëmia
Le veilleur les toisa du regard, comme pour les jauger. Là, Torga mit une note de comique :
"Arladëmia, tu te rends compte qu'on va mourir sans savoir le nom du dragon... Il s'appelait pas Chboidlakronembour, quand même ?"
Arladëmia sourit d'un air déconfit, puis pouffa au souvenir des blagues pourries du dragon, et enfin Torga et lui éclatèrent de rire. A ce moment, il se passa quelque chose d'aussi inattendu qu'incroyable : le veilleur les regarda, contrit que ses victimes osent rire devant lui, et se convulsa tout à coup. Il eut quelques soubresauts debout, et Torga se jetta sur Arladëmia pour la précipiter hors du point de chute du monstre. Car il chuta... En effet, les veilleurs n'avaient vraiment pas du tout l'habitude que leurs victimes rigolent devant eux, les maitres, les monstres les plus puissants de ce monde et d'autres... Le veilleur mourut ainsi, surpris par la réaction du couple.