Mercenaire...

Il fait déjà nuit depuis plusieurs heures, une ruelle sombre dans les pires quartiers de la ville, n'importe qui serait déjà mort à cette heure-là seul dans cette endroit... Mais pas lui, on le connait et on en a peur. Daniel continue son chemin, sans crainte dans l'obscurité. Aujourd'hui il a reçu une proposition pour un contrat, il ne sait pas encore de quoi il s'agit, mais peu importe, il ne sait pas encore combien cela va lui rapporter, mais peu importe... Il exécutera le boulot comme toujours, et vu qu'il le fait toujours bien, il est toujours bien payé, donc il ne s'inquiète pas...

Au bout de la ruelle, il change de direction et se dirige vers la droite, vers un rue éclairée par quelques néons d'un ancien ensemble dont on ne voit presque plus rien. Il entre dans le bar à qui appartient les néons, à l'intérieur des hommes saôuls, certains un peu moins, d'un côté il y a une bagarre dans le coin prévu à cet effet, de l'autre côté de la salle des danceuses qui exèrcent leur talent et devant elles d'autres hommes plus ou moins abrutis par l'alcool... Un spectacle qui laisserait à penser que toute la décadence du monde s'est réunie en un seul endroit, mais en fait c'est partout comme ça...

Daniel parcourt la salle du regard, on lui a décrit qui chercher, mais cette personne ne semble pas encore être là. Il cherche une place et finit par en trouver une dans un endroit un peu à l'écart, exactement ce qu'il cherchait en fait. Un serveur, dont la musculature suppose qu'il fait aussi office de sorteur quand c'est nécéssaire, vient lui demander ce qu'il souhaite boire.

-Alcool et deux verres, dit-il simplement en tendant de quoi payer, suffisamment même pour que le serveur ne se trompe pas sur la qualité.

Le serveur revient peu de temps après avec une bouteille qui donne l'impression de ne jamais avoir été ouverte, preuve qu'il a compris que c'était le mieux à faire, et les deux verres. Au bout de quelques minutes, un homme arrive enfin en se faufilant, regardant autour de lui avec crainte. Il s'approche et parle timidement:

-Vous êtes Daniel?
-Oui, un verre?

L'homme semble presque surpris de cette proposition, il hésite un peu, quelques secondes et puis s'assied.

-Je veux bien, oui... Décidement ce quartier me fait peur, j'ai beau y vivre caché, je n'arrive pas à m'y faire.
-Moi bien, dit froidement Daniel en remplissant le verre de l'homme qui lui fait face, quel est le contrat?

Décontencé par la froideur des paroles et du regard, à nouveau l'homme hésite, reste presque paralysé. Il finit par porter le verre à sa bouche et boit une gorgée d'alcool qui lui brule l'oesophage.

-...heu le contrat, dit-il comme s'il avait peur qu'on l'entende, eh bien voyez-vous nous sommes quelques uns à nous cacher par ici, quand je dis nous, c'est un petit groupe d'intellectuels en fuite. Nous sommes trop faibles pour nous battre ou nous défendre, alors nous nous cachons, mais nous n'en pouvons plus... Alors nous avons rassembler l'argent que nous avons pu et avons chercher quelqu'un qui puisse nous aider, vous en l'occurence.

L'homme s'arrète alors de parler, comme s'il avait peur d'en avoir trop dit, mais c'est en fait le regard sans sentiment qui l'observe qui l'éffraie...

-Eh bien, que dois-je faire?
-Heu, eh bien... Nous vous proposons la somme que voici, dit-il en tendant un papier sur lequel est marquer un chiffre, si vous parvenez à débarasser la ville ou au moins ce quartier de ces persécuteurs, des ces "forts"...

Daniel reste d'abord sur la somme, c'est sans nul doute la plus importante qu'on lui ait jamais proposée, mais rapidement il comprend pourquoi. Le contrat, même tous habitants des bas-quartiers réunis n'auraient que peu de chance de réussir, ou pour le moins ils n'ont même jamais pensé essayer... Il réfléchit, il n'a jamais refusé un contrat, si dur soit-il, et il est toujours arriver au bout, alors pourquoi serait-ce différent cette fois? Sauf que cette fois il ne s'agit pas de tuer un, deux, cinq hommes... Non il s'agit certainement de nettoyer entierement au moins un de leurs grands immeubles. Il hésite, pourra-t-il y arriver... Seul... Mais finalement, une telle entreprise ne peut être fait en un jour et pour une telle somme il peut bien prendre son temps et bien se préparer... Peut-être trouvera-t-il des compagnons aussi, même s'il ne le souhaite pas vraiment, car il travaille seul et cela réduirait la récompense... qui serait encore conséquente... Et puis il prend sa décision...

-C'est d'accord...
-Merci, merci, si vous le désirez, nous pouvons vous donner une partie de la somme si cela peut vous être utile...
-Non ça ira... MAIS... cela risque fort de prendre du temps, je vous préviens, ce n'est pas facile...
-Nous nous en doutons, faites au mieux et vous aurez votre argent.
-Bien

Daniel termine son verre et se lève, suivi de près par l'homme qui n'a visiblement pas envie de se retrouver seul dans ce bar. Arriver dehors, Daniel se retourne et s'addresse à lui.

-Maintenant retournez vous planquez, vous et vos amis, et ne vous faites pas tuer, je tiens à mon argent!
-Bien sur, j'y vais et je ne bouge plus.

Sur ces paroles, Daniel se détourne de lui et repart en sens inverse, vers chez lui. Il passe à nouveau par la ruelle, rien ne se passe...
Il va passer le reste de la soirée à réfléchir, pas à comment, car ce n'est pas son soucis, mais à "est-ce qu'il va engager certaines personnes pour l'aider?..."

La hache est enfoncée profondement. Le prètre à un peu de mal à la retirer du crane du classe A. Celui-ci avait insulter dieu et Jean-Philipe c'était fait un devoir de le punir au nom de Dieu. Après avoir rapidement fait le signe de croix au dessus du mort le fanatique partit vers la ville qui s'étendée devant lui.
Celle-ci était en piteux état, depuis la prise du pouvoir par les brutes plus auqu'un servis d'hygiène n'était m'intenus. Au abord la ville les mendians et les mourants étaient légions. Cela ne toucha pas le prètre, il passa rapidement son chemin et alla dans le premier bar qu'il vit. Ce mettant dans un coin sombre il attenda qu'on le serve.
Le braman arriva:
-Qu'est ce que je vous sert mon père.
-De l'eau mon fils.
-Comme vous voulez.

Pendant qu'il allait chercher la commande du prètre, celui-ci observa les alentours. Des personnes buvaient, rotaient, se battaient etc ...
Mais une personne attira son attention. Elle venait de rentrer, après avoir rapidement regarder l'ensemble de la pièce elle s'assie non loin du prètre. C'était un homme de taille moyenne mais avec une musculature importante. Il commanda de l'alcool et attendit. Peu de temps plus tard un homme le rejoingnit. Beaucoups moin imposant que le premier venu, il était anxieux.
Les deux personnes parlaient à voie basse mais le prètre compris le plus important, Débarasser le cartier des Classes A.
De toute évidence l'homme à la forte carrure était un mercenaire, et aussi fort qu'il pouvait étre il aurrait surement besoin d'aide. Quand celui-ci partie du bar , Jean Philipe de suivit, jusqu'à son domocil.
Il attendit là jusqu'au moment où le mercenaire ressortit.

Silfer avancait la tête basse dans la ruelle, qui menait au bar.
il avait un long manteau noir qui n'avait pas de manche avec en dessou un marcel blanc.
un pantalon noir et de chaussures noir.
ses bras montrait de grandes cicatrice tribal.
on pouvait apercevoire ses 2 gunblade derrière son dos.

il ne vit pas l'homme qui faisait les 100pas et le percuta.
il lui assena un regard neutre et dit:

-je n'attend pas d'excuses, ni de toi, ni de moi...
mais le hasard n'existe pas.

il posa sa main sur une des ses gunblade.

-dit moi qui tu est et ce que tu fait la...

S'il voulait des associés, il lui en faudrait des bons, des personnes qui puissent vraiment l'aider. Et pas des soulards tout juste prompts à la bagarre et à s'atirer des ennuis. Il se perd un peu dans ses pensée, des personnes qui aurait pu convenir, il n'en connait en fait aucune. Il est vrai surtout qu'il ne connait que peu de personnes, en particulier vivantes. Mais qui alors? Il pourrait très bien tenter le coup tout seul, mais c'est risqué... D'un autre côté prendre un associé signifierait devoir partager la récompense, en prendre plusieurs, la partager d'autant plus...

Perdu qu'il est dans ses pensées, Daniel ne remarque pas l'homme qui vient dans l'autre sens à travers la ruelle. C'est la collision. Il se reprend vite de sa surprise initiale et pose son regard sur l'individu. De grandes cicatrices couvrent ses bras nus, son air neutre ne dit rien qui vaille et ses armes étranges bien visible n'arrange rien. L'homme porte la main mais à son attirail tout en pronçant des paroles quelque peu étranges...

-Que tu n'attendes pas d'excuses m'arrange, qui je suis ne te regarde pas et ce que je fais encore moins...
Maintenant oublie-moi, et laisse moi continuer ma route.

Sur ce il tente de poursuivre son chemin en passant bousculant l'homme pour continuer dans la ruelle et ce faisant il remarque un homme qui semble le suivre discretement. "Eh bien, c'est ma journée" pense-t-il en lui même... Que deux personnes semblent soudainement s'interesser à lui en même temps ne le rassure guère. Il espère bien que celui qui l'a percuté le laissera partir en paix et qu'il arrivera à semer celui qui le suit, mais il préfère néanmoins serrer les poings au cas où, tout en se maudissant de ne pas avoir pris l'un de ses pistolets ou une autre arme en plus de ses simples mitaines, car les étranges fusils de son co-accidenteur semble assez dangereux et qui sait ce que peut bien avoir son poursuiveur...

Silfer tendit une de gunblade, long d'a peu près 1m, les deux lames semblait toujours neuves et le canon entre celles-ci menacait le jeune homme.
Silfer souria et tira sur le sol entre les jambes du jeune garcon.

-je le voit dans ton regard...
tu cherche quelqu'un mais qui, tu sais je suis homme a tout faire...

Le prètre choisi ce moment pour avancer vers Daniel.l'homme de Dieu se planta devant les deux hommes, et parla.

-Salut à toi brebi égarer. Je suis père Jean Philipe, serviteur de Dieu et destructeur du malin. Les dessins du tout puissant on fait en sorte que j'entende ta conversation dans le bar. Sache que je t'aiderais (que tu le veules ou non) à débarraser cette ville des impies et des serviteurs du diable.
Un silence.
-Sache aussi que pour moi l'argent n'a aucune importance, seul la volonté de dieu tout puissant compte.

Ivan avez vu la scène, pour lui c'était le meilleur moment pour allé donner son aide. Il s'approcha des hommes.

-Je suis ici pour t'aider aussi, pour ma part l'argent ne compte pas non plus. Se que je veux c'est tuer le plus de "fort" possible.

Ils se retournèrent vers l'ancien prêtre. Ivan sentait les regard sur lui, mais il n'en avait que faire, il avait l'habitude, surtout depuis qu'il à quitté le clergé.

La situation ne s'améliore pas, l'inconnue ne semble pas apprécier ses réponses. Un coup de feu, la poussière s'éppartille entre ses pieds. "Imbécile..." pense-t-il, "Si tu crois que tu me fais peur ainsi..." Il reste calme, mais se prépare, un associé Daniel en veux bien, un associé qui n'hésite pas à tirer comme ça sur un éventuel partenaire par contre ne l'interesse pas... Soudain surgissent de l'ombre tout d'abord un prètre armé d'une hache encore sanguinolante puis un autre homme... "Pour moi qui aime la solitude et la discretion, c'est rapé... Et je commence à franchement me demander si j'ai bien fait de prendre cette mission..." Il hésite un peu sur ses paroles, puis s'exprime enfin, ce qui devait être attendu par les convives présents, si du moins on peut les appeler ainsi...

Eh bien, pour ce qui devait être un contrat tacite et méconnu, il me semble qu'il y a bien beaucoup d'interessés...

Il s'adresse ensuite à celui qui lui fait face et à qui il doit cette balle qui se trouve actuellement dans le sol entre ses pieds:

Tu es trop prompt à tirer sur tes associés potentiels, ne compte pas sur moi pour offrir un job à quelqu'un qui pourrait à tout moment me tirer une balle dans le dos.

Il se tourne alors vers les deux autres, qui en plus d'être un peu plus amical, semble ne pas être vraiment interessés par l'argent, un point qui ne fait qu'en ajouter à une possible association.

Quant à vous messieurs, pourquoi ne pas discuter de cela autour d'un verre... Enfin dès que le triste sir qui encombre actuellement mon chemin deignera comprendre qu'il ne m'interesse pas...

Par prudence, il se déplace un peu de sorte à pouvoir garder un oeil sur l'individu qu'il considère comme relativement dangereux et qu'il ne préfère pas trop avoir longtemps dans le dos. Il ne sait pas trop en effet quelle réaction attendre de lui... Ni des deux autres d'ailleurs, même si ceux-ci n'ont pas tiré de balles entre ses pieds...

Silfer a la réponse explosa de rire, puis rangea son arme dans son dos et s'approcha du jeune garçon.
il lui tendit la main et dit sans faire attention aux autres:
-je m'appel Silfer edjonovah, contrairement a eux l'argent m'interesse.

Ivan s'approcha du jeune homme.

-Tu devrais le prendre car je connais ces exploits, et ces un homme sûr. Et pour ma part je veux bien parler de sa autour d'un bon verre.

Ivan se retourna vers le prêtre.

-Quand à vous, vous êtes connu du clergé comme étant un assassin d'hérétique. Vous serez un homme sur si on fais équipe, mais après je sais que ous est moi on devra se battre. Car ayant quitté le clergé, je suis un hérétique à vos yeux.

L'ancien prêtre souriat, et se retourna vers le jeune homme.

-Bon où allons nous boire?

Le Prètre regarda Ivan droit dans les yeux comme scruter son ame.
-Sache que tous servent les dessins de Dieu, même s'il n'y crois plus. Si nous somme ici c'est que le Tout Puissant l'a voulut. Maintenant nous somme, par Sa volonté, liés par des liens sacrés. Nous combattros le Malin et ces sbires, jusqu'à leur destruction ou la notre.
Je ne combattrais pas, car du aide le seigneur.

Quand il eu finit sa tirade, il embrassa sa croix, posa sa hache sur l'épaule et dit:
-Allons maintenant au bar ou tu as reçus ta mission, prèparons un plan pour les anéatires tous.
A ces mots un sourir fanatique illumina le visage du prètre.

Ils se dirigèrent vers le bar, et Ivan s'approcha de Daniel.

-Je ne connais pas votre prénom, et je sens aussi que vous êtes mal à l'aise que l'excité de la gachette soit derrière vous. Mais ne vous en faite pas , il n'est pas assez stupide pour vous tirer dessus car nous serions deux à lui répondre. Donc ne vous en faites pas.

Il se retourna vers le dit excité.

-Ne t'avises pas de tirer ou tu perdrais l'argent du contrat. Reste calme.

Ivan et ces compagnons continuèrent leurs route vers le bar.

Silfer eclata de rire puis se reprit et repris son air noir et blazé:

-t'inquiète pas, je suis pas assez idiot pour tirer sur mon prochain commenditaire ou meme sur mes compagnons de voyage.
seul les autres vivant ont le droit a une de mes balles dans la tête, hinhin.

dit-il avec un sourire puis il s'alluma une cigarette avant d'entré après les 3 hommes dans le bar...

Striker qui était habillé d'une casquette noir qui était mise à l'envers et de vêtement style militaire, il était équipé de dague sur chaqu'une de ses jambes et de'une enorme épée qu'il portait dans son dos. Il passait par hasard dans cette sombre et délabrante ville vit un groupe d'homme qui parlait de je ne sais quoi mais en avait que faire. Cet alors qu'il commença a s'interresser a ce groupe lorsque l'un d'entre eux se mit a rire, il ne savait pas pourquoi mais il pensait qu'il preparait un coup alors pour sortir de sa solitude il marcha en direction du groupe et se presenta:

Salut la compagnie je passait par hasar dans cette ville et je vous ai vu. Vous m'avait l'aor de preparer quelque chose, est ce que je peux me joindre a vous ? Demanda t-il d'un calme et froid.

Maintenant tous sont en route vers le bar, l'excité semble avoir décidé d'être raisonnable, et les autres le furent dès le début. Daniel n'est pas pour autant sur que la situation soit mieux qu'auparavant, il a effet trouvé des associés dans cette délicate affaire ou plutôt ce sont ces associés qui l'ont trouvé. Et cela n'est pas forcement une bonne chose, car il ne sait rien de ce qu'ils valent...
Alors que le groupe s'approche du bar, une autre personne vient à son tour en proposant ses services. Cette fois c'est sur, pour la dicretion, c'est raté. Il n'y a même pas de raison de refuser qu'il vienne, au moins le temps d'apprendre ce qu'il faut faire. Même s'il tente de rester impassible, Daniel ne peut s'empècher de laisser percer une pointe de lassitude dans sa voie quant il répond à ce nouvel arrivant...

Bah, un de plus ne changera plus grand chose maintenant...

Et ainsi voilà un nouveau qui se dirige avec les autres dans le bar. Lorsqu'enfin ils entrent, Daniel espère que personne ne sera attiré par un tel groupe, mais voilà soudain qu'un géant au visage caché par un loup s'approche en se proposant aussi comme mercenaire. "Encore un...", pense-t-il, "ça devient franchement répétitif...". Mais il n'a même plus envie de refuser, ni même de discuter...

DFI, vous ne pouvez avoir pu comprendre que nous cherchions des mercenaires, même si c'est à peu près le cas, car nous n'avons pas encore commencer à en chercher, et je ne pense pas que cela sera nécéssaire...

Libre à vous de nous rejoindre, mais si vous cherchez la gloire et la fortune, moi je ne peux pas vous dire que ce sera cela votre salaire...

Il avait encore dit tout cela avec cette pointe de lassitude, une chose est sur, lui qui hésitait à prendre un équipier se voit maintenant associé bon grè mal grè à une petite troupe, qui pourrait bien encore grossir si le géant décide de s'y joindre.




[hrp]
J'éditerai ce message dans l'après-midi pour un rajouter la suite de l'histoire.
Je souhaiterais aussi rappeler que nous sommes dans la partie "rp futuriste"... Donc je dois admettre que je ne vois pas trop la raison de la présence d'épée digne de la fantasy, mais bon elles y sont je vais pas demander de tout changer... Néanmoins ceci:"Orbe d'Orgn-öbhi, des talismans de Salomon, des Hemet" me fait franchement l'impression que bientôt on va avoir droit à la magie... En 2042 ( cfr. Le background), ça ferait un peu gros...
Voilà, je ne sais pas si vous apprécierez, je ne souhaite vexer personne, mais je pense que cela devait être dit.
Si vous trouvez que j'exagère ou que j'ai des craintes non-fondées, je m'en excuse.
Si vous avez des remarques, faites m'en part par mp pour ne pas poluer l'histoire.

Merci.

PS: comme dit, j'éditerai ce message, peut-être que je laisserai ceci, je verai cet après-midi... Si vous m'envoyer des remarques après ce soir, je préviens déjà que je part du 7 au 14, par conséquent je ne pourrai pas les lire avant mon retour, aussi ne vous étonnez pas que vous n'ayez pas de réponses.
[/hrp]

Striker se mit debout et sortit du bar puis alla dans un batiment abandonné. Il alla sur le toit et reflechissa à ce qu'avait dit Daniel. Puis un rictus malsaint et sombre apparut sur son visage et eclata de rire tout en sortant une dague et se la frotta contre sa joue gauche et dit d'un air sombre, froid et diabolique:
Alors comme ça on doit nettoyer une zone de la ville ou il y a des "forts". Hum hum comme c'est interressant, pour ma part je me defilera pas et je me fiche de leur stupide recompense tant que je peux liquider des "forts" ceci sera ma recompene. Puis il s'assit dans un coin sur le toit pour éviterd'être observé puis dit encore:
Je vais me reposer et au petit matin j'irai glaner des informations. Alors à dans deux jour Daniel hahahaha. Puis il resta là en attendant le petit matin.

...

Ses pensées s'emmêlaient...

Hmmm...

Ainsi, il allait devoir casser de la brute. Pas trop mal. En tout cas, pas pire que le dernier truc qu'on lui avait confié...Il sortit du bar et s'avança dans l'ombre. Il s'assit dans un coin et sortit une couverture Cam. Magnifiques merveilles technologiques, ces couverture imitaient à la perfection n'importe quel milieu ombré. Elles vous permettaient de rester dans l'ombre tant que personne ne cherchant bien ne regardait dans votre direction...En plus, elle étaient complétement imperméable et isotherme.

Des informations. Ca va être dur à trouver.

Il s'endormit comme cela.

Pendant les deux jours qui avait precedé la rencantre avec Daniel, Striker avait essayé de trouver de informations aussi discrétement que possible pour éviter d'attirer l'attention sur lui. Mais sans sucés personne ne lui avait donné des informations satisfaisnte, comme si les gens craignaient de se faire tuer. Alors il continua san relâche en attendant le soir du rendez-vous, mais toujours rien. Ce fut le soir du rendez vous et Striker se demandait si il y aurait du monde dans le bar et si oui si il y a les personnes qui voulait faire partir du contrat. Il marcha dans l'obscurité des ruelles pour éviter tout accorchage et arriva au bout de deux minutes devant la porte du bar dit. Il poussa tranquillement la porte et vit qu'il n'y avait très peu de monde mais pas les personnes qu'il a rencontré deux jours auparavant, alors il alla prendre un verre d'alcool fort et s'installa dans un coin ou il serait en mesure de voir qui entre et qui sort du bar. Puis il dit:
J'espére qu'ils seront bientôt et que je ne sois pas venu pour un rien. Dit-il d'un ton ausii froid que la mort elle même.