Dans la Citadelle Assiégée...

Seiji avait acceptée cette proposition, car, lorsqu'ils auraient quitté la ville, il faudrait qu'elle ai de l'argent pour quitter l'endroit. Ils arrivèrent près d'une chambre, elle n'était plus gardée, mais les gens a l'intérieur s'activaient.
Seiji regarda Hacki, en posant sa main sur sa lame.

"J'espere que tu es aussi doué pour jouer la comédie qu'a me retrouver."
Elle sourit, puis cacha son arme derrière elle, prit la main de hacki, la passa autour d'elle et la posa sur sa hanche, attacha un ruban autour du bras de son "compagnon", puis, sans attendre, elle ouvrit la porte.
Les gens reunis la devaient être de haut rang, a en voir leurs habits, et, bizarrement, ils la prire pour quelqun de la noblesse, mais de rang bien moins inferieur, Seiji prit la parole :

"Messires, mes Dames .... Je viens vous sauvegarder .. les 2trangers arrivent, et ils sont armés, ils on juré de tuer les nobles, et j'épargne les détails qu'ils on cités pour vous torturer !
Les nobles se précipitèrent dans un passage "secret, sauf un, le patriarche.
- Comment savoir si ce que vous dites, Damoiselle est-vrai ?
- A votre place, je suivrais vos semblables dans votre trou, ou c'est moi qui vais vous y mettre !"
Elle deguaina sa lame et l'homme se colla contre le mur, criant pitiée.
"Déplace ta carcasse, bougeois au foyer."
L'homme se precipita vers le passage, oubliant sur le coup son argant. Seiji retira la main de Hacki, sans un mot, puis entreprit de fouiller les coffres ...

Bien vu, acquiesca Hacki. On refait ça quand tu veux !
Seiji sourit de toutes ses dents. Disait il ça parce que c'était pratique ou parce qu'i lavait aimé poser sa main sur sa hanche. Elle n'y réfléchit pas plus, car le ninja reprit :
Allez ! Au boulot !
Il entreprit de fouiller un large coffre de chêne massif qui s'avéra n'être rempli que de breloques, de fanfreluches ridicules et de produits de toilette dont il n'avait que faire. Seiji, quant à elle, eut plus de chance en cherchant sous une lame du parquet : elle trouva un petit coffre qui renfermait nombre de pierres précieuses. Elle aurait voulu le cacher au regard de son compagnon mais il entendit le tintement desdites pierres et se retourna en demandant :
Eh bien, qu'as tu trouvé ?
Seiji, avant de se retouner vers lui, prit soin de, par un infime geste du poignet, faire disparaitre un petit collier de perles rares dans sa manche.
Un coffre, avec des pierres.
Hacki sourit.
Jolie trouvaille. On devrait aller voir autre part, il n'y a pas grand chose ici.
La ninja lu lança un regard courroucé.
Eh ! On a pas fini de tout voir !
Son compagnon renchérit :
Oui, mais je préfére qu'on se déplace sans cesse, on reviendra plus tard.
Seiji eut un air soupçonneux :
Pourquoi ? Tu as peur de quelque chose ?
Hacki annonça simplement :
Disons que c'est mieux. C'est pour parer à une éventuelle personne qui nous ait entendu et qui vienne voir ce qu'il se passe.
Seiji haussa les épaules.
De toutes maniéres, ce qu'il y a dans ce coffret est tellement riche qu'il ne doit plus rester grand chose dans cette chambre, il est vrai. Allons voir dans une autre.

Seiji aimait pas partager les butins, mais Hacki l'avait un peu aidé a l'obtenir, peut être que plus tard, elle le partagerai ... peu etre.
Ils enchainaient les chambres et les butins, lorsqu'ils enfoncèrent une chambre, et y trouvère un groupe d'Onis. Seiji et Hacky se regardèrent, puis la femme lacha ses butins et déguaina son sabre, bintot imitée par Hacki.

Les Onis, stupides et butés ne cherchèrent pas a comprendre et foncèrent, l'arme au clair vers les voleurs.

"J'espere que tu sais te défendre Hacki ! Parce que ce serait dommage de recuperer tout notre butin !"
Elle lui adressa un clein d'oeil avant d'esquiver le coup de l'Onis, sauta sur son dos et lui coupa la tête, tout en regardant comment se débrouillait Hacki, elle se fichait de lui, mais, malgrès tout, elle ressentait de la simpathie pour cet homme renfermé et solitaire. Elle se jeta au sol, glissa sous un onis qui abatit sa lame en l'air, puis entailla ses jambes, avant de se relever et de l'achever. Cependant, un Onis arriva derrière elle et reussi a lui entailler l'épaule, elle jura comme un charetier puis enfonça sa lame dans le corps de son ennemi, il grogna, mais ne mourru pas, et atrapa la jeune femme par le cou, la soulevant du sol ...

Pendant ce temps, Hacki affrontait un adversaire des plus hargneux. Les yeux injectés de sang, l'homme ne regardait nullement sa lame mais plutôt les yeux de son adversaire, comme pour l'hypnotiser. Hacki dût faire un effort de concentration intense pour garder son calme devant ce regard implacable. Alors qu'un autre Oni arrivait derriére le premier, Hacki prit appui sur les épaules de son adversaire et, alors qu'il était encore en l'air, sortit en un clin d'oeil trois shurikens qu'il lança sur le second Oni. Il enchaina par une roulade qui lui permit de passer sous les jambes de l'Oni mortellement blessé, les trois shurikens plantés dans ses poumons, en un tringle équilatéral presque parfait. Dans son élan, Hacki saisit les jambes du malheureux et le fit tomber sur lui, lui coupant le souffle momentanément mai se faisant un bouclier contre le coup d'épée qui s'enfonça profondément dans la chair de l'armure vivante, enfin... qui était vivante avant. Hacki se roula sur le côté, se rétablit d'un salto, et attendit que l'homme le chargea, ce qu'il fit le plus bêtement du monde. Le ninja encaissa la charge et para le coup, mais son bras s'engourdit sou la force de l'assaut. Profitant de l'élan ainsi donné, il fit un salto arriére pendant lequel il mit un magnifique coup de pied dans les bijoux de famille de l'Oni, qui se plia en hurlant de rage. Hacki se glissa vers le cadavre de l'autre, récupéra ses shurikens et les lança sur son ennemi. Celui-ci en equiva un et en para un autre malgré la douleur. Le troisiéme se ficha dans sa hanche. Rugissant de rage, le blessé se rua de nouveau à l'assaut, oubliant ses douleurs. Son coup d'épée fut de nouveau paré avec dextérité, mais pas son coup de boule, qui laissa Hacki pantois. Il n'avait pas prévu ce coup là. Un rictus de rage aux lévres, l'Oni leva son épée. C'est alors que sa hanche explosa dans une gerbe de sang. L'homme fixa sa hanche rougie, puis Hacki, puis s'écroula enfin sur sa proie sans qu'elle puisse réagir. Par malheur, le shuriken était resté planté dans ses chairs, malgré l'artére qui avait explosé, et l'arme rentra à moitié dans le ventre de Hacki, qui cria de souffrance avant de repousser avec la force du désespoir son défunt ennemi. Il pissait le sang mais ça ne semblait pas grave. Il se releva, s'épousseta et cacha sa blessure aux yeux de Seiji qui sembler terminer justement son combat. Il ramassa ses shurikens et rangea son arme. Cependant, il vit que Seiji se trouvait à présent dans une fort mauvaise passe. Dans un effort in considéré, il sortit un shuriken et le lança tout prés du cou de Seiji, la manquant mais touchant la main de l'homme qui lâcha la jeune femme. Il lança un second shuriken qui entra dans la trachée, privant le dernier Oni de sa vie. Enfin, il aida Seiji à se relever, car elle était tombée.

Seiji accepta la main de Hacki, mais lorsqu'elle la lacha, elle vit du sang.
"Tu t'es bien batu Hacki ...."
Elle ne voulait pas le remercier, elle n'avait pas de dignité, mais remercier quelqun qui l'aidait attaquait son égo, bien qu'elle n'y aportait, généralement, aucun interret.
"Tu devrais netoyer tes mains, si nous tombons sur des citoyens, nous ne seront plus convainquants ..."

Elle arracha un morceau de sa tunique, et le tendit, puis atrapa son sac plein de richesses, elle regarda par la fenetre.

"Nous devrions y aller ... la sortie ne sera pas longtemps inoccupée."

Elle descida de sortir de la salle, n'atendant pas son cohéquipier, puis s'engagea dans les couloirs, en tenant son sac sur son épaule pas endomagée.
Elle se faufila vers une porte non vérouillée, menant vers le haut de la citadelle, puis elle atendit Hacki qui ne tarda pas a venir. Elle lui sourit puis ouvrit une trappe, elle menait dans un endroit très peu espacé, comportant seulement une échelle vers le bas, seulement, l'echele était brisée, et le trou refermé.

"Non ! Non non et non !"
Elle s'enervait sur elle même, jurant et grognant, puis elle remonta l'echelle et regarda Hacki droit dans les yeux, distante.
"Nous devons changer de plan, la seule sortie a prsént est a la porte principale."

Hacki avait un teint particuliérement pâlot, elle semblait ne plus penser à rien. Seiji frança les sourcils, puis se mit en route. Le ninja la poursuivait comme un zombi, d'une démrache raide. Lorsqu'elle se retourna de nouveau, ce fut pour demander :
Hacki, quelque chose ne va pas ?
Le jeune homme s'écroula à ses pieds.
Et merde ! s'écria sa compagne.
Elle le tira jusqu'à la chambre qu'ils venaient de quitter, et l'allongea sur le lit. Le pauvre avait la main crispéesur son ventre. Seiji ouvrit l'habit à coups brutaux de lame. La plaie, suppurante, béait. La blessure que le shuriken avait faite s'était agrandie sous l'effort constant du jeune ninja, et en plus elle s'était infectée. Seiji pesta. Il fallait nettoyer cette plaie au plus vite, non pas qu'elle tenait à lui, mais elle avait encore besoin de lui pour sortir de là. Elle trempa un morceau de sa tunique dans de l'alcool que Hacki avait dans une poche, et l'appliqua soigneusement sur la plaie. Le gisant grimaça et ouvrti les yeux.
Ca pique !
Seiji se permit un faible sourire.
C'est bien. Pour ton information personnelle c'est de l'alcool...
-Ah...
Il parvint à se relever, contre l'avis de la ninja qui voulait qu'il reste couché. Plus lucide qu'avant, il se rendit compte que Seiji saignait aussi de l'épaule.
Eh ! Tu t'es fais mal aussi ! Laisse moi nettoyer ça !
Seiji soupira et le laissa appliquer un autre morceau de soie imbibé d'alcool sur la coupure de son épaule.
En effet, ça pique.
Ceci fait, il se décidérent à tenter de nouveau de sortir.

Seiji regarda son bandage avec un sourire, puis elle regarda en bas de chaque fenetre, avant d'en trouver une qui longeait une treille de vigne, elle posa son sac sur la fenetre et se faufila le long de la treille, avant de reprendre le sac sur son épaule, elle descendit le mur, en serrant les dents sous l'effet de la blessure, cela faisiat deux blessures en même pas une journée, descidemment, la compagnie la troublait vraiment.

"Dis Hacki, pourquoi si tu ne leur faisait pas confiance aux autres, tu restais avec eux ? De plus, tu invite une femme, et après tu fuis ? Je ne comprend pas ton jeu, c'est surrement ton but, mais moi, j'aime pas etre dans le jeu des autres, le joueur, c'est moi .... d'habitude. "
Elle promena son regard aux alentours puis dit :
"Et puis, tu aurais pu me laisser crever avec ces Onis et partir avec mon butin. Tout ce que tu veux, c'est mon aide pour sortir de cet endroit, mais ... que va tu me faire .. ensuite ?"

Elle le fixa, puis, baissa les yeux, avant de se frayer un passage a travers les décombres dans la rue.

Hacki prit un temps de reflexion.
En fait... Moi, je suis juste piégé dans cette citadelle, c'est tout. Ce que je veux, c'est 'en sortir... avec quelque chose quand même ! C'est pour ça que je restais avec les autres. Mais en fait ils entravaient trop mon mouvement, alors que toi, tu es ninja, comme moi, du coup on se bloquent pas l'un, l'autre. Et puis...
Seiji l'invita à continuer alors qu'il hésitait.
Non, rien.
La ninja lui adressa un regard complice.
Et que vas tu faire ensuite ?
Hacki se frotta le menton.
Je sais pas. Je vais continuer mon boulot, je voudrais bien ouvrir ma propre guilde de ninjas.
Seiji acquiesca.
Bon... En route !

Seiji marchait dans la Ruelle, elle pensait a ce que venait de dire Hacki, une guilde ninja, au moins, lui, il avait une idée raisonnée, alors que elle, allait surrement quitter cet endroit, et errer .... seule.
Elle balada ses yeux la rue d'a coté, c'était une avenue, et les gens fuyaient, ou se battait. Seiji fatiguait, et elle chuchotta a Hacki :

"J'ai mal partout, la faim me travaille, je n'ai pas l'habitude de courir autant en si peu de temps ..."

A ces paroles, elle se sentit vraiment impuissante, ils étaient si près de la porte, de la sortie, qu'elle se dégoutait d'etre si faible, elle alla dans une maison, et s'assit sur le divan.
"Si .. si tu veux ..."
Elle allait lui reveler leur position, et la sortie si proche, mais s'abstint.
"Si tu veux, tu peux y aller ... "

Elle baissa les yeux, puis tenta de se relever.

"Bon et bien, je vais aller chercher de quoi manger ..."

Seiryu sourit, avant de rire franchement:

ça fait une éternité qu'on ne m'a pas appellé comme ça
, dit-il en regardant Isuzu. C'était mon maître je crois... Enfin, si tu veux, mais je suis un peu plus agé que toi... Donc, Jin-Suk, Isuzu-chan, suivez ce fil,fit-il en leur tendant le fil qui se déroulait désormais lentement. Moi, je vais suivre une autre piste, vous me rejoindrai, d'accord?

Les deux autres acquiescèrent et Seiryu bondit d'un coup sur un toit, les laissant seuls avec les cadavres de leurs adversaires.

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Seiji continuait à avancer, tous les sens en alerte. Elle se préoccupait de plus en plus du jeune ninja, bien que cela ne lui ressemble pas.

J'ai juste besoin de lui pour sortir..., se répéta-t-elle.

Elle ne continua pas sa réflexion: en entrant dans une maison proche, pour se reposer, elle reçu un violent coup de coude à la gorge, qui lui coupa le souffle. Elle ne vis qu'une ombre, et reçue un autre coup à la tempe. Elle s'écroula, étourdie.
Hacki se prépara à attaquer malgré la douleur, mais un choc le frappa dans le dos, le déséquilibrant. Il vit juste une boule bleue: Kunimitsu, le chat de Seiryu! Que faisait-il là? Ses réflexions furent interrompues par la succession de coups de pied qu'il reçut au visage, le faisant s'éffondrer.

Ils avaient récupérés suffisament pour voir quelque chose qui ne les rassura pas vraiment: Seiryu au-dessus d'eux, une flamme glacée et meurtrière au fond des yeux. La température semblait avoir diminuée brutalement, et , lorsqu'ils virent Kunimitsu redevenir une arme, auréolée de la même flamme que les yeux de son maître, ils surent qu'ils avaient interêt à dire la vérité s'ils ne voulaient pas mourir.

Expliquez-vous., dit Seiryu d'une voix glaciale. Une erreur dans votre récit, et vous êtes morts...

[hrp]Henharma, tu dois continuer l'histoire sans citer le texte, ni reprendre les actions. Tu dois continuer l'histoire à partir de ce qu'il y a. (Désolé si je suis chiant, mais vaut mieux que tu le saches, non?)

hrp : Kheldar, comment veux tu que j'explique si je suis assomée ? xD

Hacki se releva et s'épousseta, frotta son faciés endolori et cracha :
Abruti ! J'étais en train de vous la ramener, mais je savais pas où était le groupe, alors j'ai cherché, je te jure !
Seiryu le prit par le col et le souleva de terre. Il lui murmura froidement :
Et... Si je te dis que j'ai entendu un tout autre discours, capté par mon compagnon...
Il désigna le chat, qui se léchait la patte gentiment.
Pardon ?
Seiryu entreprit de lui rafraichir la mémoire.
Oui, à côté d'une piscine...
Hacki lui jeta un regard mauvais.
C'était pour la tromper, je lui ai fait croire qu'elle ouvait me faire confiance, et ce faisant j'ai essayé de la ramener au groupe.
Tout en proférant ces paroles, il mit ses mains derriére son dos et expliqua discrétement dans le nouveau langage des signes des ninjas à Seiji qu'ils allaient s'en sortir, qu'il mentait pour essayer de se débrouiller. Seiryu regarda le ninja avec méfiance. Ce dernier eut l'affront de lui demander d'une petite voix :
Tu peux me lâcher, maintenant ? De toutes maniéres où veux tu qu'on aille : on est bloqués ici, dans le même bateau, je n'ai aucun interêt à vous trahir, et elle non plus. Elle est juste allée récupérer des affaires à elle.
Le regard de Seiryu s'éclaira.
Ah oui ? Quelles affaires ?
Hacki se mordit la langue pour sa betise. Il dit à Seiji en langage des signes de sortir les bijoux, ce qu'elle fit promptement.
Je vois, je vois... Tu es sûr que c'est ça qu'elle est allée chercher ?
Seiji expliqua :
Ce sont les bijoux de ma tante Totaï, elle est morte dans les assauts et, comme je l'aimais beaucoup, je voulais garder un souvenir d'elle...
Seiryu examina de loin les bijoux, relâcha son emprise sur Hacki et le laissa tomber au sol. Il mit un certain temps pour se relever, pendant que Seiryu disait :
Bon... Venez avec moi, je vous ai à l'oeil !

[hrp]Voilà, j'ai changé, t'es contente? Là t'es juste étourdie. (donc, vu que je dis qu'ils reprennent leur esprit, c'est bon) Et nah! (en mode 'gamin')

Seiji et Hacki se relevèrent, avec une expresion moqueuse.

Tu as vu, j'ai arrangé la situation.,dit Hacki en language des signes.

Heuresement, j'ai cru qu'on ne s'en sortirai pas., répondit Seiji dans le même language.

Seiryu se retourna et leur dit à voix basse:

Les autres arrivent, votre pipeau tiendra encore un peu... Mais un seul faux pas..., ils virent un tatouage de dragon apparaître lentement sur son visage. et je vous tue, compris?

Seiji et Hacki acquiéscèrent, moins sûr désormais que ce sois une bonne idée de s'enfuir. Isuzu et Jin-Suk arrivèrent, essouflés.

Tu nous a fait courir, dis donc...' dit le guerrier dans un souffle.

Désolé, dit Seiryu avec un sourire, tuot tatouage ayant disparu, c'était pas mon intention. Bon, on y va?

hrp : attention, je vais te mettre une fesée, petit padawan ^^

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Seiji n'aimait pas les manières de Seiryu, bien qu'il lio inspirait un oeu de confiance et de simpathie .. au début. A présent, elle avait envie de le tuer, elle n'aimait pas être espionnée, et pour dire vrai, c'était la première fois qu'on l'espionnait. Elle se releva, encore sonnée, puis regarda Seiryu.

"Surveille tes manières. Je n'aime pas celles-ci, et je n'aurait aucun regrets a me tuer en gardant le secret de la sortie."

Elle ramena son regard vers Hacki, et s'aprocha de lui, elle lui chuchotta :
"Ca va ?"

Ils repartirent vers le reste du groupe, Seiji était silencieuse, et se tenait, mais a l'interieur, elle hurlait.

Il sourit, puis lui chuchota :
J'ai connu des jours meilleurs, mais bon... Et toi ça va ?
Seiji eut un sourire triste.
Ca peut aller. Mais enfin on est pas prêts de s'enfuir, et avec ce pseuso-demi-dieu qui nous surveille, on va avoir du mal.
Hacki hocha la tête.
On verra bien.
En langage des signes, il lui dit qu'il se demandait ce qu'il se passerait une fois l'épée de l'autre brisée... [hrp]Ne dis pas non, tu es grosbill, alors on peut l'être aussi... Et j'ai un mot spécial pour ça ![/hrp], puis il reprit à voix haute :
Enfin... ce fut une belle escapade !
Les autres les regardérent d'un air soupçonneux, se demandant ce qu'ils complotaient. Les deux ninjas leur adressérent un large sourire et les suivirent, sous l'oeil inquisiteur de Seiryu...

Seiryu sourit d'un sourire sans joie:

J'ai tué mes parents, j'ai appris à faire parler les morts... tu pourrai te tuer... mais ce serai dommage, t'es vraiment jolie, lui souffla-t-il en prenant la tête du groupe. Puis, à tout le monde: On a deux bléssés, on va trouver un endroit où se reposer. Je ne pense pas que ça nous fasses de mal, finit-il en regardant la lune par la fenêtre. Un hurlement de douleur retentit dans la nuit, et ce n'était un homme qui avait crié...

[hrp]Le petit padawan est maso, y t'attends Et en plus, il est plus vieux que toi...
Elle ne peut pas se briser, puisqu'en réalité, c'est un esprit, c'est tout[/hrp]

[hrp] Ah ouais ? Tu veux que je te montres ce que je peux faire à un esprit ? Je crois que t'as aucune idée de mon grosbillisme...[/hrp]

Seiji était vraiment exasperée par cet homme, il se prenait vraiment pour un demi-dieu, comme l'avait dit Hacki, elle se rendit compte que ce dernier était vraiment le eul en qui elle pouvait avoir .. confiance, bien qu'elle n'en avait jamais eu.
Seiryu était, a ses yeux, un Ninja, comme elle, mais, la difference n'était pas a ce niveau la (MDR xD).

Elle restait aux cotés de Hacki, se collant presque contre lui, et évitait a présent de parler en languages des signes (ooh des drasniens xD), puisque les autres compreanient aussi ...

hrp : Vivien, tu m'exaspère vraiment la.

[hrp] Bon... Tu veux du grosbillisme ? En voilà ! Tu t'es jamais demandé ce que c'était le Wazabeuh ? [/hrp]
Hacki se colla à elle et lui mit un bras autour des épaules, pour la rassurer. La ninja se laissa faire, trop abattue pour dire quoi que ce soit. Il lui glissait de temps à autres des mots d'espoir à l'oreille, et sifflotait des airs antiques que les samouraïs utilisaient pour se redonner courage au combat.
Alors qu'ils déambulaient dans les rues, des Onis leur tombérent dessus. Aussitôt, Hacki lâcha la taille de Seiji, lui prit la main et ils firent une roulade arriére ensemble. Ils se cachérent derriére un tonneau d'une maniére fort inconvenante, mais Hacki ne se laissa pas distraire et dit à Seiji de se boucher les oreilles. Un cri retentit dans la nuit.
WAZABEUH !
Le couple disparut, laissant au reste du groupe le soin d'exterminer les Onis. Hacki resta assommé pour le compte pendant un peu de temps, dans les bras d'une Seiji déstabilisée devant un décor totalement nouveau : une vaste prairie verdoyante, isolée, vide... Voyant son compgnon qui se réveillait, elle demanda :
Où sommes-nous ?
Hacki sourit et s'écria :
Ca a marché, CA A MARCHE ! On est dans un monde paralléle, mis à disposition... des gens qui savent le demander mais... Faisons vite il ne tiendra pas longtemps !
Seiji lui demanda :
Où allons-nous ?
Et à Hacki de répondre :
N'importe où, loin, on réapparaitra aussi loin de ces boulets !
Il se mirent en route au pas de course. Lorsque le sort s'estompa, ils étaient dans une maison encombrée de ténébres et vide...
[hrp]Au fait je sais pas si vous avez vu mais ce RP est censé être médiéval, et non pas médiéval fantastique, alors je ne veux plus voir d'intervention du fantastique, comme le Wazabeuh... ou l'épée de messire Seiryu ! [/hrp]

hrp : Et ben ><' ^^

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Seiji ignorait ou ils étaient, mais pour le moment, elle s'en fichait, elle avait très faim, et elle ntreprit de chercher de quoi manger, mais se rendit compte que la maison était vide, l'endroit donnait la chair de poule, elle se faufila près de Hacki.

"J'aime pas cet endroit ... et mainteant, ou allons nous ?"

[hrp] Et elle disparait comment, hein, gros malin? Tu me sort ça quand ça t'arrange, tu pouvais pas le dire plus tôt?Accessoirement, c'est ridicule le "Wazabeuh", mais bon...
Bonne soirée![/hrp]

Pendent ce temps, Jin-Suk, Seiryu et Isuzu avaient réussit à vaincre leurs ennemis. La lame de Seiryu leur avait été bien utile, l'impétueusité de Jin-Suk le faisait devenir un adversaire redoutable et l'efficacité de Isuzu c'était une fois de plus démontrée. Cette dernière se tourna vers le ninja dont les yeux flamboyait, elle mis des paroles à ce qu'il pensait :
- Ils ont disparut... Qu'as-tu appris d'eux, Seiryu-kun, sais-tu où ils sont?, dit-elle d'une voix froide (ce n'était pas après Seiryu qu'elle en avait, mais elle n'aimait pas se faire rouler dans la farine).

[hrp] Gare à ce que tu dis sur le wazabeuh >< C'est beaucoup plus que tu ne sembles le penser... Et puis c'est comme ton histoire d'épée, ça sort d'une réalité relative. Le débat est clos, les enfants, on reprend le RP et, comme je l'ai déjà dit, je ne veux plus de fantastique. [/hrp]

Je sais pas où ils sont, mais ils ont plus ou moins le même objectif que nous. On devrai les retrouver... à un moment ou à un autre.

Ils s'éloignèrent, énervés et mécontents, refusant de croire à une trahison, bien que ça en ait l'air.

[hrp] ça va être dur, mais de toute façons, mon épée disparaitra quand je mourrai (attention, SPOILER) lors du combat de mon frère.[/hrp]