Aventure McLitten. Pas plus de 5 (invités: Wazabeuh, Eighir)

[HRP]S'est de l'aventure déterrée... je l'avais fait il y a presque un an c'est mon premier RP et celui qui m'a motivé a monter ce forum ^^[/HRP]

Le laboratoire se situait au rez de chaussé et était illuminé grâce a trois néons brillants. Albert Strauss posa son éprouvette en matériel composite sur le robot de classe Clymer C1 lorsque j’étais dans le local en train de rechercher un vieux document sur l'acide concentrique.
Deux minutes plus tard, j’entendis le bruit du robot se mettant en marche, les éprouvettes qui tournaient quand tout à coup, j’entendis un morceau de verre qui se brise et le cris, déchirant, de mon collègue et ami.
Le liquide avait déjà traversé le sol et j'entendais les cris affolés des gens de dessous, ils criaient à cause du liquide, probablement. Mais pour l'instant j’étais occupé, il fallait que je fasse quelque chose pour Albert.
Je regardais l'étendu de ses blessure : il était mort. Je me lamentais donc lorsque je me rendis compte que le Clymer C1 tournait toujours, avec sa seule éprouvette, cassée au bout du bras du robot. Je me demandais donc quelle était la source de cette erreur. Un quart d'heure durant je cherchais cette erreur sans rien trouver puis je me rendit compte que les cris n'avaient pas cessés, voir même s'étaient amplifiés et mélangés a d'autres bruits, mécaniques cette fois.
J'entrouvrais la porte qui donnait sur le hall et je compris... Treize robots médicaux en tout genre attaquaient les médecins dont les trois quarts étaient mort, soit a coup de piqûres, soit a cause de liquides divers... Les néons étaient cassés et donnaient une atmosphère d'apocalypse sur le complexe. Les robots prenaient le pouvoir !

Tant bien que mal j'essayait de me frayer un passage entre les robots, qui essayaient de me happer au passage, entre leurs pinces *qu je trouvais immonde depuis quelques temps*
En dix minutes, je parvint a franchir la porte du couloir et la, l'apocalypse y régnait en maître... Les néons explosés, les liquides rependus sur le sol fusionnaient avec le sang des dizaines de techniciens mort et soulevaient une odeur insoutenable.
Je pensais que j'allais vomir mais je me retint en voyant les trois robots de surfaces, les robots balayeurs en l’occurrence, me foncé dessus a toute allure. J'essayais de me déplacer mais j'était tétanisé... Comment d'aussi simples robots pouvaient vouloir la mort de quelqu'un ?
Je slalomais entre les robots quasiment inoffensifs, ce que je pensais, lorsque je me reçus un balai dans la figure avec une force inouïe !!!
je tombais sur le cul mais me relevait aussitôt pour fuir cet mort envahissante. Je me dirigeait donc vers un local que je verrouillait de l'intérieur.
Très peu de temps après, je me rendis compte que du sang descendais de mon crâne et je m'évanouis.

Je me réveillais 1/4 d'heure lus tard secoué d'un violent mal de tête.
Je me rendis compte que le bruit avait, sinon disparu, baissé d'intensité.
Tout d'abord j'ai pensé que ce n'était qu'un rêve et que les robots ne s'étaient pas soulevés contre les humains mais une autre partie de moi me dit de faire l'inventaire des objets du local au cas où. Je trouvais plusieurs cartons qui étaient vides, un placard garni de potion en tout genre, je lu les étiquettes et une petite bouteille d'eau.
Je décidais de prendre la bouteille d'eau et je continuais mes recherches. Je trouvais mes fameuses potions rangées dans le placard, j'en pris trois, sa peut servir, ensuite je fouillais les carton et j'en vit un rempli de blouses blanches de chimiste très résistantes au feu. Je regardais la mienne et me dit que je pouvais en changer. Je décidais donc de risquer un coup d'oeil dehors et je vis qu'une sentinelle avait été postée, c'était le même robot de maintenance que celui qui m'avait assommé...

Voyant cela, je décidais de lui lancer une des trois potions que j'avais récupéré dans le carton et voir ce qui ce produirait...
Donc deux minutes plus tard, ayant vaincu ma peur je pensait à passer a l'acte, j'ouvris la porte et lançais le tube a essai sur le robot qui ne fut bientôt qu'un tas de ferraille fumant...
Je sortit de ma planque, fit le tour de la pièce et me rendit compte qu'il n'y avait plus aucun danger.
Donc je me dit : *Pourquoi ne prendrais je pas un morceau de ferraille pour me défendre ?*
L'idée était bonne, TRES bonne...

Je soupirai. Ca n'avançait pas sur cette autoroute! Puis qu'est-ce qu'ils vaaient ces robots à retenir les automobilistes là?? C'est un péage pas une aire de controle non mais!
J'étais de fort mauvaise humeur. Je venais de perdre mon travail. Tant pis, j'avais gardé le meilleur: mon flingue... Je regardais devant moi et lançais un coup nerveux de klaxon mais d'autres me répondirent. Bien bien bien.. Patiente, patiente, me disais-je, même si je n'avais jamais su donner une définition à ce mot.
Une demi heure plus tard, ça n'avançait toujours pas. Je jettais un coup d'oeil: pas un mouvement provenant du conducteur au guichet? C'est étrange, normalemennt, le conducteur sort au moins son bras de sa voiture à suspension.. Là rien. Etrange... Soudain je perçus un mouvement: un robot sortait de la machine. C'était un robot de télésurveillance, équipé d'un laser pour ceux qui essaierait de froder. Je regardai à côté: d'autres faisaient de même. Ils utilisaient tous en même temps leur laser... J'empoignais mon flingue, un mitrailleur laser, sortit de ma voiture. Heureusement, j'étais plus loin et me cachais derrière les véhicules. C'était une vraie panique.

J'avançais doucement, tout doucement, mon bout de ferraille levé, les néons crachant toujours des étincelles. Je m'attendais a voir un robot de tout les côté, la peur s'était emparé de moi depuis un moment déjà, lorsque un néon explosa juste au dessus de moi. Les morceaux de verres brûlant me tombèrent dessus sans que je puisse me protégé, rajoutant des plaies a celle de mon front qui avait arrêter de saigner. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Le feu se propageait par endroit, des cadavres jonchaient le sol un peu partout, je rencontrais même un blessé qui parvint a me dire deux mots et a me donner une lettre pour sa femme avant de mourir. Je supposais bien que je n'aurais jamais l'occasion de la donner a sa femme. Mais l'espoir faitvivre et, peut être un jour sortirais-je de cet hopital maudit.
De toute manière, les secours devraient bientôt arriver, ils éteindraient le feu, détruiraient les robots rebellés et sauvraient les rescapés. D'ailleur, combien étions nous au juste ? De survivants je veut dire, combien restait-il de survivants ?
Je n'en savais rien, mais après un moment de marche les yeux écarquillés au moindre dangé, je sus que je n'étais pas seul. Je rencontrais un homme d'une trentaine d'année, il errait dans les conduits comme moi,il avait également gardé sa blouse de chimiste, mais celle ci était roussie par le feu, ce qui signifiait qu'il avait du être exposer a des temperatures TRES élevées !! Ces blouses sont sensées résister a tout feu de puissance nominale, s'est a dire, jusqu'a 10000 degrés celcius.
Je le regardait interloqué et celui ci m'explique qu'a l'étage numéro quatre, étage ou les expériences avaient lieu sur la roche en fusion, les robots qui portaient la roche en fusion s'étaient mis a tourner comme des toupies en balançant la lave de tout les côté, et tuant quasimment tout le monde. J'étais désolé pour l'homme et lui me demanda si sa allait. Je lui répondit ce que je venias de vivre et il parut désolé... juste retour des choses.
L'objectif, désormais, était de sortir. Rejoindre les secours et ne pas se faire tuer. Il me déclara que les ascnesseurs étaient bloqués et que de nombreux escaliers étaient condamnés. Nous étions au deuxième étage et sauté relevait du suicide. Nous décidâmes donc de trouver une autre issue. Mais par ou passer ? Une corde. Ce fut mon nouvel ami, Mr.... je lui demandais, Mr Kidrest, aide-chimiste de Mr Colords, décédé durant l'expérience, qui trouva l'idée. Mais nous n'avions pas de corde. Nous cherchions donc, machinalement, je pensais aux goutières ou nous pourrions accrocher la corde et Kidrest trouva la corde, le tuyau d'arrosage des pompier qu'il y a a chaque étage était dans le couloir a dix mètres de nous, dans un renfoncement. Mettant le plan a execution, nous attachâmes la corde et amorcèrent notre descente. Kidrest passa en premier mais paniqua a mi chemin et lacha la corde. Il cria, s'écrasa au sol et perdit conaissance, je ne savais pas s'il était mort ou vivant. En totu cas, les robots avaient entendus le cris, un robot de sureillance se ramena en vitesse et je me cachais pour etre sur qu'l ne me voit pas. Je pris un morceau de verre assez gros qui trainait au sol et l'utilisait comme miroir, pour voir la scène. Le robot arriva sur la scène, ne chercha pas a comprendre si le jeune homme était mort ou pas, il leva sa matraque en feraille et tapa deux fois sur la tête de mon bref compagnon de route. Le sang coula a flot de son crâne, le robot semblait penser que s'était suffisant, il repartit aussitôt et sortit de mon champ de vision.
Je decidais de tenter le coup, et descendis a mon tour. La corde était glissante, mais je l'empoignais fermement. Finalement, je glissait a peu près du même point que mon ex-compagnon, et m'étalais sans un bruit sur le sol, a deux mètres de lui. For heureusement, je n'avais pas laché la corde de la même façon que lui, j'avais glissé, toujours les mains fixés sur la corde. Mes mains étaient brulées et j'en souffrais, mais j'étais heureux d'être en vie au moins. Je regardais le corp sans vie de mon acolyte, mais détournais aussitôt le regard, la vision de son crâne défoncé était atroce.
Je me levais et repris la marche, mais je m'eforçais de trouver une cachette fiable pour dormir, car mes blessures me lançaient et la fatigue me tenaillait. J'aperçus l'autoroute qui passait a deux cent mètres, je pouvais voir les robots a l'oeuvre, robots de déblaiement généralement, détruisant automatiquement chaque voiture ayant réussi a forcer le barrage quelques kilomètres plus haut. Je maccroupis près d'un arbre, pas vraiment a l'abris, mais pas trop découvert non plus. Finalement, je m'y assoupis, sans savoir si il y aurait un lendemain ou pas.

Je me faufillais entre les voitures, et parvint au bord de l'autoroute. En dessous, je voyais le reste de la ville: j'étais au-dessus de l'hopital. C'était haut tout de même. Mias je n'avais pas peur, j'avais vécu suffisamment de mission pour connaître risques et dangers, et assez pour m'assurer. Je m'enveloppais dans ma combinaison au kevlar et sautai. Par chance, j'atterris dan un bosquet qui, bien que tristounet, amortit considérablement ma chute. Je me relevais et regardais autour de moi. Et..

"Mais qu'est-ce qui se passe...?"

L'hopital était en feu. Certaines vitres étaient explosées, on entendait des cris, de sjurlements. Je m'avançais avec prudence, jamais à découvert. Je m'approchais du bâtiment, pour comprendre ce qui se passait. Près d'un mur, une silhouette, un pâlme halo blanc. Quelqu'un? Je m'agenouillais près de ce pâle halo. C'était un scientifique, il était coupé de partout. Je pris ma gourde (qui me quittait jamais, je rentrais de mission et j'avais pour habitude de la remplir systématiquement), et lui versait un tout petit peu d'eau sur le visage pour le réveiller.
Ce qu'il fit. Il eut un mouvement de recul en me voyant et murmura un vague quelque chose manquant de véhémence mais certainement signifiant que ma présence n'était pas désirable. Je mis mes mains en avant en signe de paix. Il parut s"apaiser légerement, car il cessa de me chasser et me regarda, stupéfait. Il bredouilla:

"Les secours... sont là?
- Ah non monsieur, répondis-je. Je crois que le lieu est llivré à son sort."

De sinistres craquements m'indiquèrent que le bâtiment n'était pas loin de s'effondrer. Je pris l'homme par le poignet et le conduisit plus loin, à l'abri des éventuelles déflégration set de la chaleur de l'incendie.

[HRP] Eh oui il m'arrive de trouver des petits créneaux pour jouer en semaine, de temps en temps ^^ Content de vous rejoindre de nouveau ! [/HRP]
William sortit du petit avion qui transportait avec lui quelques touristes insouciants ainsi qu'un militaire, un médecin et quelques autres personnes insignifiantes. Le sniper caché descendit avec grâce sous le ciel de plomb l'escalier qui le conduisit à la navette spéciale. Avant d'entrer dans celle-ci, toutefois, il se fit amener ses bagages en arguant :
Non. Pas la peine de les acheminer jusqu'à l'astroport, je prend tout tout de suite.
Il se sentait plus en sécurité en sachant qu'il avait sa valise contenant ses seuls richesses : quelques poignées d'eurodollars, quelques vêtements et surtout... un fusil de sniper DeGaulle 1800 escamotable, avec munitions en tous genres, silencieux et encore tant d'autres gadgets...
Il s'assit à l'arrière du bus automatique monté sur bulle d'air et rêvassa en observant au dehors le paysage. Un beau paysage pour une île dite paradisiaque.
Une embardée du bus secoua les passagers.
Que se passe t'il ?
Les occupants se posaient tous la même question, debouts, couchés ou assis, alors qu'une autre embardée jetait tout le monde terre. Devant, le conducteur virtuel bipait et clignotait en tous sens.
Que... ?
William fit un roulé boulé qui le rendit à côté du bloc robotique censé gouverner le véhicule. Les gens, trop occupés à se rattrapper, ne faisaient pas attention à cet homme qui commençait à ouvrir les circuits avec minutie.
Ne trouvant pas d'ouverture pratiquable en cas d'urgence, l'ex militaire sortit son pistolet à silencieux et tira un coup net et précis sur une vis, ce qui fit tomber le panneau de métal à terre, découvrant mille fils de toutes les couleurs, ainsi que maints circuits imprimés et diodes. S'accrochant à un poteau pour se stabiliser lors des désormais nombreuses embardées du poids lourd, il inspecta avec minutie le système et en trancha rapidement avec un semi cran d'arrêt cinq fils. Le bus s'arrêta.
Ouf. Je l'ai échappé belle ! 'première fois qu'un robot est défaillant depuis longtemps ici... Bizarre. On aurait pu se faire mal.

[HRP]Déjà un lieu de moins, bravo Eighir... MDR !!! On reforme le trio !![/HRP]

Je réalisais tout d'abord que l'on me tirait avec force, alors qu'un batiment craquait près de moi. Lorsque je fus assez loin, on me lacha délicatement sur le sol, je repris mes esprits :

- Mon Dieu ! L'hopital ! Mes recherches !! Les scientifiques !!! Oh non...

Le bâtiment s'effondra dans un fracas assourdissant. nous envoyant un nuage de poussière et de nombreux débris. Faisant surement s'infecter mes plaies. J'étais déséspéré. Je ne savais plus quoi faire, ou aller... Je me levais, et regardais dans les yeux celle qui m'avait sauver. Ils étaient argent. Surement des lentilles pensais-je repensant brievemment a la conférence que j'avais eu un mois plus tôt sur la greffe d'oeil... cher.
La personne qui m'avait sauvé était petite, plutôt svelte, des cheveux noirs coupés court. Plutôt jolie dans l'ensemble... mais bien trop jeune pour moi. De toute manière, ce n'étais pas le moment de penser a cela. Elle me dit son nom :

- Bonjour docteur, je m'apelle Rita. Venez avec moi, il y a un problème je pense.

- Les robot, les robots ! Ils se sont rebellés dans l'hopital.

- J'ai bien peur qu'il en soit de même partout docteur...?

- Docteur Mc Litten, mais appelez moi John. Vous pouvez prouver ce que vous dites ? Si s'est le cas, l'humanitée court a sa perte. Vu le nombre de robots au monde le danger serait partout. Ne pensez vous pas que cette révolte serait plutôt restreinte a l'île ? Mais de toute manière, ils aurait penser a tout... a moins que... non. Mais si nous pouvions trouver un... Non, s'est toujours pareil... Je...

- Excusez moi de vous interrompre en pleine pensée [i]coupa Rita, mais je ne pense pas que ce soit le moment d'épiloguer la dessus. nous avons de la compagnie...

En effet, deux robots, un rescapé de l'hopital et un autre venant de l'autoroute arrivaient a leur encontre. Ils n'avaient guère l'air amicaux. Rita n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit, ni moi même le temps de commencer a désespéré, car un "bang" suivi d'un robot qui tombe, suivit lui même d'un deuxième "bang" et d'un autre robot qui s'écroule ne signifiait qu'une seule chose, nous étions couverts. Une voix s'éleva :

- Héhooooo !!! Par la !!

Je tournais la tête pour apercevoir la silhouette qui émergeait d'un bus automatique a l'arrêt (probablement pour longtemps...) et aperçus le long canon qui dépasait au dessus de sa tête alors qu'il nous faisait des signes de bras. Rita décida que nous allions nous y rendre, je la suivit. Elle avait le profil type d'une militaire, je ne pouvait qu'être en sécuritée avec elle... n'est ce pas ?

[HRP: c'est bien pour ça que tu nous as invité n'est-ce pas? ]

L'éclat de mon flingue parut retenir son regard, je souris par dedans moi. Je continuais. C'était un fort bon tireur que nous rejoignons. Ami ennemi, rien à cirer, l'humanité en danger nous devions nous serrer les coudes. Je flingais les robots qui nous barraient la route. Je protégeais le scientifique. Cependant ils devenaient trop nombreux

"Je présume qu etu n'es pas équipé?"

Je lui lançais un pistolet, une arme de point 9mm, de la belle qualité, automatique.

"On y va."

Je m'élançais, en fliguais un et deux et le dernier resta en place, je dus insister. Mon comapagnon tirait, mais la sortit du labo se faisait difficilement et je devais appuyer se stirs. Il progressait néanmoins. Nous parvimes à notre "couvrueur".

Celui-ci balança une dernière grenade qui fit sauter le reste des robots, avant de recharger placidement son sniper. Rita demanda :
Et vous êtes qui, vous ?
William rangea son fusil.
William, pour vous protéger. Et vous ?
Rita acquiesca.
Rita Gariel, ancienne commandante, et voici...
-Johnson McLitten, chercheur en biochimie... ex, en fait...
-Ah... Vous travailliez dans cet hopital ?
-Oui.
-Toutes mes condoléances. Bon, trêve de bavardages, quelqu'un a t'il une idée de comment sortir d'ici ? Ou encore de détruire les robots ?
Silence.
Je sais pas une arme n'importe quoi !
Rita dit :
Quand j'étais encore dans l'armée j'ai entendu dire qu'une arme allait être créée, une arme qui était censée agir sur tous les systèmes éléctroniques à la ronde. Une bombe, je crois...
William :
Et où est elle ?
Et à Rita de répondre :
Je ne sais pas, c'était juste des on-dits...

Je regardais pensivement le nouveau venu. IL avait tiré avec la précision d'un sniper expérimenté mais était vêtu comme un courtier d'assurance. Mon oeil exercé à reconnaitre la qualité de mes homme remarqua tout de suite l'expérience dans son regard. On pourra lui faire confiance, en cas d'attaque...
Je rechargeais ma mitrailleuse portative, sorte de uzi amélioré croisé MP5, bijou secret de l'armée que j'avais drobée. Petite vengeance personnelle. Je réfléchis un instant.

"En fait, c'était des on-dit murmuré entre chefs... La plupart le prononçait du bout des lèvres... Ils avaient peur de se projet. Quand j'ai cherché à me renseigner, je me suis fais incendier... En tout cas si on pouvait la trouver on...."

Je m'arrêtais.

"Si il y a vraiment unerévolte de robot, on a interet à se magner! Imaginez un peu, ils vont nous détruire cette bombe si nous n'arrivons pas avant eux... Tout ce qui pourrait leur nuire et devenir une arme, ils vont le détruire..."

William renchérit alors que Rita commençait à partir, Johnson sur ses talons :
Oui, mais si on n'a aucune idée d'où se trouve ctte arme, on a aucune chance de la trouver...
Johnson hésita, puis dit à son tour :
Nous ausi, scientifiques, nous connaissons l'existence de cette arme. Il ne s'agit aucunement d'une rumeur. Elle existe. C'est en réalité une bombe ultra complexe dont l'explosion provoque une onde de choc électrochimique qui réinitialise toutes les machines alentours, c'est à dire environ sur toute l'île, car justement elle était prévue pour protéger l'île en cas d'attaque.
William hocha doucement la tête. Rita le devança dans sa question :
Et vous savez où elle est ?
Le scientifique répondit :
Il y'en a plusieurs disséminées sur l'île. Je sais que l'une d'elle était entreposée dans l'hopital, mais malheureusement celui-ci s'est écroulé et nos chances de trouver la bombe dans ce fatras sont bien minces...
William commença à partir d'un bon pas en disant :
Il faut être rigoureux. Nous allons fouiller tous les endroits susceptibles de cacher l'une de ces bombes E. Restons groupés, nous aurons plus de chaces de survie !

Je grommelais...

"Connaissant l'armée; nous devons cehrcher dans des lieux déserts où personne ne penserai à chercher..."

Je réfléchissais à toute vitesse, comme à mon habitude. Quelque part désert où les robots ,n'iraient pas chercher...

"Je pense que la cafétaria a plus de chance de correspondre...

Je vis Johnson approuver d'un hochement de tête. Quant à William, il eut un sourire en coin.

"Vous êtes sur? On a pas d etemps à perdre. .
- Cela me parait logique, appuya le scientifique. Personne ne va là bas, il n'y a don cpas de robots...
- Allons-y..."

Ils se mirent en route.

[HRP]"C'est en réalité une bombe ultra complexe dont l'explosion provoque une onde de choc électrochimique" Mdrrrrr.... style t'y connais quelques chose en chimie . J'adore...[/HRP]

Nous nous mîment donc en marche jusqu'a la caféteria. Mais, malgré le peu de route que nous avions a faire (environ deux kilomètres entre l'autoroute et la caféteria), nous nous sommes trouvés obliger de traverser une plaine avec seulement quleques arbres et une ou deux petites maison. Le sniper n'avait pas l'air heureux d'être a découvert. Moi non plus. PLus je regardais autour de moi et plus j'avais l'impression d'être une cible universelle... Ce qui n'étais pas totalement faut, deux robots restés sur l'autoroute nous aperçurent, nous avions parcouru environ huit cent mètres. William s'allongea dans l'herbe, épaula et lorsque le robot ne fut plus qu'a cinq cent mètre, courant sur ses longues jambes d'acier peint en jaune, une pelle a la main (s'était un robot de maintenantce autoroutière), il tira. La balle projeta le robot un mètre derrière, le laissant pour mort dans l'herbe. Mais a sa grande surprise et a la notre également, on le vit se relever, un trou dans la carosserie... ou le ventre. William recommença son opération alors que le robot n'était plus qu'a deux cent mètres. Il tira, la balle toucha en leine tête cette fois ci. Le robot s'écroula avec un fracas assourdissant. Mais il se releva a nouveau ! Un trou énorme dans la tête, le même dans le ventre, il se remit a courir. Je demandais, d'une voix innocente et tremblante :

- Euh... Il ne devrait pas être mort ?

William ne répondit pas, il dégaina son arme de point et Rita fit de même. Lorsqu'il ne fut plus qu'a cent cinquante mètres, William tira une salve. Surprise, il rate sa cible. Au tour de Rita. A côté aussi. J'allais essayer a mon tour, Rita s'apprêtait a tirer dans le tas, mais une chose me revint en tête. Deux chercheurs en robotique m'avaient expliquer que les robots militaires avaient la possibilitée de se défendre si le militaire avait juste une crise de haine passagère a son égard et se mettait a lui tirer dessus. Le robot avait en fait un APM, Armor protection modulator, s'est a dire qu'il pouvait dévié la balle d'un pistolet ou d'un fusil classique si il était a une petite cinquantaine de mètres. Cela n'explique ni pourquoi la balle de sniper l'a touché, ni pourquoi ce robot la, qui est un robot de maintenance, possède les attributs d'un robot millitaire. Mais j'avais mes idées sur la question. Toute ces pensées étaient passées en une fraction de seconde et lorsque Rita s'apprêta a tirer, alors que le robot n'étais plus qu'a soixante mètres, je criais :

- Non, attend ! Autant assurer son coup... pensais-je.

- Quoi ? Mais on va se faire tuer !

- Non... attend.

Ce côté était plutôt rare chez moi, j'avais du rassembler totu mon courage pour lui demander d'attendre, ma propre main tremblant sur la gachette. Je levais mon bras, et lorsque le robot ne fut plus qu'a trente mètres, je tirais. Le robot pris la balle. Une bonne chose au moins, mais va t-il se relever ? La balle lui avait traversé le bas du ventre au lieu du haut. Le robot se releva aisémment. Malgré tout, il tituba, mais continua a avancer. J'avais du toucher un point important de son système. Mais pas fatal. Alors qu'il avançait, un bras montant et desendant tout seul, une jambe boitant, Rita tira une grosse rafale presque a bout portant. Le robot s'éffondra, trouer de partout dans le ventre, la tête... Mais il se releva. Rita croyait halluciner. Bien sur, il n'était pas entrès bon état, mais il marchait tout de même. Rita tira dans la jambe, pour l'empêcher d'avancer. Son système détruit. Il tomba, son voyant rouge éteint. Nous repartîment rapidemment, jetant des regards en tout sens.

- Vous savez a quoi cela me fait penser ? demanda William d'un ton amusé. A un film que l'on me montrait a l'école pour que l'on vois a quel point nos ancêtres étaient brutaux. Terminator. Un vieux film en 2D ou les robots se relèvent tout le temps. Hilarant... Mais la, je ne rigole plus.

Il prononça cette dernière phrase sur un ton plus froid, comme pour accentuer son sentiment. Rita, déclara juste :

- Eh beh...

Mais j'avais réfléchis pendant qu'il faisaient leurs court commentaire et j'en arrivait a la conclusion suivante :

- Voici ce qui s'est passé. S'est une théorie. Je n'en suis pas sur. Nous sommes sur une île militaire, tout les robots de lîle auraient d'après moi les même attribibuts que les robots militaires, s'est a dire l'...

-APM... me coupa Rita. Comment n'y ais-je pas penser plus tôt ! J'avais déjà assisté au phénomène en plus, j'aurais du le savoir... s'est rare que j sois aussi lente d'esprit.

Je rigolais, puis me repris :

- Tu sais, ce n'est pas si grave., bref... ils ont donc l'APM et s'est ce qui a permis que l'on ne puisse pas les toucher. Pour les deux balles de sniper par contre, je ne comprend pas trop.

- S'est simple me répondit Rita. L sniper est une arme de précision mortelle. La balle atteint des vitesse époustoufflante en vrillant. Elle arrive sur sa cible presque cent fois plus vite qu'une balle de pistolet normale, pour les meilleurs snipers je parle. Ce qui signifie que l'APM n'a pas la puissance nécessaire pour repousser une balle arrivant aussi vite. Bien sur l'APM ralentit la balle, mais ne l'arrête pas. Celle ci a donc transpercer le crâne et le ventre.

- D'ailleurs reprit William, il fallait savoir ou était le centre vital. Un militaire rageux aurait visé le ventre oula tête, mais n'aurait pas pensé a viser les jambes...

- Effectivement ajoutais-je, ne nous laissons plus surprendre désormais, il va falloir réagir avec improvisation et efficacitée si nous voulons survivre.

[HRP] Grattage du soir, bonsoir... [/HRP]

En tout cas, moi, j'ai déjà une parade sympa...
William sortit de son sac à dos une boite contenant des balles transparentes dans lesquelles on pouvait voir une mini pile et un système éléctronique assez simple. William expliqua :
Balles en ferro-plastique spécial sniper, à pile au césium boosté à l'einsteinium. Trois utilisations. Décharges de 220 volts à 5 ampères. De quoi assomer un homme... ou griller une machine.
Rita regarda la boîte, perplexe. Johnson, quant à lui, réfléchissait déjà au fonctionnement de ces munitions et à ce qu"il aurait pu faire pour les améliorer s'il n'était pas autant dans la merde.
Il en existe pour les armes de poing ? demanda Rita.
Sans doute, mais je n'en ai pas ici... Il faudrait voir à une armurerie. Mais pour l'instant il y a plus urgent : la bombe.
Rita opina du chef. Johnson fit de même. Il se mirent donc en route après que les balles éléctriques aient étés chargées et le fusil épaulé.
Ils ne rencontrèrent, chose étrange, qu'un robot de maintenance qui tournait en rond sur la route qui menait à la cafétéria...

Le robot de maintenance... Je murmurais à mes camarades en les poussant à se cacher derrière un buisson.

"Pas de buits, faites un minimum de bruit possible... C'est un robot espion. Il est muni d'un capteur de bruits...."

Je leur montrais la pièce sur le coté de l'épaule du robot.

"On va le contourner. Ce sera un problème si il y en a d'autres..."

Les deux hommes ascquiescèrent, William devait avoir reconnu le robot aussi. Nous contournames donc la machine pour remonter sur l'aile ouest du bâtiment. Rien en vu. J'étais anxieuse: espion dehors, actio dedans...
Nous entrames. Une bande de cinq robots nous attendais dans ce joyeux traquenard. Je brandis ma mitrailleuse, et arrosais généreusement les robots en tranant, laissant le champs libre au sniper derrière moi. Je me mis à couvert de ses balles pour ne pas m'en prendre une tout en le couvrant et en couvrant Johnson.

[HRP] Elle pète cette aventure ! lol [/HRP]

Bien évidemment, j'étais un piètre combattant. Mon cerveau fonctionnait, mes yeux aussi, mais je réagissais moins rapidemment que ces deux millitaires expérimentés. Je me cachais donc derrière le mur, a l'angle de la cafetéria pour éviter de me prendre une balle.

J'entendis un cri. Les robots ne crient pas... Merde, Rita ! Je me penchais un peu pour voir la scène et aperçus Rita face contre Terre, William tirant sa dernière balle dans la jambe du dernier robot. Je courut la voir, mais elle se releva aisémment elle n'était qu'éraflée. Ouf... La marque qu'elle avait sur le visage était tout de même surprenante. Elle jura et se releva :

- Bon, on entre ? Et a t-on la moindre idée de l'endroit ou est cette bombe ?

- Euh... non. admis-je.

[HRP] Je ferais plus long plus tard...[/HRP ]

Je réagis avec une violence surprenante, s'exprimant plus da,ns mùes gestes que dans mes mots.

"Alors cherchons! Je parierai qu'ils ont fourrés la bombe soit dans le sol, soit dans le plafond, mais pas entre les murs...."

J'arrachais le bras d'un robots et tappais dalle par dalle en écoutant, espérant trouver un son creu. Johnson monta sur la table pour examiner le plafond. Quant à William, il partit en éclaireur dans les cuisines. Apparemment rien. Il chercha là lui aussi.
Je m'agaçais rapidement.

"Johnson, ton cerveau génial n'aurait pas une idée toute aussi fantastique pour trouver cette bombe? Si tu peeux fabriquer un détecteur chimique avec les pièces des robots ici par exemple..."

Je désignais d'un air vague les cinq robots moins un bras qui gisaient sur le sol. Je vis le visage du scientifique faire une moue dubitative. Il examina depuis sa table les pièces et descendit. IL commença à trifouiller la tas. William débarqua alors, les sourcisl froncés.

"Il se trame quoi?
- Un détecteur. J'ignore quels sont les prodiuits contes dans cette bombe par contre, soulignai-je.
Je continuais à sonder le sol, tandis que William et Johnson faisanent l'inventaire

Evidemment, le tas de robot était vide... je ne prêtais aucun attention aux sarcames et jérémiades de Rita, j'avais plus important a faire. Effectivement, mon "cerveau génial" travaillait. Et il travaillait dur. Il cherchait en vain comment détecter cette bombe. Mais dans une caféteria, peu de chose peut nous aider. Nous avons rapidemment fait le tour de la caféteria et descendu un robot serveur sans rien trouver. S'est inutile, nous ne saurons pas ou est cette bombe. Il est évident que les robots chercheraient cette bombe la en dernier. En effet, cette bombe est la seule qui ne leur pose aucun réel problème. Elle est dans la caféteria, ou il n'y a quasimment jamais personne et est cachée a tout les regards (peut être même qu'elle est brouillée aux détecteurs...). Ils chercheront plutôt a trouver celle du camp militaire et dont la mise en marche s'effectue en appuyant simplement sur n petit bouton rouge bien en évidence sur le pupitre des ugences... J'avais déjà visiter le camp une fois, Instructif.
S'est alors qu'un fracas léger, comme des bruit de robots par exemple... retentit. Nous étions derrière le comptoir en train de réfléchir en sirotant un cocktail de notre gout et en nous exposant les points de nos dernières recherches. Cela faisait près de 6 heures que nous travaillions sans relache a la recherche de cette bombe. Lorsque le bruit se fit entendre, nous nous sommes accroupi derrière le comptoir et avons attendu. Une chance que ces robots n'aie pas de "vue" ou plutôt de caméra, il n'ont que des capteurs thermiques, des capteurs de son, et des capteurs de mouvement... le tout pas vraiment performant au vue de la technologie de pointe du moment.
Le tout est que l'on put voir la scène en nous relevant discrètement. William épaula son sniper, au cas ou. Rita sortit son uzi amélioré sans bruit, ne le chargea pas. Et moi, je regardais, totu bêtement. Il y avait cinq robots du même type, des robots de maintenance, avec une force incroyable. La pièce était une grande pièce circulaire, avec, comme je l'ai déjà dit, un bar dans un angle et deux sorties opposées l'une a l'autre. Au milieu de cette salle circulaire, entre les tables, il y avait le symbole, le drapeau, des nations unies. de gravé sur le sol.
Mais ce que j'aperçu dépassa l'entendement. La dalle se souleva, mais totalement. Il n'y avait aucun champ gravitationnel, je l'avais vérifié. Elle devait donc être monter sur retro-fusées... non plus. Elle volait toute seule. Peut être une nouvelle technologie ? Je verrais cela plus tard. La plaque s'éleva donc doucement au dessus du sol et la bombe s'éleva a sa suite. La bmbe que nous avions tant chercher a activer pour détruire les robots, allait être désactivée par ces dernier, ce qui fera de notre dernière chance pour les tuer : un échec.

Je compris aussitôt ce qui se passait, et William aussi. En fait j'étais aveuglée par un instinct, par une force de combat en moi qui me transformait complétement. Je crois bien que c'était le desespoir qui me guidait. Je m'élançais en avant d'un bond, rapide, et tirais généreusement sur les robots. Ils étaient 6, et plus forts que ceux que nous avions affronté en entrant. Mais cela m'était égal: je n'avais plus rien à perdre. Si la bombe venait à être desactivée, nous aurions perdu toute chance de sauver ce qu'on appelait encore la vie. Autant la perdre en essayant de la sauver.
C'était donc dans cet état d'esprit rageur, haineux et désespéré que je fonçais dans le tas. Je réussi à en abattre un, à en affaiblir un autre. Deux restèrent près de la bombe, et les trois autres me foncèrent dessus. William acheva celui que j'avais amoché, depuis le comptoir, avec une précision stupéfiante: le robot s'écroula avant de m'atteindre. C'était une autre paire de manches pour les deux autres qui arrivaient. Mais qu'ils aillent au diable, c'était ceux près de la bombe qui nécessitaient une intervention éclair...
Je me mis à courir. Les deux robots détectèrent mon mouvement mais avec du retard: j'avais compris que leur système de détections étaient assez faible. Je pus donc m'occuper de ceux qui allaient détruire la bombe...

Quelque chose ne collait pas... Je ne comprenais pas pourquoi les deux robots restaient figés. Ils voyaient totu de même Rita arriver... ils auraient du s'écarter. Ce qu'ils firent au dernier moment. Rita, s'écrasa lourdemment contre la bombe, la faisant tomber de son champ gravitationnel. Celle ci percuta le sol avec force, fracassant lune table et les dalles en dessous. Les robots restant s'est a dire... quatre... ah... Trois pardon (Le sniper avait ncore frappé). Se précipitèrent sur le bombe, ignorant Rita au sol. Ils la regardèrent sous un angle bien précis et firent sortir une pièce minuscule ressemblant a un vieux mini disque des années 2000. Une relique pourrait-on dire... Cette pièce atterit dans la main de l'un d'eux et avant que quiconque ne puisse dire quoi que ce soit, le robot referma sa main, la pièce explosa, les détruisant tout les trois et créant une boule d'énergie qui dévsta totu champ magnétique sur deux cent mètres carré. Rita grogna :

- Ben on est pas dans la merde maintenant...

Je me levais, furieuse.

"Me suis faite avoir comme un bleu! Saloperie de robots!"

En fait je me haïssais. Je me tournais vers mes compagnons, les point sur les hanches. Me syeux argentés (couleur naturelle s'iou plé)brillaient étrangement, j'en avais conscience. J'étais terriblement exaspérée, angoissée et surtout furieuse. Mes joues devaient être bien rouges.

"Dites moi qu'il y en a d'autres, des bombes bon sang..."

Johnson hésita longuement avant de prendre la parole.

"Il y en a une... au camp militaire...."

[HRP: et "se lamenter" tu pourrais éviter stp? ^^" Ce sont des verbes forts, j'aime pas bien. Je râle, je bougonne, je grogne mais je ne me lamente pas, je ne cherche pas la pitié... C'est un détail certes mais ça me titille...]

Eh ben, soupira William on va peut être arriver à quelque chose...
C'est dans la plus grande tension qu'ils se dirigèrent vers le camp militaire d'un pas résolu. La destruction de l'une des bombes constituait un échec certain qui rapprochait l'île de l'apocalypse. Chacun se disait qu'une bombe en moins, c'était beaucoup de chances en moins d'arrêter l'hémorragie des robots...
C'est dans cet esprit de détresse qu'ils longèrent un parking, ce qui donna la géniale idée à Johnson de proposer :
Euh... On irait pas plus vite en voiture ?
Le trio stoppa sur place. Tous se consultèrent du regard, et Rita lança :
Excellente idée !
Ils se précipitèrent sur LA voiture restante, toutes les voitures récentes, donc robotisées, étant parties lors de la révolution. C'était une antiquité : une Viper Type X, version 3.0... Seulement un petit w12 650 chevaux 32 soupapes... Sans compter les chiffres explosifs pour l'époque.
William eut vite fait d'ouvrir sans mal et à grand bruit (Ah ! Ces vieilles alarmes...) la portière de la voiture. Il se plaça au volant, ouvrit les autres portes et força la voiture à démarrer, Rita à sa droite et Johnson derrière lui. Après quelques accélérations à vide de rodage, il se lança sur un fond de radio (Il était une fois dans l'ouest...). Sorti du parking. Il appuya à fond sur l'accélérateur...
[HRP] Ca tente quelqu'un, une course-poursuite en voiture ? [/HRP]

[HRP] Hum... viper... rien que sa. On aurait pas pu tomber sur une R5 lol bon, pour la petite poursuite je suis bien chaud alors... Let's gooooooo !!!![/HRP]

La voiture marchait bien... une chance, William au volant et RIta et moi sur la banquette arrière. Nous empruntions jusque alors la petite route qui nous permettait de rejoindre l'autoroute, petite piste pas en trop mauvaise état, il y avait tout de même quelques petites bosses... et déjà trop de cadavres. Nous avons croisé trois robots qui nous poursuivirent mais sans assez de puissance lorsque nous arrivâment sur l'autoroute. Quelle fut notre surprise de voir celle ci en a peu près bon état. Ce n'était que le début.

130, 140, 150...

- On se traine ! déclara William au volant

- Effectivement, les voitures derrière nous on l'air de nous rattraper...

J'avais déclarer cela sur le ton de la conversation, mais Rita se retourna et défonça le parbrise arrière. Les trois voitures rootisées (trois taxis), sans pilotes donc, nous suivaient. Rita épaula son uzi modifié avant de se rendre compte, en enfilant dans l'arme son avant dernier chargeur de 4000 projectiles,qu'elle n'aurait surement plus de balle a la sortie de la course poursuite. Elle jura. William parut soudain stressé :

- Euh... sa va secouer.

[i] Je regardais la route, J'aperçus la moitié de l'autoroute éffondrée, un robot de destruction entammant la deuxième moitiée. En nous voyant approcher, il monta sur la chaussée et ses huit pates nous barrèrent le chemin. S'est alors que je fis une trouvaille intéressante : Quleque chose me faisais mal aux fesses depuis un moment alors que j'essayais de m'assoir confortablement. Je soulevais le drap posé sur la banquette et m'aperçu que le sol était rembourrée... je grattais le plus fort possible, puis sortit un truc métalique. Ou plutôt un morceau d'un truc énorme.

- Rita ! Pousses toi s'il te plait !

Elle se décala légèrement et tira sa première salve. Nous étions a 203 mph, la vitesse de pointe du bolide, la vitesse de croisière des voitures robotisées...
Je sortis donc en vitesse la chose dure et métallique que Rita et moi avions sentis sous nos fesses et je tombait presque a la renverse en voyant ce que s'était. Un lance roquette. Il faudra que j'élucide le mystère de cette voiture... Rita s'en empara, lachant distraitement son uzi sur la banquette, elle passa la moitié de son corp par la fenêtre, eu du mal a se redresser a cause de la vitesse, puis épaula la lance roquette. Tout cela s'était passé très vite, deux cent mètres a peine nous séparraient de robot de destruction que nous avions aperçus depuis deux kilomètres déjà...
Rita pris bien soin de viser, elle pris tellement son temps que William commença a décélérer, les voitures de derrière étant pratiquement a notre niveau. Lorsqu'elle fut sûre, elle appuya sur la gachette. Le missile, ce n'était pas un bazooka oridinaire apperement (a élucider également...), sortit, brûla légèremment Rita, puis partit loin devanten direction du robot. Celui ci n'ayant pas d'autres ordres que celui de nous barrer le passage, il ne bougea pas. La roquette le percuta de plein fouet, dans un grand nuage de fumée noire et de flammes jaune et orange. Sa s'était efficace comme missile... Le problème était que le missile avait créé un large fossé. A nouveau, William nous demanda de nous accrocher. et nous sommes passer au travers des flammes et des nids de poule avec un petit 180 mph tout mignon...
Deux des trois voitures également, la troisième fonçant dans une des pates de robot de destruction et disparaissant dans une boule de flamme. Rita regarda si il n'y avait pas d'autre missiles, mais il n'y avait rien sous la banquette arrière. Résignée, elle repris son uzi en main et commença son travail. Elle visa et tira, salve par salve, dans un souci d'économmie de munitions. Le deuxième salve, elle avait raté la première, atteint la carosserie d'une des deux voitures, cela causa de petit dégât et fit ralentir son allure de quatre ou cinq miles par heure. Inutile, un deuxième coup dans l'eau donc... Elle jura et se reconcentra. La troisième salve atteint la voiture qui se tenait dix mètres derrière, dans le moteur, une épaisse fumée s'en éleva, la voiture ralentit, se laissa dépasser, une flammeche s'élevant du capot puis explosa sans prévenir, loin derrière. Rita sourit. Mais ne tarda pas a jurer a nouveau après avoir rater ses dix rafales suivantes, les voitures commençant a comprendre la façon dont Rita s'y prenait.
Les nids de poule se multipliaient sur la route, les voitures carbonisées également, des rafales crépitaient ici et la, certaines nous visant, des robots sur le côté de la route, et d'autre visant ceux ci, des hommes déséspérés. Nous arrivâment a une intersection, de la surgirent trois voitures supplémentaires, qui veillaient. Rita se ressaisi, elle avait également plus de cible. Elle visa, tira. Le pneu de la voiture de tête. Celle ci fit un tête a queue instantatnément, entrainant une voiture de plus derrière elle. Les deux voitures furent soufflées, la voiture de tête devait posséder une batterie nucléaire, au moindre choc, elle explose, créant une toute petite explosion nucléaire. PLus loin on pouvait voir une offensive militaire presque construite. Je regardais la scène avc horreur. Une arraignée robotisée avait monter le laser du labo de recherche (si si ! je l'ai vu durant mon séjour au centre médical !!) sur son dos, celui ci visait et tirait machinalement. Tuant tout su son passage. Mais les militaires en face étaient plutôt bien organisés. Ils avaient réquisitionner tout les tanks et jeeps disponibles (les tanks n'ont jamais été robotisés pour contrer des situations comme celle ci) et résistaient fermement au porte du camp militaire. Mais d'ou sortait cette arraignée ? Avait-elle pu être inventée et creer entre maintenant et le début de la révolte ? Impossible, j'étais effarré.
On y étais presque ! Les deux voitures restantes nous collèrent. Rita tira une rafale a bout portant dans le moteur, quitte a exploser avec elle, mais elle ne toucha pas la pile nucléaire, la voiture perdit de la vitesse et une courte flammèche s'en éleva. Comme la première elle explosa sans crier gare.
Il n'en restait plus qu'une et le portail du camp s'élevaient a deux kilomètres ! La chose qui était ennuyante était que l'arraignée était a côtéé de la chaussée, les tanks tirrèrent une salve, et l'arraignée perdit une patte... d'ou l'intérêt d'en avoir sept autres... elle tira, un tank explosa, le laser rouge le coupant en deux.
Je blêmis. Une telle puissance était invincible... Sauf avec cette bombe.
L'arraignée nous aperçut. L'IA du secteur du se dire que nous représentions une menace car elle détruit le tank qui était positionné sur l'autoroute, coupant également la chaussée sur toute sa largeur sur dix mètre. Mais elle coupa la section qui était au sommet d'une butte. S'est a dire que si nous avions assez de vitesse... Nous pourrions sauter ce fossé.
William écrasa l'accélérateur, puis passa la dernière vitesse qu'il n'avait pas osé franchir jusqu'a présent. Par un système mécanique, franchir cette vitesse fit sortir un bouton du tableau de bord. Ce bouton se mit a clignoter, on pouvait lire les trois lettres suivante dessus : NOS.
William sourit, nous regarda une fraction de seconde puis appuya sur le bouton en hurlant, j'hurlais aussi et Rita de même. Les flammes bleues qui sortirent du pot nous collèrent aux siège, 180 mph, 200 mph, 220 mph 240 mph... 280 mph !!Ce NOS n'est pas si viux que cela dirais-t-on... plutôt performant. Je mis mes réflexions de côté et attendis la fin. L'arraignée nous visa a nouveau mais n'arriva pas a nous toucher... si l'intelligence artificielle n'était pas dispersée dans autant de machines, elle aurait pu nous localiser et nous détruire aisémment. La fin arriva. Le grand saut, a seulement deux cent mètres du portail du camp. La voiture décolla lentement et au grand dam de ses occupant, se mit a vriller. Non... On ne retombera jamais droit. La voiture vrilla ne fois, deux fois... et s'écrasa lamentablement sur le toit sur le sol après le portail. Deux cent mètres de vol plané. Nous glissâmes sur le bitume du camp durant deux bonnes minutes et finirent par nous arrêter... durant une mnute, rien ne se passa, mais je sentis de l'agitation autour de moi, robots ? hommes ? Peut importe, Rita était dans les pommes William avait collé du sang sur le par-brise, était-il en vie ? Et moi je sombrais également... J'eut juste le temps de voir que j'étais ouvert au niveau du crâne, puis que l'on m'aidait a sortir, le contact chaud de la peau contre la peau... et enfin je m'évanouis.

[HRP]J'étais en forme aujourd'hui... On forme vraiment un trio d'enfer, le scientifique avec le sniper et la folle de la gachette lol Sans le faire exprès en plus [/HRP]

[HRP] C'est clair... Juste pour dire t'imagines si on avait trouvé une R5 ? Pas de course poursuite viable, et en plus elle serait en ruine vu son âge avancé. Vaut mieux imaginer les voitures du futur non ? Genre cette viper. Hésite pas à l'améliorer si tu penses en tant que champion du tuning que c'est pas suffisant... [/HRP]
Lorsque William se réveilla, il avait l'impression de s'être fait écraser sous deux cent vipers lancées à 200 mph en plein sur lui. C'était le rêve qu'il avait fait, justement. Il s'assit sur le brancard. A côté de lui gisait Rita, pas en très bonne forme. Toutefois sa respiration était calme et régulière. Le scientifique, quant à lui, avait disparu. Le sniper se tâta le front. Un bandage ensanglanté lui barrait la tête. Il pensa pour lui : "Pour un premier accident de la route, c'est un fameux accident de la route ! Si j'ai encore mon permis après ça..." Puis il s'interessa à sa compagne de route. Elle aussi avait un large bandage sur la tête. C'était un bandage bien fait, digne d'un vrai médecin. Il prit sa température à la main, qu'il jugea bonne. Le pouls battait respectablement. Les battements du coeur, que William prit un certain plaisir à prendre sur le sein, étaient normaux. Il voulut sortir quand quelque chose lui tira le bras. une perfusion. William avait horreur des aiguilles. Il arracha la piqûre. Aussitôt, un "bip" répétitif se fit entendre. La porte s'ouvrit quelques secondes après à la volée et troix hommes apparurent. L'un était mince et athlétique, arborant une moustache finement arrangée et des lunettes plates. il portait une blouse blanche de docteur. Les deux autres étaient plus costauds, rasés de près aussi bien sur le crâne que sur le visage. Ils portaient des vêtements militaires couverts de sang, des bandeaux rouges, et un nombre indéchiffrable d'armes de toutes sortes et customisées de mille façons. Le petit prit la parole :
Vous voilà reveillé, enfin. On a cru que vous n'alliez jamais émerger...
Qui êtes vous ? demanda un William échauffé par la placidité de l'homme.
Docteur Curtenozi, médecin à la faculté de City Alpha, pour vous servir.
Les questions se bousculaient dans l'esprit du sniper.
Où suis-je ? Où est Johnson ? Ami ou ennemi ?
Le docteur eut un sourire amusé :
Houlà... Une question à la fois. Alors... où vous êtes : dans la dernière poche de résistance humaine connue. Un camp fortifié improvisé par une poignée de militaires et quelques gens du peuple, dont moi. Où est Johnson : c'est beau de voir à quel point vous y tenez... Il est en plein travail de recherches sur une éventuelle parade à ces robots. Il n'est pas loin. Et enfin, ami ou ennemi : tout dépend de votre camp. Nous sommes contre les robots.
William soupira de soulagement. Un peu de repos, enfin !

Je m'éveillais. Il y avait des voix. Je reconnus aussitôt celle de William, ma conscience s'y attacha comme point de repère. D'autres, posées et calmes. J'ouvris les yeux, je le sregardais. Bien sûr, j'avais suivi la conversation mais n'osais intervenir pour l'instant. J'arrachais les perfusions avec froideur. Ma tête me lançait affreusement. Je sentais un bandage au niveau de ma taille. Ah oui, en étirant légerment mon dos, j'avais un peu mal. Mes blessures passées au peigne fin, je soupirai. Quel camps... Qui pouvait demander ça...

"Parce qu'il y a vraiment des êtres humains pour les robots ici? C'est absurde...."

Ma réplique sidéra le médecin. Il se tourna vers moi.

"Oui bien sûr. Il y a toujours des gens pour être du côté des plus forts et...
- C'est d'un débile, crachais-je avec mépris. Le robots cherchent le pouvoir sur les humains, en toute logique. Ils ont pris d'assaut l'hopitail, tout en fait, tout ce qui est robotisé.
- Pourtant, commença William, ça ne me surprend pas...."

Je le regardais. Il avait raison... Mon mépris était inutil, je le rangeais. Apparemmenr ma harangue avait convaincu plus ou moins le médecin et ses costaud de notre "camps". Il nous laissa un instant.

Docteur Curtenozi comment vont ils ?

Un jeune homme vient d'entrer, il était sale de poussiere et de suie.

Tiens certains ce sont réveillé ...Bonjour ! je m'appel Lynch Anderson, c'est moi qui vous ai sorti de là, c'était moin une tout allait sauter.

Il enleva ses gants tout en parlant au medcin :

J'ai terminé leur pseudo "logements", si il s'en sente capable des lits les y attende.

Tres bien je te remercie Lynch, toujours efficace c'est bien que tu sois parmis nous .

Dit en suite Le docteur.

Lynch parti aussitôt en serrant la main du doc, puis un dernier clin d'oeil en direction de Rita, il s'eclipsa.

Curtenozi reprit à nouveau :

Il sagit de Lynch, un pompier ayant survecu au drame, un vrai homme d'honneur, il m'a aider pas mal à rétablir certain blessé ici.