Une expédition foireuse ?

Forin fut très surpris par l'arivée de la flèche. Avant de prendre la masse que lui tendait Aq, l'homme sauvage ramassa son poignard et s'entailla légèrement le dessus de la main gauche avec une vitesse et une précision incroyable. Une fois que le sang ai atteint la paume de sa main, Forin mit sa main sur son coeur et dit :

"Ca est ce que moi voulais faire... Moi jure d'aider vous jusqu'au bout, même si je...dois mourir."

Puis il regarda le groupe et sourit.

"Moi venir avec vous sous-la terre ! Moi venir avec mes...mes...amis"

Le sauvage avait eu beaucoup de mal a dire ce dernier mot. Il ne devait surement pas l'avoir prononcé depuis longtemps... trop longtemps.

"Vous choisi ? Allez vite ou surement ?"

Tout en attendant la réponse des autre, il rangea ses différentes armes et remercia Aq d'un signe de tête.

vous ètes stupide humains, tout ce que vous pouvez faire c'est vous sucidez.
des millions de Skargs, vont s'abbatre sur vous.
il s'approcha de Enrigane
humain, tu est stupide et incroyablement courgageux.
je ne vous ai pas tout dit: il reste des rebelles comme moi, tien prend ca, c'est un emmeteur, en cas de probleme appelle moi.
mais avant, je dois parler a votre chef humain.
bonne chance, ne mourrez pas; vous ètes stupide et faibles, mais pas fouxdit il en donnant une grande claque amicale sur la nuque d'Enrigane.
peut etre nous reverons nous un jour.

Les flyhunters atterir, ils dechargerent une caisse de munition et quelque materiel de combat. Ils etaient assé mefiant en regardant le Skarg rebelle.
Enrigane rangea l'emeteur du Skarg. Il se derigea vers les flyhunter, les saluts.

Enrigane : Ce soldat a des information pour vous et il faut que Libria se mette en état d'urgence. On vient de decouvrir que les Skargs on construit un réseaux de tunel et on instalé un camp de base en dessous de Libria, leur attaque sera prevu dans quelque mois.
Maintenant, moi je vais y aller poursaboter au maximun et ous bin faite votre boulot.

Enrigane ouvrit les caisses et sorti un gilet par balle, pui le mit. Il attacha les harnets violament, prit quelque grenade. Il y avait des fusil d'assaut, mais Enrigane ne savait pas les utiliser. Il regarda le soldat et lui jetta un fusil.

Enrigane : Tien, prend ca, tu te sentira plus en sécurité.
Bon maintenant qui vien avec moi ?

Enrigane regarda chaque tete de ces compagnons.

Quand le chasseur dit cette phrase Aq explosa.
- Non mais vous etes fou ou totalement stupide ??!! Enrigane c'est pas que je ne t'aime pas mais là ... Les mots ne voulaient pas venir, la colère était trop grande. Pendant qu'il reprenais son calme ces compagnons le regardé médusé, ne sachant quoi dire ou faire.
Finalement il repris son sens froid et dit.
-Tout d'abord Enrigane je sais que tu es un chasseur or paire mais là attaquer un camp ultra défendut dont on ne sais absolument rien. Aq reflèchit un moment et dit. A si qu'elle est sous terre, c'est du délir.
Ensuite tu fais courir un risque à tout Libria . Au moment où tu détruiras la moindre chose les Skargs vont se douter que leur base n'est plus en sécurité et vos attaqué Libria alors qu'on ne sera pas près.

Aq marqua une pose, laissant le temps à tout le monde de comprendre se qu'il venait de dire.

-Voila se que je propose. Tout d'abord avertissons le haut commendement pour qu'il face le maximum pour la défence.
Ensuite montons une expédission pour le temple et trouvons l'arme secrète.
Ensuite quand on l'aura "si elle existe" on attaquera la base Skarg.
Voila c'est tout, à vous de décider mais si vous voulez qu'en même allé en bas je fairait tout pour vous en enpécher, vous faite courir un trop grand risque à Libria LA DERNIERE VILLE HUMAINE .


Sur ces mots il arma son fusilt d'assaultet se campa devant la porte de la grotte.

Pendant que les autres parlait, Forin faisait un bandage de feuille et de liane à sa main meurtrie. Une fois ceci fait, il releva la tête et regarda les flyhuters qui déchargeaient du materiel. Ils regardaient bizarement Silfurion. Forin remarqua bien vite que les soldats le regardait avec un mélange de curiosité et d'étonnement. Ne sachant quoi dire, l'homme sauvage préfera leur sourire. Forin s'avanca lentement vers Aq qui s'était instalé devant l'entré de la cavernre, le sauvage s'assit à côté du soldat et lui dit :

"Tu retourne à la ville ? Si tu veux, moi peux t'y conduire rapidement et sans risque. Mais si tu préfère aller avec eux... Forin montra du doigt les flyhunters. Je propose juste."

Le sauvage resta silencieux un moment puis repris :

"Si tu veux retourner dans la ville, moi pourrai juste t'y conduire mais pas entrer... nan... pas entrer."

Forin parlait de mieux en mieux. Parler, c'est comme le vélo, on a du mal à reprendre fais sa ne s'oublis pas ! Le sauvage avait encore quelque problème d'articulation mais bon... on le comprennait sans trop de problèmes.

Enrigane s’arrêta dans son élan. Puis il se retourna vers le soldat.

Enrigane : Bon tu as raison, c’est dans ma nature de ne pas reculer et de foncer vers l’ennemi.

Il se tourna vers les flyhunter.

Enrigane : Il vaut mieux rejoindre Libria par dos de Terranodon, des plus se son des lourd, ils peuvent porter deux à trois personne.

Il regarda tout le monde.

Enrigane : Alors ques que vous faite maintenant ?

- je veux bien te suivre humain, mais je dois d'abors alerté mes frères rebels; sa ne devrait pas prendre plus de 5heures.
ce sera une force de frappe en plus.

En entendant la proposition d'Errigan Forin ravala sa colère. Il se leva, crache et dit :

"Je peux pas venir...dé...so...lé"

Puis il leva la tête et regarda le ciel bleu et appercu un front de nuage qui venait de Libria et de la merre.

"Va pleuvoir ! Pleut déjà sur la ville."

Il regarda le groupe et leur annonca :

"Plus de temps, je pars."

Il se dirigea vers l'entré du tunel et la masqua avec des lianes et des plantes qui était au dessus du passage, pendant qu'il travaillait, il dit aux autres :

"Partez vous aussi, vite."

Quand il eu finit, les nuages s'étaient raprochés. Voyant que tous les autres était encore là, il soupira et les aida à charger le matériel sur les Terranodons. Une fois tout le matériel chargé il dit :

"Dépéchez-vous... pas paerdre de temps. Vous en faites pas pour moi... j'ai vus beaucoup pire."

Il sourit un ultime fois et partit en courant vers la forêt. Avant de disparaitre dans les sous-bois, il se retourna et cria un "Vite" de plus puis s'enfonca dans la jungle.

Un battement d'aile se fit entendre. Un flyhunter descendit doucement au niveau de ses amis. Lorsque l'homme descendit tous le reconnurent : C'était Sebastian. Il leur adressa un sourire mi-figue, mi-raisin et leur déclara :
Désolé de vous avoir fait attendre... J'ai été surpris par des skargs armés jusqu'aux dents à l'est d'ici... Je crois que vous avez donné un véritable coup de pied dans la fourmilliére.
Il les regarda tous et hocha doucement la tête.
Des tonnes et des tonnes de skargs convergent vers vous. A ce stade, c'est du perdu pour perdu... D'autant que Libria est dans un sale pétrin aprés avoir subi ces derniéres semaines des attaques meurtriéres.
Il s'approcha un peu plus des autres et leur adressa un sourire gêné.
Si ce que dit Aq est vrai, c'est la fin de l'espéce humaine, j'ai bien peur.
Il faisait des efforts manifestes pour se contrôler et ne pas exploser en sanglots. Ses yeux brillaient d'un éclat amplifié par les larmes. Le bout de ses doigts tremblaient. Il leva les yeux au ciel.
Alors autant en embarquer un maximum avec nous, non ?
Il se retourna, laissa échapper un hoquet puis se redressa. Il se tourna de nouveau vers ses amis et leur donna un talkie walkie à chacun.
Au cas où... Placez vous je vous couvre !
Il remonta sur son animal et se réenvola, et se mit à tourner autour de la zone où se trouvait ses amis, à basse altitude.

Enrigane regarda tout le monde.

Enrigane : Allons a Libria, cela sera plus sur, déjà pour donner les information au haute autorité et deux se réapprovisionner et prendre un peu de repos et en trois s’organiser pour une attaque. Montons sur les teranodon lourd.

Il jeta un talkie walkie au Skarg.

Enrigane : On se contactera quand on aura besoin de tes hommes.

Il monta sur l’un des teranodon et attendait que les autre fasse de même.

Enrigane : Partons vite, les Skargs qui se rapproche de nous son vraiment trop nombreux, la seule échappatoire est par les airs.

Sebastian avait déjà atterri à Libria, au centre de la ville. Là, autour de lui, l'interpellaient gardes et loqueteux, jeunes et vieux, hommes et femmes, qui s'inquiétaient et voulaient des nouvelles. Sebastian les regarda avec pitié mais ignora leurs questions. Il descendit de son animal et l'amena à la grange à tétarodons. Il enleva son harnachement, bien qu'il sût qu'il aurait bientôt à le remttre, puis alla se promener sur les remparts, histoire d'inspecter les défenses de la ville fortifiée.
En fait, la forterresse n'avait pas trop à se plaindre : les tourelles canons et missiles abondaient, les munitions étaient encore suffisantes, les murs étaient épais et solides. C'étaient de bras qu'elle manquait pour la défendre, et d'un commandant charismatique pour motiver les troupes.
Sebastian soupira. Bientôt, ce serait la fin... De beaucoup l'avaient prédi. De beaucoup avaient ignoré ces prédictions.
Nous payons aujourd'hui le prix de notre arrogance... souffla le jeune homme.
Il se rendit ensuite au centre de commandement de Libria. Il rejoignit de suite les capitaines penchés sur une carte de la région, qui débattaient ardemment sur l'attaque prochaine. Lorsque Sebastian entra, ils lui accordérent à peine un coup d'oeil. Le flyhunter prit place prés de la carte et coupa la parole à tous les gradés.
Y'a des bras qui se raménent. Et un messager d'une autre ville fortifiée. N'espérez plus de renforts de leur part, j'ai bien peur...
Deux capitaines pestérent. De toute évidence ils avaient compté là dessus... Sebastian continua :
Les skargs sont nombreux, mais ils arrivent en masses compactes. Des rafales de mitrailleuses bien placées et quelques missiles et on élimine un régiment de vingt.
Les capitaines acquiescérent, tout à coup trés intéressés par le rapport. Sebastian leur annonça sombrement :
Sauf qu'ils sont bien plus de vingt, bien plus de cent, bien plus de mille ! Et en plus ces satanés dinosaures les accompagne. En outre, je me demande qui fera tirer toutes ces balles et tous ces missiles...
Il sortit de sa poche une cigarette et l'alluma.
Croyez moi, cette fois ci les skargs ont décidé d'en finir...