Prochainement: La legend du seigneur Smess

Voilà voilà, ce récit fort intéressant qui va bientôt apparaître par une magie très connu (sous le nom de Internet), raconteras comment le seigneur Smess (Sms pour les intimes) à tenter une nouvelle fois de conquérir le monde, Bien entendu il va complètement foirer son plan, et tout va partir en vrille, Mais pourquoi ? C'est la question, qui je l'espère (quoique pas tant que ça) vous donneras envie de lire ce délire permanent que seras ce récit parodiant tout azimut, tout ce qui me passera par la tête... Bref, préparez vous à mourir ! De rire évidemment ^^

Intro:

Nous sommes dans un monde qui ressemble à si méprendre à celui-ci dans lequel nous vivons, à quelques différences prêt:
=>Nous sommes au moyen âge
=>Les grand-mères sont de redoutables ennemis, armés pour les plus pacifique d'une simple encyclopédie de 13 volumes, les autres ce contenterons d'une vulgaire lance grenade, ou autres Gatling)
=>La moindre canette d'Orangina(tm) peut s'averer, une fois secouée, une arme de destruction massive, de même pour les barres chocolatées telles que Kinder Surprise(tm) et Kinder Surprise Maxi(tm) dont on se souviendrat l'impact terrible qui a eu lieu près d'un magasin, autant vous dire que le magasin en question n'est plus qu'un souvenir, (paix aux âmes des employés d'ailleurs, les pauvres, ils prenaient leur pause midi...)
=>Les méchants sont effectivement méchant un point c'est tout
=>Le monde et plats (si si c'est vrai)
=>Les Pigeons Parisiens sont les maîtres du monde
=>Quand ils ne se font pas abattre pas un magnum 357 single action army
=>Le grand méchant de l'histoire est français (triste, mais vrai)
=>Le langage dit "sms" est une maladie transmise par lavage de cerveau (n'en doutez pas, ils sont plus fréquent que vous ne l'imaginez, la preuve, je vous en fais un en ce moment même)
Dans ce mode qui, comme je l'ai déjà dit, ressemble étonnement au nôtres, le monde est coupé en trois pays:

-Les terres du Sud, gouverner d'une main de... enfin gouverné par le Seigneur Jean Charles de Castagel, Descendant direct de Jean Marc de Castagel qui a mis fin à la première guerre des Smess (on se souviendrat d'ailleurs de cette mémorable partie de dame au court de laquelle beaucoup de sueur a coulé), Dirigeant adepte du langage soutenu, il n'accepte aucunement les erreurs dans la communication.

-Les Terres du Milieu, gouverné par Sauron, heu non attendez... Ah voilà ! Gouverné par Le Baron Naman Sorrow, celui-ci est un grand amateur d'armes magique (et anneau unique aussi, trop facile celle là ?), il contrôle ces terres avec la violence d'une tempête en fin de course, usant de la force, même pour beurrer ses tartines, c'est un fan de Van Damme (et si ça existe encore...). Il utilise facilement le langage courant, sans toutefois vriller sur le vulgaire.

-Les Terres du Nord, Gouverné par le Cheik Mouhamad Jidimouk, Personnage richissime (pour vous dire, il peut se payer ce qu'il veut, hors limite des stocks dispos, la chance quoi), Mais la richesse rend paranoïaque, et notre Cheik ne fait absolument pasn confiance aux deux autres dirigeant, Il parle un langage très libre, peut être même un peu trop, car cela lui à valu de nombreuses menaces de mort (physique et psychologique, voir même théorique). Il se planque dans son très (trop) grand palais, ou parfois il s'y perd, fort heureusement, le GPS est là.

Intro (la vraie cette fois :p)

La petite maisonnette qui bordait les frontières du Nord Extrême, semblait pulser de joie, ou d'autre chose de plus adulte dirons nous, bref, la joie était là, et la cause importait peu.
La petite famille de deux parents (oui vous avez bien lu) et de leur deux enfants (typique me direz-vous, et moi je répondrais "m'en fout royalement !") En train de souper, il était assez tard, la nuit était déjà tombée (écrasant quelques moutons au passage, pauvres bêtes). Cette joyeuse famille ne savait pas encore le terrible danger qui se profilait, trébuchant sur une branche et s'écrasant au sol dans un vacarme proche de la chute d'une abeille et situation critiques.

-allez finit ton assiette Fit la mère toujours inconsciente du danger qui rodait (et trébuchait aussi, mais bon dans le noir c'est chiant de se repérer). Si tu ne finis pas ton assiette tu sais qui va venir ? Lord Smess !

L'enfant tressaillit à peine devant la menace (bon en même temps, elle la sort à chaque fois qu'il ne veut pas finit son assiette, au bout d'un moment on y croit plus trop... Erreur). Il fit le moue et reprit en main sa cuillère de bois, se forçant à peine à déguster ce qui devrait ressembler à une poilée de légumes (sans légumes). La maman regarda tranquillement son enfant finir son assiette, sans prêter attention à sa fille qui bombardait son papa avec des pois chiche, l'obligeant à battre retraite derrière le comptoir de la cuisine. Ripostant avec une terrible précision, envoyant des carottes crues droit dans le front de sa fille. Quand soudain !
¤ Ding Dong ¤ On sonna à la porte (notez que l'électricité existe déjà, ce qui faciliterat les situations humoristiques, et de toute manière cette histoire c'est moi qui l'écrit, alors na !)
Le papa, réclama une trêve momentanée, de toute manière sa fille était sur le point de vaincre son père, la terrible engeance de ce dernier était passé des pois chiche au poires, et le comptoir tenait encore miraculeusement sur deux pieds, défiant la gravité avec une aisance digne de Copperfield.

-Tiens ? Qui cela peut-il être ?

Il alla silencieusement vers l'oeilleton de la porte quand soudain: ¤ Ding Dong ¤ On sonna une seconde fois, le père venait de frôler la crise cardiaque, ce qui l'aurait bien arrangé en vue des événements qui allaient suivre, mais pas de bol, il survécu. Sans vraiment mesuré la gravité (Gravité Risque: 15/10), il ouvrit la porte en grand, provoquant un courant d’air, qui donna une certaine classe obscure à son visiteur, la seule chose qui manquait c'était un petit éclair pour donner encore plus de style, (bon allez hop un petit éclair, m*rde le pigeon !).

-Oh bonjour, enfin bonsoir entrez donc, ma femme parlait de vous justement !

L'ombre entra dans la maisonnette: et salua doucement la petite famille, un mince sourire en coin, et un cigare cubain coincé entre ses dents:

-Bonsoir, maissieu dames, je vien vous bordé, Ahahah, je plésentait evidament.

Puis un cri traversa la nuit (laissant transparaître, un faible lueur de jour), la petite famille de la maisonnette de la frontière du Nord Extrême venait de rencontrer le plus terrible, le plus fourbe et le plus... heu bref, l'ennemi publique numéro deux (le numéro un étant le Pigeon Parisien), Maintenant que celui-ci avait réussi à revenir dans le monde physique, il va regroupé sa terrible armé de Wesh et de V'la, et pour la deuxième fois, tenter de conquérir le monde ! (c'est Minus et Cortex...)

Les personnages:

Hors Série :
Oteur : Narrateur de l’histoire, il nous fera part de ses commentaires, fort inutiles.

Les Méchants (les vrais, les durs les tatoués, enfin sauf Smess qui est allergique et Dark Small dont la mère refuse categoriquement, sous pretexte que cela fait racaille, quand a Nora, je vous défie de lui demander...)
:
Le Seigneur Smess :
Maîtres incontesté des Terres de l’Extrême Nord(en même pour ce qui a à contrôler..), C’est un homme mystérieux, élu par deux fois comme étant le méchant le plus apprécier des Terres de Faurhum. Il dirige ses troupes de V’la et de Wesh pour tenter de reconquérir le monde. Cela pour la deuxième fois.

Le Commandant Dark Small :
Le petit (1m21) dirigeant des Troupes de Contamination, C’est un fin stratège grâce à qui la guerre pourrait se terminer en un « Youp là », mais pour cela il faudrait qu’on l’écoute un peu…

Le Général Yoyo :
Il dirige d’une main grasse, mais ferme les troupes de V’la, Spécialisé dans les assauts brutaux et directs, il est particulièrement craint par les MP3 défectueux. On l'a surnommé le Tournevisseur.

Le Général Nora :
Parce qu'une fille chez les méchants ça fait classe, elle commande d’une main de mousse la terrible et crainte (très crainte) troupes de Wesh, son principal domaine de prédilection se trouve être la cuisine !

Les héros (Ils n’ont pour but, que le besoin de remonter le moral de gentils, se contenant d’exister, une troupe de vaillants (enfin vaillants…) chevalier gentilshommes viendrons tôt ou tard les chercher pour leurs demander leur aide, qu’ils refuserons poliment évidemment)

Storm :
Naine boxeuse, elle vit dans un marais, elle voudrait sortir de temps en temps, mais les crocodiles ne sont pas de cet avis.

Deyonnu :
Autrefois fier guerrier, il a à présent sombrer dans l’illettrisme et à brûler tous ses livres

Magic D. :
C’est un mage redoutable, Ses pouvoirs impressionnants (entre autres celui de vous faire lire en entier un Harry Potter, et le tout sans choper de migraine), mais ce personnage fabuleux est un personnage caché, et une longue quête vous permettra de le délivrer, serez assez patient ?

Maître Soda :
Ancien prêtre corrompu, il s’est à présent tourner vers l’Ecriture, auteur d’une dizaine de best seller, derrière ce personnage gentillets, se cache en réalité un redoutable écrivain.

Dédidace:
A Dwayne qui m'a donné envie de mettre en pratique ses cours de vanne en carton en esperant arriver un jour à son low level.

A RpFantasy, qui à "accepter" de publier ce texte polémique qui traite de sujets serieux, (enfin pas trop non plus ^^). Tout particulierment à Djynn, son auteur (bon d'accord je me lance des fleurs, ça vous géne ? Tant mieux :p)

Aux boulets des forums sans qui cette hitoire n'aurait probablement jamais vu le jour...

Vraiment géniale!^^ Vivement la suite!

C'est un défi lancé a Laurence Bocoli!!!
Parviendras tu a la dérider, seras tu le maillon fort???^^

Joli !!!!!!! Tu nous prépare une suite j'espère !!!

Citation :

la nuit était déjà tombée (écrasant quelques moutons au passage, pauvres bêtes)

J'adore les personifications dans ce style, celle ci est particulièrement tordante, l'histoire me parait complexe, bien qu'elle n'ai pas vraiment commencé. La présentation l'est, en tout cas. L'humour est en effet présent (tout est relatif me direz vous :p ) et j'attend également un vrai début d'histoire.
Seul point négatif, l'orthographe et les mots manquants. Je veux bien qu'il y ai des passages entier consacré au SMS, mais en dehors de ces passages, la, rien ne t'empêche de passer ton texte sous word .

Tout mes encouragements pour la suite, c'est bien cool.[/i]

Épisode One: le menace Smessienne.

C’est quatre jours plus tard qu’une étrange maladie fit son apparition, cette maladie, semblait affecter, aussi bien la capacité de parler que de penser, ce qui en réalité ne semblait pas vraiment affecter l’arrière pays, pour ça faudrait qu’ils pensent.
Tronin, un Soldat du Seigneur Jean Charles se levait aujourd’hui sans se douter de la terrible menace, il se dirigea avec vigueur jusqu’au baraquement pour se changer. Mais une fois encore, il devrait affronter une menace tout aussi terrible que le Seigneur Smess lui-même.

« Over, Ici Bernard tango 2, cible en champ visuelle : »
« Bernard Tango, vous avez le feu vert, bombardez moi la zone, aucun prisonnier »
« Compris, Allez les gars on y va, décollage, Go go go ! »

Le 27éme de la troisième division de la menace aéroporté des Pigeon Bombardier quitta son point d’ancrage, effectuant un passage de précision, leur donnant tous les renseignements dont ils avaient besoin, vitesse de déplacement de la cible, corpulence, taille, et capacité de riposte : Ils pouvaient lancer l’assaut sans problème la cible, était en pyjama blanc avec des motifs Bizounours à la mode cette année, autant dire que le Gravity Risk était nul (0.1/10)… Du moins ils le croyaient.
Ils exécutèrent un splendide virage avec double tonneau, triple looping (9/10, 9.5/10, 8/10, 10/10 = 9.125/10, 1ére place au championnat du monde de haute voltige tout de même), puis plongèrent sur leur cible déverrouille leur canons anaux, prêt à abattre leur objectif, quand soudain, celui contre toute attente, leva les yeux… Et sourit

« Over, Ici Bernard Tango 2, La cible riposte, je répète la cible riposte, Non ! On a perdu Jackowsky, Aargh il est armé, attention krzz krzzz »

Le contact fut coupé, la 27éme compagnie, venait d’être annihilé.
Le soldat Tronin rangea son Uzi, satisfait de son carnage, aujourd’hui était jour de fête, les Pigeons avaient subi des pertes, ce qui était rare. Mais pour le soldat, c’est une superbe journée qui commençait.
Dans un sifflotement presque insolent, l’homme partit tranquillement vers son baraquement, et s’y changea, échangeant son pyjama qui lui avait coûté une fortune, mais qui faisait pointer la jalousie chez les autres membres de son unité, contre une tenue plus saillante, une cotte de maille, avec un pantalon en tissu double épaisseur, pas très pratique l’été, mais bon, on était en hiver, du coups, cela ne changeait rien, (Mais c’est vrai que l’été, ont dénombraient par dizaine les arrêts maladie, la tenue qu’ils portaient les faisant griller avec la même efficacité que le capot d’une Renault 5 en train surchauffer, si ont allongeaient ces types sur une table on pourrait même faire chauffer des œufs, d’ailleurs, ils s’en privaient pas.
Même si la guerre réelle (celle qui opposait deux idées bien distinct, celles des mangeurs de pommes et les pro-nougats, mais cela est une tout autre histoire…) avait cessée, laissant place à une paix somme toute relative, le pays prospérait, du moins jusqu'à aujourd'hui...Car cette paix somme toute relative allait bientôt prendre fin, car un jour, (demain si ça trouve, qui sait), ils devront teamer(faire équipe si vous voulez), et combattre main dans la main (si possible sans lâcher leurs armes) et résister au siège qui durerait probablement plusieurs minutes, heu non, années.

Campement du QG du Seigneur Smess :

Le soleil pointait ses rayons lumineux sur la plaine, laissant découvrir à un pauvre fermier la totalité de ses moutons sous formes de bouilli informe, (d’ailleurs celui-ci à porter plainte, et si jamais, demain vous regarder Sans Aucun Doute, vous le verrez téléphoner à Indochine pour demander à la lune d’y aller mollo avec ses nuits meurtrières), Le campement avait été installé pendant que le Seigneur Smess était partit soulagé quelques besoins personnels, étrangement, quand celui-ci était revenu, il était accompagné par une famille qui semblait avoir légèrement abusé de substances illicites avec effet secondaires en prime (mais non néfaste, surtout quand on voit les effets primaires et tertiaires, encore que si on ne compte pas la bave, le regard vide et les cheveux qui tombent, on peut presque les considérer comme normaux, sauf si leur bras tombent, là par contre, une bastos dans le crâne reste la meilleure solution.)

-Dites moi, Grand Seigneur, puis-je savoir qui sont ces individus ?

-in ? a eux, wouarf, je lai z’ai vu chai eux, pui come ils z’avé l’air de s’amusé, ba je lai es einvité

-Mouais Fit platement le soldat, il n'avait rien en réalité, mais valait mieux faire style professionnel sinon c'était le poleton d'éxécution, finalement d’un haussement d’épaule il cotinua : Grand Seigneur, nous avons dépêcher des V’la près de la grande ville de Gretaroli, apparemment, ils sont trop intelligents pour montrer qu’ils nous ont découvert déclara le soldat suspicieux.

-Ou alors il ne nous on pas décou…

-Chut Dark. Fit froidement Smess, On va fére un siège, le truque bazik mé éffiquace…

Plus loin dans la plaine, un marécage profont et ténébreux (c'est simple t'a l'impression qui fait nuit 24h sur 24 la bas, je te raconte pas la facture de d'électricité !), Une naine tentait encore une sortie discrète, c'était bien la troisème ce mois-ci, mais à chaque fois, ses redoutable ennemis arrivaitent à la coincée, mais cette fois-ci, elle comptait bien sortir:

*allez plus que quelques pas... Et Storm aurat la liberté !*
Mais une voix roccailleuse, rappelant un peu celle d'un vieux prof de physique, traversa le marécage à une vitesse non négligeable 300km/h (celle du son, quoi):

-Aha, alors petite tu tente encore de fuir ta Destinée ? Pathétique !

-Oh la ferme t'es qui pour parler de destiné à Storm ? Fit la naine de secrétement brisée en voyant la liberté lui tirer la langue avec son sourire charmeur.

-J'ai dit "Destiné" pas "destiné", chère petite; nuancea-t-il, enfin, de toute manière aujourd'hui je suis en congé, alors file et que je te revoit plus ! Et rentre avant 23 h Compris ? Reprit-il alors que celle-ci volait vers une liberté qeui se révelerais être en réalité la quête la plus difficle de sa vie.

Sympa, mais fais attention, j'ai l'impression que c'est un peu brouillon en même temps je suis fatigué et je ne suit pas trop. Disons que si quelqu'un m'approuve mon accecdote pourra être prise en compte... pfff... allez dodo ! Argh non... révisions...:pc:

Parc ontre pour ce qui est des mots manquants et autres fautes d'ortaugrpahe, j'ai peut etre trouver un solution, mais bon si ils en reste j'accepterais volontier votre aide, sinon ça va un planter mon texte, pour ce qui est des passage en sms, ce n'est seulement que Smes qui parle ainsi, (enfin aprés une partie de la population aussi, mais j'éssayerais tout de même d'atténué l'effet histoire de pas vous choquer )

Allez courag Em', au fait j'adore ton avatar :p

EDIT: Voila j'ai corriger autant que je pouvais le recit, si vous voyez encore des fautes (pas celle de Smess hein ? Okay ?, vous me le dites.

J'avoue avoir rigolé (honte a moi de rire devant un humour aussi débile mais bon tant pis quoi!!)
Vraiment bien, et sans els fautes c'est encore mieux!!!

T'imagine pas à quel points cela serait mieux, mais bon, c'est la vie, je suis pas capable de faire un post sans fautes...

si tu veux que je te les corrige je peux

Nathalian Deus a écrit:

si tu veux que je te les corrige je peux

Volontier

Je m'en occupe

Comme vous l'attendez tous (enfin presque tous :s)

Partie 2 du chapitre 1
« La légende du seigneur Smess »

Les soldats se réveillaient lentement, on ne peut pas dire qu’ils soient des bêtes de travail (bien au contraire en réalité). Mais la surprise que leur réservait cette journée resterait à jamais gravé dans la mémoire, du moins, ceux qui vivront au-delà de la première demie heure.
Les murailles qui entouraient la ville était très épaisse, héritage d’un passé tortueux, les souvenirs de batailles sur les murailles restaient encore visible, corps en décompositions et autre arme abandonnée (tuant encore, surtout lorsqu’on trébuchait dessus, on chopait le tétanos et mourrait la demie heure qui suivait, car et ça tout le monde le sait, la maladie c’est comme le vin, ça s’améliore avec le temps).
Un soldat (qui n’aura pas de nom, car peu important et bientôt mort aussi) remarqua un étrange attroupement devant la muraille nord. Des maisons en pierres, un tour de 20m de haut et des choses qui pourraient presque passer pour des armes de siège (baliste lance crayon, catapulte chargé à la gomme). Il cligna des yeux, l’air surpris, et la seconde qui suivie, il tomba raide dans la cour, une épée rouillée dans le pied.
L’état d’alerte n’était pas encore lancé, en fait elle fut lancé une demie heure plus tard, un autre soldat (qui lui auras un nom : Jonats, même s'il mourra lui aussi tout aussi vite) qui s’amusait à lancer des pierres par-dessus la muraille, quand il entendit un bruit différent du plouf de la pierre qui tombe dans les douves, ce bruit fut :

-« Aïe ! Mais c’est qui le boulet qui lance des caillasses ! » A quelques jurons près bien sûr.

Les soldats se ruèrent pour voir ce qu’il en était, une troupe étrangement vêtue tentait tant que bien que mal de longer les murs. Vaguement surpris, mais surtout très amusé les soldats suivirent l’évolution de ces visiteurs, sans prêter attention au balistère qui se trouvait à quelques mètres de là, en train de régler son engin mortel, une mine de crayon prête à l’emploi, ils ne virent pas non plus la femme du balistère susnommé venir le tirer l’oreille parce qu’il n’avait pas prit la peine de venir manger avec la famille qui était venue leur rendre visite. La troupe de choc, qui longeait les murs, était en réalité quelques espions qui tentaient de pénétrer dans la forteresse ennemie. Ceux-ci découvrirent une entrée secrète, et la vue des soldats disparurent soudainement, l’entrée secrète étant un trou, les espions eux-même furent surprirent du changement gravitationnel qui les fit basculer, croyant à un quelconques sort de magie noire, et la magie noire étant du domaine des méchants, et étant des méchants, vous comprendrez qu’ils ne furent que légèrement surpris, un simple sourire en coin agrémenté d’une grimace.


¤ Entré secrète de Gulthomyr Sub-level 1 ¤

La troupe d’espion avait enfin repris leur souffle, la chute soudaine avait beau être d’origine magique, ils avaient été à deux doigts du crash, les jambes tremblotaient faiblement, mais au moins elle était encore intacte, ce n’était pas le cas de l’étrange chose qui les avait amortie. Une sorte de gelée géante qui avait éclaboussé les murs lorsqu’ils avaient atterri dessus.
Nono, Jojo, Beber tel était les noms de ces étranges espions, bien décidé à entrer dans l’Histoire et déjà bien encré dans l’histoire. Ces derniers vérifiait qu’ils avaient bien tout leur matériel d’infiltration, des lunettes infrarouges aux chaussures ventouses, puis d’un air nonchalent(qui, dans le noir, aurait pu aussi bien être une grimace qu’un grand sourire, voir même une langue sortie en signe mécontentement, ce qui d’ailleurs était l’expression qu’arborait Jojo), le trio se mit en marche au moment ou le chef du trio prit la parole :

-Bon allez, prêt à entrer dans la ville, et dans l’Histoire ? Fit Beber, qui était le chef de groupe, il leva la main, que bien sûr ne virent pas les deux autres membre du trio.

-Ouais à fond. Répliqua Nono.

-Mouais mouais. Rajouta Jojo aussi motivé qu’une tortue qui doit traverser la moitié du globe.

Ils commencèrent à marche dans les profondeurs de la crypte, celle-ci, habité par quelques zombis de base et autre chauve-souris fut vite nettoyer, éclaire, même la plomberie fut installée, le trio de choc était autrefois plombier et électricien, mais depuis l’instauration du Moyen Age, ils avaient dû quitter leur emploi (Salaud d’Oteur !). Les espions entrèrent très vite dans le Sub-level 2, là encore une tripotée de chauve-souris, mais aussi de nouveau monstre, des espèces d’humain, à la différence que ceux-ci avaient : des cornes, des griffes, et crocs, des ailes, puis aussi quelques membres supplémentaires, bref un monstre d’un genre nouveau, type démons, HP : 272, MP : 21. Le trio eu du mal, mais là encore ils réussirent à passer (complétant leurs pokédex par la même occasion), ils remontèrent se retrouvant dans la deuxième partie du Sub-level 1, et durent répondre à énigme tout à fait sérieuse, mais celle-ci ne leur posa étrangement aucun problème…

-Franchement Dit Nono, souriant jusqu’aux oreilles, nous demander ça, à nous ! Pouah faudrait qu’on le fasse exprès pour répondre faux !

-J’avoue reprit Beber, que nous demander ce que donne six allumettes et trois triangles équilatérales, Ils croient quoi ? Que l’on n’a pas de culture, tout le monde sait que c’est la Tri-Force !

-Ha ha. Rajouta faiblement Jojo

Finalement le mécanisme de l’énigme devait avoir des ratés, mais bon, depuis le temps que ça pourrissait dans les sous sol, il fallait s’y attendre...
Le trio Continua à visiter la crypte de la ville de Gulthomyr. Tournant un peu en rond, car n’ayant pas les bons artefacts pour avancer, ils durent revisiter les endroits déjà vu, gagnant un peu d’exp. Mais surtout des potions de vie et autres armes qu’ils pourraient toujours refilé à un vendeur paumés dans les cryptes depuis de lustres qu’ils finiront bien par trouver.
Mais laissons le trio à son travail, et retournons aux murailles, rappelez vous, les quelques soldats qui avaient observé les espions, avaient été surpris de leur soudaine disparition et là, l’alerte avait enfin été donnée, et le fait qu’une mine de baliste avait transpercer le corps d’un soldat qui éternuait y était pour quelque chose...


¤ Muraille de Gulthomyr Mur Sud ¤

-Ils sont nombreux non ? Dit Jonats, vaguement surpris par les troupes qui s’amassaient au bord des douves, Monsieur comment on va faire pour les retenir ?

-Mon gars, Fit un Capitaine, son capitaine en fait, Tu vois ces étendues d’eau là, il fit pencher le soldat inquiet, le faisant presque passer par dessus les murailles, c’est des Douves, mon gars ! Et note bien la majuscule, elles l’ont bien méritée !

Il est vrai que les douves, heu non les Douves avaient bien méritée leur lettre de noblesses, car si elles puent et dégagent des odeurs pestilentiels (oui, je paraphrase, et alors ?!), elles sont une défense imparable contre les envahisseurs, du moins contre les envahisseurs qui n’ont pas ramené de pont-levis avec eux. Les soldats se mirent en branle (presque quatre heures après l’alerte, notez la vitesse d’action), mais ils remarquèrent quelque chose d’étrange...
De toute évidence, les autres Murs de la citée était... Non assiégé, car les troupes avaient apparemment réunis le gros de ses troupes sur le Mur Sud, en fait TOUTES les troupes étaient présentes.
Un Capitaine (un autre que celui qui avait failli tuer Jonats) pris la peine d’entrer en contact avec l’assiégeur, il se munit donc d’un haut parleur moyenâgeux, fit quelques essais, tuant sur le coup quelques bestiaux (moutons pour être plus précis) par un son suraiguë, et mettant K.O.. les trois soldats qui se tenaient à ses côtés, puis d’une voix forte et puissante il hurla :

-Excusez moi ? Il semblerait qu’il y est un problème !

Les mots parcoururent la distance qui séparait les assiégeurs des assiégés et ces derniers répondirent presque aussitôt, le haut parleur déjà régler pour les sommations d’usage, ceux-ci ayant été apparemment oubliés au passage.

-Oui ? Vous désirez ?

Nous vous épargnerons les salutations et autres formules de politesse, ainsi que la dispute et les lancé de cailloux, pour en revenir au sujet d’inquiétude principale, l’absence de soldats ennemi autour du reste de la citée.

-Ah ? Heu attendez, je vais vérifier ça de suite. Résonnèrent les paroles de l’assiégeur.

Les soldats le virent revenir vers la ville, car c’est ce qui se dressait devant eux, des quartiers venaient tout juste d’être inauguré durant leur petite discussion, le soldat ennemi entra dans une maison, ou plutôt un manoir, et là ils entendirent ceci :

-Excusez moi Messire Smess, quelques hurlements indistincts. Oups désolé messire, attendez. Quelques bruits de réglages du mégaphone ennemi, puis les paroles reprirent, ceux qui auront de bonnes oreilles purent entendre ceci : « Une absence de troupes a été repérées sur les autres Mur de la citée de Gulthomyr. Oui ? Oh d’accord ! Heu ce sont les assiége qui me l’on dit, Fair-play non ? Oui ? Compris messire ? Ma femme ? Elle va bien, je vous remercie encore du dîner d’hier, il était excellent, oui oui bien sûr ce soir c’est nous qui invitons ! J’insiste messire ! Bien à huit heure alors ? Le rendez-vous est pris ! Bon je vais leur annoncer la bonne nouvelle. Lol non messire pas le dîner voyons la raison de l’absence de troupes sur les autres murs. »

Le soldat ressortit mégaphone en main, qui ralluma (mettant hors d état de nuire encore quelques pauvres bestiaux qui de toute manière allaient finir sur le barbecue le soir même. Il revint finalement au niveau des assiégé et annonça tranquillement :

-Bon apparemment le manque de troupe nous empêche de nous déployer correctement, alors pour le moment fait comme si nous n’étions pas là ? D’accord ?

-Oui répondit aussi sec le capitaine, heureux d’apprendre que le siége n’avait pas encore commencé. Il pourrait envoyer encore une lettre à sa femme, et commander une pizza ce soir.

¤ Environ des marais, Lieu de chasse de Storm ¤

Une épée alla se planter dans un tronc, la naine n’était pas vraiment heureuse de la situation, aucun gibier ne daignait venir dans la plaine, une étrange barrière lui empêchait d’aller plus loin, et pour couronner le tout, elle s’était casser un ongle en grimpant à un arbre.

mmm... dur dur de te lire jusqu'au bout, il y a de nombreuses phrase qui ne sont pas relues ! (pour te dire, il y en a même une qui n'est pas terminée)
Relis toi et mieux vaut deux fois qu'une, les fautes de syntaxes sont innombrables ainsi que les non sens.
Sinon, j'ai beaucoup aimé ça: "-J’avoue reprit Beber, que nous demander ce que donne six allumettes et trois triangles équilatérales, Ils croient quoi ? Que l’on n’a pas de culture, tout le monde sait que c’est la Tri-Force !!"
Le cliché est bien réussi et étant un grand amateur de zelda, j'ai apprécié particulièrement ce moment. Bon, le ridicule du dialogue final, par le haut parleur est amusant également, mais fait attention a ces erreurs et ne t'éparpilles pas autant, je n'arrive pas a situer la situation.

Bon, encore (et pour la énième fois), ceci n'est que mon humble avis, j'éspère que d'autre on un avis différent du mien.

J'ai tendance à partitr trés vite tout seul :s, c'est mon gros defaut. De plus j'ai écrit ça quand mon internet à planter, il faut que je le lance sur un autre ste qui corrige les fautes donc je n'avais pas encore fini en fait :s, Donc je vais editer et vous préviendrais dès que j'ai fini.

Par contre Em', tu pourraismedire ou est la phrase non terminée ?

[EDIT] Bon j'ai corriger une grosse parie des fautes, mais je n'ai pas trouver la phrase non finie :/ La partie avec Storm n'est pas finie, je vais la continuer avant de la corriger finie.

Citation :

Ces derniers vérifiait qu’ils avaient bien tout leur matériel d’infiltration, des lunettes infrarouges aux chaussures ventouses, puis d’un air (qui dans le noir aurait pu aussi bien être une grimace qu’un grand sourire, voir même une langue sortet en signe mécontentement, ce qui d’ailleurs était l’expression qu’arborait Jojo).

Je crois que cette phrase n'a aucun sens, tu ouvres une parenthèse mais une fois fermée, tu ne fais plus le lien avec le début de la phrase.

Exact cela prouve encore m'on incroyable don d'embrouilleur, bon j'ai corriger cette erreur, encore merci de me l'avoir signaler ^^", le court passage avec storm n'est pas fini je vous rassure, je vais pas tarder a mettre la suite.

Ouais, c'est sur c'est mieux, mais t'as trouvé le moyen de faire une petite erreur a nouveau !

Citation :

Ces derniers vérifiait qu’ils avaient bien
tout leur matériel d’infiltration, des lunettes infrarouges aux
chaussures ventouses, puis d’un air nonchalent(qui, dans le noir,
aurait pu aussi bien être une grimace qu’un grand sourire, voir même
une langue sortie en signe mécontentement, ce qui d’ailleurs était
l’expression qu’arborait Jojo), le trio se mit en marche au moment ou le chef du trio prit la parole :

Répétition ?

Alors soit c'est fait exprès, car il y a une signification profonde, mais j'en doute fortement vu le cotenu du récit, donc je dirais faute de gout^^

Ba non fait exprés cette fois ^^ (si si !), Donc ce n'est pas une faute (ni de gout ni d'autres chose d'ailleur ><) juste une précision...

voici la suite, cette fois changement de lui, cette partie est consacré a Storm, que quelques uns connaissent déjà :p

¤ Environ des marais, Lieu de chasse de Storm ¤

Une épée alla se planter dans un tronc, la naine n’était pas vraiment heureuse de la situation, aucun gibier ne daignait venir dans la plaine, une étrange barrière lui empêchait d’aller plus loin, et pour couronner le tout, elle s’était casser un ongle en grimpant à un arbre.
Mais un bruit lui fit enfin espérer, une sorte de cavalcade miniature, comme si une troupe de souris courait en fuyant quelque chose, à deux détails près. Ce n’était pas des souris mais des poussins, et n’était pas en fuite... Plutôt en colère.
La chance voulue que Storm dans ses réflexes presque innées, elle réagit au quart de tour, grimpant à l’arbre qui avait deux secondes plutôt subi l’attaque impitoyable de son sabre.
Les poussins encerclèrent l’arbre dans lequel la naine s’était réfugier, et commencèrent a piailler. Le bruit devenait assourdissant, imaginez, un gamin de six ans chialant pour sa glace, multipliez le par cent, et là vous aurez une petite idée de ce que subissait la pauvre naine chasseresse.
Au bout d’une heure (peut être plus, mais en réalité largement moins*), sur le point de craquer, et de se lancer dans cette masse jaune grouillante et bruyante, Storm remarqua un détail, quelqu’un s’approchait, ou plutôt courait vers elle, et la masse de poussins rageux par la même occasion, celui-ci remarqua la naine, portait à bout de bras une épée, non une hache plutôt plus fantasy, qu’il traînait plus qu’il la soulevait, quand il arriva à la hauteur du troupeau, il s’arrêta net. Les poussins, trop occupés à lui casser les oreilles, ne remarquèrent rien, jusqu'à que la hache de l’inconnu tombe en plein milieu de la masse, faisant passer ce gazon jaune, à un lac rouge. Les autres futurs poules eurent la bonne idée de prendre la fuite avant que ce fou ne vienne les cuisiner à la sauce tartare.
Le silence enfin, seul le souffle roque du barbare à la hache venait le perturber, quand il eu enfin retrouvé son souffle, il fit signe à la naine de descendre, lui promettant qu’il était végétarien.
Vaguement impressionner, Storm dédaigna enfin descendre de son perchoir sylvestre. Dans un saut souple, il atterri au sol, empoigna son épée qui était encore plantée dans le tronc.
Le barbare se présenta enfin, son langage un peu étrange, comme trop poussé dans la complexité.

-Bonjour à vous, gente naine, je suis Deyonnu, j’ai pu remarquer que vous sembliez légèrement ennuyé par ces étranges bestiaux, j’ai donc pris ma hache, mon courage ainsi que mes jambes à deux mains et tout mis en œuvre pour sauvegarder votre vie.

Un ange passa, (celui-ci fut d’ailleurs attaquer par les rares poussins qui n’avaiet encore pris la poudre d’escampette), la naine risqua une réponse neutre, pour cacher son étonnement et surtout son incompréhension.

-Storm vous remercie.

Un silence suivi cette déclaration, apparemment les deux langages, si peut différent et pourtant incompréhensible ni pour l’un ni pour l’autre.
Finalement Deyonnu fit un signe de tête.

-Bon on va se contenter de parler normalement, sinon on n’est pas sortit de l’auberge. Okay ?

-Ouaip, Storm est d’accord. Répliqua la naine serviable.

Deyonnu resta un moment silencieux, il venait de se rendre compte que la petite naine ne faisait pas semblant, contrairement à lui**.
Le duo fit plus ample connaissance, Storm chassait, juste pour manger, et surtout pour la fête qui devait avoir lieu dans le marais le soir même, alors que Deyonnu, lui traînait dans la plaine sans raison véritable, armer de sa seul hache. Il proposa à la jeune naine de l’aider dans sa recherche de nourriture en lui indiquant un endroit, un peu plus loin, ou se trouvait un petit lac, entourait par plein de poulets... Heu non, de moutons... heu non, d’antilope, et voila des antilopes, un groupes d’antilopes bien grasses, le genre parfait pour quelqu’un qui chasse depuis des heures sans rien trouver.
Quelques coups de haches et d’épées plus tard, les antilopes gisaient au sol, on leur avaient coupé les pattes, laissant un simple jambon géant, que les deux personnages rassemblèrent les corps, et les emmenèrent au bord du marais. Mais étrangement, au lieu de rembarrer habituellement les étrangers, Deyonnu fut invité à entrer.
Le silence qui régnait dans les profondeurs des marais était seulement perturbé par un bruit de guirlande qu’on installait. Deyonnu et Storm arrivèrent au centre du marais, là l’attendait un crocodile nonchalamment assis sur un siège fait de crâne, tibia et autre fémur.

-Ah te revoilà ! Fit il en montra ses dents blanches***, Tu étais encore sortie sans prévenir.

Puis il vit l’humain qui l’accompagnait, une grimace vint remplacer le sourire, et murmura un : « déjà... Le temps passe vite ». Il soupira longuement, puis il aperçu enfin la viande qui semblait attendre bien sagement qu’on vienne la chercher. D’un simple claquement de doigts deux autres soldats reptiliens vinrent en prendre possession, pour l’amener en cuisine.
Le chef regardait à présent le duo, l’humain restait calme devant la situation, il portait négligemment sa hache sur le cotés signe qu’il restait attentif à la situation, quand il reprit enfin la parole, c’est comme si il parlait à contrecœur.

-Storm, quand nous t’avons trouvé dans les marécage, nous avons tout d’abord cru que tu étais une offrande, jusqu'à que l’on trouve deux lettres qui t’accompagnait, l’une parlait de la raison pour laquelle tu avais été abandonnée, mais nous avons pas pu la lire, elle était morte de fatigue. La deuxième avait survécue et nous a délivré un message : Elle faisait mention d’une ancienne prophétie, une prophétie que notre peuple attend depuis longtemps. Cette lettre nous a dit que tu étais la personne qui rendrait cette prophétie possible.

Un long silence suivit cette déclaration, pas que Storm n’avait pas compris ce que son chef avait expliqué, mais avant qu’elle ne puisse répondre, le chef leva sa main écailleuse, interrompant sans savoir une série de question idiote et surtout sans intérêt.

-Franchement, j’en ai douter pendant de longue lune, mais l’arrivé de cet étranger à détruit avec la même efficacité qu’un électricien qui chercherait le problème d’un ordinateur sans jamais le trouver, tout les doutes que j’avais à ce sujet. Il secoua de la tête comme pour chasser les débris des doutes qu’il avait depuis longtemps dans le crâne. J’espère que l’enseignement que nous t’avons fourni sera nécessaire dans ta quête, mais jusqu'à maintenant tu n’en a fait qu’à ta tête... Storm, te souviens tu des cours d’histoire sur la guerre Smessienne.

Très sérieusement, Storm hocha de la tête, un peu qu’elle s’en souvenait, son mentor lui avait fait entrer ses informations de force dans son crâne, mais l’instant ne se prêtait pas vraiment à des remontrances sur les cours particulier du Lézard-Roi. Elle se rapprocha du trône, et hocha à nouveau de la tête.

-Le seigneur Smess n’est pas mort, en réalité il a acheté les terres de l’Extrême Nord pour pouvoir préparer sa revanche. A présent, il tente a nouveau de prendre le pouvoir, la guerre a débuté à Gulthomyr, les frontière de l’Extrême Nord sont désormais ouvertes, une armée avance impitoyablement vers la citée qui est déjà en siège.

-Mais ce sont de récit vieux de plus de cent ans Sire. Dit une Storm qui secouait la tête surprise par la nouvelle que le Lézard-Roi annonçait.

-Oui, plus exactement 122 ans. Mais le Mal ne meure jamais, il ne fait que prendre des pauses de temps en temps. Dit-il avec sagesse, et les rapports que j’ai reçus ne mentent pas, la maladie de Smess a atteint les frontières du Nord, et les cas se font de plus en plus nombreux.

Le silence accompagna les paroles du Lézard-Roi, ceux qui connaissaient cette maladie, savaient elle était capable, elle réduisait les contaminés à une capacité de communication très limité, à peine supérieur à celle d’un politicien sobre, mais un autre effet moins connu affaiblissait les contaminé, la capacité de réfléchir était annihiler de manière total, la conscience de ces pauvres bougres ne se limitait plus qu’à une simple différence entre une pomme et une patate.
Storm secoua la tête, comme pour éjecter ses idées terrifiantes qui venait la perturbée, bien sur elle n’avait pas assisté à une contamination, mais les récits sur la guerre Smessienne étaient très précis, peut être un peu trop. Le Lézard-Roi tourna enfin sa tête en direction de Deyonnu, l’humain resta cale devant le regard tristement réprobateur, comme pour signifier que Storm, si teigne soit-elle, était apprécier par les habitants des marais, son arrivé n’était pas vraiment accepter comme une prochaine gloire, mais plutôt comme la fin d’une époque heureuse.

-Humain, ancien héros de la guerre de Smess, j’avais eu vent de ta... « rébellion ».

Deyonnu hocha de la tête, sa rébellion s’était limitée à détruire toute sa bibliothèque, comme pour montrer que cette guerre, n’était que folie, la perte de son amour au cours d’un razzia sur son village n’avait fait qu’augmenter son dégoût pour cette tragédie, il avait tout simplement déserté. Quittant le camp la veille de la Grande Bataille, celle qui avait finalement mis fin à la folie du Seigneur Smess.

-Je n’ai fait que ce que je pensais être mieux à l’époque, cette guerre ne me concernait plus, il hocha de la tête comme pour montrer son envie de ne pas avoir à rappeler cette époque qu’il considérait maudite, le Lézard-Roi répondit d’un hochement de tête identique, signe qu’il comprenait lui aussi la raison de silence.

A nouveau, le chef du marais se tourna vers Storm, il l’a regarda fixement, puis claqua des doigts. Deux soldats arrivèrent, chacun portant un sabre court identique, décoré avec de simple gravure ressemblant au feu, les deux soldats s’arrêtèrent devant la naine surprise, et lui tendirent chacun leur épée.

-A présent tu te battra avec ces deux lames, symbole du peuple des marais, elles seront les seules lames que tu utiliseras lors de ton voyage, ne t’en sépare jamais. Dit solennellement le Lézard-Roi. Vous deux, il désigna Deyonnu et Storm, qui à présent donnait à son tour ses deux sabre personnel, vous allez devoir monter dans le Nord. Je veut que vous alliez à la rencontre du Gulthomyr, allez leur prêter main forte, que vos lame soit le support de leur mort.
Puis il se leva pesamment, le poids des années le faisant grogner, la gravité lui ordonnant de rester clouer à son trône d’os. Mais c’était sans connaître le Lézard-Roi, qui au pris de quelques efforts, fut enfin sur pied. Il avança vers le duo prophétique. Mais s’arrêta soudainement, comme si il se souvenait de quelque chose. J’allais oublier quelque chose... Ce soir, nous allons fêter le départ à la retraite de notre bibliothécaire qui va rejoindre lui aussi Gulthomyr, peut être voudriez vous l’accompagner ?

-Avec plaisir Répondit Deyonnu sans laisser le temps à la naine de pouvoir répondre négativement.

la suite de la suite -_-

Quelques heures plus tard, la nuit était une fois de plus tombée****, la fête battait son plein, les lézard et autre animaux du marais dansaient et chantaient de leur vois caverneuse, c’était comme entendre une chorale qui était tombée dans un puits, même résonance, même conséquence.
Storm restait en retrait, parlant avec le Lézard-Roi, celui-ci lui montra les corps des deux lettres, lui expliquant pourquoi elle devait à tout prix se rendre à la citée du Roi humain, il devaient empêcher le Seigneur Smess de passer les frontières qui séparait le Nord du Centre, car le Cheik qui régnait était le descendant de l’allié du Seigneur de l’Extrême Nord.
Alors que Deyonnu, lui aussi en retrait, réfléchissait à cette histoire, il avait espéré ne plus entendre parler de Smess, mais une fois encore le Destin en avait décidé autrement, le voila à nouveau dans une quête insensée pour barrer le chemin du Grand Seigneur, il avait une époque presque été sur le points de se joindre à lui, juste après la nouvelle de la destruction de Bolvin, sa ville natale, la nouvelle l’avait plongé dans le désespoir, son seul amour au mains de ce fou. Heureusement ses compagnon de bataille l’on soutenu, lui conseillant de se lancer dans la bataille sans réfléchir. Si il mourrait, il pourrait peut être la rejoindre...
Mais lui en avait décidé autrement, la vieille de la dite bataille, il pris la fuite, alors que tout ces soldats dormait plus ou moins paisiblement, lui avait quitter la seule chance de victoire sur le Smess, la bataille avait été une victoire, mais pour qui ? De nombreuses personnes avaient péri, ou pire, succombé à cette maladie horrible, privant de la mort aussi bien que la délivrance.
Sa réflexion fut brisée avec le même bruit qu’une brique malencontreusement échappé du toit, et qui n’aurait trouvé que le crâne déjà sérieusement ramollis d’une grand-mère, Storm se trouvait en face d’elle, légèrement inquiète, Deyonnu lui sourit tranquillement.

-Alors tu vas quitter le marais de ton enfance ? Fit il pour meubler la conversation.

La naine hocha de la tête mais ne répondit pas sur le coup, elle semblait elle-même plonger dans des réflexions intenses. Si on pouvait penser qu’une naine du style de Storm, parlant à la troisième personne. Mais celle-ci finit par cligné des yeux comme si elle se réveillait, elle se tournant un petit sourire sur le lèvres, elle hocha à nouveau de la tête

-Oui, Storm part en quête, Storm part découvrir le monde...

Le duo restât une fois de plus silencieux, essayant probablement de comprendre chacun à leur manière ce que voyager entraînait, ils devront probablement faire attention à ceux qu’ils rencontreront, éviter les alliés de Smess, éviter brigand et autres ennemis revenu d’entre les morts, comme des type encapuchonner à la voix suraiguë, monter sur des chevaux mort vivants, bref les ennemis classiques.
Le silence menaça de s’éterniser quand un son de corne se fit entendre signe que le discours de fin de soirée allait être prononcé. Celui-ci, comme on aurait pu s’en douter, fut long et ennuyeux, la moitié de l’assistance s’endormi, l’autre avait prévu de la caféine pour tenir, mais si ils semblaient pour la plupart sous excitant.
La nuit qui suivit fut douce, entrecoupé de vomissement qui rappelait un l’après beuverie humaine qu’on pouvait observer dans certaines soirées chics. Storm trouva difficilement, mais la fatigue finit par la rattraper.
Le soleil perça difficilement le toit sylvestre, faisant brûler quelques feuilles, le lumière tomba sur Storm, tel un ange désirant son réveil, mais ce dernier n’avait pas prévu que Storm était d’un réveil mauvais, elle gifla l’air, envoyant valser un pauvre papillon qui fut attiré par la lumière. Elle se releva doucement tenant sa tête entre ses deux mains, elle avait l’impression d’avoir un gobelin miniature armer d’un marteau qui s’amusait à lui frapper dessus en la prenant pour un support de forgerie.
Elle regarda autour d’elle, étrangement les corps étalé par terre, dont certain semblait avoir été frapper de plein fouet par un jet de vomi, on pouvait d’ailleurs voir des trace de glissades et autres, la naine fut surtout surpris par les flaques de vomi qui glissaient encore sur les arbres alentour. Elle remarqua finalement l’humain, Deyonnu regardait fixement les autres habitants du marais, tenant, remarqua Storm, une épée dont la lame fine semblait transparente, comme tout « héros » qui se respect, l’arme de Deyonnu était non seulement unique, mais aussi étrange.
Storm toussota un peu, comme pour signaler son réveil et Deyonnu se retourna surpris mais aussi inquiet, il dit tranquillement :

-Je crois que nous devrions y aller, le bibliothécaire est déjà dehors, nous devrions le rejoindre...

La naine hocha de la tête, et se releva, manquant de perdre son équilibre, mais l’humain fut vif et la rattrapa au dernier moment, il l’aider à se remettre debout, attendant patiemment qu’elle est récupérer son équilibre. Puis lui fit signe de la suivre, tout deux sortirent silencieusement du marais, trébuchant parfois sur un corps ensommeillé, faisant grogner ce dernier.
Quand il atteignirent l’orée du marais, le bibliothécaire les regarda, les jaugea plutôt comme pour voir de quoi était capable ces deux zigotos, il montra son énorme masse, comme pour montrer qu’il saurait se défendre. Deyonnu, qui tenait toujours son épée, salua la bibliothécaire et sortit une petit instrument circulaire, qu’il brandit devant lui, l’examinant, et finit par déclarer :

-Nous allons vers le nord, c’est donc dans cette direction dit-il en indiquant la direction de la petite flèche bleue indiquait.

Le trio partis donc vers ce qui considérait comme le Nord, en direction de Gulthomyr...



* On a toujours l’impression qu’une chose que l’on apprécie pas semble durer trop longtemps, un comme allez à l’église, ou regarder les émissions de la télé, on espère qu’elle dure le moins longtemps possible.

** Deyonnu est de ceux qui croient que si on parait étrange on vous foutra la paix.

*** Si les habitants reptiliens du marais ne connaissaient pas le dentifrice, ils connaissent néanmoins un moyen plus efficace de se laver les dents... Un moyen qui nous ferais sûrement vomir, nous autre à l’estomac si fragile.

**** Cette fois-ci le berger pris le temps de rentrer ces moutons prétextant une invitation à dîner, le pauvre homme dû préparé un repas pour plus de 150 bêtes, autant dire qu’il avait quelques mots à dire à une certaine personne.

¤ Campement (ou citée temporaire) du Seigneur Smess ¤

Le dîner était excellent, loin de la bouffe des camps habituel, encore plus de la nourriture de l’Extrême Nord, pas que les glaces goût poissons soit mauvaises, c’est juste qu’à la longue, on s’en lasse. Smess regardait le repas qui s’étaler sur la longue table de l’officier qui l’avait inviter à manger, ce dernier aussi semblait ravi du repas qu’ils allaient déguster, il ne cachait pas son désir presque impérieux de dévorer sur le champs son entrée, mais ce n’était sans compter sur sa femme, qui était aussi vif avec une poêle qu’avec un lance-pierre, arme qu’elle utilisait sur le champs de bataille.

-C’est un bien fabuleux repas que vous nous avez préparer Dit Nora, la jeune général regardait elle aussi le somptueux dîner. Elle captura sa fourchette, dans l’idée simple, mais redoutable efficace de clouer la salade qui gesticulait encore dans son assiette.

La femme de l’officier rentra à son tour dans la grande salle à manger, un lourd plateau dans les mains, celui-ci laissait s’échapper un filet d’odeur, une soupe délicieuse fait avec les champignons des environs.
Elle les posa avec autant de douceur que si cela avait été le plus gros diamant du monde, et pris place à cotés de son mari. Gauvain, tel était son nom, cela faisait bien longtemps que l’officier second classe Gauvain connaissait le Seigneur Smess, leur rencontre méritait d’être gravé dans l’histoire, alors qu’il n’était qu’un petit révolutionnaire qui tentait de rendre l’héroïne légal dans les terres de l’Extrême Nord, le Seigneur Smess, lui avait une idée bien plus grandiose.
Conquérir le monde, certes assez classique comme but, mais grandiose tout de même, et le Seigneur Smess avait une équipe drôlement bien organiser.

-Mon Seigneur, Je vous souhaite bon appétit dit joyeusement Gauvain, J’espère que ce repas vous plairas, ma femme, bénie soit-elle, à mis tout son talent dans ces plats.

Sa femme en question rougit jusqu'à ressembler à une tomate, puis fit un geste de main gênée, invitant les invité à se servir, les hôtes était aimable, mais étrangement Smess restait muet*, pas que sa façon de parler était agaçante, mais son visage reflétait des soucis et Gauvain fut le premier à en demander l’origine, mais à la grande surprise de ce dernier, c’est Nora qui répondit :

-Nous avons eu vent d’une histoire intéressante, il semblerait que le Cheik du Centre souhaite nous rencontrer.

-Vous voulez dire que le seigneur du Centre souhaite parlementer ? Fit Gauvain après avoir mastiquer sa salade jusqu'à la transformer en bouillie, il était bien l’un de vos allié non ? Du moins son grand père.

Gauvain réfléchit silencieusement tout en mangeant, ce qui est une chose rare parmi les hommes de Smess**, puis avant qu’il puisse reprendre la parole, le seigneur Smess daigna ouvrir sa bouche pour une autre raison que d’enfourner la nourriture :

-7é l’k ya can an, maintenan j’préfér en êtr sûr.***

-C’est pour cela, que moi, Nora, générale de l’armée du Seigneur Smess, ainsi que le commandant Small allons partir pour le Centre, rencontrer cet homme, et connaître ses desseins.

Le seigneur Smess acquiesça, puis enfourna la dernière bouchée de salade verte qu’il restait, le reste avait inexplicablement viré au marron sombre. La femme de Gauvain partit se leva, récupéra les assiettes à présent vide, et alla en chercher des nouvelles, histoire de ne pas avoir ah manger de la viande avec de la vinaigrette.
Quand enfin, la salve de la dame fut terminée, des assiettes propres, prêtes à subir l’assaut de la graisse de viande, ainsi que les inévitables attaques vicieuses des légumes. Le repas reprit donc son cour, échangeant des nouvelles tel que l’installation des lumières de la citée de siége, ainsi que les préparatif du voyage, Smess confia en bon seigneur, les tâches les plus ingrates à Gauvain, qui les accepter de bon cœur.
Le reste du repas se déroula sans autres problème, les hôtes raccompagnèrent leurs invités, un ordre de Smess pour Nora, devait faire lever celle-ci au aurore. Le couple pu enfin aller vomir son dîner avant de se recoucher.

Lorsque la nuit céda la place au soleil, une petite troupe de cavalier à moitié endormi, finissait les préparation, posa sur les selles –et parfois à coté sans vraiment s’en rendre compte- les vivres et autre matériel de survie. Le commandant Small et le général Nora était quand à eux parfaitement réveiller, le fait que leur maison soit tout prés de la zone d’essai des canons y était pour quelque chose.
Le Seigneur Smess finit par arriver, la petite troupe de soldat, composé de cinq épéistes et de deux lanciers, ainsi que leurs deux chefs.

- Mecieur -è madam-, votr micion è 2 Dkouvrir les 1tention d Cheik 2 l’empir du sentr, l fèt qu’y souhét entré en kontact ac nou pt etr 1 bn commé 1 m0vaiz nouvel. Un foi qu la renkontr 0ras u lieu, g veu q vou m’envoi 1 message, pour m dir si 1 kelkonqu relation px sfèr. Ens8t… j’avizrais finit-il sombrement.

La petite troupe hocha de la tête, pour une fois la mission était claire, du moins quand Nora l’avait expliquée, dix minutes plus tôt. Après un salut des hérauts, Smess repartit, probablement pour se coucher, et les cavaliers partirent silencieusement en direction du Sud.


*Probablement une astuce d’Oteur pour éviter l’utilisation intensif du langage Sms

**La plupart s’étouffent car il oublie de mâcher

*** On notera que j’ai du faire l’usage d’un traducteur pour cette phrase… (NdO)