Au labo d'expérience

Ridick sortit de ne nul part apparut sur le coter d'Edward tenent en jou avec ses deux blaster les deux autre monstruausité.

Je te conseil de lacher le generale petit,sinon les deux créature von devenir deux petits tas de cendre.

Glick arriva aussi, il était encore aux prises avec deux gardes jupiterriens qu'il décapita avec son fouet, le bout de celui-ci fusa et enroula les deux blaster de Riddick, Glick souria :

Glick : - " Et toi tu tires, je te lance une décharges qui te fera griller le peu de cervelle que tu as !!!"

Le problème...il riat...c'est que je ne le conais pas nonplus....tous se que je veus de lui c'est des renseignements sur les jupiteriens...
Alors si tu le touche...il se remit a rire...non seulement tes deux chiens-chiens vont mourire mais tu va apprendre la signification du mot souffrance.

Il tirat sur une des créature,elle n'etait pas mort amis etait dans l'incapacité de bouger,il avair tiré dans les menbres inferieurs.
D'un geste rapide il pointat le blaster avec le quel il venait de tiré sur Harl.

Kuff kuff...Tu parle trop l'amis range ton épée et ton amis devrais avoir la vie sauve.

Glick vit l'humain tirait sur son compagnons, il lui envoya une décharge assez forte pour lui faire mettre genoux à terre en hurlant de douleur !!! Glick arrêta la décharge et dit à voix haute aux autres personnes présentes :

Glick : - " Mais purée c'est quoi ce bordel, nous sommes ici pour vous aider et vous nous tirez dessus !!! C'est grâce à nous que vous avez pu vous échappez stuides humains !!! Nous nous sommes rebellez à cause des expériences qu'ils faisaient sur vous et les autres et c'est comme ça que vous nous traitez !!!"

Franck tenait toujours la pointe du couteau sur le torse de Harl. Les deux êtres forcé tous les deux, l’un pour tuer, l autre pour sauver ça vie.

Franck : C’est pas général, c’est colonel bande d’idiot. Mais vous étiez bien la quand vous été venu sur terre pour nous tendre un piège. Et maintenant vous voulez qu’on vous fasse confiance ? Mon cul…

Il se mi a mordre la main de harl, celui-ci lâcha le couteau et Franck mi son couteau sous sa gorge. Puis il sorti son 45 et le pointa vers un autre jupitérien.
Les humains tenaient toujours en joues les jupitérien et attendaient l’ordre du colonel pour tirer.

Glick : - " Les autres gardes présents ici ne sont pas avec nous, les autres rebelles se sont réfugiés à l'armurerie, il n'y a que moi et harl, sous votre couteau présent, qui sommes de votre côté !!!"

Harl souria pour montrer que l'on parlait de lui ...

Ridick avait lacher ses deux blaster en quelques secondes aviat dejaanalyser al situation.

D'un geste rapide il mit un coup de coud dans l'estomac de Ed lui fasent ainsi lacher son arme,pui lança son couteau en direction de Glik qui l'évita.

Ridick tenait a présent Ed de fasson a la dénuqué,il sentait sur sa peua la froideur de ses bras de metal est avait pu quelques instants auparavent eu un avant guout de leurs puissances destrucrtice.

Tss,tss Trop previsible toi et ton pote lachez legenerale ou je décapsule le gueulard

Harl réfléchit à toute allure. Il était menacé d'un couteau, et Edward qui avait essayé de lui sauvé la vie était menacé d'un broyeur de nuques. A ce moment précis, un nuage brumeux envahi la pièce. Une seconde d'innatention du terrien suffit à Harl pour lui donner un coup de coude sur la nuque. Il tomba, évanoui, ou mort... Personne ne le savait. Mais ce fut l'instant que choisi Ed pour se sortir de là. Il frappa à son tour l'autre menaceur. Maintenant, c'étaient eux qui controlaient la situation...

hrp:/ lit la fiche perso de tt le monde Ridick vois dans (a peu pres) n'importe quoi sauf la lumiere...et le nabot et tenu par deux bras metaliques...
De plus je te prirais de pas interagir avec els persos des autres merci d'avance...

Cordialement

Etho

Harl remarqua les hommes qui les tenaient en joue. Il dit :

- Nous tenons votre général et d'autres soldats à vous. Rendez-vous! Vous n'avez aucune chance!

Il mit le collonel devant lui pour se protéger des balles et dit :

- Allez, ne faîtes pas les imbéciles...

Glick en avait assez de ces barbares :

Glick : - " Harl, s'il te plaît lache cette humain !!!"

Puis il s'adressa au colonel :

Glick : - " Excusez moi mais je souhaite m'entretenir avec vous !!! Acceptez-vous ???"

Franck regarda le jupitérien en se frottant la nuque. Puis il ramassa ses armes.

Franck : Ouai.

Puis il regarda ses hommes et leur dit.

Franck : Gardé vos position, vous savez ce qu il y a à faire si sa tourne mal.

Les soldats : A vos ordres.

Glick se retourna et alla un peu plus loin, l'humain le suivant, il restait vigilent mais il voulait avant tout faire une alliance avec les humains, il se tourna vers le colonel et dit, allant droit au but :

Glick : - " Je souhaiterz que nous passions un petit contrat d'amitié, en attendant de pouvoir sortir d'ici, êtes vous d'accord ???"

Franck rigola.

Franck : Un contra d’amitié, laisse moi rire, après tous ce que vous nous avez fait subir ??

Il regarda ses hommes puis se tourna vers le jupitérien.

Franck : La moindre chose suspecte, je vous descends, toi et tes copains.

A ses mots Riddick affichait un grand sourir...presque non mesquin.

Glick : - " Cela signifie que l'on peut se faire confiance ??? Pour ma part je n'ai rien contre vous, c'est nous qui avons fomenté la rebellion qui vous a permis de vous échapper, nous faisons partie des bons dans ce merdier, croyez-nous !!!"

Il tendit sa main vers le colonel/général et attendit de voir ce qui se passerait !!! Si il la serrerait ou pas ...

Bien plus loin, Réyan , parès avoir entendu a travers son oreillete ses gardes sef aire massacrer, était en train d'"encourager" ses gardes, c'est à dire en cassant la tête a quelques malchanceux qui avaient eût la mauvaise idée de la déranger.
"Nous savons où il sont... Apparement les tensions entre eux sont très élevées. Ils ne savent pas que nous les entendons, pour le moment.
Qu'es ce que vous attendez! Encerclez les!"
Elle poussa un cri qui était tou sauf humain, ou même jupiterien. Un cri que seule elle savait pousser. Les gardes partirent en vitesse. Cette fois çi, ils ne feraient pas dans la dentelle.
.....
Au même instant, Glick et le collonel s'appretaient a se serrer la main....