Lettre à Belzébuth et autres jets

Petit poéme, finallement la vie c'est pas si mal =)
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Avec mon prince, toi
Belzébuth mon roi,
J'ai signé ce pacte
M'offrant une place intacte
dans l'armée de la Sylphe rouge
de l'Enfer.

Cette douce cigarette
Que je brûle que je fume
et qui me consume
Me rapproche de ma quête
De ta Sylphe rouge
de l'Enfer

Enfin j'y suis
Enfin j'y vie
Ceci est donc ton Paradis
Ma joie est cachée par ici
Dans ma Sylphe rouge
de l'Enfer

Cet endroit me détruit
Ici j'attends et m'ennuis
Ce n'est pas comme ça que je voyais
L'endroit magnifique qu'est ton Palais
En cette Sylphe rouge
De l'Enfer

Ô Dieu tout puissant
J'ai pêché de mon vivant
Quel est le prix de mon Salut?
Ou bien me renverra-tu
Dans la grande Forêt verte
De la Vie

Que dire ....
C'est magnifique ...
J'adore ....

Artho je tire ma révérence devant tant de talent ....

><

Ya cette vieille rime toute moisi en plein milieu (de la fin), si vous avez un petit vers de remplacement je suis prenneur.

(Uriel même si je te crois qu'a demi mot j'apprécie le compliment)

Pour remplacer le "Belzébuth palais " ?

Hum ...

Pourquoi pas, "Le palais des âmes perdues que j'aimais " ?

Enfin, je n'ai pas de talent en poésie :s.

tournoyait, rougeoyait, caquetait ^^ pas mal le poème

Euh, un peu plus fleur bleu.
Mais aprés tout la vie n'est pas imparfaite
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Peut-être qu’aimer c’est simplement apprécier
Les courbes d’un visage enjoué
Aux yeux pétillant
Au sourire éclatant

Peut-être qu’aimer c’est simplement camoufler
Nos jolies tares à l’être admirer

Peut-être qu’aimer c’est simplement affronter
Les petits moments de difficultés
Les dimanches de froid
Que je passe loin de toi

Peut-être qu’aimer c’est simplement étonner
Aider d’un bouquet de lys parfumé

Peut-être qu’aimer c’est simplement désirer
Un bonheur communément partagé
D’une maison prés de l’eau
D’un bambin et son berceau

Peut-être qu’aimer
Se résume
A doucement souffler
Je t’aime.
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À vous pour les critiques

Ils sont heureux
Ils ont vingt ans
Ils sont à deux
plus un enfant.

Il est saoulé
Elle fatiguée
De cette soirée
Bien arrossée.

Le suite logique
Une fin tragique
Un orphelin
dans son couffin.



Peut-être un peu dur. Tant pis c'est pas faute si ils n'ont pas su maîtriser leurs vies.

Ô nymphe de la commotion et de la joie
Nos beaux oiseaux de tous métaux l'on aperçus
Ce lac caché permettra aux villageois
D'oublier par moment cette guerre qui tue

Les maux de cette terre asséché et aride
N'est malheureusement autre, nous le savons
Dû aux lobbies des politiciens cupides.
De cette guerre il n'y a d'autres abjections.

Pour me battre je n'ai qu'un noir clavier
En aucun cas du courage ni argument
Je m'en remets à la vie et l'humanité
Pour transformer cette guerre en monument.

Woodstock

Quand est-il de la belle et glorieuse époque ?
Où "Espoir" avait encore une grande valeur
Où l'on dansait, où l'on chantait à Woodstock.

Vous qui aviez joint, Demi-Dieu et inconnus
Chère Madame dix-neuf cent soixante neuf
Et fait vibrer le demi-million de cœurs venus

En trois jours nous avions comme artistes
The Who, Baez, et Richie Havens en ouverture
Santana, Guthrie et au final Hendrix.

Arrêtant la pluie en criant "No Rain"
Et Chantant "F.U.C.K" contre la guerre
Ces jeunes avaient la musique comme Reine.

Apogée de l'amour, du rock, du Respect
Cette énorme fête, gratuite de surcroît,
J'aurais aimé clamer: " Moi aussi j'y étais"


_________dois-je rajouté la fin suivante ? :________________________________________________


Moi aujourd'hui j'ai vingt ans et je pleure
Devant les innombrables sponsors des festivals rocks
Devant la médiocrité des télé-crochets
Devant la haine engendrée par certaines chansons
Devant le capitalisme faisant d'un art un marché
Devant tout simplement la prise en otage de la musique.