Sylvia et Herman (L'indépandance).

Okami san déambulait dans les couloirs, son tour de garde fini il se dirigeai vers les cantines. Le couloir était désert...

L'alarme retenti suivi d'explosion et de consignes vomi de tous les haut parleurs du vaisseau. Aoshi devait regagner à tous prix ses compagnons et ses supèrieurs. Un homme de moins dans l'équipe et certaines formation devenait impossible...

Il avait couru dans les couloirs, évité des FA, combattu d'autres FA sauvé quelques civil passant par là. Sa main droite l'élancé une stupide blessure en coupant un cable des FA la décharge ressentit l'engourdissait tous le bras.

Il se trouva face à un immense FA, sa main vola jusqu'a la gorge du monstre, la puissance de l'atemi fit reculer le FA qui n'avança plus une fois que le katana lui ait déchiré les tissu fibreux de l'abdomen. Continuant son périples il tomba dans un couloir plus larges que les autres. Devant lui un groupe d'humain se tenait acroupi devant se qui semblait être un cadavre. Une jeune femme d'une grande beauté semblait commander les hommes. Il se dirigea vers elle le regard fière mais son entrée fut gachée lorsque il realisa que sa petite taille lui fesaient arriver au niveau de l'oppulente poitrine de la capitaine.

Capitaine sama ! Aoshi Okami, guerrier du soleil levant. Je cherche mes frères savez vous ou je pourai les trouver ? Son regard d'adolescent se fixai dans un point invisible du plafond. Le plaisir de la chair ne lui déplaisaient pas mais l'empechait de se concentrer en situation de crise.

Civil, je ne sais pas où sont vos compagnons. Ils ont sans doute quitté ce monde depuis longtemps.
Elle semba réfléchir un petit moment alors que ledit civil, interloqué, pasait dans sa tête le film de ses compagnons déchiquetés par les griffes d'un énorme FA monstrueux. Sylvia reprit la parole :
Monsieur le civil, oubliez vos défunts. Vous devez nous accompagner jusqu'aux vaisseaux de chasse par lesquels nous pourrons fuir.
Le samouraï la regarda, furieux :
Vous voulez que j'abandonne mes compagnons comme cela, sans les venger. Sachez, madame...
-Mademoiselle.
-... Sachez, mademoiselle, que en tant que samouraï, mon honneur est de venger les miens qui sont morts. C'est mourir avec honneur en combattant ces monstres ou fuir avec vous et subir le déshonneur suprême.
Sylvia acquiesca.
Bon... Je me doutais que ça allait être un truc dans ce genre là... Vous n'avez pas le choix. Je suis capitaine et vous devez accpeter mes ordres quels qu'ils soient, quitte à ce que votre fiérté en patisse.
Okami la regarda d'un air sombre.
Qu'il en soit ainsi, mais j'aurais beaucoup de mal à vous pardonner cette acte de lâcheté...

Il en sera donc ainsi madame ! dit il en accentuant sur le madame. Mais je crains que mes frères ne soit mécontent...Le gouvernement sera prévenu ! Nous sommes de fier guerrier tous dévoué à la terre et à sa défense...Un jour les occidentaux regretteront de ne pouvoir nous comprendre ! Sachez aussi une chose ! Je ne suis pas un civil mais un garde impèriale ! veuillez me traitez comme telle !

Le groupe se leva et se mit en marche vers le hangar où il espèraient trouver un vaisseau. Marcus les suivait bènissant les dieux d'avoir trouvé une escorte armées.

Marcus soupira doucement, et murmura :

Génial, un clown de plus dans la bande des drôles !

Vous avez dit quelque chose, civil ? demanda Sylvia d'un air suspicieux.

Non, non... Rien d'important...

Il retomba dans son morne silence, et le groupe continua à avancer.

San ? Vous avez quelque chose à redire ? Ses yeux rouges braqué sur le clandestin celui ci se sentit juger de l'intèrieur...n...non...non non...Tous va bien...

-Capitaine sama c'est quand vous voulez...
-Silence voulez vous ! La capitaine commencait à être énervé par la suffisance d'un homme qui pourrait être son petit frère mais qui ne semblait manifester aucun des symptomes baveux qu'on tendance à manifester les hommes en sa préscence. l'allumer lui paraissait être digne de crime pédophile mais il fallait bien le mater...pour une elle allait peut être faire preuve d'autorité...
Elle en était à se stade de réflexion quand une dizaine de FA surgirent d'un couloir parrallèle. Leurs tirs fauchèrent quelques soldats. Marcus gémit en se jetant au sol...La capitaine riposte froidement réussisant à en abbattre un, Hernan qui matait ostensiblement le postèrieur de sa supérieur vit une balle lui frolait la cuisse et la tête, son pistolet entra en action. Aoshi chargea évitant les balles avec une dextérité hors du commun...Les balles qui le touchaient ne semblait nullement le génée et les FA reculèrent devant se groupe apparament aussi puissant qu'eux...

[HRP] Nous passons dans l'absurde... depuis quand un samouraï va t-il avec son épée en fer traverser une armure énergétique ? Mdr..... Mais bon, s'est marrant alors je suit ^^ [/HRP]

Le trait de plasma (et non la balle !) avait laissé une brulûre sur ma tempe. Je me relevais chancelant, les FA étant achevés par le samouraï kamikase. Une fois debout, je déclarais :

- Bon, si on pressait le pas ? On ne sera jamais arriver a se rythme la.

L'envie de remettre les pieds dans un chasseur me montait a la tête. D'autant plus que ce capitaine me mettait réellement mal a l'aise, je l'aurais bien vu dans la soute... Je repris, sortant de mes pensées :

- Je vous propose de passer devant pour accélerer.

Voyant l'expression d'horreur sur le visage de la capitaine qui m'insuportait au plus haut point, je rajoutait :

- Nous sommes en situation de crise, je dois déjà passé en cour martiale, alors que ce soit pour quelque chose... insubordination ?

Je souris en voyant qu'elle hocquetait de rage. J'élevais la voix pour que tout le monde m'entende :

- Bon, je passe devant, je compte aller vite, alors que tout le monde tienne le rythme. On va prendre un raccourcis par la, je connais assez bien le pont des chasseurs, donc on devrait passer par la zone E, les dortoirs, pour contourner les aires de lancement principales et passer dans l'air de lancement de secour, l'air AB-905, ou cinq chasseurs nous attendent logiquemment. On y va.

Je partis d'un pas vif, entrainant avec moi toute la troupe, laissant le capitaine planté la. Okami lui passa devant en lui adressant un sourire moqueur, bien que mes intentions soit les même qu'elle en plus rapide, le clandestin passa la tête baissé, marmonnat quelques chose de bien senti sur les capitaines et leur place dans un vaisseau spatial. Les autres gardèrent le silence.

Sylvia se contenta de suivre en ne disant rien mais en n'en pensant pas moins... Comment un inférieur pouvait la défier ainsi ? Enfin... Tout ceci l'excitait au plus au point.
J'espère au moins que vous nous conduisez au bon... Ah !
Sa remarque fut interrompue par un énorme FA qui lui tombait dessus par derrière. Dans un geste de désespoir, elle entreprit de l'étrangler de ses propres mains alors que les militaires se plaçaient du mieux possible pour voir les attributs que les lambeaux de vêtmements déchirés laissaient à l'air... Quand il pensèrent à tirer, tout était fini. La capitaine avait gagné et le sang bleu de l'alien recouvrait son corps nu tel un voile translucide et surréaliste.

[HRP] Ben voyons... lol, sa va finir dans la soute tout sa ! [/HRP]

J'étais... non. PLutôt... non plus. Je ne savais pas quoi dire. J'avais la bouche légèremment entrouverte, un filet de bave commençant a couler entre mes lèvres. Les autres avaient tout vu bien entendu. Bien que je ne sois pas le plus gradé, j'ordonnais aux autres d'avancer. L'idée me pris alors de comettre un crime. Temps de guerre pour temps de déséspoir, autant que j'ai un peu de bonheur... Non. Sa ne vas pas ou quoi ? Je ne tuerais pas de sang froid une personne qui n'en veut pas a ma vie. Mais... juste la violer... NON !!! Il n'en ai pas question, je deviens fou ! Je me repris, la regardant avec mépris alors qu'elle tentait inutilement de cacher son corp. Puis... contrairement a ma propre volontée, je sourit. Je me suis alors approché lentement... et l'ai embrasser tendremment. Après quoi je lui ai passer ma veste et suis partis a la suite de la troupe. Elle nous rejoins peu après, pas vraiment rassurée seule. Elle ne dit pas un mot jusqu'au soir. Oui, car le soir arrivait et nous n'avions aucune chance de dormir ici ou même de faire quoi que ce soit de plus avec les blessés que l'on devait porter. Il nous fallait trouver quelque chose d'habitable, contenant des lits, des soins et de la nourriture. Un quartier d'habitation tout bêtemment, nous les traversions justement. J'ouvrais la porte blindée avec mon pass de pilote, puis nous entrâment dans un quartier d'habitation classique, en ordre car en finalisation de construction, même les frigos des habitations étaient pleins. Les trousses a pharmacie étaient placées.... dans la pharmacie... et le nombre de chambre était de 12, de quoi loger totu le monde a raison de deux personnes par chambre. J'agis légèrement en dictateut, mais je formais les groupes, prenant sur un air de commandant dont tout ordre est indiscutable... Ce qui n'étais bien sur pas le cas, mais les gens aquiéscèrent, la chambre dans laquelle ils dormiraient leur important peu.
Bien entendu, je demandais a "l'ex-capitaine", avec une veste de pilote, de m'accompagner. Je trouvais mon comportement étrangement changé de cette aventure dans le vaisseau...

(un sabre en fer vs bouclier énergitique...bah on à qu'à dire que le sabre possède des cristaux éléctrique ou une connerie dans le genre puis moi au moins je me tape pas mes supérieurs.../hrp

Aoshi partageait sa cabine avec un homme qui ne ressemblait pas à un guerrier...

-Je suis Aoshi Okami, guerrier du soleil levant...Vous n'êtes pas un soldat ?
-Heu...Non...Je suis là...En...Visite...Je suis là en visite !
-ha...

Aoshi se coucha il devait dormir pour reprendre quelques forces....Des bruits d'explosion secouait le vaisseau...Il entendait Marcus se retourner dans son lit génée par les explosions et détonations ou les trainés des blaster...

Les deux gardes postés a la porte du dortoir en avaient relayer deux autres pour maintenir une sécuritée partielle toute la nuit. Ils n'avaient rien vu du tout. Apparrement, cette section du vaisseau était délaissée, s'était de la chance d'un d'un certain point de vue. Les choses que le capitaine et moi avions fait dans la chambre ne concernaient que nous. Je l'avais juste embrasser en public hier après tout, ce n'était pas dramatique...
Lorsque tout le monde eut déjeuner copieusement en pensant a ce qui allait arriver, que les blessés pas trop grave se remettent sur leurs jambes et que les blessés grave étaient posés sur des atèles, nous sommes repartis. Le couloir était plongé dans l'obscurité, les néons du plafond trainaient sur le sol, éméttant un éclair de temps a autre. Les FA étaient passer par la a en croire les quelques pas aux allures bizares qui partaient par l'endroit d'ou nous arrivions.

- S'est lugubre... déclara un soldat appeuré.

J'étais tout a fait d'accord avc lui. Nous avons avancer une peu, un soldat gisait, mort sur le sol, un sac de toile au dessus de lui.

- Qu'est ce que s'est que ça s'écria un autre soldat, On dirait un piège... Un piège a gibier...

Un piège à gibier... Manquait plus que ça, soupira Marcus

Les soldats avancèrent, observant avec plus d'attention le piège. Marcus, dans un éclair de lucidité effrayée, préféra rester en arrière, pour "surveiller si personne ne vient"

Et donc, on fait quoi ? demanda le clandestin en se rapprochant. ( Il trouvait ce couloir beaucoup trop sombre pour rester en arrière tout seul. )

-Commencez donc par vous taire, dit le capitaine d'un ton exedé.
-Je disais ça comme ça...
-Taisez-vous ! cria-t-elle d'un ton sans réplique.
-Ca va, ça va, je me tais, marmonna Marcus d'une voix dépitée.

J'étais dépité. Les FA nous considéraient comme du gibier, ni plus, ni moins. Peut être même nous mangeaient-il après nous avoir tuer. Je chassais ces pensées absurdes de ma tête et continuait a avancer, contournant doucement le piège. Nous marchâmes environ quinze minutes lorsque nous arrivâmes a une intersection avc un panneau d'information. Bon... plus que deux cent mètres et nous seront arrivés au hangar. J'entendis un soupir de soulagement. Moi aussi j'étais content d'en finir...
Sa y est, nous étions arrivés dans le hangar, il était assez haut de plafond, nous laissant la place d'arriver du premier étage, il y avait une large baie d'amarrage a laquelle était ammarrée quatre vaisseaux, dont trois chasseurs. Ilmanque un vaisseau de transport... a t-il réussi a rejoindre la Terre ? Je m'avançais doucement jusqu'au bord de la passerelle, regardais en dessous sans faire de bruit et effectivement il y avait une dizaine de FA regroupés en deux compagnies sous la passerelle, a chaque bout du hangar. J'appelais Okami, et lui donnait un grenade, je lui expliquait par des gestes ce que j'attendais de lui et le vis partir au dessus du deuxième groupe. Lorsqu'il me fit un signe de la main, je lui confirmait en énumérant les secondes avec mes doigts. 3... 2...1... je dégoupillais en même temps que lui et nous avons lancé notre grenade chacun sur un groupe. Je criais :

- Mitraillez les survivants !!

Le reste de la troupe s'approcha en courant, sauf Van. Les grenades explosèrent, leur détonation résonnant dans tout le hangar.Je vis un corp me passez juste devant avant de retomber lourdemment sur la passeralle. Dans mon groupe, il n'y eut aucun survivant, le groupe d'Okami, en compta deux. Nous étions un peu loin tout de même et les deux survivants avaient commencer a pilonner la position d'Okami. Il cria. Merde...

- Go go go !! On va les pourrir, vous deux descendez par l'escalier, vous deux suivz moi, les autres sécurisez le reste du hangar.

Les aliens s'étaient cachr derrière un petit tonneau, je dégoupillais ma dernière grenade et la lançais dans leur direction. Ils sortirent immédiatement, et se firent achever par ceux qui arrivèrent en bas. J'arrivais a côté d'Okami, il était blessé a la jambe. Je decidais de le relever et de l'accompagner.

- Secteur sécurisé, aucun ennemi dans le hangar.déclara l'équipe de trois soldat que j'avais envoyer sécuriser le secteur

- Très bien, ouvrez ce chasseur en atendant que j'arrive.

- Bien compris.

Je trainais Okami qui disait pouvoir se déplacer seul jusqu'au chasseur. Lorsque je fut au commandes et les autres dans la soute, j'ouvris le hangar d'un petit coup de mitraillette, la passerelle ne répondant plus. Le vide aspira l'air au moment ou une deuxième escouade de FA ouvrait la porte par laquelle nous étions arrivés. plusieurs se firent imédiatemment emporter par le vide alors que d'autre refermèrent assez vite our prévenir leurs suprérieurs. Le chasseur flottait dans le vide, je mis les moteurs en marche, tout mes passagers étaient attachés et j'avais leur indicateur de santer sur mon tableau de commande. A par Okami qui était un peu blessé, tout était bon. Un soldat en train d'équiper sa tenue spatiale de survie demanda :

- On va y arriver hein ? on va revoir la Terre et notre famille pas vrai ?

- Oui soldat, répondis-je un peu trop sur de moi.

Je mis en route les moteurs transluminique,pour passer en hyper espace, les compteurs m'indiquèrent trois minutes avant de passer en hyper espace.
L'espace était magnifique, un soleil éclairait la scène non loin, les épaves de chasseurs étaient très nombreuses on pouvait a peine piloter normalement. Mais deux vaisseaux se détachèrent vaguement sur ce plan apocalyptque : l'Indépandance, de par sa taille et le vaisseau amiral FA. Quasimment une épave lui aussi. La seule vie que nous pouvions apercevoir se situait a la passerelle, apparrament, les moteurs étaient hs ainsi que le reste des systèmes. Il y avait tellement de trous dans sa coque... joli travail de la part du pont des défenses. J'aperçus quelques points sur mon radar, des chasseurs FA toujours en action, pour sur.

"Deux minutes avant passage en hyper espace."déclara l'ordinateur de bord.

[i]J'aperçus une cible, etun autre chasseur dans mon dos. Il m'avaient repérer, ils utilisent la bonne vieille méthode de la proie et du chasseur. Je ne me laisserait pas avoir.

- Acrrochez vous !

Je pivotais de 180° et allumais mes moteurs de croisière. Je fonçais droit sur ma cible, au travers des débris de chasseurs esquivés aisémment. Le pilote du être surpris car il n'esquiva pas ma petite rafale de mitraillette et fut déhiqueté dans sa cabine, tout propre, sans bavure et sans explosion. Son vaisseau vint se rajouter a la liste immense des épaves. Mais deux nouveaux points venaient d'apparaitre, ce qui faisait trois ennemis. Ils convergèrent tous sur ma position. J'accélèrait sur un, laissant les deux autres me prendre en chasse et lançais un missile. il partit, esquivant l'épave qui me séparait de lui et s'écrsa contre la coque du chasseur, l'emportant dans une boule de métal en fusion. Les deux poursuivants esquivèrent les épaves de vaisseaux et tirrèrent sur le chasseur par rafale de boules de plasma. Je ne fut pas touché, un coup de chance, il ne se reproduira plus. Je decidais donc de mettre plein gaz dans le champ d'épave, obligeant mes poursuivant a en faire autant. L'esquive des épave devint plus difficile, mais je gardais toute ma concentrationet a force de vrille et de figure diverses, je passait et résstais. Ce qui n'était pas le cas d'un de mes poursuivant. J'entendis un son sourd et vis une boule de feu me dépasser

- HiiiiiiHaaaaaaaaaaaaaaa !!!

A cette vitesse la, il aurait dépassé un croiseur en vitesse de croisière !
Bon, il en restait tout de même un. mais le compteur indiquait désormais trente seconde. trois nouveaux points sur le radar. S'est pas le moment de mourir Herman !! Deux des trois points arrivaient sur moi, comme s'il voulaient m'éperonner. Bande de blagueurs... Je les esquivait aisémment, pensant un moment aux kamikazes durant le raid de Pearl Harbor dans mon livre d'histoire. Ce moment de distraction me couta bien plus qu'un simple souvenir. Je ne vis pas l'épave, mon aile se prit dedans, je vrillait, entrainant mon équipage dans ma chute. Les signes vitaux de mon équipage faiblirent, certains étant certanement cardiaque, un signal s'éteignit, un soldat. Mais... malgré mon nombre d'heure passé dans la centrifugeuse de l'Indépandance, je commençais a voir tout noir, mes pensées s'obscurcirent. Je compris alors. Un morceau d'épave avait percuter mon cockpit, créant une brêche et me percutant sans même que je le sente. Le morceau avait trouer ma combinaison, laissant le froid spatial s'insinuer en moi. Je lançais rapidemment un coup d'oeil aux signes vitaux de mon équpage, ils étaient presque tous en vie. Nous sortions enfin du champ d'astroïde, les moteurs s'éteignirent, nous laissant dériver. En quleque seconde mes signes vitaux s'éteignirent. Ma dernière vision fut celle d'une nuit étoilée, qui tournait, tournait a cause d'un chasseur... qui aurait perdu une aile.

[HRP} Puisque c'est comme ça, ben moi aussi je meurs dans la rapidité ![/HRP]
A ce stade là, Sylvia pouvait considérer tout comme étant perdu. Elle se tourna vers Marcus.
Allons... Je suis sûre que vous en rêvez !
Elle passa dans la salle d'à côté pour se déshabiller. Elle n'en ressortit jamais et Marcus s'empressa de mettre une combinaison spatiale complète lorsqu'il vit ce qui lu était arrivé : Absorbés dans leurs pensées, ils n'avaient pas vu arriver l'astéroïde qui avait percuté et arraché la salle dans laquelle Sylvia était un instant auparavant, épargnant de justesse le passager clandestin... Vas y Marcus tu peux t'ensortir ![/i]

wazabeuh.... t'es encore a côté la

Nu dans la vide spatial ? tu fait fort sur ce coup la lol
Je réédirterais lorsque tu aura modifié.

Citation :

Par l'un des hublot de la salle de commandes Okami vit un chasseurs FA se postait devant eux

Citation :

Caché derrière un fauteuil Marcus et Sylvia

Etc... C'est ça qui m'a un peu dérouté, sans doute... et en plus j'ai confondu Herman et Marcus !

lol bon Marcus, désolé t'es trop dans la merde pour t'en sortir... Wazabeuh, mdr le coup de l'astéroïde...

hrp Toutes mes condoléances.... /hrp