Sepyia

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Présentation globale
La voie lactée, une bien belle galaxie ou l’ordre règne et les soldats de Sépiya impose leurs terreure a toutes les créatures vivantes…Seuls quelques bastions résistent encore à l’envahisseur , dont Renfis une planète isolée ou la magnétisme est trop fort pour permettre l’utilisation d’une technologie avancée. La Fureure, l’achichancelier de Sépiya piétine a asservir se monde riche en minerais…

Présentation du chapitre 1
Renfis est une planète habitée par des humains tout ce qu’il y de plus normaux, l’ambiance y est de type 1939-1945, il y a néanmoins possibilité pour ceux qui le désire, d’avoir de petits pouvoirs parapsy.
Ceux qui désirent jouer avec moi seprésente ici (avec une breve description de leur personnage)

Prologue :
Einrik Fausspatte était acoudé au bar, il était crevé, mentalement et physiquement, son vieux Messerschmitt, son avion de combat était chez le mécano. Il avait descendu pas plus tard que ce matin trois appareils de Sépiya.
*Sépiya, pensait-il, mais d’où peuvent-ils sortir avec tout ces appareils et des pilotes aussi peu habituer a les manipuler ?*
Il y avait bien des histoires comme quoi les gens de Sépiya lachaient leurs appareils depuis le pole nord de Renfis mais il ne l’avait jamais vu.

*Avant on fesait la guerre entre nous pour des broutilles et là nous somme tous soudés face a cette ennemeis que beaucoup prétendent venir d’un autre monde .*
Fausspatte soupira il avait mal, son œil borgne a peine cicatrisé lui fesait mal. Il portait encore sa tenue de combat : une casquette au écusson de sa compagnie dissoute, la Louve-à-feu. Il était maintenant, comme tout le monde en faite un mercenaire défendant sa planète comme il pouvait. Il eut alors un éclaire et se leva.

« Mes amis, acamarades et compagnons ! Vous étes déprimés, vous savez que les gens de Sépiya gagnent du terrain chaque jours… » quelques murmures « mais nous ne perdrons pas car nous irons chez eux et npous les noyauterons de l’intérieur. C’est probablement une mission suicide mais que ceux qui ne veules pas crever acculer contre le mur de la défaite me suivent ! »
Fausspatte sortit, tant pis si il était seul, il se dirigea d’un pas vif vers son Messerschmitt…