Périple d'un Eveil Gris !!!

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Lorsque l'homme secoua légèrement l'être paisiblement endormie, Noloryn se reveilla en sursaut et sortie brutalement une dague pour se défendre. Elle remarqua alors qu'il s'agissait de son compagnon de l'auberge. Décidemment il était tres attentif aux moindres bruits. Même si l'elfe dormait elle avait senti dans son sommeil un effet étrange. Quelques secondes avant qu'il ne la reveille seulement ... Un peu perturbée par ce reveil la jeune elfe inclina la tête en signe d'accord.

Elle se leva et s'approcha du cheval tendant la lisière à son maitre Daerin. Elle le laissa grimper, elle n'avait pas osé monter avec lui, après tout elle ne le connaissait pas tant que cela, elle préféra courir et marcher à ses côtés. Elle regardait les étoiles et la lune principalement. Soudain ils rencontrèrent la séparation d'un chemin. Lequel choisir ?

Avant même de répondre à cela, Noloryn se tourna vers le cavalier et demanda:

Ou allons nous ?

Elle n'osait pas vraiment le regarder. Noloryn était plutôt discrète et timide et n'osait pas s'imposer aux personnes. La plupart du temps elle trouvait les bons mots, les bonnes attitudes pour s'adapter aux personnes. Mais étrangement elle avait du mal avec cet individu. Il était plutôt mystérieux.

Dès le réveille de l'elfe, ils ne perdirent pas de temps. Ils récupérèrent leur affaires et levèrent le camp. Il tenait Pips par la bride. Il arrivèrent à une intersection. L'une tournait vers le sud, en direction des montagnes blanches. L'autre allait au nord, vers l'Anduin.

Daerin s'arrêta à côté de l'elfe et fit silence. Derrière eux, à environ deux cent mèters, les orcs avaient trouvé leur piste et on entendait déjà des bruit de course. Daerin réfléchit vite et pris le chemin qui se dirigeait vers le nord, tout en murmurant à l'adrese de l'elfe:

" A quelques centaines de mètres se trouve un gué très étroit sur la rivière. Il est long d'une vingtaine de mètre, mais juste assez large pour permettre le passage de deux personnes de front. J'ai aperçus une demi-douzaine d'orc, mais je pense que ceux qui sont derrière nous sont plus nombreux.... peut-être ne se baladaient ils pas seuls.

C'est étrange qu'ils aient trouvé notre trace si facilement. D'habitude les orcs sont de bien piètres pisteurs.

Arrivé à ce gué, il y a deux solutions ... Ou vous prenez Pips, je devrai pouvoir les retenir assez longtemp. Je pense que vous connaisse l'autre alternative."

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn ne croyait pas comprendre ce que l'homme venait de lui dire. N'avait-il pas vu sa fidélité au combat et encore plus son courage face à ses dangers permanents ? Elle fronca les surcils et répondit peut être un peu trop fort:

Croyez vous que je vais vous laisser seul vous débrouiller ? Même si vous êtes un bon guerrier vous ne ferez pas le poids face à tant d'orc et cela magré leur imbécilité.

Prise d'une grande colère, elle suivit le chemin que venait de lui indiquer l'homme le laissant quelques instants en arrière. Elle pressa le pas puis se retourna vivement vers Daerin:

Et bien ! vous venez ! Nous n'allons pas nous installer ici ?!

Pendant qu'elle marchait Noloryn pensait:

* Ces hommes tous les mêmes ! Que croient-ils ? Parce que nous sommes des femmes nous ne savons pas nous battre ? Non mais je rêve ! *

Puis tout bas à elle même:

Je vais lui montrer si les femmes ne savent pas se battre !

Elle avanca alors le plus rapidement possible pour rejoindre le lieu sur lequel ils devaient attendre la troupe d'orcs. Elle s'arrêta et ferma un instant les yeux. Son potentiel de ressentir les choses pleinement était connu chez les elfes, elle ressentait une grande souffrance. Et elle réfléchit un instant et comprit que dans le lot il n'y aurait pas que des orcs... Elle prépara son arc pendant qu'elle courait.

Daerin fut surpris par la réaction. violente de l'elfe. Les bruits se faisaient plus proches. Il accéléra encore le pas, sans plus se soucier de la de la discrétion. Il lacha la bride de Pips et le laissa les suivre. Tout en courant, il dit :

"Excuser moi si je vous ai offensé. Je ne faisait qu'exposer les différentes solutions.

Ils arrivèrent enfin à l'orée du bois. La rivière traversait la plaine devant eux. Il s'engagèrent sur le gué. L'eau leur arrivait à peine au genoux et le courant était faible. Juste au moment où ils arrivèèrent. sur l'autre rive, leur poursuivant surgirent de la forêt. Il y avait une douzaine d'orc. Ceux ci étaient accompagné par cinq gobelins petit et trapus, qui agitaient de court cimeterres. Derrière eux venaient deux grand ourouks nois, qui brandissaient de grandes lames grossières dans des mouvements complexes. Mais le plus inquiétant était un homme vêtut d'un grand manteau gris dont le capuchon était relevé. Il restait en arrière tandis que les autres s'engagèrent sur le gué.

Daerin n'avait pas perdu de temps. Il se mit à fouiller dans une des grandes sacoches accrochées à la selle de Pips. Il en resortit un petit arc, utilisé par les cavalier du rohan, ainsi qu'une quinzaine de flèches.

Il se plaça à l'entré du gué et planta son épée dans le sol devant lui. Après quatre flèche tirée, et quatres orc tombé en plus de ceux abatus par l"elfe qui s'affairaient aves son arc, il laissa tombé son arc et saisit son épée. Il engagea le combat avec les premier orcs arrivant. Plus petits que les humains, ils passaient à trois de front, tandis que les autres trépignaient derrière eux.
A ses côtés, l'elfe engagea aussi le combat.

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

N'ayant pas le temps de répondre en politesse avec le gondorien, Noloryn se dépêcha de tirer son arc et d'un geste rapide et souple elle prit ses flèches et les envoyait deux par deux sur la horde d'orcs et de gobelins. Les ourouks noirs approchaient rapidement il fallait faire vite. Alors que le gondorien était occupé à combattre les orcs menant de front.Noloryn comprit qu'il aurait le temps de les retenir pendant qu'elle, s'occuperait des ourouks.

D'un sifflement elle appela le cheval du gondorien qui commencait à ruer et s'affoler. Tout en grimpant sur la selle elle prit la direction opposée au combat. Elle se tenait à une bonne distance à présent. Elle prit de nouveau son arc et du nouveau point de vue où elle se trouvait elle pouvait tirer pleinement sur les orcs et les gobelins qui attaquaient le gondorien.

Toutefois la jeune elfe gardait un oeil sur les ourouk derrière Daerin. Ils avancaient rapidement. Il était temps de passer à l'action. Soufflant des paroles elfiques dans l'oreille du cheval ce dernier s'elanca avec rapidité. Pendant qu'il chevauchait de nouveau vers le lieu de la lutte Noloryn sortait ses deux dagues. Le cheval courait de plein flanc sur l'un de ourouk. Au dernier moment l'ennemi se dégagea sur la droite, l'espoir de Noloryn fut alors au plus grand et d'un geste rapide elle lui trancha la gorge croisant ses deux lames.

L'autre ourouk courait toujours vers le gondorien, mais peut être le fait de voir son compagnon mort il se retourna et fonca droit sur l'elfe. Elle regarda autour d'elle. Elle venait de comprendre qu'elle ne pourrait pas reprendre la même technique. Elle lui transperca l'armure d'une flèche mais rien n'y fit. A croire que l'ourouk était invinsible. Le cheval se rua et l'elfe tomba. Son épée avait fini par voler plus loin d'elle. Son épée était sa seule chance de survie. Elle rempa comme elle put jusqu'à toucher la paume de celle-ci.

Mais l'ourouk était trop rapide et d'un mouvement de bras il attrapa l'elfe par la jambe....

L'elfe s'était éloignée du combat afin de pouvoir tirée ses flèches en toute tranquilitée. Mais sous l'assaut desz ses adversaires, Daerin avait du reculer, laissant plsuieur de ses adversaires enjamber les corps inertes de leurs compagnons pour se joindre au combat. L'elfe, chevauchant Pips, chargea les ourouks. Elle abatit le premier en lui tranchant la gorge d'un habile coup de dague. Mais le second arriva et, malgré la flèche qui dépassait de son armure, chargea. Pips rua devant la créature, se qui provoqua la chute de l'elfe.

Daerin, qui se deébatait avec trois orc, vit la scène et tenta de se dégagé. Il abatit le premier orc d'nu grand coup vertical qui le coupa presque en deux. Puis il esquiva le coup du deuxiènme et lui envoya son poing ganté de fer dans le visage de toute ses force, son épée étant coincée dans le corps de sa preimère victime. Il y eu un horrible craquement et l'orc tomba sur le sol sans bouger, une creu au milieu du visage. Enfin, le gondorien dégage son épée et, d'un grand coup circulaire fit rouler la tête du gobelin sur le sol.

Il fonça vers l'ourouk,, qui avait saisit l'elfe par le pied, alors que celle ci allait saisir son épée.
Voyant le gondorien en armure foncer sur lui, l'ourouk lâcha sa prise et chargea en brandissant son arme.

Dans un tintement métalique les deux armes se rencontrèrent. Daerin repoussa l'orc d'un coups de pieds. Ce dernier, énervé, envoyat un large coup vertical. Daerin eu juste le temps de l'éviter tandis que la lame plongeai dans le sol. L'ourouk la dégagea facilement et se retourna vers son adversaire. Il sauta, brandissant son arme grossière à deux mains.

Daerin n'eu pa le temps d'esquiver. Il plaça son arme entre lui et l'ourouk en tentant de parer. L'arme de l'ourouk frappa violement l'épaulière du gondorien. celle ci tint le coup, mais l'épaule de l'homme émit un craquement sinistre. Mais l'ourouk, qui avait négliger de se défendre reçu un violent coup de taille. L'épée du gondorien resta bloquée au milieu du torse de l'ourouk .

La bataille s'acheva ainsi. Sur l'autre rive, l'homme vêtu de gris, qui avait suivi la scène de combat, pénétra dans l'ombre du bois sans regard en arrière.
Daerin tomba au sol en se tenant l'épaule. Son armure portait de nombreuses traçes de coup. Sa vue se broulla et il s'évanouit, épuisé.

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn n'eut pas le temps de reprendre son épée pour se retourner que le combat venait de se terminer. Elle se leva et vit alors le gondorien tombé en se tenant l'épaule puis aucun signe de vie. Allongé et inerte. Elle n'en croyait pas ce qu'elle voyait. Se levant avec rapidité elle accourut jusqu'à lui afin d'essayer de le faire revenir à la connaissance. Mais rien n'y fait, les paroles et les gestes rien ne reveillait l'homme à qui elle devait la vie. Des larmes coulèrent le long de ses joues.

Elle avanca vers Pips et prit la longe pour l'amener pres de son maître inerte sur le sol. Entouré d'orc il semblait mort comme eux et pourtant Noloryn savait qu'il respirait encore. Elle fit coucher le cheval à côté de celui-ci et de toutes ses forces qui lui restait elle souleva l'homme avant de l'installer sur la selle du cheval. Elle prit sa cape et le recouvra afin qu'il ne prenne pas froid. Elle caressa Pips pour lui montrer qu'il devait la suivre.

Pendant près d'un jour Noloryn marchait en direction du royaume des elfes. Son père l'avait prévenu qu'aucun homme ne devait pénétrer le royaume et pourtant il s'agissait de la vie de ce dernier. Et elle comptait faire son maximum pour lui, elle lui devait la vie. Elle s'arrêta au pied d'un arbre et ferma les yeux. Elle entra dans ses pensées et appela son pere.

Dans la discussion qui venait d'avoir lieu, Noloryn annoncait le combat et la chute du gondorien. Son père sceptique, avoua qu'il ne devait pénétrer dans leur royaume mais sa fille lui évoquant le fait qu'elle lui devait la vie, son père inclina à sa demande. Noloryn ouvrit les yeux et se fut comme un chemin éclairé par la lumière d'une magie quelconque qui a guidait sur les chemins. Elle devait faire vite à présent le gondorien perdait des forces. Elle grimpa sur Pips gardant le gondorien devant elle et ordonna le galop.

Quelques heures suivantes, Noloryn parla en langage elfique et une porte s'ouvrit devant elle. Plusieurs elfes se tenaient présents face à elle. Certains ne perdirent pas un instant de porter le gondorien en lieu sûr afin qu'il soit soigner convenablement. Pendant ce temps Noloryn amenait le cheval dans l'écurie. Une main se posa sur son épaule. Elle se retourna il s'agissait de son père.

Tad !

Elle se mit dans ses bras versant quelques larmes. Son père lui expliqua que tout se passerait bien pour l'homme.

Tad, je souhaiterais rejoindre le gondorien.
- Ce n'est pas raisonnable ma fille, il doit se reposer.
-Je vous en prie.

Remarquant le regard implorant de sa fille il la lâcha et elle accourut vers la chambre du gondorien. Elle ouvrit doucement la porte, il était allongé dans un lit resplendissant, le soleil éclairait son visage. Un linge était posé sur son front. Noloryn s'approcha, elle resta à le regarder de loin puis d'un geste délicat elle baigna le linge dans de l'eau froide et épongea le front du gondorien.

Daerin se sentait flotté quelque part. Il percevait de très loin la douleur foudroyate de son épaule, ainsi que des diverses éraflures et contusions dont son corps était couvert. Mais une sorte de bulle empêchait toutes ses sensations de l'atteindre. Il se sentait simplement bien, ce qui ne lui était pas arrivé depuis trop longtemps

Mais soudain une sensation de fraicheur l'envahit, le tirant de son sommeil. Il sentit de l'eau s'écouler sur son visage. Il hésitat un instant à ouvrir les yeux. Le faire le ramènerait à ses souffrances quotidiennes, à une vie d'errance sans but. Dans un effort qui lui parut énorme, il entrouvit les yeux. Une lumière violente l'éblouit. Puis ses yeux s'habituèrent à la luminosité ambiante et il commença à distinguer une forme penchée au dessus de lui. Il tenta de se redresser mais une douleur fulgurante traversa son épaule et le cloua sur le lit où il était allongé.

* Un lit ? Mais où donc suis-je* pensa -il.

Les contour de la forme penchée au dessus se firent plus net, et au fur et à mesure qu'il reprenait le contrôle de ses sens, il reconnue Noloryn. Tout lui revint alors en mémoire : la bagare dans le bar, la poursuite dans le bois, le gué, le combat, l'ourouk, son épaule qui avait due être brisé par le choc et le mystérieux homme en gris.

Il tenta de s'adosser contre l'oreillé, mais le réveil de la douleur l'en dissuada.
Il distinga un soulagement certain sur le visage de l'elfe, et il dit d'une voix tranquille, comme si rien ne s'était passer.

" Bonjour Noloryn.

Puis, après avoir jeté un coup d'oeil autour de lui, il ajouta:

" Depuis combien de temps avons nous passé le gué ? Et où suis-je"

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

L'elfe avait passé quelques instants aux côtés du gondorien à prendre soin de lui. Après tout s'il était dans cet état il en était de sa faute à elle. Elle souhaitait réparer les erreurs même si cette blessure resterait gravée à jamais dans l'épaule de Daerin. Elle remarqua qu'il venait de lui adresser un bonjour. Pourtant lorsque ce dernier avait ouvert les yeux, Noloryn parut comme figée face à la clarté des yeux du gondorien. Depuis le début de l'aventure elle n'avait jamais remarqué ce vert si pénétrant des yeux de son compagnon d'armes. Elle fut rapidement revenue à la réalité pour répondre:

Bonjour ... Daerin...

Elle vit alors que celui-ci désirait se redresser. Pourtant les soigneurs elfes avaient attester du peu de force qu'il restait au gondorien et qu'il lui fallait quelques jours pour retrouver les forces nécessaires pour le retour dans son royaume. Il était certain que Noloryn désirait rentrer chez elle, mais non dans ces conditions. Afin de prendre soin de lui à son tour, lui rendre la monnaie de sa pièce, elle s'inclina au dessus de son corps torturé par la douleur de son épaule en parlant ainsi:

Ne vous relevez pas. Il faut que vous vous reposiez.

Avec l'aide de ses mains, elle prit la couverture qui recouvrait le corps de l'homme et la releva plus sur son torse. Ce dernier avait pu la voir comme une guerrière munie d'un simple arc et de dague ainsi que d'une épée. Mais devant lui elle était différente. De retour dans son domaine elle avait changé de tenue pour mettre une robe d'une incroyable richesse, et sur sa tête était posé un diadème symbole de haut rang de sa famille. Avec un sourire elle répondit aux attentes de Daerin:

Cela fait quelques heures que vous êtes allongé ici. Vous vous trouvez dans mon royaume, celui des elfes de la Lorien. Mais reposez vous... Vous devez regagner des forces.

Elle le regarda un instant puis s'installa devant le balcon en regardant le paysage. Elle se retourna et avança pour s'asseoir près de lui sur une chaise posée aux côtés du lit elfique.

Daerin se ralongea avec précaution. Son épaule avait dut se briser. Il remarqua que son armure était posée sur une chaise non loin de là. Elle était polie et toutes les traces de coups avaient disparue.

Puis il remarqua la tenue de Noloryn. Elle avait changé du tout au tout avec celle de ses souvenirs. Elle portait à présent une somptueuse robe, un didème surmontait sa tête, semblable à une simple et magnifique couronne de reine d'avant l'ombre.

Je suis donc au pays des elfes. dit il en admirant l'architecture des lieux. Il vit l'elfe se dirigée vers le balcon. De son lit, il ne voyait que la cime des arbres. Celle ci était entrièrement dorée, et argentées étaient les branches qui suportaient les feuilles. Daerin n'avait jamais vu de sa vie de tel arbres, il était tenté de se lever pour aller les contempler. Mais il se retint, tenan compte du conseil de Noloryn.

"Mais ne m'aviez vous pas dit que les elfes empaichaient tout humain de rentrer dans vos forêt. Il hésitat un pêu avant d'ajouter

Finalement même cette blessure à du bon .... Elle me permet de pouvoir admirer les beau pays des elfes, choses qui, je pense, ne sont vraiment pas donnée à tout le monde .

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn se mit alors à rire. Elle était heureuse de le voir ainsi revenir et prendre connaissance. Elle se contenta de répondre:

En effet peu d'hommes connaissent le chemin de notre royaume. Et peu peuvent se permettent de dire qu'ils l'ont vu.
Il est vrai que cela est interdit mais il en allait de votre vie. De plus quand j'ai dis à mon père que ...

Elle hésita un instant puis continua un peu génée:

que... vous aviez défendu ma vie, il a compris qu'il vous devait bien cela. Mon père est le meilleur soigneur de notre royaume. Il a grandement apprécié votre geste même si vous devez en posséder une marque douloureuse à présent.

Sa main se posa sur son épaule bléssée puis elle la retira rapidement. Elle épongea de nouveau de front du gondorien en ajoutant:

Peut-être désirez vous quelque chose en particulier ? Un repas ? ou autre chose ?

L'elfe rit de bon coeur. Elle semblait heureuse de voir Daerin reprendre enfin connaissance, peut-être après plusieurs heures de veille anxieuses.
Elle expliqua les conditions de son admition dans ce monde reclus et secret. Son geste, qui lui avait parut normal sur le moment, lui avait atiré la gratitude des elfes, et , à première vue, d'elfe assez important.

"Vous pourrez dire a votre père que je le remercie profondément.

Quand à votre proposition, dit il en entendant son estomac émettre un bruit de mécontentement.

Je prendrai bien quelque chose. Au fait. quelle heure est-il. J'ai quelque peu perdu le cour du temps depuis les évènement du pont."

Lorsqu'elle avait posée sa main sur son épaule, Daerin s'était crispé, sp préparant à ressentire de nouveau cette douleur lascinante, mais elle mis tellement de précaution dans son geste, et tant de délicatesse, qu'il ne sentit rien.
Il avait hâte d'être sur pied, aafin de pouvoir visiter les lieux.

*Mon voyage a peut-être trouvé un sens içi. Cela dépendra peut-être des elfes.*

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn comprit que cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas manger et qu'il fallait l'aider à lui faire retrouver la plupart de ses forces. Sans ajouter un mot elle sortie de la pièce. Quelques minutes passèrent avant qu'un homme face son entrée. Il était très grand et avait une chevelure brune comme celle de Noloryn. Il s'agissait du père de celle-ci. Noloryn se placait derrière son père, Daerin ne pouvait pas la voir. Son père resta vers le devant de la porte et Noloryn resta cachée derrière celle-ci, elle voulait écouter la conversation.

Son père parla le premier:

Messire Daerin, votre blessure a l'air de se remettre progressivement ... Vous aurez bientôt l'occasion de vous lever.
J'ai demandé à ma fille de vous amener de la lembas. Ce biscuit au gout de miel a des vertus insoupçonnées que vous aurez vite fait de vous en rendre compte.

Ma fille a longuement etendu vos mérites pour vous faire entrer dans notre Royaume. Mais vous lui avez sauvé la vie et je devais vous rendre la pareil.

Noloryn entra alors dans la pièce avec un plateau rempli de mets succulents. Son père se leva et ajouta seulement:

Nous nous reverrons...

Il embrassa le front de sa fille et cette dernière s'avanca vers Daerin en lui posant le plateau à coté de lui.

Daerin vis entrer un grand elfe. Il avait une démarche altière. Ses traits était très proches de ceux de Noloryn, et Daerin comprit qu'il devait sagir du père de celle ci.

Lorsque celui ci lui présenta l'état de sa blessure, et les nouvelles d'une rapide rétablition, Daerin se sentit mieux. A la penséer qu'il devrait peut-être passer des semaines allité ne le réjoussait vraiment pas.

Puis il remerçiat l'elfe lorsque celui-ci se retourna pour sortir. Il vit Noloryn revenir avec un plateau où était disposé du lembas, tel que l'avait décrit le père de Noloryn. Daerin en prit un et commença a le manger. Le gout était assez spécial. Il saparentait à celui du miel. Il sentit tout de suite une énergie nouvelle le parcourir. Ce devait être une des vertus dont le guérisseur avait parlé.

Tout en dégustant le lembas, Daerin s'adressa à Noloryn.

"Votre père m'a parlé des efforts que vous avez fait pour que je soit admis en ce lieux . Je vous en remerci.
Il réfléchit un instant puis ajouta

Ma curiosité me démange .... J'aimerais en apprendre plus sur ce lieu que vous appelé Lorien.

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn regarde Daerin manger les quelques biscuits de lembas qui se présentaient sur le plateau doré. Au moment ou celui-ci la remercia elle se permit d'ajouter:

Vous n'avez pas à me remercier. J'ai fait ce que j'avais à faire. Vous m'avez sauvé la vie et je me devais de sauver la votre à présent, même si le contexte était quelque peu différent.
Je suis sure que je n'ai fais aucune erreur, vous êtes un homme de confiance et vous laisser découvrir notre terre me fait grandement plaisir.

Elle ajouta un sourire à son discours. Puis comprenant la volonté de l'homme pour en savoir plus elle se mit alors à faire un plus grand sourire. Elle parla ainsi:

Les mots ne suffisent pas à décrire pareilles beautés en ces lieux gondorien. Seuls vos yeux pourront en attester. Les paroles sont parfois inutiles et vain pour décrire des beautés sans pareil.
Il serait plus simple que vous en appreniez sur notre territoire par vous même, et non pas des discours longs et vains.

Elle posa sa main sur son épaule et ferma les yeux. Elle se concentra sur son esprit et remarqua que les principales forces avaient été retrouvées. Mais ne voulant pas contre-dire les dires de son père elle préféra attendre un peu avant d'autoriser l'homme à se lever. Elle expliqua:

Si vous le désirez nous pourrons y aller ensemble demain. Un repos supplémentaire ne pourrait que vous faire le plus grand bien. De plus je ne desire pas vous mettre dans l'embarras alors que vous venez de retrouver quelques forces.

Que pensez vous de notre lembas ?

Au fond d'elle, elle savait que les hommes trouvaient aux premiers abords un goût étrange. Cette questio n'était pas un test pour le gondorien mais à travers celle-ci elle allait savoir s'il était honnête avec elle, ce qu'elle ne doutait pas un seul instant...

Lorsque l'elfe décrit la Lorien, les yeux de Daerin commencèrent a pétiller d'impascience de voir ces lieux. Lorsque l'elfe lui demanda comment il trouvait le lembas, il répondit :

Au premeir arbord, le gout est un peu étrange. Mais une fois habitué à cette sensation, il est vraiment exélent. Le goût s'apparente quelque peu à celui du miel. Et il a un effet vraiment bénéfique sur le corps et l'esprit ... Je me sent en plaine forme et reposé, bien que je sente toujours mon épaule.

Il termina sont repas et se rendormit lorque l'elfe quitta les lieux. Il se réveilla le lendemain avec le soleil. Après avoir pris son petit-déjeuné, il se levat et s'habilla. Il constata avec joie que sa blessure s'était estompée et que son épaule obéissait à ses désir, dans une moindre mesure. Une foie vétus de vêtement simple, il attendis la venue de Noloryn, qui devait lui faire visiter les lieux.

La Lorien... pays maudit... ces elfes... qui avaient decimés ma famille, mon clan... mais il sentait le mitrhil... le mitrhil a plein nez... un mitrhil qui ne leur appartenait pas... ils allaient voir...
Maudits... 20 ans d'errance... pour arriver la! Le saint metal etait la ! Aux mains de ces félons... il s'était fait bannir pour lui... 20 ans a se faire pourchasser par orcs, elfes, humains, nains et trolls.... il allait bruler ces forets... et miner tout le mitrhil de ces terres...
Il bouillait d'impatience et de rage... Lui et ses Parias allaient se venger... 9 nains, 2 humains, et 5 orcs... frele armée, équipée surtout d'une haine sans borne !
Les premiers jours, ils brulerent des arbres... et tuerent des animaux... puis ils arriverent en vue des premieres habitations.... Celle qu'ils remarquérent indiquait "Maison des Noloryns".... ses fondations sentaient le mitrhil... elle était batie sur un enorme gisement !

Preparez du bois ! On va cramer cette baraque et ces salauds d'elfes avec !

Ils préparerent des torches et les lancerent sur le toit, qui prit feu....

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn ouvrit les yeux lorsque les premiers rayons du soleil frappèrent son visage. Elle se sentait bien et sereine. Elle se redressa sur son lit. Aujourd'hui elle avait promis d'accompagner le gondorien dans les terres elfiques pour lui montrer la beauté des lieux. A cet instant un vague préssentiment la retint. Mais pensant qu'il ne s'agissait rien d'autre qu'une maie quelconque elle prit soin de faire sa toilette et s'habilla à la hâte. Elle était préssée de lui montrer sa gloire et sa fierté. Elle passa parmis les couloirs de la forteresse.

Puis d'un geste lent elle frappa à la porte du gondorien ...

Daerin entendit frappé à sa porte. Il ouvrit. Noloryn se tenait dans l'encadrure. Il la salua d'un signe de tête acompagné d'un sourire et la suivie dans le couloir. A cet instant précis une garde surgit en courant. Il s'arréta et expliqua à Noloryn et au gondorien ce qui ce passait.

Un nain et une petite troupe avait commencé en lancer des torche enflammée et les départ de feux étaient nombreux. Daerin retourna en hâte dans sa chambre et se saisit de son armure. Il l'enfila tant bien que mal. Il jeta un regard à son épée, mais il renonçat à la prendre. Son épaule n'était pas encore assez remise pour manier la lourde épée à deux mains. Il se précipita dans le couloir, sans prêter attention au visage réprobateur de Noloryn. Tout en partant dans le sens inverse de celui de l'elfe, il lança pour s'expliquer :

Le guarde va mettre du temps pour prévenir les autres soldats. Ils leur faudra encore un moment pour parvenir ici, puis éteindre les feux. Je vais porter main forte aux soldat qui étaient de garde sur les remparts.

Il disparut au tournant d'un couloir. Il interpelat un garde et lui demanda la direction à prendre. En quelque instant il arriva sur les rempart. En chemin, il s'était équipé d'un sabre elfique recourdé et d'un fiable bouclier. Il retrouvat les soldat de garde, qui n'était qu'une dizaine, les autre s'occupant des incendis.

D'un signe de tête, celui qui semblait diriger la troupe indiqua la troupe étéroclyte qui se tenait au pied des muraille.

Y a-t-il une poterne ? Demanda le gondorien.

L'elfe indiqua une petite porte barrée de fer. Les soldat étaient sur le point d'aller combattre les attaquant, bien qu'en infériorité numérique. Daerin se join donc à eux. Il sortirent. Aussitôt ils furent assaillis par la petite troupe. Elle était composée de nains, d'homme et même d'orc. Daerin abbatit le premier orc qui se présentat devant lui, mais le combat se fit plus difficile par la suite.
Les assaillant semblait enragé aux pint de ne pas ressentire la moindre douleur, et ils combattaient malgré leur blessure.

Un homme de haute stature se présentadevant le gondorien. Daerin se contenta de parer ses attaques, observant sa technique. Puis au moment où son adversaire ouvrit sa garde, il feinta un coup à la tête, pivota et, d'un mouvement de poignet, enfonça son arme à travers la poitrine de l'individut. Ce dernier lorgna un court instant la lame qui dépassait de sa poitrine avant de s'effondré dans l'herbe.

Puis un nouvel adversaire se présenta devant lui. Il s'agissait d'un nain roux, qui semblait diriger la troupe. Il était armé d'un lourd marteau.

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn n'eut pas le temps de demander la moindre chose à Daerin que le gondorien était déjà parti à la hâte. Elle admirait sa volonté d'aider son peuple. Mais le temps n'était pas pour les lamentations. Alors qu'elle regardait autour d'elle son père lui pria de rejoindre sa chambre et de n'en sortir que le moment venu. Noloryn refusa et par désobéissance courut en direction des écuries qui commencaient à prendre feu. En entrant dans l'une d'elle, la fumée était si abondante qu'elle se mit à tousser. Ses yeux la brulaient mais il fallait qu'elle réussisse.

Elle grimpa sur son fildèle destrier et galopa à vive allure vers les portes d'entrées. Elle leva un instant les yeux vers les remparts et vit que Daerin se battait bravement. Ne voulant point le perturber dans sa tache, elle sonna le cor elfique et en quelques secondes une lignée de cavalier elfe se placèrent devant celle -ci avec à sa tête, fière et courageuse, Noloryn.

Elle fit hénir son cheval et leva avec violence l'épée forgée par ceux de son peuple. Alors que ces camarages commencaient à faire de même elle abaissa celle-ci donnant l'ordre de galoper à vive allure devant les assaillants afin de les pietiner...

Un humain... ici? Tern hésita... puis sa haine reprit le dessus ; sa troupe de Parias se faisait décimer, et les humiliations faites a son encontre par les Hommes étaient trop nombreuses...
Lorsque que le dernier de ces compagnons mourut, il poussa un cri de rage tonitruant, semblant venir du fond des Mines de la Moria, et il fonca vers le gondorien :

Chien ! Tu va périr, de ma masse ou du moins des blessures qu'il va te faire !

Le gondorien leva son bouclier , et encaissa de plein fouet l'attaque... il tituba, se reprit et frappa la ou le Nain devait etre...

Que... ou est il ? Comment un Nain peut-il ...

Ter n était derriere lui, et lui assena un coup qui aurait ébranlé une montagne s'il n'avait été dévié en partie par une Elfe a cheval, qui fit trebucher le Nain enragé. Néanmoins, le coup assoma net le Gondorien... le Nain jura, se retourna et vit une escouade de gardes, prets a l'embrocher sans la moindre pitié...

Cet elfe... son armure... DU MITRHIL !!!!

Il s'élanca, cassant les lances sur son passage, assoma trois gardes et en tua un... il lutta 10 minutes durant, frappant, mordant, criant, poussant, pour finalement etre assomé par l'elfe a cheval, d'un coup du plat de la lame

[HRP] Tu pourais demander avant de m'assomer ^^ par MP par exemple Mais bon ... passons [/HRP]

Daerin fit face au nain qui se tanait devant lui. Tout en criant comme un animal enragé, le nain se rua sur lui en brandissant sa masse. Daerin se planta sur ses jambe et encaissa, à l'aide du bouclier elfique, le coup de plein fouet sans broncher. Il s'émerveilla de la résistance du bouclier. Aucun des boucliers dont il s'était servis jusqu'à présent n'aurait résister à un choc de cette puissance.

Cette seconde de distraction eu de facheuses conséquences pour le gondorien, car le nain s'était esquivé et lui asséna un coup vicieux et traitre dans le dos, sans crier garde. Le choc fut terrible et chassa l'air des poumons de Daerin qui s'écroula sur le sol.

Au bout d'une dizaine de minute, il revint à lui et se redressa. La bataille était sur le point de se terminer. Des cavalier elfes, ralliers par Noloryn, étaient venus en renforts et avvaient renvedrser le cours de l'escarmouche qui tournait au massacre des attaquant. Le nain roux gisait au sol, inanimé, mais toujours vivant. Il songeat d'abord à le passer au fil de l'épée, puis se retint devant cette pensée violente et mauvaise. Il se dirigea vers les elfes, alors que l'un deux abattait le dernier guerrier du nain.

Dragon nouveau-né Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 30/04/2008

Noloryn était fière sur son cheval. Pour une fois elle avait su vaincre pleinement un ennemi sans avoir recours à aucune aide. Sa volonté n'était pas de le tuer non mais elle fut prise d'une incroyable pitié en voyant la rage du nain. Ayant décidé de comprendre l'origine de sa haine elle supplia son père de le laisser en vie et de l'enfermer dans un endroit ou elle pourrait discuter pleinement avec lui. Elle regarda le nain inanimé et leva la main. Deux cavaliers s'approchèrent d'elle:

Ligotez le et emmenez le ou vous savez. J'aurais besoin de lui parler quand il retrouvera ses esprits.

Les deux cavaliers répondirent par un signe de tête approbateur et emmenèrent le nain en lieu sur et en toute sécurité. Pendant ce temps Noloryn regardait les elfes entasser les corps inertes des autres assaillants et les faire bruler. Elle se tourna et s'avanca vers l'une des maisons de sa famille.

Son souffle se coupa soudain. Elle vit qu'il ne restait plus rien de des cendres noires.Par chance aucun membre de sa famille n'avait péri dans les flammes. Mais la maison de son enfance, vue sous une telle humiliation venait de lui briser le coeur. Voyant sa fille assommée par la peine il vint la voir et la fit descendre de son fidele compagnon avant de la prendre dans ses bras. Il lui promit de reconstruire la maison à l'identique de celle qui venait de brûler. Puis un regard furtif se posa sur Daerin. Noloryn le voyait tituber.

Elle remonta son cheval et partit au galop rejoindre le gondorien. D'un simple sourire, elle se permit de lui tendre la main afin de le faire monter sur son cheval, à son tour...

Daerin saisit la main tendue e Noloryn et sauta sur la croupe de l'étalon. Ils se dirigèrent ensuite vers la ville. De nombreuses batissent avaient brulée. Devant les rempart gisaient plusieurs guerriers elfes qui furent ramené en ville. Le chef de la bande, le nain avait été ramener en ville pour y être interrogé. De la deumeure de Noloryn ne restaient que des cendres noires qui s'envolaient sur une légère brise.
Daerin suivit Noloryn, qui se dirigeait vers la geole du nain, pour l'interrogé. Il était assez curieux de voir comment les elfes interrogeait leurs détenus. Il avait lui même au interrigatoire de suderon ou d'orc capturer au combat, il, pour les faire parler, il fallait les soumettre à d'horrible torture.

Ouhh... ma tête... ma pauvre tête... saleté d'elfe!!
Je suis ou, la? C'est noir, ca pue l'elfe, le sol est en pailles, porte métallique pas de fenetres... ah ! D'accord...
Je suis en taule!!!! Et une taule d'elfe par dessus le marché !!!
Et attends... cette odeur... (il renifle l'air, les murs et le sol ) non... ca vient pas de là... la porte !!!! (il se rue sur la porte) La porte est en mitrhil !!! Mon marteau ! Ou est il? Ah ! Ces chiens me l'ont pris... Ils payeront pour ca... le Gondorien aussi ! ILS PAYERONT TOUS !!!

Tern s'accroupit dans un coin de la piece en marmonnant des insultes que la censure ne laisserait jamais passer (HRP : du genre : bandes de ///CENSURE/// !!!!! Ah ! vous voyez? /HRP ), puis s'assoupit.

La porte s'ouvrit, et un groupe d'elfes rentra dans la piece, dont la jeune elfe qui avait assomé Tern...

Qu'es que vous me voulez? Z'allez me tuer ? Sans doute pas, vous l'auriez déjà fait ! De toute façon, j'ai rien a vous dire ! Torturez moi si vous voulez, j'ai rien a dire !!!!

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