Alone In The Darkness [Sur demande]

Ed ouvrit lentement les yeux alors que son corps tout entier se réveillait. Il eut la surprise de s’apercevoir que le paysage avait changé et automatiquement, regarda son poignet pour observer sa montre. Elle ne fonctionnait plus et s’était arrêté sur 18h00. La température avait largement diminué, le soleil de l’après-midi avait fait place à un ciel orageux et une légère brume survolé la surface du lac. Ed se frotta les bras vigoureusement pour les réchauffer, il souffla ensuite dans ses mains et les plongea dans ses poches. Il observa encore quelques instant le paysage qui s’offrait à lui mais sans qu’il ne puisse l’expliquer, il sentait quelque chose de malsain dans l’air… un frisson lui parcourra le dos et il se retourna sans demander son reste. Il avait passé toute l’après-midi à rêvasser au bord du lac et il était temps pour lui de rentrer.

Sur le chemin, cette sensation s’était accentuée et il se rendit compte que toute les couleurs de l’après-midi avaient fait place à une teinte monochrome grisâtre et assez morbide. C’était comme si la nature et les paysage étaient sans vie… fixés dans le temps et silencieux. Le bruit du vent dans les feuillages et la symphonie des chants des oiseaux s’étaient tut pour laisser la place à un silence pesant et oppressant. Ed accéléra la cadence lorsqu’il traversa la forêt pour rejoindre la ville, il avait l’impression que tout était mort ici mais en même temps, il se sentait observait comme si il pouvait sentir la morsure d’un regard hostile sur son dos.

Les quelques minutes qui lui avaient été nécessaire pour traverser la forêt lui avaient paru être des heures mais il approchait enfin des quartiers résidentiels. Le peu d’espoir qu’il avait conservé de sa traversée de la forêt s’était volatilisé lorsqu’il s’aperçut que la ville elle-même semblait sans vie. Un spectacle assez impressionnant, assez rare… et toujours cette brume qui flotte dans l’air tel un spectre prêt à bondir sur la première âme vivante qui passerait à proximité.

C’est à ce moment qu’il l’aperçue… cette ombre dans le brouillard. Elle semblait vivante mais complètement difforme, presque inhumaine. Ed était figé sur place, une peur indescriptible le cloué au sol devant cette chose sortie de ses pires cauchemars. Elle se dirigeait lentement vers lui, semblant se trainer sur le sol en lâcha de légers gémissements plaintifs. Elle lui barrait la route et si il ne se décidait pas rapidement, il allait voir cette chose de près et ça, son esprit ne pourrait peut être pas le supporter. Ed ferma les yeux quelques secondes, pensant ainsi à des paysages qu’il avait pu peindre comme pour se donner du courage et ainsi, débloquer la mécanique de ses jambes. Il se lança alors dans le brouillard et contourna la créature, coupant le quartier résidentiel pour se diriger vers le centre ville pour espérer trouver quelqu’un.

Coralie fesait ses courses avant de rentrer chez elle, comme a chaque fin de journée. Il y avait peu de monde dans les rayons, faire ses courses a cette heures etait agreable, et plutot reposant.

Elle poussait son cadie entre les rayons, prenant par ci par là ce dont elle avait besoin, et ce qui lui fesait envie. Elle arriva au rayon des conserves, petits pois, haricots verts, pois chiches, maïs...

Mais comme a son habitude, elle fit tomber trois boites par terre dans un fracas assourdissant qui fit taire tout le monde.Elle se baissa, les ramassa et les mit dans son cadis.Elle continua ensuite de deambuler, se demandant si elle preferait une mousse au chocolat, ou une glace pour le dessert.

Arrivée en bout de rayon elle vit une caisse vide, pour une fois! Elle accelera le pas, lorque, arrivée a la caisse elle remarqua qu'il n'y avait pas de caissiere, et ce a aucune caisse. Elle se concentra, mais il pesait un silence etrange, presque ettouffant. Il n'y avait pas de caissiere, mais pir encore, il n'y avait plus de clients.

Prise de panique elle chercha a quel moment tout avait changé. *oui! c'est quand j'ai fait tomber les conserves* elle courut au rayon, mais elle n'y trouva rien, d'ailleurs que cherchait elle au juste? Elle ne le savait pas. Ne sachant quoi faire, elle laissa son cadis et sortie en trombe du centre commercial.

Personne dehors, pas ames qui vivent, et toujours cette atmosphere penible, ecrasante et etoufante. Paniquée, elle ne trouva qu'une chose à faire: crier

"IL Y A QUELQU'UN ?"

Puis n'attendant meme pas la reponse, elle courut, elle courut jusqu'a perdre haleine, en direction du commissariat

Quand Charlie se réveilla tout avait changé, le temps et le paysage, il pris son Ipod pour voir l'heure mais il s'était éteint, il essaya de le rallumé mais n’y arriva pas. Charlie se souvint qu'avant de perdre connaissance, une mauvaise chute sans doute. Il été sur le chemin du retour, il y avait eu un bruit sourd puis le trou noir. Charlie enfourcha son skateboard pour prendre la direction de la forêt, il prit le chemin synthétique réservé au piéton qui était parfait pour s'entraîner à zigzaguer entre les passants mais là il n'y avait personne, il rejoint vite le chemin de Gravier qui traversait la forêt, cela le désolait mais il devrait continuer à pied. Arrivé un moment il pris la direction du centre ville coupant le quartier résidentiel qui était désert, D'habitude même le soir il y avait quelqu'un, tous cela était vraiment bizarre... Il remit son skate sous ses chaussures et roula en direction du centre ville, toujours animé même la nuit, soudain il entendit un bruit inquiétant derrière lui, une sorte de râlement rauque, il s'arrêta, se retourna, et vie dans le brouillard une forme qui se déplaçaient au niveau du sol mais il ne distinguait pas ses traits, le râlement provenait de cette... chose peut être était-ce quelqu'un qui avait besoin d'aide puis il vie que cette "personne" se déplaçais bien vite pour quelqu'un qui rampait, elle semblait planer même !!!! Charlie prit peur, il accéléra le plus vite possible, la créature semblait le suivre. Soudain il vit une ombre cette fois-ci bien humaine, c'était un type plutôt mince, un carnet à dessin a la main:

-"Au secours !! " (cria Charlie)

Coralie etait desemparée,elle avait courut jusqu'ici, avait grimpé les marches deux par deux, elle etait enfin arrivée au commissariat,mais a peine était elle rentrée qu'elle en ressortie, là aussi il n'y avait personne.

"Ou etait donc passé tout le monde!"

Elle descendit les marche en courant, mais trebucha a mi-parcours, tomba sur les fesses et de la elle ne bouga plus. Elle restat assise sur les marches, les coudes sur les genoux, se tenant la tete dans les mains.

"je vis un cauchemar, c'est pas possible! je reve! je vais me reveiller dans mon lit au chaud, et tout sera normal!
Je ferme les yeux, je compte jusqu'au 3, et tout sera rentrée dans l'ordre"

*1, 2, 3*

Elle reouvrit les yeux et devant ce desert, des larmes ruisselat sur ses joues, elle se rendait compte qu'elle ne revait pas. Elle se leva, determinée, si elle etait seule, il fallait qu'elle en soit sure, il y avait peut etre une chance que quelqu'un soit comme elle.
Décidée, elle commenca a faire le tour du centre ville

Ed fut surpris d’apercevoir une silhouette un peu plus humaine lui foncer dessus qui se déplaçait assez vite. Dans son esprit, Ed se voyait déjà en train de subir mille tournants de la part de chimères imaginaires. Soudain, il entendit un « Au secours » déchirer le silence devant lui mais s’aperçut trop tard que c’était juste un adolescent sur un skate bord. En essayant de s’éviter mutuellement, les deux garçons se percutèrent et sur le coup de la surprise, Ed poussait un cri. Il prit plusieurs secondes avant de se souvenir que ce n’était qu’un adolescent et non une de ces ombres. Il soupira en se frottant la poitrine pour calmer son pauvre petit cœur qui battait si fort que celui-ci aurait pu exploser dans sa poitrine.

-*Gros soupir*… J’ai bien faillit avoir une attaque, je crois que j’ai le cœur qui va exploser ! Hum, vous allez bien ?

-" oui ça va allé, enfin je crois, vous avez amorti ma chute. Je suis vraiment désolé il y avait cette chose qui me poursuivait j'ai prit peur et j'ai pas fait gaffe s'cuzé moi encore."

Charlie aida le jeune homme a se relever.

-" Qu'est ce qui se passe ici? y a plus personne !! nul part !!! c'est flippant, vous avez croisé quelqu'un d'autre vous?"

Charlie avait mal au coude, il jeta un oeil dessus et il s'aperçu que ceux-ci étaient écorché mais rien de grave, il pris son skate qui avait roulé un peu plus loin. Ouf il était intacte.

Coralie explorait le parc a coté du commisariat: personne.
Pourtant d'habitude il y avait toujours des enfants qui couraient et riaient , des meres de familles qui papotaient ensembles en survaillant leur cherubains, des petits vieux adorables qui se balladaient, d'autres qui pique niquaient.
Et là, personne, seul le silence de plombs, pesant et lourd.
Elle s'assit sur un banc et contempla le vide aux alentours.Elle versa une larmes en pensant a ses propres enfants, les reverait elle un jour?

Elle esperait entendre un cri au loin, une main apesante, une voix!
Elle ferma les yeux et attendit un miracle, peut etre que quelqu'un arriverait, poserait sa main sur son epaule, et lui murmurerait a l'oreille: "n'es pas peur, tu n'es plus seule"
Elle esperait...elle espererait jusqu'a la fin...

Ed se releva doucement avec l’aide du garçon avec qui il était entré en collision latéro-frontale… il est sur que le mot en lui-même n’existe pas mais ils s’étaient percuté d’une telle manière que Ed n’aurait pas pu dire comment et avec quoi. Bref, Ed fit un signe au jeune garçon pour lui montrer qu’il allait bien.

-Merci, je vais bien… et pour répondre à ta question, tu es la première personne à qui je parle depuis des heures.

Ed avait l’air un peu embêté d’avoir percuté le garçon mais aussi à cause du petit cri de terreur qu’il avait lâché après l’impacte. Il se frotta la tête avec un petit sourire bête mais reprit un semblant de sérieux quelques secondes plus tard.

-J’ai passé l’après-midi au lac et quand je me suis réveillé pour rentré dans la zone résidentielle, j’ai aperçu quelque chose de terrifiant dans le brouillard et j’ai fuit en direction du centre ville avant de… humm… tomber sur toi.

-"C'est exactement ce qui m'est arrivé, j'étais au lac et ya quelque chose qui ma presque attaqué quand je me dirigeais vers le centre ville. Puis j'vous ai vu et j'ai crié au secours la suite vous la connaissez... Je propose qu'on continu de chercher nous ne devons pas être seul dans ce cas la je serais d'avis d'aller voir au parc cet endroit en toujours plein de monde qu'en dite vous? Au faite moi c'est Charlie!

Charlie tendis une main vers l'homme pour qu'il la lui sert.

Ed regarda bêtement tendu vers lui avant de l’attraper pour la serrer.

-Enchanté… moi c’est Eddy mais tout le monde m’appelle « Ed » ! Je serais d’avis de ne pas tarder à nous mettre en route et de continuer assez discrètement.

Ed fit un signe de la main à Charlie pour lui signifier de faire moins de bruit avant de faire quelque part. Il stoppa après quelques mètres avant de se retourner vers Charlie.

-Au fait, le centre c’est bien beau mais… il se trouve ou ce parc déja?

Ed souriait en tirant la langue d’un air embêté, il avait juste l’intention de se rendre dans le centre ville, sans vraiment de plan bien définit… c’était la façon de faire de Ed.

-"A coté du commissariat ! Je vais te guider ! Allons-y!"

Charlie se mit en marche en compagnie de son nouveau partenaire a un croisement il bifurqua vers la gauche, des bruits suspects se faisaient entendre autour d'eux ce qui ne le rassura nullement. Il approchait du parc ils y seraient dans peu de temps.

Coralie réouvra les yeux apres un temps qui lui parut interminable. Rien n'avait changer, et aucun bruit n'arrivait a percer l'atmosphere de plombs.Il n'y avait plus de vent, plus d'echo, ni le bruits des feuilles que l'on pietinent.Elle se leva et se diriga vers la sortie toujours dans un silence isondable, elle ne s'entendait presque plus repirer et ce dit que bientot elle oublirait le bruit du vent, les rires des enfants, les belles choses de la vie.
Soudain elle vit deux silouhettes approchées dans un halot de brume, elle resta petrifiée, depuis qu'elle etait sortie du centre comercial elle n'avait vu personne. Ce pourait -il que son esprit lui joue des tours? Est ce que se sont des "rescapés" comme elle?
Elle ne bougea plus et attendit de voir de plus presles deux silouhettes.

Ed avait toujours la peur au ventre depuis qu’il s’était réveillé au bord du lac mais il ne pensait pas que son malaise durerait aussi au centre ville, là ou il espérait trouver un attroupement de personnes aussi perdues que lui et Charlie.

Le centre ville paraissait aussi mort que les alentours du lac ou même la forêt, les couleurs étaient pales et semblaient être aspiré par le brouillard. Et toujours cette sensation qu’il était observé, sentant toujours le poids d’un regard invisible sur son dos… et toujours ce frisson.

Comme il ne se souvenait plus du chemin, il laissa passer Charlie devant mais en restant près de lui, il ne voulait être séparé de la seule personne, du seul être humain qu’il avait croisé depuis plus d’une demi-journée.

Soudain, il agrippa l’épaule de Charlie devant lui pour le faire stopper et lui indiqua qu’un geste de la main le brouillard. Il murmura…

-Est-ce que c’est moi qui vois des choses ou… tu le vois aussi ?

Ed venait de l'agripper.

-"Est-ce que c’est moi qui vois des choses ou… tu le vois aussi ?

Charlie voyait bien quelque chose mais avec le brouillard il en distinguais mal les traits il décida d'aller voir c'était une jeune femme qui avait l'air terrorisé

-"Bonjour! euuu ça va aller?

Coralie etait toujours plantée comme un pic, et fixait les deux silouhettes, lorsqu'elles approcherent, elle vit qu'il s'agissait de deux hommes, ou plus une adolescent et un jeune homme. Elle n'y croiait pas ses yeux!
Elle n'était plus seule, s'en meme s'en rendre compte des larmes ruisselaient sur son visage, elle etait si heureuse de voir quelqu'un, d'entre des voix!

"je vais bien! je... je suis si contente de voir enfin quelqu'un!"

-"J'vous avous que c'est partagé, sa vous dirais de nous accompagner pour retrouver d'autre personne ???

Charlie était soulagé, il n'était pas seul Ed et lui !!!!

Coralie etait si contente! Elle n'etait finalement plus seule.Retrouver d'autres personnes? cela voudrait donc dire qu'il ne sont peut etre pas seuls, biensur vu qu'ils sont déja trois! il doit y en avoir d'autre!

"oui oui biensur que je viens avec vous!

Ed et son compagnon venait de rencontrer une autre personne dans la ville mort, c’était une femme d’âge mur qui semblait assez choquée et surprise de trouver d’autres âmes perdues dans cette brume. A ce moment, Ed n’aurait pas pu déterminer la nature exacte des larmes de la femme en face de lui, le soulagement de ne pas se retrouver seule dans ce cauchemar peut être mais les premiers mots de celle-ci confirmaient exactement ce à quoi il pensait. Ed s’approcha lentement de la personne, affichant une mine compatissante, puis il plongea sa main dans sa poche pour en sortir un mouchoir.

-Nous sommes aussi heureux de trouver quelqu’un en bonne santé… Je m’appelle Ed et voici Charlie, un compagnon d’infortune.

Ed scruta tout autour d’eux avant de s’exprimer de nouveau.

-Nous ne devrions peut être trouver un endroit plus sur que cette brume pour discuter… je ne me sens pas très à l’aise en plein milieu de cette nature morte !

Coralie resta bouche bée, regarda le mouchoir, se demandant pourquoi est ce qu'il lui en tendait un lorsqu'elle se rendit compte que des larmes ruisselaient sur son visage. Elle s'en saisit et le remercia d'un signe de tete.
"je...hum.. je m'appelle Coralie, et ou voulez vous aller? Moi je reviens du commissariat qui est vide, et du centre commercial, vide aussi."
Elle se retourna et comtempla le parc vide, c'etait si etrange, puis elle attrapa son sac.
Alors ou allons nous?"

-"Allons dans mon squat ! Nous serons en sécurité, il y a assez de place pour nous trois. Las bas nous pourrons discuter tranquilos !!! Suivez-moi"

Charlie sortait du jardin en compagnie de ses deux compagnons, il jetait des coups d’œil à gauche et à droite, il avait un mauvais pressentiment. Quelque chose approchait dans la brume, Charlie serra les trucks de son skate près a s'en servir comme arme. Cette chose ressemblait à celle qu'il avait croisé plutôt.

-"Courez !!!"

[hrp] je met un peu d'action [/hrp]

Ed avait l’impression que le peu de lumière qui transpercé encore la brume pour lui donner une teinte laiteuse disparaissait petit à petit jusqu'à ce que celui-ci devienne gris métal. La nuit, s’il pouvait encore appeler cela comme ça était en train de se lever. Il regretta rapidement la pâleur de cette brume car elle était beaucoup plus rassurante que la teinte foncé que ce qu’on pourrait appeler le ciel prenait, on ne pouvait même plus apercevoir la lune, tout semblait si artificiel. Seule la peur qu’il ressentait au fond de lui était bien réel et même au-delà et le « courrez » de Charlie n’avait pas amélioré les choses.

La forme qui se déplaçait dans la brume semblait être à l’origine de la nuit, comme si elle aspirait petit à petit toute lumière et toute vie autour d’elle. Un spectacle terrifiant mais aussi très hypnotique, Ed ne pouvait pas détourner son regard de la scène et ses jambes étaient comme paralysées. Il se reprit lorsqu’il entendit une série de bruit métallique qui provenait de la chose devant lui, il se frotta les yeux lorsqu’il eut la vision de… non, ça ne devait pas être possible. C’est au moment ou les ténèbres sont arrivées à sa hauteur qu’Ed se retourna et commença à courir en direction de Charlie.

Coralie fut suprise par la voix de Charlie qui monta legerement dans les aigus lorsqu'il avait crié *Courrez!" puis se fut tout le monde qui bascula d'un seul coup, une atmosphere lourde et pesante qui l'empechait de respirer, la nuit qui tombée dans un noir de plomb.Comme si elle tombait dans une abysse sans fin, un neant infini et oppressant.
Sur le moment elle n'avait pas compris ce qu'il se passait, et son corps mit un certain a enregistrer et a assimiler l'information, courrir, et vite, fuir? mais quoi?
Elle n'osa pas se retournait pour voir se qui approchait dans son dos, mais les frissons qu'elle ressentit lui dit que ca ne presager rien de bon, elle se mit donc a courrir aussi vite qu'elle le put, mais elle n'avait jamais etait bonne en course, qui se soit en endurance ou en sprint.
Cependant, l'envie de survivre la poussait a courrir sans s'arreter